Ce sont les vacances. Nous avons réservé pour cinq nuits en chambre d’hôtes sur la côte aquitaine. Nous avons choisi une chambre avec une piscine, ma femme adore l’eau. Pour partir, elle met simplement une robe légère sans aucun sous-vêtement. C’est un plaisir qu’elle me fait depuis quelques années. Après avoir laissé tomber le soutien-gorge, elle accepte maintenant d’être également sans culotte pendant les vacances. D’ailleurs, je crois qu’elle y a pris goût.Nous arrivons à la chambre en fin d’après-midi, il s’agit d’une maison de plain-pied qui présente une belle surface au sol où deux chambres sont en location. Nos hôtes nous reçoivent, très charmants, ils ont tout juste la soixantaine et sont à la retraite depuis peu. Nous voyons de suite que c’est un couple qui s’entretient et qui souhaite rester l’esprit jeune. Le courant passe très bien. Ils nous font d’abord visiter l’extérieur et nous découvrons la piscine qui permet de faire de belles longueurs. Elle se trouve derrière notre chambre qui nous est présentée juste après. Très bien décorée, nous sommes enchantés. Nos hôtes prennent congé de nous pour nous laisser nous installer.C’est maintenant l’heure de prendre le repas et nous voilà partis à la recherche d’un restaurant que nous trouvons très facilement. Après un repas suivi d’une promenade aux alentours, nous rentrons à la chambre.En rentrant, nous fermons les volets et nous entendons des bruits d’eau du côté de la piscine. Quelqu’un est en train de se baigner. Aussi, avant de prendre sa douche, ma femme décide d’aller fumer une cigarette au bord de la piscine. Je suis parti pour prendre ma douche quand j’entends discuter. C’est ma femme qui lie conversation avec la personne qui se baigne. Je tends l’oreille, et la fenêtre ouverte me permet de ne pas trop mal entendre la conversation. Avec l’heure tardive, ils parlent à voix basse et je reconnais notre hôte masculin. Pour converser, il a arrêté de nager et en essayant de regarder à travers les petits interstices laissés par les volets, je peux deviner qu’il est toujours dans l’eau.— Je vais sortir, je commence à me refroidir, annonce notre hôte.— Oh pardon, je vais vous laisser nager, reprend ma femme.— Non, non, ne vous en faites pas, j’ai fait pas mal de longueurs, c’est suffisant pour aujourd’hui. Par contre, je vais vous demander de me faire passer ma serviette parce que je nage nu, c’est tellement agréable.— Ah, excusez-moi, je vous ai dérangé.— Mais pas du tout. Vous pouvez profiter de la piscine comme vous voulez.Ma femme s’est levée pour tendre la serviette.— Merci et excusez-moi, je suis désolé que vous me trouviez comme ça, mais quand c’est calme, j’aime bien nager nu.— C’est vrai que c’est agréable d’être nu.— Vous faites du naturisme ?— Non, mais je crois que ça ne me déplairait pas.— Eh bien, si le cœur vous en dit, n’hésitez pas à faire comme moi, les soirs. Vous ne serez pas dérangés et les autres personnes ne sont pas attirées par la piscine donc n’ayez aucune crainte.— On verra, pourquoi pas. Je vais rentrer, je vous souhaite une bonne soirée.— Merci et vous aussi. À demain.Avant que ma femme ne revienne, je me dépêche de commencer à prendre ma douche. Quand je sors, j’engage la discussion.— Alors, il est sympa notre hôte ?— Oui. J’étais gênée, il nageait nu.— Ah oui ? Je fais comme si je n’avais rien vu ni rien écouté.— Oui. Il nage comme ça le soir.— Et tu l’as vu entièrement nu ?— Ben non.— Il n’est pas sorti de l’eau ?— Si, mais je lui ai passé sa serviette.— Et t’as rien vu ?— Non.— Menteuse. Je suis sûre que t’as un peu maté.— Bon, un petit peu. Il est pas mal pour son âge.— T’es gentille pour son âge. J’y serai bientôt à son âge.— Attends, t’as encore dix ans devant toi.— Oui, mais la différence n’est pas énorme. Et alors, il est bien monté ?— Ça à l’air, en plus, il est comme toi, il est rasé.— Eh bien pour quelqu’un qui n’a rien vu, t’en as des détails.— Idiot. Allez, je vais à la douche.Sans aucun doute, les événements de la soirée pèsent sur notre libido puisque dès que nous nous mettons au lit, nous commençons un gros câlin et je n’hésite pas à mettre en scène notre hôte. Tout ceci l’excite beaucoup, notre baise la fait jouir plusieurs fois. Nous essayons de ne pas trop faire de bruit et c’est dans sa bouche qu’à mon tour, je finis par jouir.Premier matin, c’est l’heure du petit-déjeuner. Pour y aller, ma femme reste en chemise de nuit. Une chemise de nuit toute sage, mais elle ne met pas de culotte. Plutôt osé. Elle fait attention aux mouvements qu’elle fait. Ce n’est pas aujourd’hui que l’on fera connaissance avec les occupants de l’autre chambre, ils sont déjà partis en visite. Nous prenons donc tranquillement le petit-déjeuner sur la terrasse en compagnie de nos hôtes. Ma femme se recule un peu et demande la permission de fumer. Notre hôte a une vue imprenable sur le croisé des jambes de ma