Il est vingt deux heures quand nous quittons le restaurant. Tu es ravissante, vĂŞtue d’une courte robe noire. C’est la dernière fois de la soirĂ©e, que je te vois habillĂ©e.
Vingt deux heures trente, arrivons au sauna. Pendant que je règle l’entrĂ©e, je te retrouve au bar, en train de te gaspiller avec deux inconnus. Assise sur un haut tabouret, jambes Ă©cartĂ©es, un homme t’embrasse avec fougue, tandis que le second a retroussĂ© ta robe jusqu’Ă la taille, a Ă©cartĂ© ton string, et caresse ta chatte. Tu t’abandonnes totalement, quand il excite ton clitoris, et glisse un doigt Ă l’intĂ©rieur. Ils rient de te voir te trĂ©mousser sur le tabouret, pendant que l’un d’eux te branle la chatte, tandis que tu as pris leur queue en main.
Des hommes, enveloppĂ©s dans une serviette, suspendent leur conversation en voyant la scène. Après avoir atteint un puissant orgasme, tu m’aperçois entre tes yeux mi-clos. Tu me rejoins, surprise de ma prĂ©sence.
MalgrĂ© cette scène surrĂ©aliste, et l’humiliation que j’ai subi, je dĂ©cide de poursuivre l’aventure, car c’Ă©tait une Ă©ventualitĂ©, qu’une telle scène se rĂ©alise.
Nous pĂ©nĂ©trons dans le sauna…
Il fait une chaleur torride. A peine cinq minutes que nous sommes dans la cabine, que dĂ©jĂ nous perlons Ă grosses gouttes. Tu es installĂ©e assise sur un petit banc dans le coin, entièrement nue, je suis assis sur celui qui est en longueur. De temps en temps, tu Ă©cartes tes cuisses, dĂ©couvrant ainsi ta chatte encore luisante de mouille, tandis que moi, j’arbore une queue assez reprĂ©sentative de l’effet que tu me fais. On se regarde en souriant, l’œil malicieux, parcourant nos corps dĂ©nudĂ©s.
DĂ©tente, rĂŞveries, moiteur, nous ne disons pas un mot. Dans l’autre coin, il y a le dispositif sur lequel se trouvent les pierres qui chauffent, et l’eau que l’on peut y verser dessus afin qu’elles dĂ©gagent d’autres vapeurs. Mais je ne pense pas y retoucher avant la fin de cette demi-heure. Je suis bien, je me dĂ©lasse, je ferme un peu les yeux… Soudain la cabine tremble au bruit d’un roulement mĂ©canique. La cabine bouge puis s’arrĂŞte, et tout devient calme. On se regarde, un peu inquiets. Tu as ce sourire qui trahit une interrogation. Le verrou de la porte s’ouvre, mais la porte reste close. Nous n’entendons rien de plus. Tous deux nous interrogeons du regard, et ce regard demande.
« Qu’est-ce qu’on fait ? »
PoussĂ©s par la curiositĂ©, nous entrouvrons cette porte dĂ©robĂ©e. On ne distingue pas grand chose, mais nous pouvons constater que l’extĂ©rieur n’est pas le mĂŞme que celui par lequel nous sommes entrĂ©s. L’air est moins chaud qu’ici, mais tout de mĂŞme vaporeux. Un homme nu, passe devant nous. Il nous fixe un moment.
– Pardon, je cherche ma cabine.
Curieuse,tu me demandes « On va voir » ? Je te réponds OK .
Je passe devant toi, ouvre la porte en grand, et descends la petite marche.
Tu me suis de près, collant tes seins contre mon dos, je te prends la main.
Des bras enveloppent ton corps, des mains caressent tes seins, descendent plus bas, vers ton intimitĂ©. Des doigts essaient de te pĂ©nĂ©trer, tu les repousses. Partout, ce ne sont que des corps qui fusionnent, gĂ©missent dans des rapports torrides. Ton regard s’attarde sur une ou telle scène, des plus hard.
La vapeur est omniprĂ©sente et nos pieds trempent dans une eau chaude. Pudique, Je me cache tant bien que mal ma bite en Ă©rection, tandis que toi, libĂ©rĂ©e de l’intrus, te caches derrière moi. Nous avançons timidement. L’espace doit ĂŞtre grand, et il y a d’autres personnes qui traversent les volutes, d’autres mains qui te caressent, atteignent ton entre jambes, ton sexe. Mais que cherchent-elles ?
Tout simplement à profiter de ton corps, entièrement offert à leur vue, et qui espèrent en tirer toute la quintessence. Mais fais-tu quelque chose pour les en dissuader ? Offres-tu une farouche résistance ?
Ça chuchote sur toi, et ça t’excite de te sentir dĂ©sirable.
