En fouillant dans mes tiroirs, je tombe sur un vieux carton d’invitation à un club échangistes
« Le Vénusien ». Paul, le fils du gérant, est un pote à qui j’ai rendu énormément de services, lorsque nous étions à l’armée.
A l’époque, j’étais célibataire, et n’avais donné suite à cette invitation, bien que Paul m’avais dit, qu’il m’invitait en tant que voyeur.
Depuis, j’ai rencontré Marjorie. Une femme superbe, que j’ai épousée, il y a deux ans, et qui va fêter ses trente ans. Au lit, Marjorie n’est pas une féroce, se contentant du minimum. En deux ans, j’ai eu droit, en tout et pour tout, à une fellation, et une sodomie, c’est vous dire.
Pourtant, ils nous arrivent d’aller visiter des sites pornos, notamment sur ce qui concernent l’échangisme.
Malgré le côté coincé de Marjorie, je propose de lui offrir une de ces soirées pour son anniversaire. Réticente au début, elle fini par accepter. Nous décidons donc, de tenter l’expérience. En espérant que Paul est toujours dans le circuit, et que son invitation, est toujours valable.
En accord avec Marjorie, je le contacte.
Il est fou de joie. Il me dit que, non seulement, il est toujours dans le coup, mais quand plus, il a ouvert un autre club sur la côte d’Azur, beaucoup plus près de chez nous.
Il nous invite chez lui à passer quelques jours, et que, bien évidemment, les portes de son club sont grandes ouvertes, pour mon épouse et moi.
Après mures réflexions, nous décidons de faire nos valises.Il est quinze heures, quand nous atterrissons à l’aéroport de Nice. Paul nous y attend. Il tombe littéralement dans mes bras, puis serre ma femme contre lui.-Vous êtes ravissantes, madame. J’espère que vous prenez bien soins de mon ami.
-Merci, répond Marjorie. Hervé est le centre de ma vie, je l’aime.
-Prêt à vous amuser, dit Paul, vous êtes mes invités. Entrées au club illimité.
-Ben, disons que c’est l’anniversaire de mon épouse, et qu’en aucun cas, je ne veux participer. Je me contenterais donc de faire le voyeur.
-A bon, surprenant, mais c’est un beau cadeau. Tu viendras en cabine avecmoi.Il est vingt trois heures trente, quand nous pénétrons dans le club. Les femmes rivalisent de beauté, même si la plus belle reste Marjorie. Du reste, tous les regards mâles, sont rivés sur elle. On s’installe au bar pour prendre un verre. Nous nous accordons sur les derniers détails. Si elle disparaît de mon champ de vision, je veux qu’elle me raconte tout, dans les moindres détails. Je l’encourage aussi à profiter de cette soirée.
Des clients se dirigent vers la grande salle, ou on lieu les rencontres.
Un homme d’un certain âge, je dirai la cinquantaine, prend Marjorie par la taille, puis passe une main sous la courte jupe. J’imagine un doigt glisser entre les fesses, peut être pénétrer la chatte. Sur mes conseils, Marjorie ne porte pas de culotte, car beaucoup de femmes, après une nuit torride, ne les retrouvent plus.Je me précipite dans le local de surveillance ou, de là, on peut tout voir, et grâce au micro disposaient un peu partout, tout entendre. Deux agents sont présents. Par sécurité, tout est filmé, au cas où de la drogue circulerait, ou qu’un partenaire ne respecterait pas les conditions.
A peine installé, que Paul se pointe avec une bouteille de champagne.
De là ou je suis, j’ai une vue imprenable sur la salle. Mon épouse n’est pas loin de moi, mais grâce à la vitre sans tain, elle ne peut me voir.
Je regarde ma ravissante épouse, s’asseoir. Très rapidement, l’inconnu la rejoint, s’assied à côté d’elle. L’inconnu commende deux cocktail. Lentement, la main de l’homme se faufile sous la jupe. Mon épouse ferme les yeux, tout en écartant les jambes. Je crois que ça y est, ses doigts sont en contact avec la chatte de Marjorie. J’en ai la confirmation, quand je la vois se trémousser sur le tabouret, les yeux mi clos, la bouche légèrement ouvert. Soudain, sa tête tombe sur l’épaule du quinquagénaire. Sur, elle jouit.-Vous avez aimé, madame.