femme. Peut-il voir qu’elle ne porte pas de culotte ? Je ne suis pas loin de le penser, mais dans tous les cas, lorsqu’elle se penche en avant pour attraper sa petite sacoche qu’elle a laissée au sol, il a une superbe vue sur ses seins libres.Après le petit-déjeuner, nous nous préparons et nous partons pour notre première journée. Elle est consacrée à la visite de la dune du Pilat. En milieu d’après-midi, comme nous longeons l’Océan, je propose à ma femme une petite baignade. J’ai repéré sur internet une plage naturiste, nous nous y dirigeons sans que je l’informe de cette particularité. Nous trouvons une place sur un parking aménagé qui dessert une plage normale. Pour accéder au côté naturiste, nous devons parcourir quelques centaines de mètres.— On arrive sur une plage naturiste, me signale ma femme.— Ah oui.Nous nous arrêtons à la « limite » textile-naturiste. Avant de quitter sa jupe, ma femme enfile son slip de bain et après avoir quitté son haut, elle décide de rester seins nus. C’est un réel plaisir pour moi de penser que les hommes peuvent contempler sa poitrine. Elle part se baigner très à l’aise. Elle revient et s’allonge sur sa serviette.— Alors, ça te plaît de me voir seins nus.— Bien sûr. Tes seins sont très jolis, c’est très agréable.— Tu veux que j’enlève le bas ?— C’est toi qui vois.— Ça te plairait, n’est-ce pas ?— Pourquoi pas.— On se décale un peu, alors.C’est comme ça que nous parcourons quelques dizaines de mètres de plus côté naturiste avant de reposer nos serviettes. La voilà maintenant qui quitte son bas de maillot pour se retrouver entièrement nue. Cette situation m’excite beaucoup même si j’essaye de ne pas trop me focaliser dessus pour ne pas avoir d’érection. De mon côté, étant très réservé et craignant beaucoup le soleil, j’ai conservé mon tee-shirt et mon maillot de bain. Après quelques minutes, elle décide de retourner se baigner. Je la vois s’éloigner nue, j’ai beaucoup de mal à contenir mon excitation. Son retour est encore plus difficile puisque c’est de face qu’elle m’apparaît avec son pubis totalement imberbe. J’imagine les hommes qui peuvent la voir et qui fantasment sur elle. Je n’arrive pas à contenir mon érection qui est heureusement cachée par mon maillot. Quand elle arrive vers moi, elle s’en aperçoit aussitôt.— Eh bien, dis donc. T’es en forme ! C’est moi qui t’excite où les autres femmes ?— À ton avis.— Je voulais te dire de quitter ton maillot pour ne pas passer pour un voyeur, mais là, ça va être difficile.Nous restons encore quelques dizaines de minutes qui sont entrecoupées d’une autre baignade pour ma femme puis nous repartons. Cet épisode m’a terriblement excité et nous en reparlons dans la voiture.— Apparemment, ça t’a plu de me voir toute nue.— Oui. J’aime bien que l’on puisse voir tes seins, ton sexe. Ça ne t’excite pas ?— Pas plus que ça. C’est surtout très agréable d’être nu. Mais je suis contente que ça te plaise. On reviendra, d’accord ?— OK.Pour la soirée, nous avons trouvé un petit restaurant à cinq minutes de notre chambre et comme nous sommes un peu couverts de sel et de sable, nous décidons d’aller prendre une douche avant d’aller dîner. Après le dîner, nous nous promenons et il est environ 22 h 30 lorsque nous rentrons à la chambre. La lumière autour de la piscine est allumée alors nous décidons d’aller y faire un tour. Notre hôte lit un magazine allongé sur un des transats.— Bonsoir.— Bonsoir.— Bonsoir, vous avez passé une bonne journée ? nous questionne-t-il.— Superbe. Nous sommes allés à la dune du Pilat puis nous sommes allés nous baigner.La discussion démarre ainsi jusqu’à ce que notre hôte nous propose de nous baigner.— Pour moi, ce sera non. Mais ma femme est sûrement d’accord. Je lance.— Oui, t’as raison, je vais aller chercher ma serviette.Il ne lui faut pas plus de deux minutes pour revenir.— Ça ne vous dérange pas, je n’ai pas de maillot ? lance-t-elle à notre hôte.— Pas du tout. Faites comme chez vous.Il a à peine fini sa phrase, qu’elle retire son haut, dévoilant ainsi sa petite, mais très jolie poitrine. Puis c’est au tour de sa jupe de rejoindre le haut sur le transat. La voilà qui rejoint la piscine dans le plus simple appareil. Je suis un peu estomaqué qu’elle dévoile ainsi l’absence de culotte à notre hôte. Ce dernier ne s’est d’ailleurs pas gêné pour la regarder descendre dans l’eau.— Votre femme est naturelle dans sa façon d’être, c’est très agréable.— Oui. C’est vrai, elle est très nature.— Si vous permettez, je vais également me baigner.