Valériane et Isabelle 1
C’est en promenant son chien que Valériane rencontre Isabelle la femme de sa vie. Les deux sympathisent, quelques jours plus tard, après plusieurs hésitations d’Isabelle, les deux finissent enlacées sur le canapé
Proposée le 20/06/2021 par michelle2 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
C’est en promenant son chien que Valériane fait la connaissance d’Isabelle. Elles se sont souris, le chien un jeune malinois, se mit à japper autour d’isabelle en remuant la queue. Isabelle demande la permission de caresser l’animal. Valériane répond oui et précise que le chien n’est pas méchant.Après quelques caresses sur le chien, Les deux femmes font quelques pas dans la même direction. Isabelle est une femme mûre avec un charme fou, elle a une voix douce et sourit tout le temps. Valériane, elle, est tout l’opposé, très speed, elle n’a pas sa langue dans sa poche. Beaucoup plus jeune qu’Isabelle, Valériane est en admiration devant cette femme qu’elle trouve sublime. Pendant la courte promenade, Isabelle dit qu’elle habite depuis peu, dans une maison du village. Les yeux de Valériane s’illuminent, elle dit en souriant :-Nous sommes presque voisines alors ! Isabelle réplique :- Nous pouvant dire cela, le village n’est pas grand !Enfin, Isabelle arrive devant sa demeure, les deux femmes se saluent puis se séparent. Depuis ce jour, Valériane est hantée par cette femme. Chaque soir, elle passe avec son chien devant la maison d’Isabelle dans l’espoir de la rencontrer. Le soir tant espéré arriva, elle voit Isabelle descend de sa voiture, Valériane accélère le pas et fait comme si c’était le hasard le fait de cette nouvelle rencontre. Elles se saluent en souriant et papote comme deux commères. Au bout d’un moment, Isabelle bonne pâte l’invite à prendre un verre.Valériane n’en espérait pas tant, elle accepte avec enthousiasme. Isabelle fait entrer son invitée au salon et lui demande de prendre place dans un confortable fauteuil. La journée a été chaude, les deux femmes sont légèrement vêtues. Isabelle porte une jupe plissée noire avec un chemisier blanc et hauts talons. Elle ressemble à une cheffe d’entreprise. Valériane est en tenue décontractée, short en jeans, ses seins sont mis en valeur par top qui lui arrive juste sous les seins et découvre son nombril.Isabelle sert une boisson rafraichissante, les deux parlent de tout et de rien. Bien calée dans son fauteuil, Isabelle a les genoux plus hauts que la table basse du salon. Sa jupe glisse doucement sur ses cuisses et les découvre. Valériane regarde avec insistance les cuisses magnifiques d’Isabelle, de temps en temps, elle aperçoit la culotte blanche. Elle ravale sa salive, elle a chaud. Elle avale son verre cul sec, puis fixe à nouveau les jambes bien galbées. Isabelle remarque le regard de son invitée posé sur ses jambes. Elle tire sur sa jupe, pour rectifier sa tenue.Les deux femmes, s’avancent sur le bord du fauteuil pour se rapprocher de la table, les verres sont si près l’un de l’autre que les mains se frôlent pour les saisir. Valériane prend doucement la main d’Isabelle et la caresse doucement en murmurant :-Comme ta peau est douce, tu fais quel métier??-Je suis cuisinière, mais je prends soin de mes mains !Qu’elle répond en riant, mais elle sent que quelque chose se passe, le regard que pose sur elle Valériane la trouble, elle prend une grande inspiration, puis se lève. Elle passe devant Valériane qui lui reprend la main, elle s’arrête net. Les deux femmes se regardent intensément, Valériane se lève à son tour et se colle à elle et l’enlace. Isabelle a un geste de recul, mais valériane la tient fermement et lui dit :- Je t’aime depuis la première fois que je t’ai vu, tu hantes mes nuits je deviens folle !Isabelle médusée répond en béguant :-Mais tu divagues, j’ai une fille de 20 ans qui étudie en Angleterre, je pourrais être ta maman tu ne peux pas être amoureuse de moi, en plus je ne suis pas attirée par les femmes?! Valériane l’enlace plus fortement, les bassins sont plaqués l’un contre l’autre, les visages sont si près, que les souffles se mêlent. Isabelle est comme