-Oh oui, monsieur
-Dan, on m’appelle Dan.
-Dan…moi c’est Marjorie.Le son est d’une qualité exceptionnelle. L’homme prend Marjorie par la taille, l’entraîne dans un salon privé. Un couple est déjà installé.
ils se déshabillent, et s’allonge sur un immense et épais matelas rouge. Tendrement, il lui prend les lèvres. Petit à petit, mon épouse se détend. Elle ne le repousse pas, quand une main s’invite entre ses cuisses. Je vois ses doigts ouvrir la fente, pénétrer la chatte. Marjorie ondule sur ces doigts qui fouillent son intimité. L’inconnu lui prend la main, et la guide sur son sexe. Marjorie le saisit, le décalotte et commence à le branler. A côté d’eux, la femme, d’un certain âge, allongée sur le dos, suce un homme, pendant que celui-ci, gratte l’intérieur de sa chatte. Lentement, la main de l’inconnue glisse entre les cuisses de ma femme, chasse la main de l’homme. Ce dernier à compris. Avec deux doigts, il décalotte le clitoris de mon épouse, pour que la voisine puisse le doigter. Puis, il s’agenouille, et enfonce sa bite dans la bouche de Marjorie. Elle commence à le sucer. De voir mon épouse se tortiller, je suppose que le majeur de la femme, doit faire des ravages. Aussi, les gémissements de plaisir s’intensifient, quand elle atteint l’orgasme. Les doigts se retirent, l’homme peut reprendre sa place. Il se couche sur mon épouse, la prend en position du missionnaire. Comme je suis placé, je vois la queue aller et venir, dans sa chatte. Ma femme se pend à son cou, noue ses jambes dans son dos. Elle ouvre grand la bouche dans un cri de plaisir. Décidément, mon épouse à envie de baiser cette nuit.
Après un sulfureux baiser, l’inconnu décide de passer à autre chose.
Marjorie, reste allongée, les bras en croix. La femme d’à côté, libre elle aussi, se tourne vers Marjorie. Elle lui prend une jambe, qu’elle passe en travers de son corps. La chatte de mon épouse est toute offerte. L’inconnue caresse les lèvres intimes, puis excite le clitoris.-C’est bon ça, lui souffle-t-elle.
-Oh oui, balbutie Marjorie. C’est la première fois que je fais ça avec une femme.
-Et alors, t’aimes?
-Énormément, répond ma femme…je vais jouir.Je sens qu’elle prend du plaisir, à tel point, qu’elle atteint la jouissance, sous le sourire coquin, de sa partenaire.
Mine de rien, Marjorie en est à son troisième orgasme, en tout juste trois quart d’heure.
Les femmes se donnent un torride baiser, parlent entre elles. Elles sont allongées côte à côte, sur le ventre. C’est à ce moment, que deux mecs arrivent, se mettent à genoux au dessus d’elles. Celui qui est sur ma femme, a l’air très jeune, le crane rasé. Il l’embrasse dans le cou, descend au le creux du dos. Marjorie frémit sous cette simple caresse buccale. Le nouveau arrivé murmure à son oreille. Mon épouse acquiesce d’un signe de tête.
Le couple se lève, se dirige vers un coin plus discret de la salle. Au passage, Marjorie récupère ses vêtements.
Le technicien à beau changer l’angle de la caméra, mais rien. Pas d’image, pas de son, pas de Marjorie.
Mais bon, je ne m’inquiète pas outre mesure. D’autant qu’elle m’a promis de tout me raconter. Sans me faire remarquer, je fais le tour de la salle. Mais les coins sont beaucoup trop sombre.Vers quatre heures du matin, mes recherches étant vaines, je prends un dernier verre avec Paul et ses potes. Ils tapent sur mon épaule, me disent de na pas m’inquiéter.
Je décide de regagner ma chambre.
