Vacances en camping car
Quentin et Marion sont des jumeaux de seize ans qui, alors qu’ils partent en vacances en Espagne en camping-car avec leurs parents, profiterons de la promiscuitĂ© de la capucine du vĂ©hicule pour se dĂ©couvrir davantage.
Proposée le 19/09/2018 par burton195 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Bonjour ! Je me prĂ©sente, je suis un jeune garçon de seize ans, et je m’appelle Quentin. Mes passions dans la vie ? Elles sont simples : le cinĂ©ma, les sĂ©ries, les jeux-vidĂ©os, un peu de sport mais pas trop, et surtout, ma sĹ“ur cadette, Marion ! Enfin, quand je dis cadette, elle n’a que quelques secondes de moins que moi. Pourquoi ? Car nous sommes des jumeaux, et il m’arrive souvent de lui rappeler que l’aĂ®nĂ©, c’est moi, malgrĂ© tout ! Évidemment, elle le prend Ă la rigolade !Pourquoi je dis que Marion est une de mes passions ? Car je l’adore, tout simplement ! Entre jumeaux, nous sommes vraiment fusionnels. On se dit tout, on se raconte tout, on est très complices, bref, je ne me verrais pas vivre sans elle, et rien que d’y penser me donne la chair de poule !
Physiquement, je suis plutôt banal : brun, les cheveux courts, les yeux marrons, la silhouette assez svelte, je mesure 1,70m.
Marion, c’est tout l’inverse : une jolie brune aux longs cheveux bouclĂ©s, aux formes agrĂ©ables Ă regarder, surtout ses fesses qui semblent plaire Ă la gente masculine Ă©tant donnĂ© que nombreux sont les garçons qui les reluquent, et au tempĂ©rament volcanique. Ce caractère, elle l’a hĂ©ritĂ© de ma mère.Avec les filles, j’ai un peu de succès. J’ai dĂ©jĂ eu des copines au lycĂ©e et au collège, mais rien de bien sĂ©rieux. Quand je dis « sĂ©rieux », je veux dire que je ne suis jamais passĂ© Ă l’acte, si vous voyez oĂą je veux en venir. En revanche, ma main droite est ma meilleure amie, et ça, depuis longtemps !
Quant Ă Marion, elle a dĂ©jĂ eu des histoires avec des garçons qui ont durĂ©, mais je ne sais pas si elle a dĂ©jĂ offert sa virginitĂ© Ă l’un d’eux. On se dit tout, c’est vrai, et ça nous arrive de parler de cul, mais cette question, je n’ai jamais osĂ© lui poser. Pourquoi ? Je l’ignore, peut-ĂŞtre car je n’ai pas envie qu’elle apprenne que moi, je n’ai jamais fait quoi que ce soit.
Bref, maintenant que les personnages principaux de cette histoire sont plantĂ©s, passons aux choses sĂ©rieuses.Cet Ă©tĂ©, mes parents ont dĂ©cidĂ© de partir en vacances en Espagne. Ma mère a toujours rĂŞvĂ© de visiter l’Andalousie et, comme elle va avoir cinquante ans cette annĂ©e, mon père a dĂ©cidĂ© de marquer le coup en nous emmenant lĂ -bas en camping car. On adore ce moyen de transport, puisque cela fait des annĂ©es que nous l’utilisons, et c’est avec ce camping-car que nous avons passĂ© la plupart de nos meilleures vacances. Il s’agit d’un vieux tacot qui a plus de vingt ans et qui a du mal Ă dĂ©passer les cent kilomètres heures, mais nous l’adorons, et il fait partie de la famille !Bref, en ce dĂ©but, c’est Ă 6h du matin que nous partons de Brest, direction l’Andalousie, mon père au volant, et ma mère en copilote. Quant Ă Marion et moi, nous dormons juste au dessus d’eux, dans la capucine du camping-car. Ă€ cette heure-ci, il fait encore frais, donc nous sommes emmitouflĂ©s dans nos duvets. Pour ma part, je ne porte qu’un boxer. Marion a un tee-shirt, et juste une petite culotte. Ses longs cheveux bouclĂ©s sont dĂ©faits, et Ă©pousent la forme de l’oreiller sur laquelle sa tĂŞte est