Ce samedi de Juin s’annonce comme un grand jour, pour Margot, jolie brune de quarante cinq ans. En effet, c’est aujourd’hui qu’elle marie sa fille Laura, vingt deux ans. C’est au bras des son père Jean, qu’elle rentre Ă la mairie. Quant Ă Margot, elle est pendu au bras de Renaud, le beau-père de sa fille.
Renaud est un bel homme de cinquante ans, très sĂ©duisant, qui a perdu son Ă©pouse il y a un an, dans un accident de voiture. Depuis, il n’a connu aucune relation.
Depuis que les parents ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s, Margot et Renaud ont très vite sympathisĂ©. Du reste, ce sont eux qui ont prĂ©parĂ© la salle en dĂ©co, et en mise en place des tables. Ce jour lĂ , Renaud ne tarissait pas d’Ă©loge, sur la beautĂ© de Margot, allant mĂŞme jusqu’Ă lui avouer, que depuis le dĂ©cès de son Ă©pouse, il n’avait eu aucun rapport avec d’autres femmes. Margot le console en lui disant, qu’il finirait bien, par rencontrer quelqu’un. Bref…On sent Renaud fier d’avoir Margot pendue Ă son bras. Faut dire que, sans ĂŞtre extravagante, sa tenue est assez tendance.
Après le passage en mairie et Ă l’Ă©glise, une soixantaine de personnes se retrouvent dans une salle, autour du traditionnel apĂ©ro. Pas mal d’invitĂ©s, pris d’un besoin tressant, prennent d’assaut les toilettes.
La dernière, Margot, se retrouve par un pur hasard, dans le hall des toilettes, en compagnie de Renaud.
Celui-ci la vante de sa beautĂ©, et sans savoir pourquoi, il la colle contre le mur. Margot, surprise, essaie de le repousser, mais n’a pas la force d’un homme. Elle pousse un «oh» quand une main glisse sous sa robe. Deux doigts Ă©cartent la petite culotte, est pĂ©nètrent la chatte. Margot fixe du regard le beau-père de sa fille. Dans un mauvais rĂ©flexe, elle lui prend la nuque, puis les lèvres. C’est maintenant au tour de Renaud, d’ĂŞtre surpris.
-Restons en lĂ , dit-elle, ma chatte va ĂŞtre toute mouillĂ©e. Et puis, ils vont se demander ou on est passĂ©. -DĂ©solĂ© Margot, je ne sais pas ce qu’il m’a pris.Après avoir essuyĂ© sa chatte, Margot rejoint les invitĂ©s. Elle voit Jean, son Ă©poux, en grande discussion avec Renaud. Elle les rejoint, et conseille son mari de lever le pied, car elle le trouve dĂ©jĂ bien Ă©mĂ©chĂ©.
Après un somptueux repas, et comme le veut la tradition, les jeunes mariĂ©s ouvrent le bal. Jean n’existe plus. Renaud en profite donc, pour inviter Margot.
Et les voilà joue contre joue, emporté par un slow langoureux.
Arrive le moment de la fameuse jarretière. L’urne se remplie Ă une vitesse colossale. C’est un tĂ©moin qui se charge de la monter, ou la descendre, au bon vouloir du dernier enchĂ©risseur.
Renaud se penche sur Margot, lui murmure Ă l’oreille.-Imaginez ma main parcourir vos cuisses, jusqu’Ă vĂ´tre petite chatte, mes doigts caresser vĂ´tre petit bouton.
-ArrĂŞtez, s’il vois plaĂ®t, vous l’avez dĂ©jĂ faite mouillĂ© tout Ă l’heure. Et puis mon mari risque de vous entendre.
-Dans l’Ă©tat qu’il est, je me doute ! Il est prĂŞt Ă succomber.En effet, Jean a pris pĂŞche. Par deux fois, il a failli tomber.
Laura s’approche de sa mère, et lui conseille de le ramener Ă la maison. Mais voila, Margot n’a pas de permis de conduire.
C’est lĂ que Renaud, parfaitement lucide, se propose de le ramener. VoilĂ Jean chargĂ© Ă l’arrière de la voiture, direction, la maison. ArrivĂ© Ă la villa, Ils montent Jean Ă la chambre, lui Ă´tent ses vĂŞtements, et le mettent au lit. Renaud remarque au passage, la queue toute rabougrie du beau-père de son fils.
