Après une bonne nuit de repos, bien méritée… et un copieux petit déjeuner, nous voilà en route pour la plage où nous devons retrouver nos nouveaux amis, Thomas et Nathalie (cf .). Pour accéder à la plage depuis notre petite villa, nous devons traverser tout un lotissement composé de petites maisons identiques à la notre, un petit jardinet sur le devant, cerné, lorsqu’elles ont été arrosées, de sapinettes. Alors que nous serpentons au travers des petites ruelles, nous surprenons des gémissements provenant de derrière une haie. Nous nous regardons, un sourire apparaît sur nos visages… Sans bruit et le plus discrètement possible, nous jetons un coup d’œil au travers de la haie clairsemée.Au travers de la baie vitrée, nous apercevons l’intérieur de la maison. Une femme blonde d’une quarantaine d’années, assez jolie ma foi, très bronzée, est courbée, sa poitrine dénudée plaquée sur la table. Sa jupe est relevée et un homme, beaucoup plus jeune qu’elle, la baise consciencieusement, sa bite entrant et sortant à rythme effréné entre ses fesses. Olivier et moi sommes subjugués, nous hésitons : entrer dans le jardinet et risquer d’être vus par le couple, ou rester dans la ruelle et prendre le risque d’être vus par des passants. Même s’il n’y a pas beaucoup de passage, nous décidons de pénétrer dans la petite cour.Tapis dans un recoin de la haie, nous observons les ébats du couple, Olivier est plaqué contre mon dos et je sens dans mes reins que ce spectacle ne le laisse pas indifférent. Le fait de risquer à chaque instant d’être découverts augmente encore notre excitation.Je suis fascinée par les seins de la femme, écrasés sur la table par le poids de son corps, ils paraissent très volumineux, par moments je peux voir ses tétons, pas très longs mais de bonne taille. Les bras le long du corps, elle écarte ses fesses afin de favoriser la pénétration de son compagnon. Lui, le pantalon aux chevilles, les mains agrippées aux fesses de la femme, donne de grands coups avec son bassin. À chaque coup de boutoir, la table se déplace de quelques centimètres. Soudain, il se retire, son sexe nous apparaît dans toute sa longueur, pas mal du tout… Il frotte son gland sur l’anus de la femme afin de le lubrifier, elle l’encourage de la voix et du geste, écartant encore plus ses fesses.Olivier se presse encore plus contre moi, ses mains s’égarent sur mes seins.La femme a glissé une main entre ses cuisses et caresse son clitoris, le gland rougi du jeune homme disparaît bientôt dans l’anus dilaté. La femme pousse un soupir de douleur mêlé de plaisir. Il progresse lentement puis reprend ses allers et retours. La femme a tourné la tête dans notre direction, nous sommes tétanisés, heureusement elle a les yeux clos, tout à son plaisir. Elle jouit, exprimant bruyamment son plaisir. Le jeune homme ne va pas tarder à jouir à son tour, nous décidons de nous éclipser avant d’être repérés, un peu frustrés. Mais c’est plus prudent.Nous retrouvons bientôt Nathalie et Thomas sur la plage. Ils bronzent nus, Nathalie somnole, Thomas lit un bouquin. Nous nous empressons, après nous être dévêtu aussi, de leur raconter notre petite aventure. Nous promettant de retourner roder près de la petite maison… on ne sait jamais… Nous passons la matinée à nous baigner, nous faire bronzer, chaque incursion dans l’eau étant l’occasion de petits attouchements…Soudain, alors que Thomas, Nathalie et Olivier sont dans l’eau, je vois arriver dans ma direction la femme de tout à l’heure. C’est bien elle, elle a noué un paréo coloré autour de son cou. Elle s’installe à quelques mètres de moi. Lorsqu’elle dénoue son paréo, ses seins lourds apparaissent, ils manquent un peu de tenue, mais leurs larges aréoles brunes surmontées de magnifiques tétons les rendent plus qu’appétissants. Elle est nue, sa toison brune soigneusement taillée, trahit l’illusion de sa chevelure blonde. Ses fesses ont l’air fermes, bien musclées. Je tente de me faire la plus discrète possible, et si elle nous avait vus tout à l’heure ? C’était quand même une drôle de coïncidence qu’elle s’installe justement ici…Alors qu’elle va s’allonger, elle se ravise, attrape une cigarette, fouille dans son sac et, jetant un regard circulaire, se dirige vers moi.