— Pas de problème.Et c’est tout naturellement qu’il se lève, retire son short pour se retrouver nu à son tour et rejoindre l’eau. Je ne sais pas si c’est volontaire, mais c’est au moment où ma femme nageait dans notre direction que cela se passe. Elle a donc tout le loisir de voir son anatomie complète et son regard, même s’il paraît ne pas trop y prêter attention, a bien su faire l’état des lieux. Les voilà maintenant qui nagent tous les deux en discutant. C’est notre hôte qui sort en premier, je vois bien ma femme qui mate ses fesses. Je peux voir à mon tour qu’il est plutôt bien monté. Il se sèche et s’assoit sur un transat. Ma femme sort à son tour, suivie du regard par quatre yeux masculins. Elle s’enroule de sa serviette et s’assoit sur le transat placé entre notre hôte et le mien. Elle tourne un peu le dos à notre hôte et comme elle frissonne un peu, celui-ci décide de lui frictionner le dos pour la réchauffer.— Ah merci, ça fait du bien.Ces frictions n’hésitent pas s’aventurer sur les hanches et les cuisses de ma femme, mais sans jamais aller plus loin. La discussion se continue encore un petit moment puis nous décidons d’aller nous coucher.Le lendemain débute comme la veille avec des gestes « je fais mine de cacher tout en laissant deviner » de la part de ma femme. Pour le reste de la journée, rien de particulier, nous avons fait notre lot de balades et visites des environs. Le soir venu, nous rentrons à peu près à la même heure, vers les 22 h30. Comme la veille, la lumière est présente autour de la piscine, des bruits nous font penser que notre hôte se baigne. Toutefois, nous rentrons à la chambre. Je ferme les volets en les arrêtant juste avant le baisser total de façon à ce que les interstices laissent voir à travers. Une fois n’est pas coutume, nous entendons deux voix, dont une voix féminine. C’est la femme de notre hôte.Ma femme décide d’aller prendre sa douche. Pendant ce temps, je jette un coup d’œil à travers les volets, je peux voir la femme de notre hôte qui est en train de sécher. De temps en temps, je peux apercevoir son corps entièrement dénudé, elle aussi est donc adepte de la baignade naturiste. Puis, je l’entends annoncer à son mari qu’elle rentre. Quelques instants plus tard, ma femme a terminé, elle enfile sa chemise de nuit, me dit qu’elle va fumer une cigarette vers la piscine et qu’elle fait suivre sa serviette si elle veut se baigner. Comme le premier soir, je me positionne derrière les volets.Elle a maintenant rejoint notre hôte autour de la piscine, la discussion s’engage aussitôt. Avec l’heure, ils parlent faiblement et j’ai beaucoup de difficulté à saisir leur conversation. Toujours est-il que lorsque la cigarette est terminée, je vois ma femme retirer sa chemise de nuit et se diriger dans l’eau totalement nue, bien sûr. Ils nagent un moment et notre hôte sort le premier. Je le vois se sécher. Lorsque ma femme sort à son tour, notre hôte prend sa serviette, se lève et lui entoure le corps pour la sécher. Il la frictionne, elle est face à lui et après quelques instants, ils écartent les pans de la serviette pour admirer le corps de ma femme. Je ne comprends pas ce qu’ils se disent, mais la serviette tombe au sol et les mains de notre hôte commencent à se promener sur la poitrine de ma femme. Je le vois avancer sa tête et c’est maintenant sa bouche qui s’empare de ses seins. Ma femme ne semble pas offusquée de cet entrain, elle se laisse faire.La bouche est toujours occupée sur les seins, mais les mains les ont quittés pour descendre au niveau des fesses qu’elles malaxent. Notre hôte interrompt ce traitement pour poser ses mains sur les épaules de ma femme et appuyer dessus pour qu’elle se mette à genoux devant lui. Elle ne semble pas se faire prier, et je la vois qui commence à embrasser cette queue si bien présentée. Ses mains ne restent pas inactives puisqu’elles prennent possession, tour à tour, des bourses et de la hampe de chair qui grossit rapidement. La fellation dure un moment et c’est à nouveau notre hôte qui décide de passer à autre chose. Il fait allonger ma femme sur un transat, lui ouvre largement les cuisses pour y plonger la tête. Ma femme semble apprécier, elle a du mal à étouffer ses gémissements.Au bout d’un moment, notre hôte se redresse et vient présenter sa queue à l’entrée de la grotte d’amour qui doit être trempée. Il semble s’être enfoncé d’un coup. Les va-et-vient, d’abord lents, deviennent de plus en plus rapides et forts. Notre hôte pilonne maintenant ma femme de plus en plus fort. Il lui plaque une main sur la bouche pour ne pas qu’on puisse l’entendre gémir. Il s’arrête et lui représente sa queue à sucer. Elle engloutit le membre et rapidement ce n’est plus elle qui suce, mais notre hôte qui lui baise la bouche. De temps en temps, il arrête les allers-retours pour lui tapoter le visage avec sa queue. Il l’a fait mettre maintenant en levrette et vient plonger son visage entre ses fesses. Les mouvements de sa tête sont sans équivoque, il est très clair que sa langue passe du sexe à l’anus et de l’anus au sexe sans que ma femme le repousse.Habituellement, elle n’aime pas que je m’occupe de son petit trou, alors je ne sais pas si c’est l’excitation, mais là, elle ne dit rien et prend tout son