Une soirée chez des amis
Nous sommes invités, ma femme et moi, chez des amis de longue date. La soirée va nous révéler que ce sont vraiment des amis intimes.
Proposée le 23/12/2014 par biden Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: 2CPLLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Nous avions été invités chez ses amis, Agnès et Gilles, pour un repas en soirée, un samedi probablement, mais je ne m’en souviens plus vraiment, et je crois que ce détail n’a pas vraiment d’importance. Nous les connaissions depuis longtemps et leur compagnie nous était toujours agréable. Je fantasmais sur elle en silence, jamais je n’en avais parlé à Juliette, mon épouse, peu sûr de sa réaction.Le repas se passe, agréable. D’excellents mets, un peu de vin, un dessert à se pâmer.
Puis nous passons au salon prendre le café. Comme souvent, la discussion tourne autour de la littérature, du théâtre, du cinéma, des derniers films que nous avions vus. Et nous avions tous appréciés en particulier un film, une histoire très sentimentale. Agnès souligne qu’elle avait particulièrement apprécié la scène d’amour, dans laquelle la femme caresse son amant tout en lui racontant ses fantasmes dans lesquels elle partage son homme avec une autre femme.Je revois mentalement le moment de cette scène qui m’avait le plus troublé, la femme caresse les cuisses et les fesses de son amant allongé sur le ventre et soudain sa main disparaît entre les cuisses de l’homme pour aller, sans qu’on le voit à l’écran mais sans qu’il n’y ait aucun doute, s’emparer de sa verge pour la caresser à son tour.Ce qui est encore plus troublant, alors que nous dégustons ce café, c’est qu’Agnès nous décrit la scène comme je le fais maintenant. Elle ne semble pas gênée, nous sentons simplement que l’émotion que la séquence avait suscitée alors remonte en elle maintenant, tout comme elle remonte en moi. Gilles, dans mon champ de vision, écoute avec attention et semble-t-il délectation. Quant à mon épouse, je ne peux en juger, car je n’ose tout simplement pas tourner mon regard vers elle. Tout au plus puis-je deviner une certaine émotion quand j’entends le froissement de sa robe alors qu’elle croise les jambes.
– Cela ressemble tellement à ce que nous vivons, Gilles et moi, continue Agnès, que j’ai eu l’impression qu’on nous mettait en scène.
– Tu parles du côté sentimental ? s’enquit Juliette.
– Pas seulement. Cette façon de faire l’amour, aussi. De le faire partout dans l’appartement, dans toutes les positions, de raconter des histoires érotiques à voix haute pour exciter l’autre. Je nous retrouve, Gilles et moi. Bien que pour les histoires, c’est lui le plus inventif, alors que dans le film c’est elle.
– Tu te rattrapes ce soir, intervient Gilles.
– Vous, cela ne vous arrive pas ?
– De nous raconter nos fantasmes ? Demandais-je.
– Oui, et tout le reste.
– Pour les fantasmes, pas vraiment, dis-je.
– Tu devrais, ajoute Juliette. Et pour le reste, oui certainement.
– Par exemple ?Nous marquons un temps d’hésitation. Agnès en profite pour reprendre la parole.
– Gilles, ce qui est impressionnant, c’est la rapidité avec laquelle je le retrouve nu, alors qu’il était habillé de la tête au pied un instant auparavant. C’est tellement inattendu, cela m’excite beaucoup. Il est rare alors que l’on ne parte pas dans des ébats prolongés.
– Alors tu te déshabilles tout de suite aussi ? demande Juliette.Je lui jette un regard. Cela m’étonne tellement d’elle.
– Pas tout de suite, continue Agnès. Parfois il bande déjà pas mal, mais la plupart du temps pas encore vraiment, il se fout à poil tellement vite. Alors je me mets à genoux devant lui. Et souvent je ne le touche même pas, je me contente de regarder son pénis gonfler, c’est un spectacle que j’adore.
– Ça te fait mouiller, ajoute Gilles.
– C’est sûr. Mais te masturber d’une main ferme ou bien te sucer, c’est aussi très plaisant pour moi.
– Et pour moi donc !Et Agnès continue son récit des pratiques conjugales, les pénétrations, par devant, par derrière, les lieux, la chambre bien sûr, mais toutes les pièces de la maison. Elle aime la fellation, elle aime qu’il jouisse dans sa bouche, elle boit son sperme en se caressant elle-même, elle en jouit.
Gilles l’interrompt alors. Je crois sur le moment que c’est pour la faire taire, mais il raconte à son tour son plaisir de la lécher, de titiller son clitoris du bout de la langue, de l’enfoncer dans son vagin. Un de ses plaisirs ultimes est la position du 69, de se faire sucer pendant que sa langue s’active sur le clitoris d’Agnès, le nez plongé dans son vagin.