Nous avançons encore, le mystère grandit, aussi Ă©pais que le brouillard, et nous nous sentons vulnĂ©rables, surtout toi. De partout, ce n’est que des fesses, des fesses d’homme pour la plus part.
L’un d’eux nous tourne le dos. Il semble trembler, mais nous ne savons pas Ă quoi c’est dĂ», nous ne voyons pas bien. Nous le contournons pour ne pas le gĂŞner et toi, mateuse, tu jettes un coup d’œil pour savoir ce qu’il fait. Tu as l’impression qu’il se branle. Tu es prĂŞte Ă intervenir, tant la scène t’excite, mais tu ne m’en souffles mot, tu sais comme je peux ĂŞtre jaloux parfois, mĂŞme si j’ai acceptĂ© ton Ă©cart de conduite avec ces deux inconnus au bar.
Cette fois, tu en es sĂ»re, il se branle. Il tient sa queue Ă©rigĂ© et la branle lentement. Si tu ne vois pas bien le visage de cet homme, tu peux par contre voir son Ă©norme queue, ainsi que ses grosses couilles, son gland et sa main aller et venir…
Ton excitation s’intensifie, et une question te vient Ă l’esprit.
« Et s’il Ă©jaculait ? J’aimerais bien le voir jouir ».
Puis une nouvelle question.
« Mais qu’est-ce qu’il regarde pour ĂŞtre dans cet Ă©tat ? »
Tu reprends, un peu abasourdie, ton chemin vers moi, ma main te servant de guide et, lorsque ton regard se dĂ©tache du sexe de cet homme, c’est pour assister Ă une scène incroyable. Tu t’en cognes la tĂŞte contre mon Ă©paule.
– AĂŻe ! te plains-tu Ă voix basse..
Tu te frottes la tête, je me tourne vers toi en souriant et en murmurant. « Ça va »?
Tu restes sans voix devant le spectacle auquel tu assistes.
Tu as d’abord honte, puis enfin t’habitues. MalgrĂ© les vapeurs, tu devines ce qu’il se passe au centre de cette mini-arène. Tu reconnais bien ces bruits. Ces gĂ©missement de plaisir, qu’Ă©changent le couple qui s’Ă©treint devant nous.
Personne autour de nous, ne semble vouloir gâcher l’instant charnel de ces deux ĂŞtres. Autour il y a autant d’hommes que de femmes, tous suspendus Ă cette scène. Mais nous ne pouvons deviner ce que nous avons en face de nous.
Ton bras enserre ma taille. Tu saisis mon pieu tendu, joue avec, le serre dans tes mains, le parcours sur toute sa longueur. NĂ´tre pudeur s’envole petit Ă petit, et ne savons jusqu’oĂą tout cela va nous mener.
C’est Ă ce moment, que tu attires mon regard sur la droite. Une femme est en train de tailler une pipe Ă un homme, avec une envie non dissimulĂ©e, ce qui te permet de savourer des yeux cette queue qui se branle dans sa bouche. Il te semble sentir la saveur sur tes lèvres, et au lieu de dĂ©tourner ton regard, tu attends le coup final. Tu le devines en voyant l’homme appuyer la tĂŞte de sa partenaire, contre son pubis, en grognant de plaisir. Tu sembles jalouse de ne pas ĂŞtre Ă sa place.
Je me dĂ©tourne d’eux pour t’adresser un clin d’œil. C’est le premier regard que nous Ă©changeons depuis longtemps. Depuis nĂ´tre arrivĂ©e dans cette pièce, en fait.
Je t’embrasse tendrement, et nĂ´tre complicitĂ© reprend ses droits, pour pouvoir enfin nous dĂ©tendre.
Je me place derrière toi, t’enlace, et pose ma tĂŞte sur ton Ă©paule, tandis que toi tu incline la tienne, pour accaparer ma tendresse. L’air est tiède, humide et agrĂ©able.
Dans l’arène, le bruit des vaguelettes signalant que les fesses de l’un, frappent les hanches de l’autre, s’accĂ©lèrent, annonçant peut-ĂŞtre la fin proche des Ă©bats.
Un lĂ©ger « oui » est lâchĂ©, suivi d’autres plus perceptibles. L’acteur est derrière sa partenaire, qui ne s’appuie que sur lui, cambrant ses reins au maximum, les mains accrochĂ©es Ă sa nuque. Elle atteint un orgasme terrible, puissant. L’homme ralentit ses coups pour s’enfoncer profondĂ©ment dans sa complice, se cambrer Ă son tour, et venir en elle. CrispĂ©, silencieux, les yeux mi-clos, le bassin tendu en avant, telle fut l’image de sa jouissance, offerte Ă tous les voyeurs, dont nous faisions partie.