Margot regarde Renaud, une main devant la bouche, pour ne pas Ă©clater de rire. Renaud regarde Margot en souriant, comme pour lui dire qu’il a autre chose que cette queue Ă lui proposer.
Margot demande Ă Renaud, de rejoindre la salle de mariage, qu’elle va rester avec son mari. Mais Renaud insiste pour lui tenir compagnie. Margot finit par accepter.
Avant de le rejoindre au salon, elle fait un tour par la salle de bains, pour laver sa chatte, et changer de culotte. Elle se ravise, et finalement, n’en met pas.
Dix minutes plus tard, ils se retrouvent autour d’une bouteille de champagne. Il se remĂ©more la soirĂ©e, regrette d’avoir lâchĂ© les jeunes mariĂ©s.
Les verres dĂ©filant, Margot commence Ă perdre pied. En plus, elle trouve Renaud, de plus en plus sĂ©duisant. C’est mĂŞme elle qui relance le dĂ©bat.-Je vous ai trouvĂ© incorrect dans les toilettes, limite goujat.
-Pourtant, vôtre chatte était bien mouillée, constate Renaud.
-Elle sommeillait, c’est quand vous l’avez rĂ©veillĂ©e, qu’elle s’est mise Ă mouillĂ©e…
-Ne voulez-vous pas qu’on la rĂ©veille d’avantage. Je peux le faire vous savez…
-Nous venons d’unir nos enfants pour le meilleur et pour le pire, ne me poussez pas Ă tromper mon mari.
-On mettra ça sur le compte du pire, ironise Renaud.Margot se sent dĂ©faillir, se sent attirĂ©e physiquement, par le beau-père de sa fille. Sans un mot, elle quitte le fauteuil, le rejoint sur le canapĂ©, et se colle contre lui.-Je vous sens bien câline, tout d’un coup. -D’ici la fin de la nuit, on va se tutoyer, alors autant commencer tout de suite. -Comme tu veux. Et tu comptes aller jusqu’oĂą. -Je pense Ă ce que tu m’as dit Ă table, au sujet de la jarretière. -Oui… et après… -Je m’imagine debout sur la table, sentir tes mains monter le long de mes jambes. Tu passerais outre le ruban, pour atteindre ma fine toison. Tu caresserais ma chatte, y mettrais un doigt. Sagement, j’Ă©carterais mes jambes…ouah, j’en mouille.
Renaud se lève, prend la main de Margot, lui demande de monter sur la table basse du salon, tombe Ă genoux. Lentement, une main glisse sur les longues jambes. Bien Ă©videmment, la jarretière n’y est pas, mais les lèvres intimes sont bien prĂ©sente. Un doigt lisse la fente, s’invite dans l’antre chaud de la chatte. Les cuisses s’ouvrent pour faciliter l’accès.
-C’est ça que tu aurais voulu si tu avais Ă©tĂ© Ă la place de ta fille. -Tais-toi salaud, caresses moi…ma chatte est toute mouillĂ©e… branles la…et mon clito, grattes le aussi…hum. -Je te trouve bien chaude…et si on allait au lit. -Non…fais moi jouir sur place…en me branlant…hum…oui…ça vient…je jouis…
Une fois au lit, Margot et Renaud, enlacés, se donnent de longs baisers. Les mains partent à la découverte des parties intimes. La queue en érection, est décalottée par les mains expertes de Margot, tandis que les doigts de Renaud joue avec la chatte, excite le petit bouton. Margot se met à genoux.
-Laisses toi faire, dit-elle, c’est Ă mon tour de te faire jouir. -Vas-y, fais toi plaisir, et donne m’en…
Margot prend la queue de Renaud en bouche. On peut voir la salive couler sur la colonne de chair. La langue lèche les bourses remplies de sève. Justement, Renaud sent celle-ci monter. Il prend les cheveux de Margot, pour qu’elle se retire. Trop tard, la semence Ă©paisse dĂ©ferle dans la bouche de la belle femme. Elle garde la queue en bouche de longues secondes, afin de pouvoir tout avaler, pour ne rien perdre du nectar de son partenaire. Et depuis que Renaud n’a pas baisĂ©, du nectar, il y en a Ă revendre. MalgrĂ© les lèvres souillĂ©e de sperme, elle donne un torride baiser Ă son amant d’une nuit. Il y a plus que le baiser, qui est torride. AllongĂ© sur le dos, Renaud attend que Margot s’empale sur sa queue en Ă©rection. Il n’attend pas longtemps. Dans un long soupir, la nouvelle belle-mère fait coulisser sa chatte, sur le calibre de son partenaire.
