C’est le soir mĂŞme, on avait organisĂ© un barbecue, qu’on leur a proposĂ©, le lendemain, de leur faire visiter A…On habitait Ă 10 kilomètres de la prĂ©fecture, une ville magnifique, avec des bâtiments classĂ©s, qui avait Ă©tĂ© validĂ©e huit ans plus tĂ´t comme faisant partie du patrimoine mondial de l’Unesco.
On a appris à mieux se connaître dans la soirée, entre chipolatas et rosé, en se racontant mutuellement nos vies.
C’est au moment oĂą la fraicheur a pris la place de la chaleur lourde de la journĂ©e, apportant de l’apaisement, que je me suis retrouvĂ© seul avec Lola. Son mari avait disparu Ă l’intĂ©rieur, quand ma femme lui avait demandĂ© s’il aimait le foot. C’Ă©tait le moment de la Coupe d’Europe. On Ă©tait un couple un peu spĂ©cial, parce que les rĂ´les Ă©taient inversĂ©s. Je ne m’intĂ©ressais pas au foot, alors que ma femme Ă©tait une passionnĂ©e. Il se trouvait que c’Ă©tait aussi le cas de Frank, et il avait Ă©tĂ© enchantĂ© par la proposition de mon Ă©pouse de suivre le match sur grand Ă©cran.
On s’Ă©tait retrouvĂ©s seuls.
Lola portait une robe d’Ă©tĂ©, et j’avais la quasi certitude qu’elle n’avait absolument aucun sous-vĂŞtement en dessous. Ce n’Ă©tait pas tant une question d’image que je pouvais avoir d’elle, mais quand elle se dĂ©plaçait, on voyait nettement que le tissu collait Ă ses formes, et que nul sous-vĂŞtement n’entravait ses parties intimes. Etait-ce parce qu’on avait pas mal bu de rosĂ©, ou dans sa nature, ou les deux, qu’elle m’a dit:
—Tu as envie de voir quelque chose de sympa?
Elle Ă©tait assise face Ă moi, et elle est venue se poser pile devant moi. J’ai compris très vite ce que pouvait ĂŞtre ce quelque chose de sympa. De toute façon, elle ne m’a pas laissĂ© le temps de rĂ©pondre. Elle a attrapĂ© le bas de sa robe, qui lui arrivait juste au niveau du genou, et elle a entrepris de la soulever. Elle Ă©tait juste devant moi, suffisamment près en tout cas pour que je puisse la voir, et bien la voir, mĂŞme si la nuit Ă©tait tombĂ©e, on Ă©tait près d’une des bornes lumineuses qu’on avait fait installer, mais aussi percevoir la densitĂ© de son corps, la chaleur intense qu’il dĂ©gageait, et l’odeur de ce qui Ă©tait certainement un gel douche, odeur de vanille, elle avait du se laver juste avant que le couple nous rejoigne.
Elle m’a dĂ©voilĂ© son corps, sans doute pas parfait, mais très appĂ©tissant, aux formes sensuelles, et dont on sentait surtout qu’elle savait en faire usage pour donner et prendre du plaisir.
Elle n’avait effectivement pas de slip, et j’ai eu un premier aperçu de son sexe, la masse du pubis qui dessinait une courbe amenant jusqu’Ă sa vulve, toute proĂ©minente, dont sortaient deux bouts de lèvre. Elle avait fait le choix de garder une toison pubienne taillĂ©e, qui confirmait qu’elle Ă©tait une vraie blonde. Elle a continuĂ© de monter, m’offrant ses hanches, son ventre, et deux seins que j’avais dĂ©jĂ aperçus en dĂ©but d’après-midi, orgueilleux et gonflĂ©s. Quand la robe a Ă©tĂ© au niveau de ses Ă©paules, elle s’est retournĂ©e pour me prĂ©senter sa partie pile, dont l’argument majeur Ă©tait sans doute une croupe charnue et impeccablement cambrĂ©e, coupĂ©e en deux par un sillon profond.
