En période estivale, nous nous transférons avec plaisir dans notre résidence secondaire sur le littoral méditerranéen. Avant le départ vers notre lieu de villégiature, ma femme, Chloé, habillée d’un short ample et d’un top fleuri à fines bretelles, retire des armoires les vêtements d’été et les pose sur le lit. Elle constitue ainsi des piles de robes, de pantalons, de chemisiers, de polos, de lingerie. Les effets personnels sont placés dans les bagages avec précaution pour ne pas les froisser. Au garage, je sors du coffre de la berline les objets inutiles pour faire de la place aux sacs, au matériel informatique, aux chaussures, aux affaires de bain, aux bouteilles de vin. Après avoir fermé les volets et verrouillé les portes de la maison, nous chargeons les bagages dans le coffre de la voiture. Avec une démarche élégante, ma femme va au bout de l’allée du jardin et actionne la télécommande pour ouvrir le portail et prend place dans le véhicule à mes côtés.En ce début d’après-midi, peu de circulation sur l’autoroute qui nous mène vers le Sud. Sous un ciel bleu prometteur, nous jetons des regards sur les champs de culture céréalière et les paysages viticoles. Pragmatique, Chloé règle l’air conditionné et sélectionne des morceaux musicaux pour agrémenter le long trajet. Attentionnée, elle me propose régulièrement de l’eau fraîche ou un fruit en s’assurant que je ne sommeille pas. À mi-parcours, nous nous arrêtons dans une station-service pour faire le plein et prendre un café. Debout autour d’une petite table ronde, nous dégustons le nectar noir en observant les quelques clients de l’espace-bar. Des familles et des camionneurs se restaurent dans une ambiance débonnaire. Un couple de touristes étrangers examine une carte routière en buvant de la bière. Avant de regagner la voiture, nous passons aux toilettes séparées par genre. Sur le parking, nous ressentons la chaleur intense aussi nous nous réfugions rapidement dans la berline et activons la climatisation.Prenant ses aises pour le restant du trajet, ma femme abaisse le dossier de son siège et s’allonge pour faire une sieste. Elle s’assoupit rapidement, me laissant à la possibilité d’écouter en sourdine du jazz. Tout en conduisant, j’effleure d’une main ses jambes dorées à hauteur du levier de la boîte de vitesse. Silencieuse, elle me présente ses pieds pour en masser les plantes. Avec le pouce, j’entreprends des caresses circulaires au-dessous des doigts et dans la partie centrale, des parties sensibles avérées. Chloé ôte son short et se recroqueville de sorte que son sexe soit à la portée de ma main. Elle écarte les grandes et les petites lèvres du sexe et cherche le clitoris qu’elle commence à titiller. J’introduis l’index dans la chatte luisante et caresse le point G. Ma femme semble apprécier la situation et prend tout son temps pour faire durer le plaisir entre les différents spasmes. Puis, elle se rendort jusqu’à notre arrivée en Provence. Au crépuscule, nous parcourons les derniers kilomètres dans un paysage de garrigue et des champs de lavande. Nous entrons dans la cour de notre vieille maison en pierre située dans un village perché non loin de la mer.Le lendemain, nous nous réveillons au chant des cigales, la fenêtre de la chambre étant restée ouverte. Nous descendons au rez-de-chaussée pour prendre le petit-déjeuner sur la terrasse. Le jardin avec ses oliviers, ses palmiers et ses arbousiers est ravissant. Sur les restanques soutenues par des murs poussent des plantes aromatiques telles que l’origan, le romarin, la sauge et le thym. La piscine ovale enterrée est bordée d’un gazon sur les pourtours duquel sont disposés de petits palmiers. Chloé me propose d’arroser les fleurs plantées dans les jarres et de nettoyer le bassin pendant qu’elle range nos effets personnels dans les meubles. Un Bob sur la tête, je déroule le tuyau d’arrosage de son support et disperse un fin jet d’eau sur la végétation. En marchant autour de la piscine, je nettoie à flot les dalles de la plage et me saisis d’une épuisette pour ôter les débris flottant en surface. Je coupe quelques roses jaunes et rouges et de petites fougères pour remplir les vases du salon.De retour dans la maison, je remets mes compositions florales à mon épouse. Ayant fini les