posĂ©e. Comment je le sais ? Bon ok, je l’avoue, il m’arrive parfois de la mater discrètement, et je l’ai fait Ă nouveau ce matin alors qu’elle enlevait son bas de pyjama avant de se glisser dans son duvet. M’a-t-elle vu ? Il y a des chances, mais ça n’a pas l’air de l’avoir dĂ©rangĂ©. Après tout, qui me dit qu’elle n’en a pas fait autant ?Nous passons donc la journĂ©e sur la route, Marion et moi toujours dans notre perchoir, et nous occupons notre temps en bouquinant, papotant, et en rigolant tous les deux. Nos parents ont juste Ă lever un peu la voix pour faire la discut avec nous mais, Ă©tant donnĂ© le bruit que fait ce vieux rafiot, c’est assez compliquĂ©. Évidemment, lors du premier arrĂŞt, Marion et moi avons pu enfiler une tenue plus dĂ©cente, et j’en ai profitĂ©, au passage, pour mater ses jolies fesses. Bref, maintenant, elle porte un mini-short par dessus sa petite culotte, mais j’ai un doute, porte-t-elle un soutien-gorge sous son tee-shirt ? J’en suis pas persuadĂ©. En tout cas, elle est belle Ă tomber, comme d’habitude, et je suis sĂ»r que de nombreux espagnols se rinceront l’œil en la voyant dans quelques heures. Je sais qu’il s’agit de ma sĹ“ur et que je devrais pas dire des choses pareilles mais, en mĂŞme temps, autant dire la vĂ©ritĂ©, c’est ce que nos parents nous ont toujours apprit !Le soir, nous nous arrĂŞtons Ă Agen, dans un petit camping municipal. Mon père est Ă©puisĂ© par cette journĂ©e sur la route, et je le comprends. Du coup, il dĂ©cide de dormir ici ce soir, et de repartir tĂ´t demain matin. Comme il sait que Marion et moi sommes des marmottes, il nous dit mĂŞme que, si ma mère et lui sont rĂ©veillĂ©s tĂ´t pendant que nous sommes toujours en train de dormir, ils partiront tĂ´t. Marion et moi sommes fous de joie, car nous adorons quand notre père fait ça : ne pas attendre qu’on soit rĂ©veillĂ©s pour reprendre la route. Dormir tout en sachant que nous sommes sur la route des vacances, c’est quelque chose qui est vraiment kiffant !Après avoir transpirĂ© toute la journĂ©e dans ce rafiot, je dĂ©cide d’aller prendre une douche dans les sanitaires du camping. J’enlève donc mon tee-shirt, en attrape un propre ainsi qu’un boxer, puis ma serviette, ma trousse de toilettes et hop, direction les douches.-Attends, me demande Marion, moi aussi je vais aller prendre une douche.AussitĂ´t, elle va s’enfermer dans les toilettes du camping-car et ressort deux minutes après, simplement vĂŞtue d’une serviette qui lui cache tout le corps. Mes parents ont l’air surpris de la voir habillĂ©e ainsi, mais Marion se dĂ©fend en leur disant que c’est plus pratique d’y aller comme ça. Quant Ă moi, une fois de plus, je la trouve splendide, et le fait de savoir qu’il n’y a rien sous cette serviette, et ben… ça m’Ă©moustille un peu, voire mĂŞme beaucoup !
Bref, nous quittons le camping-car et nous dirigeons vers les douches. Sur son passage, j’aperçois quelques garçons qui se retournent pour regarder Marion, et je suis gĂŞnĂ©. Pourquoi ? Car aucune fille ne se retourne pour en faire de mĂŞme avec moi. Ma sĹ“ur est une bombe atomique, il faut bien que je m’y fasse !Nos chemins se sĂ©parent Ă l’entrĂ©e des douches. Je me dirige vers celles rĂ©servĂ©es aux hommes, et Marion vers celles rĂ©servĂ©es aux filles. Il n’y a pas grand monde Ă cette heure-ci. Je trouve une douche de libre et m’y enferme. Je dĂ©pose mes affaires sur une tablette puis, je sors mon gel douche et, ni une ni deux, je file sous la douche.