plaisir. Notre hôte se redresse et vient prendre brutalement possession de la chatte grande ouverte. Ma femme ne peut d’ailleurs étouffer un gémissement de plaisir. Les coups de boutoir sont brutaux. Ce traitement dure quelques minutes et notre hôte se retire rapidement pour venir présenter sa queue au visage de ma femme. Il la tient par les cheveux et lui éjacule sur le visage. Je ne vois pas bien, mais ma femme a la bouche grande ouverte et doit récolter toutes les giclées qui atteignent leur but. Notre hôte, toujours en maintenant ma femme par les cheveux, lui fourre sa queue dans la bouche pour qu’elle finisse de sucer le sperme qui s’en écoule. Je la vois même rassembler avec son doigt les giclées qui ont atteint son visage pour les guider jusqu’à sa bouche. Tout ceci en regardant notre hôte. Jamais elle ne s’est comportée de façon aussi salope. Il se penche pour l’embrasser sur le front et prend congé. Ma femme reste là, un moment, à genoux. Elle récupère sans doute de ses émotions. Je suis sous la douche quand la porte de la chambre s’ouvrir.— Ça y est ? Tu t’es bien baignée ?— Oui, me répond-elle simplement en prenant ma place dans la salle de bain dès que j’en sors.Quand on se met au lit, je me frotte à elle, il faut dire que tout cela m’a pas mal excité. Malheureusement, je n’ai droit qu’à un cul tourné sous prétexte qu’elle est fatiguée. Je n’insiste pas.Le matin du troisième jour, au petit-déjeuner, je m’aperçois que le comportement de ma femme a un peu changé. Alors qu’elle faisait attention de toujours bien croiser les jambes pour ne pas montrer l’absence de culotte, elle est un peu moins stricte si bien qu’à un instant, je ne peux que me rendre à l’évidence : sa position, même si elle n’est pas provocante, est telle que notre hôte ne peut que remarquer l’absence de tissu sous la chemise de nuit. Mon regard part de l’entrejambe de ma femme à notre hôte. À ce moment-là, il me regarde également en esquissant un léger sourire. Ne sachant comment réagir, je reste pantois. Au moment de partir en voiture pour notre journée de visite, notre hôte nous fait signe de nous arrêter. Il passe côté passager et ma femme baisse totalement la vitre. Il pose ses coudes sur la portière.— Ce soir, vous me rejoignez au bord de la piscine, je vous attends.On lui répond que c’est d’accord et au moment de nous laisser partir, notre hôte termine en disant :— Karine est vraiment charmante. Vous avez beaucoup de chanceEn disant ces quelques mots, il soulève légèrement le bas de la robe de ma femme pour admirer son sexe puis me sourit avant de se dégager de la portière. Encore une fois, nous sommes tous les deux restés sans réaction. En partant, j’aborde tout de même le sujet.— Il s’en fait pas de te mater la chatte comme ça.— Oh, il a fait pour s’amuser, surtout qu’il m’a déjà vue nue.— D’accord, mais ce n’est pas une raison.— Mais tu es jaloux ma parole.— C’est normal, tu ne crois pas ? Un mec mate la chatte de ma femme sous mes yeux, c’est quand même gros.— T’as qu’à pas me demander de ne pas mettre de culotte.— Ça va être de ma faute maintenant.— Mais non. Allez, qu’est-ce qu’on fait aujourd’hui ?Encore une journée bien remplie, promenades, visites, restaurant, nous voilà arrivés à la chambre. Comme il était convenu, ma femme me dit de rejoindre notre hôte autour de la piscine. Elle passe rapidement par la chambre avant de venir. En l’attendant, je discute donc avec notre hôte de notre journée. L’attente dure une dizaine de minutes et ma femme finit par arriver. Pour seule tenue, elle s’est enroulée de sa serviette qu’elle a nouée au-dessus de sa poitrine. Il ne fait donc aucun doute qu’elle veut se baigner. Après quelques échanges, elle se lève pour aller se baigner. Elle dénoue sa serviette pour la poser sur son transat et la voilà encore totalement nue devant notre hôte. J’ai bien vu que notre hôte n’a rien manqué du spectacle, il ne se gêne pas pour admirer l’anatomie de ma femme.Lui aussi se décide. Il quitte son caleçon et plonge à son tour dans la piscine. Après plusieurs longueurs chacun, ma femme fait une pause. Elle s’est placée face à moi, debout dans la piscine, les coudes posés en arrière sur le bord. Le niveau de l’eau lui arrive juste sous les seins. Notre hôte vient se placer à côté et c’est sans tarder qu’il s’empare de la poitrine offerte avec une de ses mains. Tous les deux me regardent, sans doute pour attendre ma réaction, mais je ne fais que les regarder également. Alors, la bouche de notre hôte rejoint la main active pour prendre possession de l’autre sein. Ma femme bascule sa tête en arrière, la main baladeuse continue son exploration. Je la vois disparaître dans l’eau. Ces caresses cessent au moment où notre hôte s’assoit sur le rebord de la piscine et demande à ma femme de venir le sucer. Elle ne se fait attendre pour s’activer. Une main masturbe la tige déjà bien proportionnée pendant que sa bouche avale le gland ou descend pour gober les couilles lisses. Notre hôte finit par s’allonger totalement et relève ses jambes. Sa main vient appuyer sur la tête de ma femme.