rangements, Chloé, habillée d’une robe dentelle dos nu à nœud et chaussée de sandales romaines, me suggère d’aller à pied au marché pour faire nos réserves alimentaires. Nous descendons au bourg par un sentier sinueux offrant une vue sur la pinède. À l’approche de la place du marché, nous marchons dans un labyrinthe de ruelles du centre historique. Tenant d’une main le cabas, je suis ma femme le long des différents étals de fruits et légumes qui excitent nos pupilles et nos papilles. Gousses d’ail, aubergines, courgettes, melons, poivrons, salades, tomates, abricots, citrons, figues et pêches remplissent, au fur et à mesure des achats, le sac. Chloé complète les courses par la charcuterie, les fromages, l’huile d’olive et le pain aux graines de tournesol. Puis, nous nous asseyons à une terrasse de café pour prendre un verre d’anis accompagné de sirop de menthe et d’eau fraîche.Savourant notre apéritif en ce début de vacances, nous observons les passants qui déambulent dans les allées du marché. Soudain, nous apercevons Estelle et Julien venant à notre rencontre. Ce couple ami passe également l’été dans un village proche du nôtre. Nous les invitons à s’asseoir après les avoir chaleureusement étreints en guise de retrouvailles. Ayant adopté le libertinage comme un art de vivre, nos amis sont, comme nous, en relation libre depuis de nombreuses années. Sous une longue chevelure brune, le visage ovale vénusien d’Estelle se caractérise par des yeux bleus en forme d’amande et un long nez aquilin. Grande et sportive, elle porte avec fierté une robe échancrée laissant deviner les seins guillerets à travers le tissu. Bronzé et musclé, Julien arbore un polo col chemise stylisé avec un short tombant sur les genoux. Nous échangeons sur le travail, la famille, la santé. En fin de discussion, nos amis nous lancent une invitation à dîner à leur domicile le jour même, proposition que nous acceptons volontiers.Après un déjeuner frugal consistant en une salade composée, nous montons à l’étage faire la sieste. Tant la température est élevée, nous nous étendons nus sur un drap doux et nous nous endormons. Au terme d’une heure de somme, Chloé souffle sur mon cou et me caresse le dos. Ainsi éveillé, je me retourne et la prends dans mes bras pour l’étreindre. Yeux dans les yeux, nous nous embrassons en mêlant nos langues. Un long baiser nous donne une sensation de plaisir provenant de la libération d’ocytocine qui favorise l’excitation sexuelle. Ma femme s’accroupit entre mes jambes, se penche et entreprend une fellation. Lentement, elle aspire la queue en serrant les lèvres et la régurgite. Habile, elle s’attarde sur les points sensibles : le gland et la base du sexe. Progressivement, le pénis léché se tend ce qui amuse ma partenaire. Cette dernière prend le mandrin dans une main et le dirige dans son vagin. En position d’Andromaque, ma femme rythme les va-et-vient et varie les angles de pénétration. Tantôt j’agrippe ses seins, tantôt je saisis ses fesses pour l’exciter davantage. En sueur, Chloé accélère les mouvements et connaît des moments de jouissance intense. En fin de séance, elle reprend le phallus en bouche jusqu’à l’éjaculation.Durant l’après-midi, nous farnientons près de la piscine. Seins nus, ma femme porte un maillot à boucles latérales qui met en valeur les moyens fessiers, les abdominaux du bas ventre et le nombril. Elle alterne entre des brasses dans le bassin et des expositions au soleil sur la pelouse. Sa silhouette de trentenaire se distingue par des épaules structurées dans l’alignement des hanches, par une taille peu marquée et de longues jambes. Chloé m’arrache à la lecture d’un roman en m’apportant un jus de fruits glacé. Espiègle, elle évoque de récents moments érotiques partagés ensemble avec d’autres partenaires en soulignant ce qu’elle a particulièrement apprécié. Subtilement, elle me parle de ses attentes pour la soirée. Complice, je l’assure de mon soutien pour répondre, dans la mesure du possible, à ses souhaits. Ouverts à de nouvelles expériences, nos amis sauront la contenter d’autant plus que Chloé est souvent généreuse dans l’échange. Pendant que ma femme s’apprête avant la sortie, je fais quelques longueurs de crawl, un exercice physique bienfaiteur pour la santé. À l’étage, ma femme