-Vas-y, lui dit-il, Ă toi de jouer…baises moi… -Tu vas pas ĂŞtre déçu, souffle Margot.
Les hanches ondulent sur le ventre de Renaud, les coup de reins sont de plus en plus rapide, le souffle s’accĂ©lère. Et tandis que Renaud roule le bout des seins, Margot jette une main en arrière, saisit les bourses. C’est dans un cri de plaisir qu’elle jouit, un orgasme puissant.
Les corps s’enlacent Ă nouveau, les langues se dĂ©fient, dans d’interminables baisers. Renaud monte sur le dos de Margot, comme un lion monte sur sa lionne. Celle-ci a compris quand il lui mord le cou. Elle cambre sa croupe pour se faire prendre en levrette. Elle sent la queue faire des va et vient entre les lèvres intimes, taquiner le clitoris, pour enfin pĂ©nĂ©trer le cratère en Ă©ruption. Margot pousse un « hum » de plaisir. La queue entreprend sa longue chevauchĂ©e. Elle sort pour exciter le petit trou. Longtemps hĂ©sitante, Margot, qui donne le feu vert.
-Vas-y, dit-elle, encules moi…dĂ©flores moi… -Mais…comment ça…on ne t’a jamais sodomisĂ©e. -Non…ce n’est pas le plat prĂ©fĂ©rĂ© de mon mari…mais vas-y toi, sois le premier…ah, doucement…
Renaud prend tout son temps pour ne pas brusquer Margot. La queue pĂ©nètre lentement le petit orifice. Petit Ă petit, le corps de Margot accepte l’intrus qui fouille ses entrailles.
-Ouah, oh putain… c’est bon. J’ai jamais imaginĂ© une telle sensation, mĂŞme dans mes rĂŞves les plus fou. Tu as fait sauter le verrou, salaud. -DĂ©solĂ©, s’excuse Renaud…j’aurai pas du. -T’excuses pas, c’est moi qui l’ai voulu. Mon mari ne m’a jamais pris au petit, tant pis pour lui. Une grosse queue l’a fait Ă sa place.
Les deux amants ont passĂ© une nuit merveilleuse, poussant l’un et l’autre, dans ses derniers retranchements. Jusqu’Ă faire oublier Ă Margot, que son mari, dormait dans la chambre Ă cĂ´tĂ©.
-T’es bonne au lit, dit Renaud. -Mon mari me le dit aussi. Malheureusement, c’est lui qui n’assure pas. Un petit coup de queue, il se tourne, et s’endort. Cette nuit, c’est toi qui m’a rendue bonne. -C’est vrai que je t’ai senti un brin salope. Tu pensais Ă quoi, pendant que je te baisais. -Je pensais Ă ce que la queue de ton fils Ă©tait en train de faire Ă la petite chatte de ma fille. -Et tu crois qu’il s’est occupĂ© que de sa chatte. -Oh que non…j’espère qu’il a fait comme son père, qu’il s’est aussi occupĂ© de son petit trou, et de sa bouche. Tu crois qu’elle a tout avalĂ©… -Très certainement. Si elle taille des pipes comme sa mère, j’imagine que mon fils puisse rĂ©sister. Il a du se rĂ©galer.
Après une bonne douche, ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre. Ils sont rĂ©veillĂ©s vers huit heures du matin, par des bruits provenant de la cuisine. Quelques secondes plus tard, Jean apparaĂ®t dans l’encadrement de la porte.
-DĂ©solĂ©, dit Margot, ce n’est pas ce que tu crois. Il Ă©tait tard, j’ai proposĂ© Ă Renaud de dormir ici. -A bon, et dans le mĂŞme lit…et tout nu. -Mais chĂ©ri…ne va pas t’imaginer n’importe quoi… -Mais je n’imagine rien ma chĂ©rie…bougeait pas, je vais vous apporter le petit dĂ©jeuner au lit.
Surpris par l’attitude complaisante de Jean, Margot et Renaud, projettent de remettre ça, dans la semaine. Ils se donnent un torride baiser, juste quand Jean apporte le petit dĂ©jeuner.
Il se compose d’une balle tirĂ©e Ă bout portant, dans la tĂŞte de chacun des amants maudits.
