Berthe, ma vieille cochonne,Cette histoire est toute fraîche, car elle date de cette nuit, et sans la douche que j’ai prise tout à l’heure, mes doigts sentiraient encore les effluves du cul de Berthe. Faut dire que Berthe est une femme de 70 ans, mère d’un pote à moi, et que le hasard -encore lui ?- nous a mis l’un en face de l’autre hier au soir.D’abord, je dois préciser que j’ai 50 ans, très cochon et que j’adore les femmes mûres, les autres aussi d’ailleurs, mais » les vieilles » sont très souvent seules dans la vie, ne connaissent pas ou plus d’aventures physiques, ce qui est très pratique, en cette époque de sida, pour moi qui ne saurais baiser avec une capote. Très souvent, donc, elles sont seules, divorcées ou veuves, ce qui ne veut pas dire qu’elles n’ont plus de fantasmes. Au contraire, je sais par expérience qu’elles se branlent comme des folles, dans la solitude de leur chambre ou de leur salon. Tout leur est bon à s’enfiler, mais la plupart du temps ce sont des objets anodins, ménagers, car elles ne sauraient aller dans un sex-shop s’acheter un bon gode ou des boules de geisha. Donc souvent, une bougie bien effilée, un légume -carotte pour les moins gourmandes, aubergine ou concombre pour les plus lubriques- ou une bouteille de shampooing – vous n’aviez pas encore remarqué combien certaines bouteilles ont un embout d’allure phallique ?, ce n’est pas un hasard, croyez-moi, et les stylistes le savent bien…- s’enfoncent avec délices dans des chattes mouillées et brûlantes de la discrétion et la solitudes de femmes en rut.J’ai connu un grand nombre d’aventures amoureuses, mais croyez-moi, c’est avec des vieilles que j’ai connu les plus profonds plaisirs.J’en aurais des histoires à raconter, soit dit sans vantardise.Revenons à Berthe : nous avons fêté ses 70 ans il y a quelques mois, et l’un de ses fils est un pote, qui m’avait invité à cette petite fête de famille. Dans la soirée nous avions un peu dansé, et le vin aidant, je la sentais se serrer légèrement contre moi. Il faut dire que Berthe est veuve, qu’elle vit seule dans un petit village ou tout se sait. Elle est donc extrêmement discrète. Malgré son âge, elle est encore très désirable – pour moi tout au moins – petite, environ 160 cm, taille fine, très petits seins, pas très belle de visage, mais encore très baisable. Tout en dansant, donc, je lui faisait sentir que ma queue prenait de l’arrogance dans mon pantalon, et elle se retirait un peu en arrière, de peur que les autres danseurs devinent ce qui se préparait entre nous. La soirée prit fin et je rentrai chez moi avec ma femme. Le lendemain matin, je lui téléphonai.Je la sentis gênée au bout du fil, mais j’allai droit au but, lui disant qu’en rentrant, j’ai baisé ma femme en pensant que c’était elle que j’enfilais et lui racontai tout par le menu. Je la sentais de plus en plus gênée, mais aussi, je dois le dire intéressée par mon récit. Je lui dis ma queue bien dure, la chatte brûlante qui m’accueillait, les seins petits et durs que je tétais, puis, sentant son souffle s’accélérer dans l’écouteur, je lui demandai si cela l’excitait de m’entendre. Dans un souffle, elle me dit que oui. Je lui demandai alors si elle était sensible des seins.— Oui, mais vous êtes fou de me dire tout cela, Ludo…— Comment es-tu habillée, Berthe ?— Juste un petit pull et un pantalon d’intérieur.— Et dessous ?Elle chuchota presque :— Un soutien-gorge et une petite culotte de coton— Passe ta main sous ton pull. Tu sens tes seins durcir— Oui, à travers le tissu de mon soutien-gorge.— Prends les délicatement dans tes doigts. Tu aimes ?