se coiffe, se maquille et se parfume avant d’enfiler une robe pailletée près du corps verte avec un dos nu et une échancrure sur le devant. Elle chausse des escarpins avec des lanières croisées sur les mollets, une tendance de la saison estivale.Sur la route descendant de notre village en direction de la commune où habitent nos amis, nous regardons le soleil rouge lançant ses derniers rayons sur la végétation du maquis. Nous apercevons la maison de nos hôtes, laquelle est bâtie en surplomb offrant un joli panorama sur la mer. Julien et Estelle nous attendent sur leur terrasse fleurie aménagée d’une table en fer forgé et d’un espace salon. Habillée d’une robe fendue bleutée, notre amie nous invite à prendre place sur des fauteuils en osier disposés en cercle autour d’une table basse. Son mari remplit les verres d’un rosé frappé, porte un toast à la beauté des deux femmes et souhaite à chacun de belles vacances d’été. Nous buvons des petites gorgées du vin local en dégustant des fougasses aux olives noires et des poivrons farcis au fromage de chèvre. Estelle et Chloé se complimentent mutuellement sur leurs atours et leurs parures. L’une porte un collier doré à trois rangs, lequel donne de l’éclat à son visage ; l’autre une fine chaîne avec un pendentif mettant en valeur le décolleté.Notre hôte m’invite près de son barbecue extérieur en pierre et en brique. Il dépose dans le foyer du papier et des morceaux de bois de hêtre puis démarre le feu avec une allumette. Julien me montre de la balustrade de la terrasse la plage de galets et le ponton qui se jette dans la mer. Curieuses, nos femmes approchent pour regarder aussi le point de vue. Ma femme pose une main sur l’épaule de notre ami en lui expliquant combien le site est charmant et splendide. Flatté, Julien prend Chloé par la taille en continuant de décrire le paysage. Tout en parlant, il caresse le dos nu de ma femme, se tourne vers elle et l’embrasse sur la bouche. Chloé mordille la lèvre supérieure de son partenaire et introduit sa langue dans la cavité en se plaquant contre lui. Nez contre nez, ils prolongent leur baiser stimulant le désir l’un pour l’autre. Estelle et moi-même regardons la scène en souriant jusqu’à ce que nos conjoints cessent et viennent s’installer avec nous à table. Après avoir fait griller la viande, Julien la coupe et nous la sert dans les assiettes. Accompagnée d’haricots verts, de petites tomates et d’un bon médoc, la côte de bœuf est savoureuse et tendre. Le plat principal avalé, nous allons danser dans le salon intérieur de la maison.Sur des airs de jazz, nous évoluons au rythme de la musique improvisée. Chacun manifeste ses émotions avec des mouvements propres. Les femmes excellent dans leurs déhanchements sensuels alors que les hommes oscillent davantage leurs torses. De temps à autre, Estelle dénude ses cuisses en soulevant les pans de sa robe fendue. Chloé fait sauter ses seins libres dans l’échancrure de son vêtement. Derrière, Julien se dandine en frottant son bas ventre sur le fessier de ma femme. En dansant, Estelle jette les épaules en arrière m’offrant une vue sur sa poitrine. Puis, elle m’enlace en me poussant contre une cloison. Inclinant la tête d’un côté, elle me prend la nuque et embrasse mes lèvres par petites touches. Elle ouvre sa bouche m’incitant à mêler nos langues. Sa respiration rapide traduit un état d’excitation prometteur. Je caresse ses épaules et ses hanches en renforçant notre étreinte. Me regardant dans les yeux, elle ouvre ma braguette, sort mon sexe du slip et le branle doucement. Adossé à la paroi, je vois à proximité Julien qui palpe les seins de ma femme tout en l’embrassant. Fébriles, nous nous déplaçons vers un grand canapé.Estelle retire mon pantalon et mon caleçon, s’agenouille sur le tapis et entreprend une fellation. D’une main, elle caresse les testicules, de l’autre elle fait tourner le gland sur ses lèvres. Quand la queue prend une taille raisonnable, elle la fait aller et venir dans sa bouche. Connaisseuse, elle alterne fellations lentes et rapides. Puis, elle pince mes bourses avec malice en me souriant. À nos côtés, Julien prodigue un cunnilingus à ma femme dénudée. Les jambes bien ouvertes, Chloé caresse les cheveux de son partenaire, lequel pourlèche le clitoris