Vacances chez ma marraine. 2

Histoire coquine :Ma main passe plusieurs fois sur la fente de Magda, mes doigts enfoncent entre ses grandes lèvres vaginales et cherchent la perle magique. Je la frotte doucement, ma marraine se cambre en grognant comme un animal. Pendant que ma bouche vorace ne cesse de lui dévorer les seins, mes doigts saisissent son clitoris et le branle énergiquement, rapidement la boule de chair devient énorme. Magda est sur le point de jouir, elle s’arc-boute en gémissant comme une bête prise dans un piège.J’accélère la masturbation, elle pousse des râles terribles. Je délaisse ses seins, embrasse chaque parcelle de peau pendant que ma bouche descend sur son corps brûlant. Ma langue taquine son nombril, pendant que mes doigts pressent son bouton d’amour.Soudain, Magda pousse un hurlement en se cabrant. Elle jouit terriblement fort, sa chatte expulse sa cyprine avec force. Mais, je veux la faire jouir encore. Rapidement je me place entre ses cuisses et aspire la cyprine abondante qui s’échappe du puits d’amour. Elle suinte comme un fruit trop mûr, je me régale du jus suave qui remplit la bouche.Je gobe la boule de chair et la tète violemment, le bassin de Magda s’agite de plus en plus rapidement. La coquine est prête à partir une seconde fois. Ma bouche fait des miracles, le clitoris à doublé de volume. Je le suce comme une forcenée. Je veux que ma marraine explose de jouissance. Je lui mordille le bouton sensible, elle se cabre en rugissant comme un fauve. Elle pousse un hurlement se tend comme un arc et gicle comme une fontaine.Elle me remplit la bouche de son jus, je l’avale avec délectation. Je me redresse m’essuie la bouche d’un revers de la main et enfonce brutalement trois doigts dans le cratère en éruption. Je ramone sauvagement la gaine de chair, mes doigts tournent en elle, Magda ne cesse de geindre, elle gicle sans arrêt. Elle crie :- Oui, oui mon Dieu, c’est trop bon ma chérie, tu me fais mourir de plaisir, continue Valériane oui, oui !La coquine se vide de son jus, ses yeux sont révulsés, sa bouche est déformée par un rictus affreux. Je continue de la ramoner sauvagement. Soudain une voix se fait entendre :- Alors on se fait un petit plaisir mes salopes !C’est Karl, il nous regarde depuis un bon moment, il tient en main sa queue gigantesque et la branle rageusement. Il s’approche s’agenouille près de la tête de sa femme et lui offre son manche gorgé de sang. Magda complètement hystérique, saisit la queue d’une main, la décalotte et ouvre la bouche. Elle gobe le gland violacé et le suce goulument comme une vorace. Moi, je continue de la fourailler profondément avec mes doigts, j’en ajoute même un quatrième Les doigts sont en elle jusqu’à la dernière phalange. Ma main tourne dans la gaine qui se distend de plus en plus. Kart saisit les cheveux de sa femme et tire violemment.Sa queue s’enfonce jusqu’aux couilles dans la bouche de Magda. C’est ça première gorge profonde, elle en a des hauts le cœur, ses yeux sont pleins de larmes. Kart lui baise la bouche comme un sauvage. Il se bloque et envoie sa semence épaisse au fond de la gorge de Magda qui manque d’air.Elle le repousse violemment, pour ne pas étouffer. Moi, je lui crie :- Avale marraine avale !Difficilement, elle parvient à avaler la totalité du sperme. Je la vois trembler, j’accélère le ramonage de sa chatte. Elle pousse un cri presque inhumain. Elle jouit comme jamais. Elle se laisse tomber les bras en croix sa respiration est rapide son souffle est court.Karl me regarde, je sais ce le coquin veut. Je retrousse ma jupe retire ma culotte trempée ouvre largement les cuisses et lui dis :-Viens prends-moi fort, je suis chaude comme de la braise !Il se place entre mes cuisses et frotte son gland gluant contre ma chatte en feu, il donne un coup de reins et s’enfonce jusqu’à la garde, ses couilles velues frappent ma chatte à chaque coup de reins. Sa queue puissante, voyage en moi de plus en plus rapidement, il la ressort entièrement, me montre son engin en l’agitant, les grosses veines apparentes la rende affreuse. Il la replonge furieusement en moi, je me cabre sous la puissance de la pénétration en grognant comme une bête blessée. Le pilonnage est sévère, les coups de boutoir violents.Ses assauts répétés me rendent fébrile, je geins comme un animal en rut, j’agite mon bassin rageusement, je donne des coups de reins, pour être empalée totalement par le pieu de chair. La tension monte en moi, je m’accroche à Karl comme une bête sur sa proie. Je me cabre en poussant un râle d’enfer, je jouis comme une grosse salope en manque. Karl continue de me labourer les entrailles avec son monstre gorgé de sang, il se bloque, se raidit. Il souffle comme un bœuf, en me remplissant de son sperme gluant. La douce chaleur du précieux liquide me fait jouir à nouveau. Magda commence à émerger lentement.Elle nous regarde entrain de copuler et dit :- Je veux ma part aussi !À suivre.Partagez ce récit coquin : Tweeter