Le punch coule à flots. Au rhum, à la noix de coco, au gingembre. Ah, le gingembre… Le buffet regorge d’acras de morue, de chutneys, de crevettes grillées pimentées, de langoustes, d’ananas en carpaccio, de bananes présentées de façon érotique, …Le carton d’invitation annonçait une soirée chaude, chaude… Et ce n’est qu’un début. Mais à propos, à qui devons-nous d’être ce soir dans cette cave, dans cette soirée dont la majorité des participants sont noirs, originaires des Antilles, vêtus de tenues hautement colorées pour les femmes, pantalon blanc et chemisette blanche pour les hommes ?Maintenant que tous les invités ont fait honneur au buffet… et surtout aux punchs, la musique créole monte, monte et les couples vont sur la piste sur ces rythmes syncopés, lancinants, envoûtants. Hélène et moi restons assis prudemment au bar, histoire de récupérer de la dégustation des différents punchs, nous contentant du spectacle de ces couples déchaînés, heureux d’être sur la piste.Comme il fait très chaud, quelques chemises sont prestement enlevées sans aucune impudeur. Hélène, à l’évidence, ne manque pas de s’intéresser à ces corps d’hommes luisants, musclés, pour certains adeptes du body-building. Son regard intéressé attire l’attention d’un superbe Martiniquais dansant avec une plantureuse noire. L’homme nous invite à venir les rejoindre sur la piste. Devant notre hésitation, il prend Hélène par la main et l’emmène avec lui sur la piste.Et me voici embarqué à mon tour par cette superbe Antillaise qui doit bien me dépasser de quelques centimètres et avec une poitrine impressionnante.Nous tentons bien d’adopter une attitude de circonstance, et Hélène sourit de me voir dans les bras d’une si imposante noire. Je souris moins de voir notre Antillais sembler déjà bien familier avec ma petite femme. Il est vrai qu’elle est mignonne, dans cette robe de cocktail aux fines bretelles qui lui moule bien le corps. Mais quand même, de là à lui coller déjà au corps, lui passer la jambe droite dans son entrejambe, lui passer les mains dans le dos le long de la colonne vertébrale…Et cet autre Antillais, une bouteille de punch à la main, qui vient se coller derrière ma femme. La voilà prise en sandwich entre deux hommes, excellents danseurs, mais quand même…Ma cavalière n’apprécie guère que je m’intéresse plus à ma femme qu’à elle, et me voici le visage plaqué entre ses deux seins parfumés d’une eau de toilette capiteuse. Voilà qui me change des petits seins d’Hélène, fermes, bien proportionnés, dont les tétons réagissent très vite à mes sollicitations. Mais passer d’un 90 B à certainement un bon 105 E, cela surprend, même si abondance de bien ne nuit pas…Forcé d’oublier momentanément cette pauvre Hélène en perdition, je promène volontiers mes mains le long du corps de Christiane. Elle a bien voulu me confier son prénom. C’est quand même la moindre des choses, vu notre intimité naissante…— Dis-moi, mon petit (la voilà bien familière), pourquoi gardes-tu ta chemise alors qu’il fait si chaud ici ?— Ah ben, bredouillai-je, c’est que je n’ai guère l’habitude d’être torse nu en public… sauf à la plage. Ou alors, si je m’enlève la chemise, tu en fais autant avec ton chemisier !Et pan ! Entendez-vous l’immense éclat de rire ponctuant mon insolence ?— Hé bien, soit. À toi l’honneur, et je te suis.Me voilà dans de beaux draps, si j’ose m’exprimer ainsi. Aucune raison de reculer. Et j’enlève bouton après bouton, en m’efforçant d’être sensuel, avant de me débarrasser prestement de ma chemise.Christiane, à son tour, au rythme de la musique créole, se débarrasse de son chemisier, laissant découvrir le haut d’une guêpière en tissu rouge vif et dentelles, du plus bel effet sur cette peau noire et luisante. Ses seins sont mis en valeur comme il se doit et je n’ai pas dû me tromper sur leur taille. Bon gré mal gré, me voici reparti les visiter, ce qui n’a rien de désagréable, vous en conviendrez.Les deux Antillais, de plus en plus familiers avec ma femme, se sont aperçus du début de strip-tease de Christiane. Et joignant la parole au geste – pourquoi se gêner – entreprennent d’enlever la petite robe de cocktail d’Hélène, qui a dû entretemps goûter à nouveau au punch à la bouteille vu qu’elle ne montre aucun signe de résistance…Christiane nous approche du trio afin de se régaler du spectacle . Et il est vrai qu’Hélène en soutien-gorge noir Aubade tout en dentelles, avec porte-jarretelles et string assortis, bas noirs, cela a de la classe !Le trio s’est installé au milieu de la piste et devient l’ attraction, les autres couples se contentant de regarder le spectacle qui leur est offert.L’homme qui fait face à Hélène l’invite à lui desserrer la ceinture du pantalon, à lui ouvrir la braguette, puis à lui descendre et ôter le pantalon. Comme Hélène se baisse pour compléter sa tâche, l’homme qui était derrière elle en profite pour lui chevaucher les épaules, pivoter et lui faire face afin qu’elle lui enlève à son tour le pantalon… Et voici nos deux Antillais, en boxer, qui reprennent position en sandwich autour d’Hélène, non sans avoir à nouveau trinqué de concert.