—Mon mari ne s’est pas rendu compte que tu Ă©tais lĂ , cet après-midi, moi si. Ca t’a plu?
Je me suis senti rougir.
—J’espère que tu n’as pas Ă©tĂ© choquĂ©. Nous tu sais, et c’est d’ailleurs une des choses qui nous unit, on estime que dans les rapports sexuels, tout doit ĂŞtre possible, tant qu’on reste dans le respect de l’autre. On parle librement de ce qui nous fait envie, Ă l’autre de voir s’il veut nous accompagner ou pas. Et…Frank aime que je le prenne comme si une queue m’Ă©tait poussĂ©e. Il adore ça. Mais rassure-toi, il me donne aussi du plaisir. Et de toute façon, j’Ă©prouve Ă©normĂ©ment de plaisir Ă le baiser comme ça, autant parce que la situation me plait que parce que, c’est comme une rĂ©compense, plus je travaille ses chairs, plus la base du gode frotte contre mes chairs, et je jouis très rapidement.
Elle a fait passer la robe dĂ©finitivement par dessus ses Ă©paules, s’offrant Ă moi dans toute la splendeur de sa nuditĂ©.
—Ce qui me plait dans le sexe, c’est qu’il y a des milliers de possibilitĂ©s, et qu’on peut vivre une vie sans totalement les Ă©puiser. Et mĂŞme dans quelque chose de basique, il y a toujours des nuances, des diffĂ©rences, qui tiennent Ă un changement de conditions, de lumière, de lieu, d’humeur…Tu as envie que je te fasse quelque chose? Moi en tout cas, j’en ai envie.
Elle s’est tournĂ©e, et elle a tendu son cul vers moi en se penchant. Une croupe charnue, avec un sillon profond.
—Tu vas me dire si ça te plait?
Elle s’est approchĂ©e de moi, et elle s’est mise Ă me caresser avec. Elle s’est penchĂ©e pour venir d’abord frĂ´ler mes genoux, mes cuisses. D’instinct, j’ai ouvert les jambes. Elle a reculĂ©, et dans un mouvement souple et circulaire, elle est venue appuyer contre mon ventre. Mon sexe, d’abord, qu’elle a forcĂ©ment senti tout dur, puis elle s’est remontĂ©e sur mon abdomen et ma poitrine. Elle est venue enfin frotter mon visage. A chaque fois, des sensations diffĂ©rentes, mĂŞme si au final, il y avait la mĂŞme sensation, l’Ă©paisseur d’une chair chaude et douce, dont le frottement Ă©tait une dĂ©licieuse caresse.
Avait-elle fait du lao dance, ou Ă©tait-ce son instinct qui parlait? Elle a continuĂ© en tournant autour de moi, en venant frotter mes Ă©paules, mon dos, puis elle est revenue, en cassant le rythme et son parcours, pour appuyer sur moi d’une manière indĂ©terminĂ©e.
—Ca te plait?
—On ne m’avait jamais fait ça avant, et c’est super bon.
—J’ai toujours de bonnes idĂ©es. Tu veux que je te fasse jouir? Tu vas voir, je vais te faire une caresse que tu n’oublieras pas.
Elle a dĂ©fait mon pantalon pour mettre ma queue Ă nu. J’avais une belle Ă©rection. Elle m’excitait terriblement.
—Dis donc, tu as vraiment une belle queue. On peut faire plein de choses avec, j’en suis sĂ»re… Mais en attendant…
Tout en tenant ma queue dans sa main, elle s’est penchĂ©e en avant, s’ouvrant. Dans la semi-obscuritĂ©, je n’ai pas vu grand chose, mais les sensations ont affluĂ©, intenses, quand elle a attrapĂ© ma queue, et qu’elle a guidĂ© vers l’endroit prĂ©cis oĂą dans sa chair, le lisse de sa peau laissait la place Ă la naissance de la dĂ©chirure de son sillon fessier. Collant mon gland Ă sa chair, elle a fait parcourir Ă ma queue le chemin qui s’amorçait lĂ , se poursuivait dans son sillon fessier, en passant par sa muqueuse anale, avant d’Ă©merger, après une zone lisse, sur la dĂ©chirure de son sexe, dont jaillissaient ses lèvres.