tétanisée, sa respiration s’accélère. Valériane pose ses lèvres sur les siennes, Isabelle veut la repousser, mais quelque chose d’incompréhensif se passe en elle. Elle entrouvre la bouche sans réfléchir, la langue de Val s’insère par l’ouverture et se noue à la sienne. Les souffles des deux femmes sont rapides. Val comme un robot frotte continuellement son bas-ventre contre celle de son amour. Isabelle recule sa tête et regarde Val en frémissant, ses yeux se remplissent de larmes. Elle a juste la force de dire :- Nous sommes folles, cessant ce petit jeu stp !Pour toute réponse Val reprend ses lèvres, les langues s’agiles se nouent une nouvelle foi, les salives se mêlent. Étrangement Isabelle rend le baiser. Enfin les lèvres se séparent, les deux femmes se regardent amoureusement. Isabelle ravale sa salive et dit avec des trémolos dans la voix :- Qu’est-qui se passe, tu me troubles, ton regard qui me transperce me déstabilise !Valériane souriante réplique :- C’est que tu m’aimes aussi !Isabelle fait les gros yeux et rétorque avec des silences entre chaque mot : – Il est trop tôt pour le dire, tu vas vite en besogne toi et si tes parents apprennent ça ? Valériane répond sur d’elle :- J’ai pris de l’avance, je leur ai deja parlée de toi, ils savent maintenant que je suis amoureuse de toi, ils ne veulent que mon bonheur !Isabelle fronce les sourcils et réplique un peu agacée :- Alors toi tu ne manques pas d’air, sans connaitre mes sentiments tu annonces ça à tes parents, moi là-dedans je deviens quoi ?Val souriant lui répond :- Simplement mon amour !Isabelle secoue la tête et dit :- Tu es dingue !-Oui de toi mon amour ! Qu’elle répond. Valériane, bascule isabelle sur le canapé et elle lui donne une multitude de baisers sur tout le visage, sa main s’égare sous sa jupe, glisse sur ses cuisses admirables et les caresse longuement. Isabelle ne sait que faire, repousser la jeune fille ou céder à ses avances pressantes. La main se plaque sur son bas-ventre, Isabelle se cabre, elle se raidit un peu honteuse, elle grommelle. La bouche de Val cherche la sienne, Isabelle devienne fébrile, elle accepte sans comprendre pourquoi, le baiser ardent que lui donne Valériane.La main frotte la fente, protégée que par la fine culotte, Isabelle tente de se défiler. Mais le baiser très intense l’en dissuade. Les doigts agiles, montent et descendent sur sa fente, sa vulve commence à suinter. Inconsciemment Isabelle écarte doucement ses jambes, la main a maintenant plus de facilitée pour voyager sur le sexe qui humidifie la culotte. Isabelle commence à geindre, Valériane n’en crois ses oreilles son amour geint sous ses caresses, elle en est folle heureuse.Les lèvres se séparent, Isabelle a les yeux fermés, elle ronronne sous les doigts agiles de son amante qui s’enhardie, elle se redresse et dégrafe les boutons du fin chemisier. Les seins d’Isabelle ne sont pas imposants, pas besoin pour elle de porter un soutien-gorge. Val, écarte les pans et admire les petits ballons, ils sont étranges des bouts énormes larges et épais, sont plantés au centre des aréoles.La coquine, s’empare des mamelons et les roule doucement entre ses doigts. Isabelle se remet à geindre, son souffle devient plus rapide. Val étire les bouts qui prennent encore de l’ampleur. Elle pose enfin sa bouche sur un mamelon et le suce de plus en plus fort. Son amante, geint comme une bête blessée.
Elle passe à l’autre, Isabelle est complètement changée, elle grogne sans retenue, la bouche de Val qui lui dévore les seins, la fait défaillir de plaisir. Sa chatte mouille de plus en plus, Val réussi à glisser deux doigts dans la culotte de son aimée. Elles glissent sur la fente un court instant puis, s’insèrent entre les grandes lèvres vaginales, elles appuient sur le clitoris qui comme par enchantement se met à grossir.Isabelle, s’agite en poussant de nombreux grognements. Elle se cambre et pousse un cri, la coquine vient de jouir. Val agace encore un peu le bouton magique puis se place à genoux face à son amour.À suivre.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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