L’eau est fraĂ®che, ça fait du bien. Je la laisse donc couler sur moi pendant quelques minutes, sans bouger, les yeux fermĂ©s. Une fois de plus, des drĂ´les de pensĂ©es envahissent mon esprit. Je revois d’abord Marion en petite culotte dans la capucine, puis Marion avec son mini short qui met bien en valeur son petit cul, puis Marion simplement vĂŞtue de sa serviette. Doucement, je sens mon sexe gonfler petit Ă petit, malgrĂ© la fraĂ®cheur de l’eau qui, normalement, aurait dĂ» provoquer l’effet inverse. Ensuite, j’imagine Marion complètement nue, Ă quelques mètres de moi, sous la douche, ruisselante d’eau, en train de se savonner entièrement le corps, la poitrine bombĂ©e, ses jolies petites fesses Ă portĂ©e de main…
Cette fois-ci, il faut dire ce qui est : j’ai carrĂ©ment une gaule d’enfer ! Ça m’Ă©tait dĂ©jĂ arrivĂ©, Ă©videmment, mais c’est la première fois que Marion est la source de mes fantasmes. Est-ce bien ? Est-ce mal ? Aucune idĂ©e, j’imagine que je ne dois pas ĂŞtre le premier Ă avoir des pensĂ©es aussi perverses envers sa propre sĹ“ur, donc cela me rassure un peu, quelque part. Étant donnĂ© toutes les images salaces qui se bousculent dans ma tĂŞte, quelques minutes me suffise pour soulager cette Ă©rection, et de longs jets blancs visqueux iront donc se noyer dans la bonde de la douche. Après cela, je laisse Ă nouveau l’eau couler pendant cinq bonnes minutes pour me remettre de mes Ă©motions, puis je me savonne, me nettoie, m’habille, et je sors de ma douche.Quand je reviens au camping-car, personne ne me demande pourquoi j’ai mis autant de temps Ă prendre cette douche. Marion est dĂ©jĂ lĂ , et elle a revĂŞtu un tee shirt qui lui arrive au dessus du nombril, et son mini-short. Ce foutu mini-short que je rĂŞve de lui arracher avec les dents, avant de la dĂ©shabiller, de la coucher sur mon lit et… Et quoi ? Qu’est-ce qui me prend ?
Il faut que je me calme car je crains que mes parents et Marion ne remarquent que je rougisse. Ou pire, qu’une autre Ă©rection se dessine en travers de mon short et qu’elle se remarque aussitĂ´t Ă©galement. Du coup, pour me calmer, je vais ranger mes affaires dans le camping-car, puis, j’attrape ma console de jeu portable, et je vais jouer dehors. De temps en temps, je mate discrètement Marion qui est en train de se vernir les ongles de pieds. Et quels beaux pieds, d’ailleurs ! Si seulement je pouvais les masser, les mordiller, les lĂ©cher, les…-Ca va, Quentin ?Ma mère me sort de mes rĂŞveries, et je m’aperçois aussitĂ´t que des bouffĂ©es de chaleur m’envahissent. Apparemment, je ne suis pas le seul Ă les avoir remarquer.-Oui, pourquoi ? RĂ©ponds-je, innocemment.
-Tu transpires Ă grosses gouttes, et t’es tout rouge !
-DĂ©solĂ©, il fait une chaleur Ă crever, ici…Apparemment, cette excuse est crĂ©dible puisque ma mère retourne Ă sa grille de mots-croisĂ©s, aidĂ© par mon père qui sirote en mĂŞme temps une grande bière bien fraĂ®che. Quant Ă Marion, ce bref Ă©change avec ma mère ne semble pas l’avoir perturbĂ©e, puisqu’elle est toujours en train de se badigeonner les ongles d’un rouge pivoine. Ouf ! Si elle savait les pensĂ©es que j’ai pour elle en ce moment mĂŞme, il est clair qu’elle me regarderait diffĂ©remment…Après cette soirĂ©e agitĂ©e, riche en fantasmes et en images perverses concernant ma sĹ“ur, c’est après un rapide repas constituĂ© essentiellement de charcuterie et de fromage que nous allons nous coucher. Il n’est mĂŞme pas vingt-deux heures quand Marion et moi grimpons dans la capucine (non sans en avoir profitĂ© pour lui mater une nouvelle fois les fesses pendant qu’elle rejoignait notre perchoir) et, quelques secondes après, après avoir enlevĂ© quelques vĂŞtements, nous nous glissons chacun dans nos duvets. Quant Ă nos parents, ils disposent d’un grand lit dans le fond du camping-car. Pour avoir dormi dedans Ă quelques reprises lors de longs trajets, je sais Ă quel point celui-ci est peu confortable. Du coup, je suis très content de pouvoir profiter de cette capucine, et aussi, de la prĂ©sence de Marion.Quelques secondes après, des ronflements retentissent, ce qui veut dire que notre père est dĂ©jĂ endormi. Tant mieux, car il veut se lever tĂ´t demain matin pour reprendre la route.
