Une semaine de chien Partie 1/7
Une semaine en tant que chien totalement dévoué à un inconnu, ce fantasme allait enfin se réaliser. Une soumission totale était exigée.
Proposée le 13/03/2017 par Isno Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominéPersonnages: HHLieu: Autres lieux publicsType: Fantasme
D’oĂą provenait ce fantasme ? Depuis combien de temps Ă©tait-il ancrĂ© en moi, insidieux, tentateur ? Ma jeune expĂ©rience m’avait dĂ©jĂ permis de connaĂ®tre bon nombre de partenaires, hommes et femmes et mes goĂ»ts Ă©taient dĂ©jĂ bien dĂ©finis. J’Ă©tais bi, et soumis avec les hommes. Rien n’Ă©galait Ă mes yeux le plaisir d’offrir une fellation Ă son maĂ®tre, agenouillĂ© devant lui, les fesses rougies par les fessĂ©es rĂ©pĂ©tĂ©es. Mon anus n’Ă©tait lui aussi dĂ©jĂ plus aussi innocent que l’on pouvait le croire, mon corps svelte et clair, presque effĂ©minĂ© pour certains avait dĂ©jĂ subit les assauts de bon nombres d’hommes Ă la virilitĂ© marquĂ©e. Je masquait derrière mes lunettes des yeux dĂ©bordants de dĂ©sirs, toujours Ă l’affĂ»t d’une entrejambe sur laquelle fantasmer.
Je ne savais pas ce qui m’avait fait sauter le pas ce soir, l’horloge affichait dĂ©jĂ 23 heures passĂ©es et mes doigts venaient de terminer de rĂ©diger l’annonce qui allait me conduire Ă une magnifique expĂ©rience.
« Jeune soumis de 20 ans recherche un maître pour le traiter comme un chien pendant une semaine. Laisse, gamelle et accessoires à fournir. »
C’est pourtant totalement ignorant le succès de ces quelques mots que j’allais me lover sous mes draps blancs.Mon rĂ©veil se fit avec difficultĂ©s, et c’est après de longues minutes Ă bataille contre moi mĂŞme que je m’extirpai de la douche chaleur du tissu. J’allumai mon ordinateur d’un geste machinal et me rendis sur ma boite mail. C’est avec stupeur que je dĂ©couvrit une vingtaine de mails rĂ©pondant Ă mon annonce de la veille. Je les parcouru, Ă moitiĂ© effarĂ© de mon succès avant de tomber sur une texte qui me fit frissonner. Un homme d’une trentaine d’annĂ©es me proposait de passer la semaine chez lui, il avait joint des photos plus qu’explicites de son corps musclĂ©, complètement rasĂ© ainsi que de son Ă©quipement. Une grande cage pouvant abriter sans difficultĂ©s une gros chien et dans laquelle se trouvaient deux gamelles trĂ´nait au centre d’une petite pièce. A ses cĂ´tĂ©s Ă©taient Ă©parpillĂ©s une laisse, des menottes, une collier en cuir ainsi qu’un dĂ©guisement comprenant au minimum des oreilles, un plug surmontĂ©e d’une longue queue de chien et une panoplie de jouets.