— Excusez-moi, vous auriez du feu, s’il vous plait ?Je dois être rouge comme une pivoine. Je fouille fébrilement mon sac de plage, sors mon briquet et lui tends. Mais elle approche, la cigarette aux lèvres, s’agenouillant. J’allume sa cigarette, ma main tremble, la flamme s’éteint. Je rallume, elle pose ses mains autour des miennes pour maîtriser la flamme. Son regard plonge dans le mien.Je ne sais pas ce qui me prit, je lui répondis:— C’est moi qui vous remercie…Elle ne parut pas surprise, elle s’assit près de moi.— Ainsi c’est bien vous qui étiez là tout à l’heure?Je n’osais pas répondre. Elle poursuivit:— C’est le jeune saisonnier qui s’occupe de l’entretien des locations, il est mignon non ?Je hochais la tête.Au loin, je voyais que Thomas, Nathalie et Olivier avaient assisté à toute la scène. Au lieu de venir me sortir de cette situation embarrassante, ils partirent marcher le long de la plage. Solange, c’était le prénom de la femme, me proposa alors d’aller nous baigner. Sans conviction je la suivis dans l’eau. Je ne voyais pas vraiment où elle voulait en venir, bien que sa remarque sur Olivier me troublait un peu.Elle partit en courant, ses belles fesses ondulaient. Je passais la culotte de mon maillot et la rejoins. Elle nageait très bien, tournait autour de moi. Nous arrivions un peu au large, je n’avais plus pied. Sans prévenir, elle disparut sous l’eau, je cherchais en vain où elle pourrait bien réapparaître. Soudain je sentis deux mains se plaquer sur mes hanches, glisser sous la culotte de mon maillot et la faire glisser à mes chevilles. N’étant pas très bonne nageuse, je ne pouvais que subir, ayant peur de boire la tasse. Solange réapparut quelques secondes plus tard, ma culotte à la main, elle était à quelques centimètres de moi. Ses seins flottaient, de ses jambes elle entoura ma taille et vint se coller à moi. Ayant peur de couler, je fus obligée de m’accrocher à elle, tombant du coup entre ses bras. Elle relâcha l’étreinte de ses cuisses et, glissant ses bras sous les miens, sa bouche vint se plaquer à la mienne, je sentais sa poitrine contre la mienne. Me soutenant à bouts de bras, elle m’embrassa avec fougue, sa langue jouait avec la mienne, ses lèvres emprisonnaient les miennes. Je m’abandonnais, répondant à son baiser, étant parfaitement maintenue par Solange, je pus caresser son dos et ses fesses de ma main libre.Lorsqu’elle abandonna ma bouche, je lui proposais de revenir plus près du bord.— D’accord, dit-elle, mais je garde ça, fit-elle en me montrant la culotte de mon maillot qu’elle tenait toujours.Nous avons rejoint le bord et sommes restées longtemps entre sable et eau, à nous caresser discrètement, ses pieds jouant avec les miens, ses mains frôlant mes seins. Mes amis revenaient, je fis les présentations, Solange eut un regard appuyé lorsque je lui présentais « officiellement » Olivier. Nathalie dit qu’elle avait une course à faire en ville, avec un regard complice, Thomas et Olivier proposèrent de l’accompagner, pour aller chercher des cigarettes soit-disant. Je n’étais pas dupe, ils avaient du nous voir de loin et avaient décidé de nous laisser seules. Après avoir récupéré leurs affaires, le trio infernal s’éloigna.Solange et moi avons regagné nos serviettes. Je fumais une cigarette, Solange, allongée, me demanda de lui passer de l’huile solaire. Je versais un peu d’huile au creux de ma main et commençais par ses épaules, puis son dos. Les yeux fermés, Solange s’abandonnait à ce qui ressemblait plus à des caresses qu’à autre chose. J’arrivais sur ses fesses, elles étaient bien fermes, insensiblement mes doigts s’inséraient entre ses globes rebondis. Solange se cambrait afin de m’inciter à aller plus profond. Elle se retourna, je repris le flacon d’huile et en versait sur ses seins. Elle frissonna au contact frais et visqueux du liquide. J’étalais du bout des doigts, dessinant le contour de ses aréoles. L’huile qui se mélangeait aux dépôts de sels sur la peau de Solange devenait légèrement mousseuse, blanchâtre, ce qui nous fit éclater de rire, la comparaison avec du sperme s’imposait. Se redressant sur ses coudes, Solange m’embrassa.J’acquiesçais d’un hochement de tête. Nous avons rassemblé nos affaires et sommes remontées vers le lotissement. Arrivées chez Solange, elle jeta ses affaires dans un coin et, dénouant son paréo, elle me proposa de prendre une douche afin de me débarrasser du sel et du sable collés à ma peau. J’entrais dans la salle de bain exiguë, tirai le pare douche, et fis couler l’eau fraîche. Solange me demanda si je désirais boire quelque chose. Je me savonnais abondamment, me rinçais. Alors que je me séchais, emmaillotée dans une serviette, Solange entra.