La porte s’ouvre juste devant moi. Je me trouve nez à nez, avec un inconnu, de type maghrébin, d’environ vingt cinq ans, crane rasé, assez bien taillé.-Bonjour, me dit-il, je suppose que vous êtes le petit copain de Marjorie.
-Bonjour. Je suis Henry, son mari.
-Excusez moi. Enchanté, moi c’est Karim. Vôtre épouse est ravissante…et très bonne au lit.
-J’en suis fier, réponds-je surpris. Ou est-elle.
-A la salle de bains, je crois qu’elle a des tas de choses à vous raconter. Je me précipite à la salle se bain. Marjorie est en train de sa maquiller.-Mais ou étais-tu passé.
-Trop de monde autour de nous, dit-elle. Quand Karim m’a proposé d’aller ailleurs, j’ai de suite pensé à nôtre chambre…heu…et puis, j’avais envie de faire des choses que je ne voulais pas que tu vois.
-A bon, et quoi que je ne connaisse déjà. Puis, t’as promis de tout me raconter.
-Viens, allons nous asseoir sur le lit, me dit-elle. J’espère que tu ne vas m’en vouloir.Je sais que je vais avoir mal, mais je veux tout savoir. Dans les moindres détails.-Je t’écoute.
-Ben, il m’a portée jusqu’au lit, en m’embrassant tendrement. J’ai trouvé ça très romantique. On s’est allongé, et là, il a commencé à caresser mes seins, a sucé les bouts. Ils sont devenus énormes. Il a glissé une main entre mes cuisses, à gratté ma petite chatte, doigté mon clitoris. Puis, tout en m’embrassant, il est descendu le long de mon corps. J’en avais des frissons.
Quand il est arrivé à la hauteur de ma chatte, il l’a pénétrée de sa langue. J‘ai senti le désir monter en moi. Il s’est littéralement décuplé quand il a décalotté mon petit bouton, quand il l’a sucé. J’avais beau m’accrochai à son énorme queue, je n’ai pu me retenir. J’ai eu un orgasme terrible.
-Dis-moi, il est bien monté?
-La normale…peut être un peu mieux monté que toi. Toujours est-il, que j’ai eu mal quand il m’a enculée.
-Quoi…il t’a enculée…
-C’était tellement bon d’avoir sa grosse bite dans le cul. Je le suppliais de me défoncer. Il me disait que j’étais bonne. Je lui répondais que c’était sa queue qui me rendait bonne. Il m’a demandé pourquoi tu acceptais que je baise avec un autre homme. Je lui ai répondu que c’était mon cadeau d’anniversaire.
-Ouah, quel cadeau, m’a-t-il dit.
-Putain…quel moment tu as du passé, dis-je Combien de fois t’a-t-il fait jouir.
-Oh la…je n’ai pas compté, mais bien sept, huit fois.
-Ben dis dont, quel baiseur.
-Un phénomène, poursuivit mon épouse.
-Et pourquoi tu te maquilles?
-Ben, j’avais l’intention de te rejoindre au club. D’autant qu’il ma dit qu’il y retourner. J’ai pensé que peut être…
-Je serais d’accord pour t’y accompagner.Je décide de satisfaire les besoins de ma ravissante épouse jusqu’au bout.Je découvre les lieux de plus près cette fois. Nous entrons dans un salon , déjà occupé par un couple, dont Karim, le partenaire d’un soir de mon épouse. Probablement avec une copine.
La femme est entrain de le sucer avec gourmandise, tandis que lui, lui caresse la chatte.
C’est une jolie brune, et lui, comme je le pensais, tout en muscle. -On a de la visite, dit la jeune femme,
-J’ai vu Laura, répond Karim. Jolie morceau.