— Allez, lèche-moi bien les couilles, petite salope.Et c’est encore avec plus d’ardeur qu’elle continue sa besogne. La main se fait plus directive et fait descendre la tête de ma femme encore plus bas.— Encore, allez, vas-y bien avec ta langue. Fais voir à ton petit mari comment t’aimes bien me bouffer le cul.Elle y met tout son cœur si bien que notre hôte l’interrompt avant d’atteindre le point de non-retour. Il se lève et demande à ma femme de sortir de l’eau pour venir s’allonger sur un transat. Une fois, la position prise, il m’appelle.— Vient préparer la petite chatte de ta femme avant que je la baise.Moi, comme hypnotisé, je viens me placer entre les cuisses de ma femme et je me mets à lécher cette petite chatte déjà largement humide et pas seulement par l’eau de la piscine. Pendant ce temps, notre hôte se place à cheval au niveau du visage de ma femme et lui présente sa queue à sucer. De temps en temps, mon regard se soulève et je vois notre hôte qui tantôt baise la bouche de ma femme, tantôt lui fait lécher ses couilles et son petit trou. Au bout d’un moment, il se dégage et me lance :— Elle doit être prête, allez, va te rasseoir.Et c’est sans ménagement qu’il pénètre la chatte toute luisante. Il lui assène de grands coups de boutoir. J’ai l’impression d’être dans un film X. La queue entre, sort, lime avec force. Ma femme gémit, jouit, elle ne se contrôle plus vraiment. Ce traitement dure un bon moment avant qu’il ne désire à nouveau changer de position. Cette fois, il la fait mettre en levrette et me sollicite.— Allez, reviens par là. Viens la lécher encore, mais cette fois, tu vas lui préparer le petit trou, il a l’air tout serré alors lubrifie le bien. Tu ne voudrais pas qu’elle ait mal quand j’y enfournerai ma queue, n’est-ce pas ?Sur le ton qu’elle est dite, cette question n’en est pas vraiment une, elle n’attend aucune réponse verbale. Je viens donc me positionner derrière ma femme pour lui lécher l’anus. Je n’oublie pas la petite chatte encore ouverte. Je me sers d’ailleurs de la cyprine dont elle est inondée pour lubrifier son petit trou. Je présente un premier doigt que j’enfonce petit à petit en faisant des va-et-vient. Je masturbe ce petit trou jusque-là vierge de toute pénétration. Un deuxième doigt commence à vouloir rejoindre le premier et comme pour celui-ci, c’est petit à petit qu’il trouve son passage.— Hum, c’est bien, continue comme ça, me lance notre hôte qui a entrepris de se faire sucer.Maintenant, c’est un troisième doigt qui a rejoint les deux autres. Me voilà en train de branler le cul de ma femme avec une bonne cadence pendant qu’elle suce une autre queue.Notre hôte se déplace pour venir à cheval au-dessus des fesses de ma femme. Il me demande de bouger, mais de continuer le branlage que j’applique. Quand il est en position, il me fait retirer mes doigts et les remplace pas sa queue qui entre sans aucune difficulté. Il pénètre le conduit anal de ma femme doucement jusqu’à être en butée contre ses fesses.— Eh bien voilà, t’as bien travaillé, c’est rentré tout seul.Et pendant que je regagne mon transat, les va-et-vient commencent dans le cul de ma femme qui a placé une main sous elle pour se masturber la chatte. Cette sodomie dure un bon moment, la position a changé plusieurs fois jusqu’à ce qu’il s’allonge sur le dos. Ma femme vient se positionner sur lui en lui tournant le dos et guide la queue dans son orifice le plus étroit. D’où je suis placé, j’ai une vue immanquable sur cette pénétration que je n’ai jamais pu pratiquer.— Regarde ta petite femme. Tu ne savais pas que c’était une belle petite enculée, c’est elle qui en demande maintenant. Une bonne petite salope.Les paroles crues de notre hôte sont comme un excitant pour ma femme, elle se branle le clitoris, la chatte. Sa jouissance semble ne pas vouloir s’arrêter. Notre hôte finit pas se dégager et dit à ma femme.— Allez, viens que je t’asperge.Placé face à elle, il lui gicle sur la poitrine de nombreux jets, d’autres ont atteint le visage.— Écarte bien tout mon foutre sur tes seins, allez, c’est bien. Lèche tes doigts.Ma femme s’exécute. Après avoir écarté le sperme sur ses seins, elle entreprend de se lécher les doigts, de ramasser les jets qui sont sur son visage pour les porter à sa bouche. Elle se délecte de tout ce jus offert. De mon côté, je bande à en avoir mal. Notre hôte le voit.— Maintenant, branle ton mari et fais-le jouir sur tes seins.Je me lève, sors ma queue pour la présenter à ma femme. Elle la prend dans la main et commence à vouloir la porter à se bouche.