Avec Marion, nous dormons tĂŞtes bĂŞches, c’est Ă dire que j’ai ces pieds Ă hauteur de mon visage, et elle a les miens Ă hauteur du sien. Seulement, je ne peux pas en profiter puisqu’ils sont cachĂ©s sous le duvet. Je ne peux donc que m’imaginer leur forme, leur odeur, leur beautĂ©, leur…
Non, il faut que je m’arrĂŞte, sinon, c’est un coup Ă avoir une nouvelle gaule d’enfer, et je ne voudrais pas que Marion s’en aperçoive. Mais c’est dur de ne pas se faire des films, surtout sachant qu’elle ne dort qu’Ă quelques centimètres de moi ! Et dire qu’hier encore, Ă cette heure-ci, je ne m’Ă©tais jamais fait de tels films avec ma sĹ“ur en tĂŞte d’affiche, qu’est-ce qui m’est arrivĂ© en quelques heures pour que je fantasme Ă ce point sur elle ?
Bref, après quelques minutes de concentration, j’arrive Ă reprendre mes esprits, et je me calme. Ensuite, MorphĂ©e me tend enfin les bras, et je le rejoint dans le pays des songes.C’est aux alentours de six heures du matin que mon père dĂ©cide de reprendre la route, direction l’Espagne. Lorsque j’entends le moteur du camping-car rugir, et que je le sens avaler les premiers kilomètres de cette deuxième grosse journĂ©e de route, je me sens apaisĂ©, et je me rendors tranquillement.
Quelques heures après, je sens que ça s’agite Ă cĂ´tĂ© de moi. J’ouvre un Ĺ“il, et j’aperçois Marion qui est en train de regarder son portable. -Salut, dis-je.Évidemment, malgrĂ© la proximitĂ©, il faut quand mĂŞme que nous haussions un peu la voix pour nous faire entendre Ă cause du bruit du camping-car.-Bien dormi ? Me rĂ©pond-elle.Si elle savait que, dans un de mes rĂŞves, je lui avais bouffĂ© les seins en long en large et en travers avant de lui arracher son mini-short pour en faire de mĂŞme avec son entrejambe, je doute qu’elle me poserait cette question…-Oh que oui, et toi ? Je rĂ©ponds innocemment.
-Comme un gros bĂ©bĂ©.Marion est toujours dans son duvet, mais le haut de son corps est Ă l’air libre. Je la vois donc Ă nouveau avec ce petit tee-shirt et, une fois de plus, je me pose la mĂŞme question : porte-t-elle un soutien-gorge ? Si seulement je pouvais lui demander. Elle a les trait tirĂ©s et la moue un peu bougonne, comme Ă chaque fois qu’elle se rĂ©veille. Ça ne l’empĂŞche pas d’ĂŞtre belle Ă tomber, une fois de plus. -Bon, on fait quoi aujourd’hui, pour faire passer le temps ? Demande-t-elle d’une voix ensommeillĂ©e.
-Je sais pas, tu proposes quoi ?
-Si on descend maintenant, c’est un coup Ă ce que maman nous fasse une leçon d’histoire par ville qu’on traversera, donc ça risque d’ĂŞtre barbant, non ?
-C’est pas faux…Personnellement, je n’ai rien contre l’idĂ©e de passer la journĂ©e dans cette capucine avec Marion Ă mes cĂ´tĂ©s. Au contraire, mĂŞme, sa prĂ©sence me satisfait au plus haut point, et je ne sais pas s’il s’agit d’une bonne nouvelle. MalgrĂ© tout ce que j’Ă©prouve pour elle depuis hier et toutes les pensĂ©es un peu dĂ©gueulasses que j’ai Ă son Ă©gard, ça reste ma sĹ“ur, nom d’un chien, ma petite sĹ“ur, mĂŞme !