sorti du capuchon. En somme, nos hôtes s’occupent bien de leurs invités. Ma partenaire accélère la cadence aussi je ne tarde pas à me répandre dans sa bouche. Julien fait glisser deux doigts dans la chatte humide de Chloé. D’un doigté vigoureux, il procure à sa partenaire des spasmes de jouissance répétés. Un abondant liquide gicle sur l’intérieur des cuisses de ma femme qui gémit de plaisir. Ces préliminaires achevés, nous enchaînons sur d’autres jeux érotiques.Julien propose à Chloé de se mettre en position de levrette sur le tapis. Notre hôte lui écarte les fesses et la pénètre dans le vagin jusqu’à la garde. Estelle se place sous ma conjointe et lui suce les mamelons. Elle étire les tétons en les mordillant ce qui a pour effet de durcir les bouts-de-sein. Cette réaction émouvante marque l’excitation sexuelle de ma femme. Notre amie poste son visage entre les cuisses de Chloé pour lécher les deux sexes en situation de coït. Sa langue s’attarde dans un premier temps sur le clitoris. Dans une seconde étape, elle prend en bouche le gland et le replace dans l’orifice. Les mains accrochées aux hanches, Julien plonge son mandrin avec une régularité de métronome. La queue épaisse remplit totalement la cavité rose. Ma femme tend sa croupe pour faciliter les pénétrations. Tête-bêche avec Estelle, elle regarde la chatte de notre amie et se lance dans un cunnilingus. Assis sur le canapé, j’observe le spectacle sensuel du trio tout en me masturbant. Estelle frotte d’un doigt le clitoris et lèche la hampe de la queue. Endurant, Julien poursuit ses allers et retours en faisant claquer ses cuisses sur les fesses. Sa femme l’excite par des caresses sous les testicules. Tous ces mouvements bien coordonnés s’accélèrent et portent les protagonistes à un haut degré de jouissance.Après un passage à la salle de bain, nous mangeons dans des coupelles, un mélange de fruits rouges (cassis, framboises, myrtilles) en reprenant du médoc. Ayant un effet relaxant sur nos organismes, le vin décuple l’ambiance érotique de la soirée. Désinhibées, nos femmes nous provoquent en oscillant leurs corps nus. Espiègles, elles frôlent nos torses avec leurs seins et nos cuisses avec leurs fessiers. Debout, elles s’enlacent et s’embrassent avec passion. Estelle doigte sa partenaire pendant que celle-ci lui pince les mamelons. Excitée, Chloé frotte sa vulve sur la cuisse de notre amie laquelle la caresse derrière entre les deux orifices. Ma femme se dirige alors vers Julien assis et le masturbe pour raidir sa queue. Elle se retourne et enfile lentement le mandrin dans son anus. Tout en gardant son membre immobile dans le fourreau, son partenaire lui mord le cou et lui pétrit les seins. Adossée sur le torse et pénétrée, Chloé écarte ses jambes sur les cuisses de son amant.Tenant à la main un stimulateur du clitoris, Estelle se place à genoux devant ma femme pour masser le bouton rose avec le jouet. Sous les vibrations et les pulsations d’air, la zone érogène est rapidement excitée. Chloé ne tarde pas à monter au septième ciel et connaît des spasmes de plaisir intense. Ses cris de jouissance électrisent l’ambiance érotique. Julien soulève les fesses de sa partenaire et commence à l’enculer avec vigueur. De son côté, Estelle maintient avec fermeté le stimulateur sur le clitoris souhaitant amener sa partenaire à un plaisir encore plus fort. Ma femme s’abandonne, laissant à ses partenaires le soin de disposer librement de son corps. Ceux-ci savent bien comment l’amener à la jouissance. Estelle poursuit le massage clitoridien et Julien, par ses pénétrations rectales puissantes, sent les muscles anaux contracter son membre. Chloé connaît plusieurs orgasmes avant de s’affaisser, étourdie, entre nos hôtes.Nous reprenons le chemin de la salle de bains puis nous nous rhabillons. De la terrasse, nous regardons le ciel pur où scintillent des milliers d’étoiles. Estelle me frotte le dos amicalement en me disant combien elle apprécie la complicité de notre couple. Plus intime, Julien donne des petits baisers sur les lèvres de ma femme en la complimentant pour sa beauté. Nous remercions nos amis pour cette délicieuse soirée et les invitons à passer chez nous pendant leurs vacances. Sur le retour, Chloé, la tête appuyée sur mon épaule, somnole.