— Je t’ai dit de le branler, pas de le sucer. Tu le fais gicler sur tes seins, tu écartes son foutre avec tes mains et tu te lèches les doigts, c’est tout. Je t’interdis de le sucer.Ses mots sont très directifs. On ne dit mot et elle s’exécute. Ma jouissance est comme une libération tellement mon érection était tendue. Après avoir assisté à ce spectacle, notre hôte dit :— Demain soir, je vous invite au restaurant. Rentrez vers les 18 heures, 18 heures 30. Vous prenez une douche et direction le restaurant. C’est à une petite demi-heure et le rendez-vous est pour 20 heures. Bonne nuit et à demain.Sur ces mots, notre hôte disparaît chez lui. Nous, nous récupérons quelques instants sans un mot. La fin de la soirée n’est pas plus loquace. Je crois que tous les deux, nous nous demandons ce qu’il nous arrive, pourquoi nous exécutons ce qui nous est demandé, sans réaction. Nous nous endormons l’un contre l’autre en nous disant je t’aime.Avant-dernier petit-déjeuner, notre hôte n’est pas là. Sa femme nous explique qu’il est parti tôt ce matin et qu’il nous souhaite une bonne journée. Nous avons décidé qu’elle serait plus calme et elle se termine, l’après-midi, par une baignade, enfin pour ma femme, l’eau étant nettement trop froide pour moi. Pour cette baignade, nous retournons à la plage naturiste. S’il y avait eu un soupçon de gêne la première fois, aujourd’hui ma femme est très à l’aise. Elle va se baigner sans se soucier le moins du monde des personnes qui pourraient la regarder. Cette situation m’excite toujours. J’imagine les mâles regardant son corps entièrement imberbe et fantasmant dessus. Il est maintenant l’heure de rentrer pour se rendre au restaurant comme prévu. Nous nous disons que nous avons passé de très belles vacances, que le coin est superbe et que nous avons vu de très belles choses. La femme de notre hôte nous accueille avec un petit sac.— Tenez, c’est de la part de mon mari. Il est déjà parti, vous le rejoindrez directement au restaurant, l’adresse est dans le sac.Un peu gênés, nous répondons par un simple merci.Dans la chambre, nous découvrons le contenu du sac. Il s’agit d’une robe rouge avec décolleté en tulle transparent. Elle est assez moulante et arrive à mi-cuisses. Avec la robe, une carte indiquant ceci :— Présentez-vous à l’adresse suivante : restaurant xxx, rue xxxx à Bordeaux. Le restaurant possède un parking privé. Merci de porter la robe suivant vos habitudes que j’ai pu découvrir. Je crois que vous avez de petits escarpins qui iront très bien avec. À toute à l’heure.Nous prenons notre douche et Karine se prépare. Comme convenu, elle enfile la robe sans aucun sous-vêtement et ses escarpins rouges. Elle est superbe et très excitante. Ce qui me donne des envies. Je viens la presser.— Non, sois sage, il ne faut pas qu’on traîne trop.— Il te gâte. Tu crois qu’il va vouloir te baiser encore.— Je ne sais pas. Qu’est-ce que t’en penses ?— S’il t’a acheté une robe aussi sexy, je pense que ça va lui donner des idées également et qu’il va encore essayer de te baiser.— Tu crois ? Et t’aurais envie ?— Et toi, t’aurais envie ?— Je ne sais pas. Je me suis bien éclatée pendant ces vacances et c’est notre dernier jour, alors pourquoi pas. Surtout que ça ne te déplaît pas.— C’est vrai. Ça fait un peu bizarre, mais je dois dire que ça m’excite beaucoup.— Eh bien, alors on verra ce qui se passe et profitons-en.— T’as raison, laissons faire les choses.Arrivés au restaurant, nous nous présentons à la personne qui nous accueille et celle-ci nous conduit jusqu’à une table où sont déjà installées 3 personnes. De dos, je reconnais notre hôte et face à lui, deux hommes qui doivent avoir entre 55 et 65 ans. Notre hôte se lève, fait les présentations et demande à ma femme de s’installer sur la chaise libre située entre ses deux amis. Pour ma part, je m’assois à la place restante entre notre hôte et un de ses amis. Le repas se fait tranquillement, nous parlons de tout, de la région, de nos vacances qui s’achèvent, de nos métiers, et autres sans jamais aborder de sujet touchant au sexe. Pendant que nous attendons le dessert, notre hôte interpelle ses deux amis.— Vous ne savez pas, mais Karine ne porte pas de culotte en vacances.Cette déclaration nous surprend, et nous échangeons, avec ma femme, un regard étonné et un brin inquiet.— Ah oui ? répond un des amis.— Oui, vous pouvez vérifier par vous-même si vous le souhaitez.Après ces paroles, je vois un bras de chacun des amis disparaître sous la table. Au même moment, ma femme bouge, je devine qu’elle vient de décroiser ses jambes. Le mouvement des deux bras est sans équivoque, ils sont en train de caresser chacun une des cuisses de ma femme. J’imagine que ces mouvements font remonter la robe très haut puisque les regards des amis sont dirigés dans la même direction et l’un deux confirme.— Tu as raison, Karine n’a pas de culotte.