-Ouais, le mec n’est pas mal non plus.Nous avançons à genoux sur le lit. Je me colle au dos de Marjorie, prend ses seins à pleine main, caresse les bouts. Marjorie lance un bras en arrière, m’attire à elle pour me voler un baiser. Soudain, Karim tend la main, jusqu’entre les jambes de ma femme. Un doigt caresse la fente, puis pénètre la chatte. Marjorie se cambre sur ce majeur qui la branle, gémit de plaisir. La partenaire de Karim libère enfin la bite qu’elle avait en bouche. Mon épouse me regarde en souriant. Elle n’a pas menti concernant la taille du sexe de Karim. Il est beaucoup mieux monté que moi. Vingt centimètres bien sonné, pour cinq bons centimètres d’épaisseur. Une queue énorme. Je comprends que mon épouse ait eu mal quand il l’a sodomisée.
La copine de Karim me sourit, me prend la bite, qu’elle branle. Puis elle me force à m’allonger sur le dos, et s’empale sur ma queue.
Mais le spectacle est à côté de moi, Marjorie est en furie. C’est elle qui fait tout, qui se branle sur les doigts de Karim. -Oh la, dit-il, mais ta chatte est toute mouillée.
-C’est la faute à tes doigts si elle est mouillé… Enfoiré…je jouis…oui…oui…Elle s’écroule sur le torse du jeune maghrébin dans un râle de plaisir, lui suce les mamelons.
Puis, comme plus tôt dans la nuit, il lui murmure à l’oreille. Marjorie me regarde en souriant.
Je lis sur ses lèvres un «d’accord» coquin.
Karim la soulève, et l’emmène derrière un paravent, ou se trouve un second lit.
De toutes évidences, elle veut jouer à des jeux que je ne dois pas voir. J’entends tout à travers la cloison de velours. Des comparaisons qui font mal. Des gémissements de plaisir.-Ahan…ahan…ah ou…sale arabe, vous aimez enculer les françaises…hein, salaud.
-Il me semble que les françaises aiment bien aussi… sentir nos grosse queues dans leur petit trou. Je me trompe. Avoue que tu aimes.
-Depuis cette nuit, j’adore…avoir une bonne bite dans le cul, c’est bon…
-Et encore, elle n’est pas entrée en entier. Tu veux que je te la mette plus profond?
-Oh oui…je veux sentir tes grosses couilles contre mes fesses…oh putain…je jouis encore, vas-y, défonce moi…oui…ahan…ahan…
-Petite salope, t’aimes la queue…et ton mari, ça ne le dérange pas que tu te fasses enfiler par un arabe?
-Pas du tout, répond me femme essoufflée, il n’est pas raciste. Peut être jaloux que tu sois mieux monté que lui.Je n’en crois pas mes oreilles. C’est vrai, je ne suis pas raciste, mais certaines allusions me font mal. Je quitte ma partenaire, et me dirige vers les bains. Je suis aussitôt rejoins par Karim. Je suis un peu gêné de me doucher devant lui, nos deux queues pratiquement face à face.-Ça va, me demande-il.
-Ça va. Ou est Marjorie,
-Ma copine l’a emmenée à la douche. Elle a dit qu’elle voulez s’amuser un peu avec elle.Au point ou j’en suis, je m’attends à tout. Puis les femmes nous rejoignent.-Vous venez souvent dans ce club, demande Karim. C’est le meilleur de la région. Tu as vu, l’accueil, les douches, le bar…tout est parfait.
-C’est la première fois qu’on vient dans cet endroit. C’est un cadeau d’anniversaire pour mon épouse.
-Elle a beaucoup de chance d’avoir un mari comme toi. Il va falloir attendre un an alors.
-Non, réponds-je, je ne fais jamais deux fois le même cadeau. Marjorie me foudroie du regard, tandis que Karim s’approche de moi. Il me chuchote à l’oreille.-Dommage, parce que je me suis bien régalé avec ta femme. Elle aussi je pense. Faut dire qu’elle est bonne au lit…elle aime la queue. On peut tout faire avec elle. La baiser, l’enculer, elle taille des pipes…hum… En plus, elle avale tout.Nous prenons congé, et quittons le club. Sur le trajet, pas un mot. Mais je décèle des petites larmes couler sur sa joue. Je glisse une main entre ses cuisses, aussitôt repousser.
Je la rassure en lui disant qu’il y avait d’autres choses à fêter. Qu’on pourrait même inviter Karim et sa copine un week-end.
D’un coup, les jambes s’écartent.