— Et si je t’enlevais le pantalon, me glisse Christiane tout en m’emmenant au milieu de la piste.Aussitôt fait. Sans même en demander la permission, j’enlève la jupe de ma cavalière, ce qui me permet d’admirer sa guêpière rouge avec porte-jarretelles, les bas rouges et le string de même couleur. Quelques poils frisés en dépassent, ce qui n’est pas pour me déplaire.Les boxers des deux cavaliers d’ Hélène ne cachent plus grand chose de leur excitation. J’avoue être impressionné par ces bosses grandissantes. Et même si Hélène n’a jamais eu à regretter la taille de mon sexe, elle porte un regard à l’évidence plus qu’intéressé, d’envie même, sur les sexes en érection. D’autant que le danseur qui est dans son dos ne se gêne pas pour se frotter de plus en plus intimement et se loger entre les fesses d’Hélène. Il dégrafe le soutien-gorge d’Hélène, découvrant ses deux petits seins dont les tétons violacés sont en érection comme je les ai rarement vus… L’homme qui lui fait face s’empresse de rendre hommage aux seins de ma femme. Il les palpe, les lèche, les aspire, les mordille, arrachant un petit cri à Hélène.Afin de ne pas être en reste, Christiane me sort ses gros seins de sa guêpière et m’invite à les honorer. Je les prends volontiers dans les deux mains, je les caresse, les pétris, lui titille ses longs tétons assez volumineux, avant de les lécher, de les laper avec la langue puis de les aspirer avidement. À l’évidence, cela plaît à Christiane qui porte sa main droite sur mon sexe déjà passablement excité, au point que je commence à mouiller mon boxer. Elle le malaxe au point de me faire mal tant mon érection et mon envie de jouir sont fortes. En même temps, elle m’embrasse avec fougue. Je sens sa langue pénétrer ma bouche, virevolter sur ma langue, mon palais. Sa respiration s’accélère. Et je me demande si je suis l’objet essentiel de son excitation ou si c’est le spectacle de ma femme, entreprise par deux Antillais, qui l’excite le plus.Le trio et et le couple que nous formons tous les cinq se sont regroupés au milieu de la piste, et les autres couples nous entourent toujours, visiblement intéressés par le spectacle offert.Je profite de ma proximité avec Hélène pour lui adresser un baiser fougueux. Qu’elle sache que je l’aime toujours ! Mais cela n’est pas du goût de Christiane qui me serre violemment le sexe, m’arrachant un cri de douleur. Pour se faire pardonner, elle se met à genoux, m’arrache le boxer et me commence une pipe mémorable.Ne voulant pas être en reste, sans même y être invitée, Hélène s’agenouille à son tour et, sous mes yeux, déshabille complètement ses deux cavaliers, dévoilant deux énormes sexes en pleine érection. Après les avoir admirés, caressés, palpés, elle les prend à pleine bouche à tour de rôle, tout en masturbant le sexe libre. Comment fait-elle pour engloutir jusqu’à la garde de telles bites ? Elle y éprouve un réel plaisir. Il faudra qu’elle me raconte…Christiane se régale à l’évidence de me sucer. Histoire de varier les plaisirs, elle me prend le sexe entre ses deux seins. Moi qui ai toujours rêvé de ce plaisir, me voici y goûter en public, alors que ma femme suce avidement deux sexes noirs, sous le regard intéressé d’un public qui ne cesse de nous encourager et qui commence à nous copier.Ma cavalière mène toujours la danse. Elle me fait mettre à genoux, se relève et me présente son sexe dont l’excitation commence à couler abondamment. Son string est complètement mouillé. Je le lui enlève prestement et découvre un abondant triangle de Vénus, tout aussi mouillé. Je le lèche volontiers, tant ce petit goût salé m’excite. Je découvre ses grosses lèvres roses et n’ai aucune difficulté à trouver son clitoris tout excité, au milieu de la forêt de poils frisés. Humm, comme c’est bon. D’autant que Christiane apprécie et réagit par des petits cris de plus en plus rapprochés. Je la suce, je la lèche, j’enroule son clitoris autour de ma langue, lorsque, soudain, une véritable fontaine se déclenche, m’inondant complètement le visage .Une fois remise de ses émotions, elle m’entreprend à nouveau le sexe dans la bouche. Je vais jusqu’au fond de sa gorge qu’elle a profonde. Elle décide elle-même du rythme et je tente de résister le plus longtemps possible.En parfaite symétrie, Hélène accélère les pipes de ses deux cavaliers qui ne tardent pas à jouir sur ses lèvres, dans sa bouche. Comme Hélène ne peut avaler toute la jouissance, elle en asperge ses petits seins toujours aussi excités.Christiane, qui n’a rien perdu du spectacle à côté de nous, embrasse fougueusement Hélène en lui caressant les seins avec passion et en lui rendant ma jouissance.Les trois hommes, nous récupérons tout en nous régalant du spectacle de ces deux femmes qui ne se connaissaient pas il y a deux heures.Les autres couples se sont éclipsés. Nul doute que nous avons dû les inspirer et leur donner quelques idées torrides…