— Ceci est très intéressant, répond le second.Les desserts arrivent et ils retirent leurs mains au moment où le serveur passe derrière eux pour les servir. Ma femme n’a pas le temps de faire descendre sa robe et je vois le regard du serveur qui s’égare dans la direction des cuisses dénudées. Je ne sais pas ce qu’il a pu voir, mais ça lui fera sans doute une charmante anecdote à raconter.Après un café pour ceux qui l’on désirait, le repas est terminé.— Maintenant, je vous propose de finir la soirée un peu plus haut, déclare notre hôte.Tout le monde se lève, et nous le suivons sans nous poser plus de questions. Arrivés devant la porte d’une chambre au premier étage, notre hôte s’arrête, ouvre la porte et dit en s’adressant à moi :Sans plus réfléchir, je suis son pas. Il me présente un plateau contenant des en-cas et de la boisson en me disant que je peux en profiter à volonté puis il allume la télévision. À l’écran, je découvre une chambre identique à celle où je suis. La caméra est positionnée en face du lit. Aucun mouvement n’est apparent, mais je crois comprendre ce qu’il va se passer— Je vous invite à suivre le programme qui va débuter dans quelques minutes, je suis certain qu’il vous plaira. Et n’hésitez pas à profiter du plateau comme vous le souhaitez. Sur ce, je vous dis bonne visualisation et à plus tard.Après ça, il sort de la chambre en fermant la porte derrière lui.Je reste seul, je regarde autour de moi puis j’entends des voix à la télévision. Notre hôte apparaît suivi de ma femme et de ses deux amis.— Après ce bon repas, je pense qu’il devrait être agréable de prendre du bon temps, n’est-ce pas Karine ?— Pourquoi pas.— C’est un excellent programme que tu as concocté, lance un des deux amis à notre hôte.À l’écran, je vois maintenant ma femme coincée entre les deux amis. Leurs mains se font baladeuses sur les jambes, les fesses et les seins de ma femme.— Karine, je souhaite te préciser que mes amis prendront des préservatifs pour les pénétrations, mais qu’ils sont totalement sains. Ton mari peut le constater sur les résultats de test que j’ai laissé sur le meuble à côté du lit.Machinalement, je me dirige vers les documents pour constater que les documents sont des résultats de test HIV et qu’ils sont bien négatifs. Puis, je m’installe sur le lit pour continuer la suite de la diffusion où les choses ont vraiment commencé. La robe est maintenant relevée jusqu’à la taille, les mains s’insinuent entre les cuisses de ma femme. Pour l’instant, notre hôte doit se contenter d’admirer le spectacle comme moi puisque je vois uniquement ses jambes. Il doit être assis sur une chaise. Ses amis ne perdent pas de temps, la robe a rejoint le sol, l’un deux a entrepris de lécher le sexe de ma femme pendant que celui qui est derrière, lui caresse les seins et l’embrasse dans le cou. Les positions changent, elle se met à genoux et les deux hommes présentent leur sexe à sa bouche. Elle les attrape, un dans chaque main, et entreprend de les sucer à tour de rôle. Le temps s’écoule. Ils la font allonger sur le lit. Pendant que l’un lui bouffe la chatte, l’autre lui présente sa queue à sucer. Le premier se relève et enfile un préservatif avant de pénétrer ma femme. Les mouvements ne tardent pas à se faire rapides et appuyés.J’entends ma femme gémir, elle a du mal à se concentrer sur la bite qu’elle tente de sucer. Les rôles s’inversent, celui qui se faisait sucer baise ma femme pendant que l’autre occupe sa bouche. Je vois notre hôte qui tend un petit flacon à celui qui pénètre ma femme. Ce dernier se retire et verse un peu de liquide du flacon au niveau de l’anus de ma femme. Notre hôte doit jouer le cameraman puisqu’un zoom se fait sur la chatte toute luisante. Ma femme est placée légèrement sur le côté avec une jambe très relevée. La main du baiseur passe et repasse sur l’anus humidifié pour le détendre. Un doigt suivi en très peu de temps d’un second glisse dans l’orifice anal que je n’ai pas encore pu explorer. Les deux doigts ne tardent pas à être remplacés par la queue qui se fraye doucement son chemin. C’est une fois que toute la longueur de chair est absorbée que les va-et-vient démarrent.L’enculage semble être apprécié puisque les gémissements sont remplacés par des cris de jouissance. Inconsciemment, j’ai ouvert mon pantalon et je me masturbe de la scène qui se déroule sous mes yeux. Le zoom de la caméra refait un plan large sur la totalité du lit et les rôles s’inversent à nouveau. Le cul et la bouche de ma femme sont toujours investis par une queue. Le trio se déplace, l’un des hommes s’allonge sur le lit et ma femme s’empale sur sa queue. La suite n’est pas bien difficile à deviner, le second présente sa queue entre les fesses de ma femme et commence une lente pénétration. Pendant ce temps, ma femme et l’homme en dessous ont arrêté leurs mouvements. J’imagine que l’opération est délicate puis cela semble être fait puisque les mouvements reprennent.C’est à ce moment-là que notre hôte entre également en scène en donnant sa queue à sucer