— J’ai un petit besoin, ça ne te dérange pas?Je n’eus pas le loisir de répondre, elle était assise sur les toilettes, face à moi. Entre ses cuisses coulaient déjà quelques gouttes dorées. Cette vision impudique me troubla, je restais immobile à fixer son entrejambe d’où s’écoulait maintenant un jet puissant. Solange aussi me fixait, elle se leva, s’assit sur le bidet qui occupait le coin de la salle de bain, fit couler l’eau et commença sa toilette intime. Je voyais sa main enduite de mousse frotter sa chatte aux poils courts, petit à petit ses mouvements devinrent plus précis, ses doigts glissaient maintenant entre ses lèvres. Elle tendit les bras, m’invitant à m’approcher. Je fis deux pas, restais plantée là , comme une idiote. Solange prit ma main dans la sienne et l’approcha de son ventre, je me laissais guider.En quelques instants, mes doigts furent recouverts de mousse, ils coulissaient le long de sa fente, sa main pressait sur la mienne, lentement ils pénétraient son con. La tête rejetée en arrière, Solange savourait mes caresses. Je sentais sous mes doigts s’ériger son clitoris, je le massais délicatement, le serrais entre deux doigts, arrachant à Solange de petits gémissements. Mon autre main vint se plaquer sur son sein, j’aimais sa douceur, sa consistance à la fois flasque et ferme, je le soupesais, le flattais.L’eau ruisselait toujours, je fus prise d’une soudaine envie d’uriner à mon tour. J’en fis part à Solange, tentant de me dégager. Son visage s’éclaira.— Vas y…— Comment ? Là  ?— OuiDisant cela, elle me serra contre elle, plaquant ses mains sur mes fesses, mon ventre vint se coller à son visage, mon sexe était juste au-dessus de ses seins. Comme pour m’encourager, elle glissa une main entre ses seins, et du bout de l’ongle griffa doucement mon clitoris. Je ne pouvais plus me retenir, je sentais monter en moi la douce chaleur, quelques gouttes s’échappèrent de mes lèvres, venant souiller ses doigts. Puis je sentis ruisseler entre mes cuisses l’urine. Le jet doré venait s’écouler sur la poitrine de Solange, il coulait dans le sillon qui séparait ses seins, elle avait introduit deux doigts dans ma chatte, son autre main entre ses cuisses, elle massait vigoureusement son clitoris. Le jet se tarit, elle me masturbait toujours vigoureusement et j’eus un premier orgasme, fulgurant. Je pressais sa tête contre mon ventre, mes doigts jouant dans sa chevelure blonde. Elle atteint à son tour l’orgasme, sa bouche collée à mon pubis, sa langue titillant mon clitoris.Solange s’est relevée, nous sommes retournées sous la douche afin de nous rincer, chacune à nettoyer l’autre. Après nous être séchées, nous sommes retournées dans la salle à manger où nous attendaient deux verres de Martini. Nous avons discuté un bon moment, Solange a écouté avec attention et une pointe d’envie le récit de notre rencontre avec Nathalie et Thomas. Elle m’expliqua qu’elle était divorcée et venait tous les ans ici où elle passait ses vacances à la recherche de jeunes hommes comme celui de ce matin. Elle me raconta comment, chaque matin, le jeune homme venait, prétextant auprès de ses chefs une réparation à effectuer, et la baisait. Comme nous avions pu le constater, il était magnifiquement monté et malgré son inexpérience, il procurait à Solange ce qu’elle désirait. Elle lui glissait un billet en échange de ses services.Il était bientôt 14h00, je proposais à Solange de venir déjeuner avec nous, elle accepta avec entrain, elle enfila une robe légère sans soutien-gorge et, alors qu’elle allait passer une culotte, je l’en dissuadais. Elle sourit m’accusant d’avoir une idée derrière la tête. En riant nous sommes sorties et avons rejoint ma villa où mes amis m’attendaient. Je sentais le regard interrogateur de tous, je m’amusais de leur curiosité et fis celle qui ne comprenait rien.Nous voilà tous les cinq à la terrasse d’un restaurant dans la rue piétonne. Solange a pris place entre Thomas et moi, Nathalie est à ma gauche. La conversation va bon train, le courant à l’air de passer entre Thomas, Nathalie et Solange. Je trouve Olivier bien silencieux, il faut dire qu’il a le regard plongé dans le décolleté de Solange. La conversation peu à peu s’engage sur un terrain disons plus ’glissant’. L’alcool de l’apéritif et le vin associé au soleil commence à faire son effet.Je sens la cuisse de Solange contre la mienne, par instants elle me pousse légèrement, me désignant du regard Olivier qui décidément semble passionné par la poitrine de Solange. Discrètement je glisse ma main droite