MalgrĂ© l’heure matinale et les tempĂ©ratures encore un peu fraĂ®ches, Marion s’extirpe de son duvet et s’allonge dessus toujours tĂŞte bĂŞche. Du coup, je suis aux premières loges pour admirer ses jambes nues et sa petite culotte bleue pastel, ce qui provoque chez moi des nouvelles bouffĂ©es de chaleur. Comment essayer de rĂ©sister face Ă un tel spectacle ?Je sens que ça s’agite dans mon boxer. Non, pitiĂ©, pas de gaule matinale, pas maintenant, pas devant ma sĹ“ur ! Et pourtant, je ne peux rien faire contre ça ! Plus je regarde ses jambes, plus je sens mon sexe se dresser. Il faut donc que je trouve une solution pour ne pas me faire griller par Marion. Après quelques secondes, j’ai la solution.
Ă€ mon tour de m’extirper de mon duvet, sauf que, plutĂ´t que de rester tĂŞte bĂŞche, je me mets sur le ventre, et mon visage se retrouve donc Ă quelques centimètres de celui de ma sĹ“ur. En sentant mon sexe dur s’Ă©craser contre le matelas, j’esquive une petite grimace. Je me retrouve donc en boxer, cĂ´te Ă cĂ´tĂ© avec Marion, et surtout, cette dernière peut avoir une très belle vue sur mon cul. J’espère que cette Ă©rection matinale va vite disparaĂ®tre, car je n’ai pas l’intention de rester comme ça très longtemps. -Ca va, frangin ?
-Oui, pourquoi ?
-Je sais pas, t’as pas l’air tranquille, j’ai l’impression…
-Si si, ça va ! Bon, on fait quoi, du coup ?Pendant les quinze minutes qui suivirent, nous papotons tranquillement et rions beaucoup, ce qui me change les idées, et ma bite commence à reprendre une taille normale. Ouf !
Soudain, le camping-car emprunte une route qui a l’air un peu cabossĂ©e, ce qui nous secoue un maximum, si bien que, sans le faire exprès, la main de Marion se pose sur ma fesse gauche.-DĂ©solĂ©, frangin, c’est la secousse ! Assure-t-elle en enlevant aussitĂ´t sa main.
-Il y a pas de mal, je réponds, sans penser que le pieu qui se trouvait entre mes jambes venait de se réveiller à nouveau à cause de ce bref contact.
-T’as les fesses vachement dures !S’il n’y avait que ça, suis-je tentĂ© de rĂ©pondre…-Ouais, je sais, Ă force d’ĂŞtre allĂ© au lycĂ©e en vĂ©lo avant les vacances, ça m’a musclĂ© le fessier.
-Et ben, c’est… impressionnant !Je rigole, gĂŞnĂ© par cette remarque, et aussitĂ´t par le matelas de la capucine que j’ai peur de dĂ©former, tant mon Ă©rection me fait mal. Vite, changeons de conversation !-Tu devrais en faire autant, ça te ferait peut-ĂŞtre du bien !Qu’est-ce qui m’a prit de dire ça ? Les fesses de ma sĹ“ur sont parfaites ! C’est très dĂ©placĂ©, comme remarque ! Elle me fixe donc pendant quelques secondes puis, finalement, elle rigole.-Elle est pas mal, celle-lĂ , tu me l’avais encore jamais faite ! Me dit-elle.Je me force Ă rire Ă©galement puis, nous repartons sur autre chose. Pour la deuxième fois en quelques minutes, mon Ă©rection disparaĂ®t, et me voilĂ donc soulagĂ©.
Après une heure de route supplĂ©mentaire, mon père dĂ©cide de s’arrĂŞter sur une aire pour prendre un petit-dĂ©jeuner, Ă quelques centaines de kilomètres de la frontière espagnole. Marion et moi descendons donc de notre perchoir puis, nous enfilons les premiers vĂŞtements qui nous tombe sous la main, et nous suivons nos parents qui nous emmènent dans une petite cafĂ©tĂ©ria qui se trouve sur l’aire.
Nous dĂ©jeunons donc rapidement de viennoiseries, cafĂ©, jus d’orange et chocolat chaud. Quand mon regard se pose parfois sur Marion, j’ai l’impression que mes joues rougissent au quart de tour. Et quand elle me regarde Ă son tour et qu’elle me dĂ©croche un petit sourire, je ne sais plus oĂą me mettre !
Heureusement, j’arrive Ă me contenir, et mes parents ne s’aperçoivent pas de ma gĂŞne. Nous terminons donc notre petit-dĂ©jeuner, puis, après que chacun soit allĂ© faire un tour aux toilettes, nous reprenons la route vers l’Espagne.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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