à ma femme. Ce que j’avais souvent imaginé se déroule sous mes yeux : ma femme prise par plusieurs hommes en même temps et qui jouit à n’en plus finir. Elle se lâche vraiment puisqu’elle crie sa jouissance. Les paroles que lui assènent ses assaillants semblent avoir le don de l’encourager encore plus. Les mots crus se succèdent, je ne compte plus les « petite salope », « bonne suceuse », « belle enculée », « petite pute » qui sont lâchés. J’espère que les chambres sont bien insonorisées sinon les voisins doivent apprécier. Notre hôte disparaît à nouveau de l’écran quand ses amis se placent face à ma femme qui est à genoux pour se masturber et lui gicler tout leur foutre sur le visage et les seins. Pour recevoir ces offrandes, ma femme a la bouche grande ouverte, elle avale tout le sperme qui atteint sa bouche. Elle étale le reste sur sa poitrine, lèche ses doigts pour récolter un maximum de liquide précieux. Elle finit pas prendre en bouche les deux bites pour finir de pomper le sperme qui s’en échappe encore. Elle semble épuisée, je regarde l’heure, ça fait environ trois quarts d’heure qu’ils la baisent. Notre hôte lui propose d’aller prendre une douche. Pendant ce temps, les trois amis échangent.— Alors, qu’est-ce que vous en dites ?— C’est une sacrée baiseuse, elle en veut la petite salope.— Si je vous dis qu’il y a deux jours, elle ne connaissait pas encore la sodomie.— C’est pas vrai ? Eh bien, elle y a vite pris goût.Puis notre hôte s’adresse à moi à travers la télé.— Alors, le programme vous plaît ? Ne vous inquiétez, il ne s’agit que d’un entre-acte, la deuxième partie va bientôt débuter.Ma femme réapparaît alors, une serviette enroulée autour du buste.— Ça va ? Lui demande notre hôte.— Ça va. Je commence à avoir mal à mon petit cul, autrement c’est bon.— Ça t’a plu ? T’as bien joui ?— À votre avis ?— Je crois que oui et comme tu as apprécié, on va-t’en donner encore.— Oui, mais pas mon derrière, s’il vous plaît.— C’est d’accord, on va le laisser tranquille.Il vient alors présenter sa queue à ma femme qui est assise sur le bord du lit et, en même temps, lui retire la serviette. La partie redémarre. Cette fois, notre hôte est seul pour la baiser. Les positions s’alternent, pénétration, fellation, levrette, cuillère, et bien d’autres. Ses amis ont récupéré, ils apparaissent dans le champ de vision, la queue fièrement dressée, et viennent se joindre au duo. Encore une fois, ma femme ne reste jamais sans avoir une queue dans la chatte et dans la bouche. Ils tiennent parole et ne s’occupent pas du petit trou de ma femme. La fin se termine en apothéose puisqu’ils viennent tour à tour jouir dans sa bouche. Cette fois-ci rien n’est perdu, la totalité du sperme éjaculé est engloutie, aucune goutte n’est perdue. De mon côté, je n’en peux plus et je cours aux toilettes pour soulager mon érection. J’ai rarement éjaculé aussi fort, je suis soulevé par de multiples spasmes. Quand je reviens dans la chambre, je regarde l’heure. Ça fait pas loin de deux heures que les débats ont débuté. Sur l’écran, ma femme a revêtu sa robe. Notre hôte lui indique que je vais l’attendre dans le hall de l’hôtel. Les trois amis lui font la bise en la remerciant et en lui souhaitant une bonne soirée. Je la vois quitter le champ de vision et j’entends la porte de leur chambre qui se ferme.— J’espère que le programme était intéressant. Votre femme vous attend dans le hall. Il ne nous reste plus qu’à vous souhaiter une bonne soirée, rentrez bien et un grand merci à tous les deux. Au revoir.L’écran devient noir, je sors de la chambre pour rejoindre le hall. Ma femme est là, on se fait un bisou et nous rentrons à la chambre d’hôte.— Alors mon chéri, ça t’a plu ?— Je ne t’aurais jamais crue capable d’aller aussi loin.— J’ai vu que ça te plaisait que je me fasse baiser par notre hôte alors j’ai voulu t’en donner plus et en prendre plus également. C’est une sacrée expérience, mais tu sais bien que je t’aime. C’était uniquement sexuel.— Je sais, ne t’inquiète pas. Et je t’aime aussi.C’est comme ça que l’on rentre à la chambre d’hôte, après une douche, on se couche bien fatigués, surtout ma femme.Dernier petit-déjeuner, notre hôte n’est pas présent et sa femme nous donne des nouvelles.— Mon mari devait partir de bonne heure encore aujourd’hui. Il s’excuse de ne pas être là pour vous dire au revoir, mais il a été ravi de votre présence et je crois savoir que vous avez passé une excellente soirée hier.Ces derniers mots nous font rougir et nous sommes un peu gênés. Notre hôtesse le remarque.— Ne soyez pas gênés. Avec mon mari, nous avons chacun nos petits plaisirs.Les au revoir finaux se font un peu plus tard après que nous ayons chargé les valises et réglé la chambre.Ces vacances ont été surprenantes, riches en découvertes. Je ne sais pas si une telle expérience sera renouvelée, mais elle nous a procuré beaucoup de plaisir.