– Moi aussi, j’adore fourrer mon nez dans le vagin de Juliette.J’ai pensé à voix haute, c’est sorti tout seul. J’en rougis. Juliette me regarde, l’air étonnée, les sourcils froncés. Mais elle me joue la comédie. Je m’en rends compte après un instant, en voyant qu’elle ne peut réprimer un sourire coquin. Je réalise alors que tous ces récits auraient dû nous mettre très mal à l’aise, mais il n’en est rien.
Rompant le silence qui s’est fait, Agnès demande :
– Alors, et vous ?Après un nouveau regard mutuel, Juliette et moi décidons tacitement de rentrer dans le jeu. Et nous parlons tour à tour pour leur décrire par le menu nos parties de jambes en l’air, les coussins sous les fesses de Juliette pour faciliter la pénétration, la position du missionnaire, la levrette que nous aimons particulièrement, le lotus, les fellations, les cunnilingus, les 69, comment Juliette garde mon sperme dans sa bouche pour venir le déposer dans la mienne, les éjaculations sur son corps, sur son visage.
– Ah, les éjaculations faciales, s’exclame Gilles. C’est un tel cliché, mais c’est tellement excitant. Parfois on se demande pourquoi, mais cela reste très excitant.
– En tout cas, nous avons immortalisé la chose, ajoute Agnès.
– Immortalisé ? demande Juliette, interloquée.
– Nous nous sommes filmés, une fois. À la fin, j’ai sucé Gilles, et lorsqu’il m’a dit qu’il était sur le point de jouir, j’ai retiré le pénis de ma bouche et il m’a éjaculé sur la figure. Nous nous sommes repassé la scène, elle est très excitante. Si vous voulez on peut vous la montrer un jour.Depuis un moment elle se caresse, discrètement, mais cela n’a échappé à aucun de nous trois.
D’un geste vers le bas-ventre de sa femme, Gilles déclare :
– Tu ferais mieux de nous faire un effeuillage en règle, tu en meurs d’envie, et je suis sûr que nos invités adorerons te voir nue.
– Vraiment ?
Comme nous ne déclinons pas la proposition, elle ajoute :
– D’accord, mais vous faites pareil après moi. OK ?
Nous acquiesçons. Agnès commence alors une petite danse. Gilles, délaissant le fauteuil où il était enfoncé, vient s’asseoir à nos côtés sur le sofa. Juliette se serre vers moi pour lui faire place, et me glisse à l’oreille :
– Toi qui fantasmais sur elle…Je devrais être surpris d’avoir été percé à jour par ma femme, mais sur l’instant mon attention est ailleurs.
Agnès nous fait face, séparée de nous trois par la table basse, tourne sur elle-même, dégrafe sa robe qu’elle laisse tomber à ses pieds. Il lui reste une paire de bas, ses chaussures, une culotte et un soutien-gorge. Elle nous tourne le dos pour défaire ce dernier, passe ses mains dans son dos, dandine du derrière pendant tout ce temps. Le soutien-gorge tombe à terre. Elle se retourne vers nous, une main sur chaque sein pour les masquer. Elle se les caresse alors et, ce faisant, les dévoile petit à petit à notre regard. Puis pose ses mains sur ses hanches, exhibant avec fierté sa poitrine. D’un mouvement de la pointe du pied droit elle déchausse son pied gauche, puis l’autre, pose le pied sur la table basse et fait rouler ses bas le long de ses cuisses et de ses jambes. Dans ce mouvement, penchée en avant, ses seins se décollent de son corps et nous admirons le vallon séparant les deux monts de Vénus.Se redressant, elle nous tourne à nouveau le dos, et d’un doigt de chaque main passée de chaque côté de la culotte, fait glisser sa culotte en se dandinant les fesses, qui apparaissent à notre regard. La culotte tombe à ses pieds, elle lève une jambe, puis l’autre et envoie valser le bout de tissu. J’essaie dans ce mouvement d’entrevoir la vulve et la toison, vision que j’ai toujours trouvé très excitante, mais en vain.Agnès reste de dos et commence à se caresser les hanches, elle remonte au sein et descend ensuite le long de son ventre pour atteindre son sexe. Une de ses mains glisse dans l’entrejambe et nous apparaît. Alors elle se baisse en avant pour nous laisser voir… Sa main, qui cache son sexe, un doigt posé occultant son anus. Puis le doigt se retire et nous pouvons admirer la rondelle. Elle se baisse encore, s’appuyant sur un des fauteuils, sa main couvre encore son sexe qui se dérobe toujours à notre vue.Enfin ses doigts s’écartent et nous pouvons contempler la vulve, tandis qu’elle se dandine toujours, se caresse et écarte légèrement les lèvres pour nous faire profiter pleinement du spectacle.