sous la table, caresse ses cuisses. Elle serre ses jambes comme pour emprisonner ma main, mais rapidement elle se ravise et écarte largement ses cuisses. Mes doigts remontent lentement sur la peau douce de l’intérieur de ses cuisses. Nous continuons la conversation comme si de rien n’était. J’atteins son petit abricot, pas la moindre trace d’humidité. Je retire ma main, négligemment je trempe mes doigts dans mon verre et les replonge sous la table. Quelques allers et retours sur ses lèvres suffisent à me permettre de faire coulisser mes doigts lentement dans sa chatte.Soudain, je sens Solange frémir, lui ferais-je tant d’effet que cela? Du regard, elle m’indique de regarder en direction de son ventre, elle relève légèrement la nappe qui dissimulait ma main et oh surprise! Je m’aperçois alors que je ne suis plus seule à investir les cuisses de Solange. La main de Thomas est posée sur sa cuisse droite. Solange me sourit, nous allons lui jouer un joli tour. J’écarte un peu ma main afin de laisser le champ libre à Thomas. La nappe relevée me permet de surveiller la progression de ses doigts sur l’intérieur de la cuisse de Solange. Je m’amuse à le voir faire, impassible. Ça y est, ses doigts se posent sur les lèvres lisses de Solange. Il doit être surpris d’y trouver tant d’humidité, il sourit d’ailleurs largement à Solange.C’est alors que j’interviens, je glisse à nouveau ma main sous la table et la pose sur celle de Thomas qui à ce contact, sursaute. Son regard étonné va de Solange à moi. Nous lui sourions de toutes nos dents. Il ne sait plus où se mettre. Il ne peut se dégager, pressant avec ma main, j’enfonce ses doigts dans la chatte de Solange. Celle-ci trop heureuse, se mord la lèvre pour ne pas gémir. Elle a posé sa main sur la braguette de Thomas, jaugeant du bout des doigts l’effet produit sur lui. Il devient difficile de cacher aux autres ce qui se passe sous la table, je décide d’accélérer les choses en posant ma main libre sur la cuisse de Nathalie. Elle paraît surprise, mais sans plus, elle prend ma main et la caresse. Du regard, je lui fais signe de regarder Solange.— Ah je vois, dit-elle. Je crois qu’il va être temps de demander l’addition.Olivier ne comprend rien, Nathalie se penche vers lui et, posant une main sur sa braguette, lui explique à l’oreille ce qui se trame sous la table de notre côté. Désireux de vérifier par lui-même, il laisse tomber sa serviette et, se penchant pour la ramasser, en profite pour jeter un coup d’œil sous la table. Le spectacle qu’offre Solange, sans culotte, avec mes doigts et ceux de Thomas entre les cuisses, doit être charmant si j’en juge par le temps qu’il met à se relever.Il était temps que nous arrêtions, lorsque le serveur vient nous présenter la note, Solange a le rouge aux joues, elle est au bord de l’orgasme, sa jupe est restée relevée et le brave garçon peut se rincer l’œil copieusement. Nous quittons le restaurant, et décidons d’un commun accord qu’il est un peu tôt pour aller à la plage, la chaleur étant trop forte. (A tous les sens du terme. Nous proposons d’aller boire un café chez nous.Nous nous installons sur la terrasse, Olivier vient m’aider à préparer le café. Apparemment l’épisode du restaurant l’a émoustillé, à peine entré dans la cuisine, il passe ses mains sous ma robe. J’ai du mal à le raisonner, lui disant que je dois préparer le café. Collant son ventre à mes fesses, il me fait rapidement sentir sa queue au travers de son pantalon de toile. En hâte, je verse le café dans le filtre, mets en marche et, me retrouve à genoux. Je déboutonne, trop lentement à son goût, les boutons de sa braguette pour libérer son sexe tendu. Je dépose de petits baisers sur son gland, le lèche, le mordille. Olivier est trop pressé, plaquant ses deux mains sur ma nuque, il s’enfonce dans ma gorge, manquant m’étouffer. Ma langue tourne autour de son membre dont je sens palpiter les veines. Le repoussant de la langue, je le fais sortir, serrant bien les lèvres, puis je l’aspire puissamment. Quelques allées et venues à ce rythme l’amènent au bord de l’explosion. Alors que je m’apprêtais à abandonner ma fellation, je sens le goût à la fois acre et sucré des premières gouttes de sperme et je n’ai le temps de rien faire. La première giclée vient s’écraser au fond de ma gorge. Je déglutis péniblement avant de recevoir les suivantes dans la bouche et sur le visage.C’est le moment précis où Nathalie entre dans la cuisine, intriguée de ne pas nous voir revenir.@ suivre