A la vue de ces images, je m’imaginais sans peines tout le plaisir qui m’attendait, ma rĂ©ponse fut brève mais me permit d’obtenir le rendez-vous tant convoitĂ©. Une seule consigne m’avait Ă©tĂ© donnĂ©e, je devait obĂ©ir aux ordres immĂ©diatement et cela, quels qu’ils soient au risque de voir ma semaine de luxure s’achever brutalement. En un mot, j’appartenait corps et âme Ă mon maĂ®tre pour une durĂ©e de sept jours.Je me rendis dans ma nouvelle demeure le lendemain en dĂ©but de soirĂ©e, ma première journĂ©e allait ĂŞtre courte mais je bouillait d’excitation. La porte s’ouvrit sur un homme vĂŞtu d’un t-shirt noir moulant donc le col en V laissait apercevoir une jolie musculation. Son jean Ă©galement assez près du corps m’offrirait bientĂ´t une vue bien plus agrĂ©able . Mon maĂ®tre me dĂ©visagea, je sentis son regard caresser mon corps de bas en haut et le rouge me monta lĂ©gèrement aux joues. « DĂ©shabille-toi, ordonna t’il soudain. »Je le fixais, incrĂ©dule alors qu’il ne semblait pas vouloir me laisser pĂ©nĂ©trer dans la maison. Je compris brusquement et mon regard se dirigea dans la rue, des passants se pressaient au loin, il leur Ă©tait certes impossible de voir mon visage Ă cette distance mais la vue d’une personne se dĂ©nudant ne leur Ă©chapperait aucunement. Me voyant hĂ©siter, l’homme eu un air déçu et commença Ă fermer la porte. Mon sang ne fit qu’un tour et je soulevait mon t-shirt, l’arrachant presque en l’enlevant. La porte se rouvrit entièrement et le morceau de tissu termina dans les mains de mon nouveau propriĂ©taire. J’ouvris fĂ©brilement mon jean, mes doigts tremblaient alors que les boutons cĂ©daient uns Ă uns. Je le descendit au bas de mes jambes, Ă´tant par la m^me occasion mes chaussettes. Je restais quelques secondes en caleçon au beau milieu de la rue, des milliers de regards semblaient ĂŞtre fixĂ©s sur moi, provenant de toutes parts. Avec une sentiment de honte et d’excitation, je me saisis de ma dernière protection et le fis glisser, lentement, très lentement, prenant plaisir Ă sentir le vent frais agresser les parties les plus intimes de mon anatomie. Mes jambes cĂ©dèrent tout Ă coup, je me retrouvai Ă genoux, puis Ă quatre pattes, le trottoir me faisait mal mais la douleur n’Ă©tait rien comparĂ© au bonheur d’ĂŞtre complètement soumis Ă mon maĂ®tre.
Ce dernier me fit finalement signe de rentrer et je m’exĂ©cutais et adoptant une dĂ©marche chaloupĂ©e, mes hanches se trĂ©moussant au rythme de mes pas, mon dos cambrĂ© mettant en valeur mes fesses rebondies. Ses yeux et ses doigts me caressèrent dans les moindre recoins, apprĂ©ciant ma peau dĂ©nuĂ©e de poils. Comme pour valider mon apparence, il enserra un Ă©pais collier en cuir autour de mon cou, m’Ă©tranglant Ă moitiĂ©. Le contact rugueux du cuir contre ma peau me brĂ»lait mais je n’avais jamais rien portĂ© d’aussi agrĂ©able. Un petit serre tĂŞte reprĂ©sentant des oreilles cenines suivirent puisun gel froid recouvrit ma rondelle. Instinctivement, je relevais le postĂ©rieur et fut pĂ©nĂ©trĂ© par un long et Ă©pais plug. La queue qui constituait la partie visible Ă©tait lourde et faisait se mouvoir en moi le jouet Ă chacun de mes pas, rendant ainsi mes dĂ©placements agrĂ©ablement difficiles.
Un clic mĂ©tallique retenti, une pression se fit sur le collier et mon maĂ®tre tira sur la laisse pour me forcer Ă avancer. Je me dĂ©lectais de ce nouvel environnement, intriguĂ© par ce qui allait suivre, j’obĂ©issais au doigt et Ă l’œil aux moindres Ă coups de la lanière de cuir. Je fus ainsi promenĂ© dans l’ensemble de la maison et je pouvais dĂ©jĂ m’imaginer servir me propriĂ©taire de mille et unes façons.Nous nous arrĂŞtâmes finalement devant la cage en fer, un lourd cadenas Ă©tait prĂŞt Ă en bloquer l’entrĂ©e. »Assis ! »Je me mis Ă genoux, regardant avec un dĂ©sir incontrĂ´lĂ© le visage dur et autoritaire qui me surplombait. »Donne la patte ! »Je dĂ©glutis et tendis lentement ma main droite, jamais je n’aurais pu imaginer qu’un geste aussi simple pouvait ĂŞtre porteur d’un aussi puissant attrait sexuel. Mon corps me hurlait son envie, la soumission me rendait dingue. « Bon chien, maintenant rentre dans ta cage je viendrais te chercher demain, annonça t’il en m’enfermant Ă l’intĂ©rieur.
_ Wouf. »Le son Ă©tait sortit tout seul, mon regard croisa celui de mon maĂ®tre et gĂŞnĂ©, humiliĂ©, je m’attendais Ă la pire des sanctions. « Tu me plaĂ®t, Ă demain… chienne. »Je m’installais du mieux que je pus et ferma les yeux, je m’endormi ainsi, dĂ©guisĂ©, Ă©quipĂ© d’un jouet et soumis Ă un inconnu en attendant ma première journĂ©e en tant qu’animal de compagnie. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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