— Je la sentais vraiment oppressée. Son souffle s’accélérait encore.— Dis-moi ce que tu fais maintenant.— Non, je n’ose pas, j’ai honte de moi— Alors je vais poser des questions. Tu as dégagé un de tes seins du balconnet ?— Oui…— Et l’autre main, glisse la dans ton pantalon. Caresse toi à travers le tissus. Tu le fais ?— Oui.— Comment es-tu, ou es-tu ?— Dans mon salon, dans mon grand fauteuil.— Tu as baissé ton pantalon ? décris-toi. Dis-moi comment tu es en ce moment— J’ai passé mes jambes sur les accoudoirs, mon pantalon est baissé et je passe mes doigts sur ma fente, à travers le slip. Je mouille terriblement. Tu ne devrais pas m’exciter ainsi.— Tu sais, moi aussi, je me branle pour toi, Berthe. J’ai baissé mon pantalon et sorti ma grosse queue bien dure de mon slip. Je la branle doucement tout en longueur en imaginant que c’est ta main que me décalotte.— Tu es fou, ce que tu nous fais faire, j’ai honte.— Pourtant, c’est bon hein ? Tu le fais souventEncore dans un souffle, j’entends :— Oui— Quelle cochonne, tu aimes donc tant que cela te branler, hein ?— Oui, presque tous les soirs, dans mon lit, ou alors dans mon bain. J’aime tellement cela, et pourtant il y a si longtemps que je n’ai plus senti une bonne queue en moi…— À quoi tu penses, dans ces cas là ? tu as des livres, des photos cochonnes?Elle m’avoue qu’elle n’en a pas, et qu’elle voudrait bien en acheter lorsqu’elle va faire ses courses en ville, mais qu’elle n’ose pas,— Bon ! Demain je t’apporterai quelque chose.— Non non, si l’on te voyait entrer chez moi..— Ne crains rien je ne serai pas longEt le lendemain, vers 10 heures du mat, je sonne à sa porte. Elle vient m’ouvrir, rougissante :Mais je rentre et ferme la porte derrière moi. Je sors un bouquin de photos pornos de ma veste et lui tend. Ses yeux brillent en le prenant.— Maintenant, pars, si l’on t’a vu, cela va jaser au village.Je m’adosse à la porte et lui dit :— Regarde moi d’abord me branler pour toi.Et je sors ma queue déjà très dure de ma braguette. Elle est à un mètre de moi.Sans l’écouter, je me branle en la fixant droit dans les yeux.— Regarde bien, je vais juter pour toi !Elle fixe fiévreusement ma bitte que je lui montre bien et j’éjacule très vite. Du sperme gicle sur le sol et aussi sur sa blouse.— Tiens. Ma cochonne adorée, c’est pour toi…Elle est toute rouge et je l’empoigne et lui roule un gros patin. Elle se laisse faire, inerte. Je la pelote sous son pull. Je sens ses petits bouts de seins tout durs, puis je sors.Dans les jours qui ont suivis, je l’ai appelée plusieurs fois et à chaque fois, elle me racontait avec beaucoup de détails de plus en plus salaces comment elle s’était branlée en regardant mon livre. Elle était encore plus cochonne que je croyais. Elle adorait voir des bites et des chattes, elle aimait aussi voir des gouines entre elles. Pourtant, jamais elle ne voulait que je vienne la voir, tant elle craignait les qu’en dira-t-on.Et hier soir, la voilà qui vient avec son fils et sa belle fille à une petite fête de village où il y avait bal. Après quelques heures, son fils était un peu saoul – je dois avouer que je ne m’étais pas gêné de lui verser à boire, car j’avais mon idée.Vers les une heure du mat, je lui proposai donc de la ramener chez elle. Son fils lui dit oui, va plutôt avec lui, car les flics rôdent et je n’ai guère envie de souffler dans le ballon et lui n’a presque rien bu. Je rentrerai à pied.Elle leur fit donc la bise et me suivit jusqu’à ma voiture.Je partis, mais après quelques centaines de mètres, je partis dans une petite zone industrielle dont je savais qu’à cette heure je ne serais pas dérangé.