De retour à l’hôtel, je dîne tranquillement en tête-à-tête avec mon épouse quand, à quelques tables de là, s’installent la laitière et son divin mari. Oui la laitière, vous savez, cette femme mure à l’opulente poitrine qui m’avait allumé sur la plage. Elle est face à moi et me regarde comme l’autre fois, toujours stupéfaite de mon intérêt évident pour elle. Et il est vrai que je n’arrête pas de la mater faisant simplement le strict nécessaire pour que mon épouse ne remarque rien. J’ai d’ailleurs du mal à suivre la conversation, je suis très lunatique, heureusement que ma femme est un véritable moulin à paroles et qu’elle assure à elle seule les questions et les réponses. Je me contente d’acquiescer de temps en temps, les yeux rivés vers le lointain. Les yeux plongeant dans la poitrine opulente de l’autre cochonne. Son mari et elle ne se parlent pas, pas un mot, silence total. Sans doute n’ont-ils plus rien à se dire. Lui sirote un apéritif en jouant avec sa cuillère tandis qu’elle me regarde franchement et sans détour, de façon si évidente que je me dis que tout le monde va s’en apercevoir.Je me demande simplement si elle a pensé à moi depuis l’autre jour… Mais il n’y a qu’à la regarder pour s’en assurer. Peut-être même s’est-elle caressée en repensant à notre rencontre de l’autre jour, en imaginant ma queue dure entre ses seins gigantesques ou en rêvant de l’avoir entre les cuisses. Son mari ne doit plus tellement s’occuper d’elle ou alors simplement de temps en temps pour se vider les couilles. Mais visiblement il n’en a plus rien à foutre, visiblement il préfèrerait pincer les fesses de la serveuse que de s’enquiquiner avec les lourdes mamelles de sa moitié. C’est un peu l’histoire de tous ces couples qui n’ont plus rien à se dire. Je le sais par expérience, moi et ma femme c’est un peu la même chose…Nos regards sont suspendus au temps qui passe, instants merveilleux et inoubliables. Presque seuls au monde malgré tous les autres. Et cette femme qui n’a sans doute rien d’extraordinaire si ce n’est ses gros nibards, cette femme qui est sans doute loin d’égaler la mienne sur le plan esthétique et intellectuel, cette femme recueille malgré tout toute mon attention, tout mon intérêt, tout mon désir. Et pas seulement à cause de ses opulents appâts. Non maintenant c’est bien autre chose, c’est l’intérêt qu’elle me porte, c’est l’envie d’être ensemble, tous les deux et de s’éclater comme des bêtes. Le repas semble interminable, le service est lamentable, la nourriture est insipide et mon épouse m’exaspère en me relatant des histoires de famille que je connais par cœur et qui ne m’intéressent surtout pas.Lorsque juste avant le désert, ma complice se lève pour aller aux toilettes et passe près de moi à me frôler, je sens le signal. L’occasion est trop belle et préméditée. J’attends une minute et lui emboîte le pas, prétextant un coup de fil à passer… Et de la rejoindre en bas de l’escalier où elle m’attend… Sans rien dire, nous nous enfermons tous les deux dans les toilettes pour handicapés. Je dénude prestement sa poitrine (Fais glisser sa robe et dégrafe son soutif). Et je me penche pour la téter. Apparemment elle y trouve son compte, elle y prend goût, elle gémit de plaisir tandis que je grignote ses gros tétons saillants. J’aimerais bien qu’il s’en suive une bonne branlette et que je jute sur ses gros pis… Mais l’endroit est décidément trop exigu d’une part et d’autre part nous sommes sans cesse dérangés par d’autres personnes qui viennent dans les toilettes voisines. Finalement, elle calme mes ardeurs, se rafistole et nous décidons de nous retrouver sur la plage après le dîner. Nos époux respectifs n’ont pas bougé d’un pouce. Ma femme m’avoue être fatiguée. Ça tombe bien «Oui chérie, vas donc te reposer pour être en forme pour demain. Tu sais que nous avons promis à nos chérubins de les emmener au zoo…». Du coup, la tisane à peine avalée que la voici déjà qui monte se coucher. À la table d’à côté, ça traîne un peu plus longueur, Monsieur déguste son pousse-café. J’en profite pour sortir fumer une cigarette. Je prie pour qu’elle parvienne rapidement à se débarrasser de son Jules. Elle me rejoint sur la plage une demi-heure plus tard et se jette dans mes bras en me disant qu’elle l’a envoyé au casino. Nous ne sommes pas seuls sur la plage, il y a des groupes de jeunes. Nous allons un peu plus loin, de l’autre côté des rochers dans une petite crique tranquille.Ses seins à nouveau dénudés, je recommence à les téter avec délectation. Quelles mamelles, c’est une ancienne nourrice et elle adore se faire traire. Humm je les tête en les malaxant, en les pétrissant. Ses pointes durcissent d’un plaisir visible de même que ma queue. Nous nous retrouvons nus, entièrement nus sur la plage, en 69, en train de nous bouffer avec délectation. Elle a un clito énorme, beaucoup plus gros que celui de mon épouse, une véritable petite bite de plus d’un centimètre entre les cuisses et il se dresse de plaisir aux moindres caresses. Puis l’un dans l’autre, je la prends sur le sable, je la monte sauvagement sous la lune en grognant comme une bête. Un couple d’amoureux qui passe par là nous regarde un instant puis fait un détour pour nous éviter. Je continue à l’usiner avec mon gros braquemart qui la remplit bien à fond comme elle dit. Et au dernier moment je me sors pour les asperger ses grosses miches de foutre.Enfin je lui demande le les lécher et d’aspirer mon foutre pendant que je la broute à nouveau jusqu’à la faire exploser par ma bouche. Nous nous rhabillons prestement et elle retourne rapidement à son hôtel parce qu’elle a peur que son mari ne découvre la chambre vide.Depuis ce jour là nous n’avons guère eu l’occasion de nous revoir. Pour eux les vacances se terminaient deux jours plus tard et ils habitent malheureusement trop loin de chez nous pour que je puisse faire une simple virée… Mais nous avons malgré tout échangé nos numéros de portables et nous nous appelons de temps en temps. Nous essayons de comploter quelque chose pour l’été prochain…