Parcourir ces surfaces diffĂ©rentes, en ayant en plus bien la sensation contre moi parce qu’elle m’appuyait contre elle Ă©tait quelque chose d’intense, et j’ai fait un Ă©norme effort sur moi-mĂŞme pour ne pas jouir sur le champ, parce que je voulais vraiment avoir un moment de plaisir, avant l’orgasme. Ce qui l’a dĂ©clenchĂ©, ça a Ă©tĂ© de me rendre compte qu’en mĂŞme temps qu’elle me caressait avec ses parties intimes, elle se caressait aussi, et qu’elle se frottait le clitoris pour se faire jouir. J’ai crachĂ© mon premier jet de sperme en haut de sa raie.
Imperturbable, elle m’a fait descendre, de telle sorte que j’aie arrosĂ© de mon sperme ses muqueuses sans que rien ne soit omis.
Elle s’est Ă©clipsĂ©e sans rajouter un mot, mon sperme coulant de sa raie et de ses lèvres, qu’elle contenait avec sa main. J’ai rengainĂ© ma queue.
Je me suis demandĂ© si… Si son mari et ma femme… Mais Frank a surgi. Le silence avait pris la place du vacarme du match. Il m’a fait un petit signe de la main.
—A demain! Bonne nuit!
J’ai Ă©tĂ© rejoindre mon Ă©pouse. en repensant Ă ce qui venait de se passer avec Lola, si fort.
Muriel m’a souri.
—Elle est partie se coucher?
—Elle vient de partir, oui.
—Tu as passĂ© un bon moment?
Il y a avait quelque chose d’Ă©trange dans cette phrase. Ca tenait Ă un ton, qui m’a fait comprendre qu’il s’Ă©tait produit quelque chose entre elle et Frank, tout comme il s’Ă©tait produit quelque chose entre Lola et moi.
—On va se coucher?
—Mmm, il est tard.
On est montĂ©s jusqu’Ă la chambre. Elle partait toujours la première se prĂ©parer et moi je prenais la suite. C’est quand je l’ai rejointe que je l’ai trouvĂ©e Ă quatre pattes sur le lit, la nuisette relevĂ©e offerte. Au cas oĂą je n’aurais pas compris, elle avait le visage tournĂ© vers moi, avec une expression qui disait clairement qu’elle avait envie.
MĂŞme si j’avais joui un quart d’heure plus tĂ´t, moi aussi j’avais envie, et mon sexe Ă©tait tout dur. Je me suis approchĂ© d’elle, et je l’ai pĂ©nĂ©trĂ©e. Elle a gĂ©mi.
—Fouille-moi bien avec ta queue.
Ce qui s’Ă©tait passĂ©, pour elle comme pour moi, avait exacerbĂ© nos dĂ©sirs. Il Ă©tait fort probable que sans cela, on se serait couchĂ©s sans plus. Il y avait en moi une Ă©nergie sexuelle que je n’avais pas d’habitude, et je l’ai fouillĂ©e avec ardeur. Elle semblait elle aussi possĂ©dĂ©e par une Ă©trange excitation. Je sentais son sexe plus ouvert que d’habitude, et elle m’inondait littĂ©ralement de ses sĂ©crĂ©tions. Elle se frottait le clitoris, dans un geste qui m’a rappelĂ© celui de Lola quelques instants plus tĂ´t, et ma jouissance a Ă©tĂ© vraiment très intense. On s’est couchĂ©s avec le sentiment, je crois, c’Ă©tait mon cas en tout cas, d’un plaisir partagĂ© vraiment très fort. Mais avais-je eu envie d’elle, ou avais-je fait l’amour Ă Lola Ă travers elle? Et elle, la queue dont elle avait envie, Ă©tait-ce la mienne ou celle de Frank? Je me suis endormi sur ces questions.