— Où vas-tu ? me dit-elle un peu inquiète ?— Berthe, je vais aller à un endroit où je pourrai enfin te peloter, te branler, te faire jouir et te baiser.Je m’arrête donc dans un coin très discret, mais proche d’un réverbère tout de même, car je voulais la voir à poil.Nous sommes allés sur la banquette arrière et immédiatement j’abaissai mon futal, pour qu’elle puisse bien voir ma queue bandée, qu’elle prit aussitôt dans sa main et commença à me branler— Tu es fou, me disait-elle mais ses paroles démentaient ses pensées.J’abaissai aussi son pantalon et son slip. Elle écarta bien ses jambes et me présenta sa fourche. Je m’empressai d’y mettre la main et j’écartai ses lèvres d’amour. Elle était toute trempée. Elle mouillait comme une dingue et commença à râler. Fougueusement je la branlais, faisant aller et venir mes doigts de son clito tout dur à son vagin que je pénétrais de mes deux doigts, allant et venant longuement. Brutalement, elle jouit en criant. Heureusement que le quartier était très désert…Elle vint alors sur moi et s’empala sur toute la longueur de mon pieu jusqu’aux couilles.— Oui baise moi, enfile moi, grosse cochonne que je suis… criait-elleElle passa sa main derrière ses fesses et pelotait mes couilles sans vergogne.— Vas-y, gicle, jute, inonde-moi…comme tu es gros, que tu es raide, comme tu me remplis bien la chatte..C’en fut trop, je laissai tout partir et lui envoyai de longues giclées de foutre. Mes cuisses étaient trempées de notre plaisir commun.Mais elle en voulait encore, et j’étais aussi tellement excité que je bandais encore comme une trique.Elle se retourna, m’offrant sons postérieur. Elle voulait la levrette. Et je l’enfilai sans me faire prier. J’entrais et ressortais de son fourreau gluant, elle m’accompagnait de sa main qui tenait fermement ma bite et la faisait parfois glisser dans ses lèvres et revenait ensuite à son vagin. D’un mouvement sec, je remontai un peu et mon gland buta contre son cul.Non, pas ça, jamais, je ne l’ai jamais fait, non s’il te plaît…Mais je sentais dans ses paroles une envie dans cette dénégation.— Tiens, ma vieille cochonne, tiens, je te la fous dans ton petit cul bien serré..Et d’une forte poussée je l’enculai bien à fond.Elle hurlait, mais de bonheur— Salaud, cochon, tu m’encules, bien au fond, je jouis, je jute comme une salope que je suis…Et en criant des obscénités, elle jouissait comme une folle. Je sentais des flots et des flots de mouille couler sur mes cuisses. Une forte odeur de foutre emplissait mes narines, m’excitant encore plus.— Maintenant, vas-y, jute, gicle dans mon cul, gicle dans mon boyau, salaud…Elle avait encore passé sa main entre ses cuisses et je la sentais se branler en cadence.Elle me fit alors juter une fois de plus, et je criais aussi en jouissant brutalement dans son cul bien serré.Ma bite me faisait presque mal d’être raide comme un bâton, même après avoir ainsi découillé.— Suce moi encore, lave bien ma bite avec ta bouche, vieille cochonne.Elle ne se fit pas trop prier et m’enfourna en faisant de grands bruits de succion.Puis on se rhabilla et je la ramenai chez elle. Dans l’ombre de sa porte, on s’est encore roulé un gros patin. Sa bouche sentait le foutre et la jute.— C’était délicieux, mon chéri…— À une autre fois, ma douce petite cochonne…Et je la quittai ainsi. Je sais que bientôt, je vais la revoir et lui en faire voir de nouveau de toutes le couleurs…elle adore cela et je le sais. Je sais aussi qu’il n’y a pas d’âge pour aimer et faire l’amour, n’est-ce pas mesdames ?