Un moment après elle nous fait enfin face, nue, splendide, attrayante, irrésistible, s’assoit dans un fauteuil une jambe posée sur un accoudoir pour que la vue soit sans entrave.
– À qui le tour, demande-t-elle ?Elle pointe un index vers nous et balaie le sofa de droite à gauche, puis son doigt se fige dans ma direction et me fait signe d’approcher. Je ne peux me dérober.
Je ne me risque pas dans un spectacle où je n’ai aucune chance d’être à la hauteur de ce que je viens de voir. Je choisis de me déshabiller simplement, doucement, chemise, chaussures, pantalon, en lui faisant face. Quand j’abaisse mon slip, ma verge dure et bandée est retenue par le tissu, puis quand elle est libérée de l’étreinte, se détend comme un ressort vers le haut. J’entreprends alors de me masturber doucement pour elle, une main sur les testicules, l’autre dans un mouvement de va-et-vient le long de la hampe. Je décalotte le gland, le caresse, le recouvre encore et ainsi de suite.Agnès se lève et s’avance vers moi. Ma bitte lui touche le bas-ventre au moment où la pointe de ses seins viennent effleurer ma peau. Bien vite ses mains viennent remplacer les miennes, qui en profitent pour venir lui caresser les seins et lui lisser un doigt dans le vagin.
Puis Agnès se colle à moi, ma verge glisse dans son entrejambe et sur sa vulve sans la pénétrer, et elle pose son menton sur mon épaule.
– Tu vois, quand je vous disais… Me glisse-t-elle à l’oreille.
De quoi me parle-t-elle ?
– Regarde…Je me retourne. Gilles est entièrement nu. Effectivement il se déshabille plus vite que son ombre et avec une discrétion sans pareille. Cela dit, l’opération n’est visiblement pas passée inaperçue aux yeux de Juliette, qui lui masturbe le pénis d’une main droite vigoureuse, pendant que, les jambes posées sur le bord du sofa, la jupe relevée, débarrassée de sa culotte (probablement encore un tour de passe-passe de Gilles), elle se fait caresser tandis que leurs langues se mêlent.Agnès est venue se coller à mon dos. Sa main me caresse le membre, la mienne, passée derrière moi, s’enfonce dans son entrejambe. Et nous admirons le spectacle. Les doigts de Gilles entrent et sortent du vagin de Juliette, très doucement. Glissant du canapé, il vient alors se positionner entre les jambes de Juliette et entreprend de la lécher. Sa langue titille le clitoris, entre dans la caverne vaginale, puis il soulève et écarte les fesses jusqu’à pouvoir lui lécher l’anus, tandis que son nez s’enfonce à son tour dans le vagin de mon épouse. Je crois bien qu’elle se met à jouir alors. Se redressant, Gilles s’approche pour la pénétrer, et nous voyons sa bite s’enfoncer lentement et disparaître à notre vue, pour aller et venir dans un mouvement de plus en plus rapide.Je sens alors qu’Agnès serre ma main plus fort dans son entrejambe. Sa main libre est venue prêter main forte et s’active. Mais du coup l’autre accélère son mouvement de va-et-vient sur ma verge. Je crains de ne pouvoir plus rien contrôler, aussi, je retiens son poignet. Je la fais s’asseoir sur le sofa à côté de Juliette et procède comme Gilles. Nous voilà côte à côte à aller et venir dans leur vagin. Tout à coup, je vois que Gilles jouit dans Juliette et cela m’excite tellement que je ne peux m’empêcher d’éjaculer à mon tour.Gilles se retire. Sa pine est encore dure, et toute luisante de stupre. Je me retire de même et constate que mon membre n’a rien envier au sien pour ce qui est de la lubrification.Au moment où Gilles se remet debout, Juliette s’avance et prend sa verge en bouche comme pour la nettoyer. Agnès, envieuse, me fait relever et effectue la même opération. Bientôt nos membres sont nettoyés mais, malgré le zèle de nos compagnes, restent totalement inopérants. Elles s’en amusent en nous secouant, mais rien à faire : il nous faut le repos du guerrier.
Nous nous asseyons alors chacun sur un fauteuil.
Agnès s’allonge sur le sofa, sa tête passe dans le dos de Juliette qui est toujours penchée vers l’avant.
– Viens, dit-elle, viens sur ma bouche.Juliette ne se fait pas prier. Elle se lève, laisse Agnès s’installer confortablement puis vient passer une jambe par-dessus son corps et abaisse lentement sa taille jusqu’à ce qu’elle soit assise sur la bouche d’Agnès. Elle se laisse lécher pendant un moment puis se penche en avant pour rendre la pareille à Agnès. L’étreinte dure plusieurs minutes, pendant lesquelles leurs jambes se tendent, trahissant leur plaisir presque sans fin.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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