Deux hommes se sont approchĂ©s, en se masturbant. Tu as vu venir de l’un d’eux, un Ă©tonnant jet de sperme, qui atteignit un sein de la femme qui venait d’ĂŞtre prise. L’excitation Ă©tait Ă son comble. J’ai senti tes fesses chercher mes hanches, tu as senti ma queue bien dure se frotter Ă toi.
Soudain, nous sommes dĂ©concentrĂ©s par les râles des couples en fusion, au point de nous apercevoir au dernier moment, des hommes se diriger vers nous. Je me place devant toi, en protection. On parvient Ă les dĂ©tourner, mais l’homme que nous avons dĂ©passĂ© tantĂ´t, nous rejoint, se colle Ă toi. Il glisse sa queue dans ta main, qui pendait le long de ton corps.
Tu as un lĂ©ger sursaut, mais ne repousse pas l’intrus. Tu lui serre la bite, la dĂ©calotte, comme si elle avait rĂ©ellement besoin de l’ĂŞtre. A mon insu, tu te retournes, et te mets Ă la branler. Elle te fait tellement envie, que tu te penches, et l’aspire de tes lèvres pulpeuses. Tes va et vient font le reste, jusqu’Ă ce que son sperme gicle dans ta bouche. Tu n’oses te retirer. Sans un mot, tu avales son abondante semence, jusqu’Ă la dernière goutte.
Je me retourne, et te vois en train d’essuyer tes lèvres, d’un doigt discret.
Comme pour te faire pardonner, tu m’as chaudement embrassĂ©s, sans te soucier si des traces de sperme ne traĂ®naient pas sous ta langue. Puis tout le monde s’est Ă©loignĂ©, et nous allions tous regagnĂ© nos cabines respectives, quand les deux inconnus du bar, s’approchent de nous. Je ne vois pas les deux autres arrivĂ©s derrière moi, et qui me ceinturent. Les deux inconnus se collent Ă toi, t’enveloppent de leur bras. Leurs mains parcourent ton corps, le caresse. Le pire, c’est que j’ai comme l’impression que tu acceptes.
« On va bien te la bouffer ta femme, elle va bien nous sucer…on va bien la baiser.
Tu jubiles sous leurs paroles. Soumise, tu les suis…au milieu de l’arène.
Tous les trois, vous tombez Ă genoux, toi entre eux deux. Leurs mains avides, reprennent leurs caresses. Tes seins au bouts tendus, ta chatte offerte aux mains expertes, et aux doigts pervers des deux acolytes.Tu saisis leurs queues, les branles doucement, te penche pour les prendre en bouche, une après l’autre. Puis l’un d’eux te positionne Ă quatre pattes, caresse ton sexe, et te pĂ©nètre. Tu te cambre en poussant un gĂ©missement de plaisir. Le second s’accroupit, tient sa grosse bite en main, qu’il dirige vers ton visage. De ta langue, tu enroule le gland dĂ©calottĂ©, la fait courir sur toute la longueur, puis la prend finalement en bouche avec dĂ©lectation. Les deux inconnus se mettent en action, simultanĂ©ment. Ainsi embrochĂ©e, tu reçois leur offrande dans des râles de plaisir, annonciateur d’un orgasme qui se profile. Un tsunami souffle en toi, tandis que tu avales la semence Ă©paisse des couilles qui se vident dans ta bouche. Ce dernier justement, s’allonge sur le dos, t’oblige Ă t’empaler sur lui. Tes reins se cambrent dans cette nouvelle position. Tu te couches sur lui, lui prend la bouche dans un interminable baiser. Tu en oublie que dans cette position, tu offre un endroit de ton anatomie, non encore explorĂ©. C’est quand l’Ă©norme gland taquine ton petit trou, que tu rĂ©alises, que tu ne t’es jamais faite sodomiser. Tu pousse tes premier cris lorsque ton petit orifice se dilate. Tu acceptes cette queue qui pĂ©nètre le coin sombre de ton corps. J’assiste, impuissant, dans le douleur, Ă cette scène horrible. Mais l’est-elle pour toi, qui gĂ©mis de plaisir Ă prĂ©sent.
Soudain, c’est l’explosion. Vos corps, en pleine harmonie, jouissent. Je vois le rictus du plaisir sur leur visage quand ils Ă©jaculent en toi, tandis que ton orgasme fait trembler les murs de la pièce. Vous restez un instant ainsi, enchevĂŞtrĂ©s l’un dans l’autre.
Le premier se lève enfin, te libĂ©rant d’un poids qui te maintenait empalĂ©e sur le second acteur de cette intense relation. Puis ce dernier te fit rouler sur le cĂ´tĂ©.
Les inconnus du bar se lèvent, de donnent un tendre baiser, puis disparaissent dans le brouillard bouillant de la pièce.
Je te regarde t’Ă©tirer voluptueusement au milieux de l’arène, ou d’autres hommes te rejoignent, tombent Ă genoux, caressent ton corps chaud comme la braise du sauna. Impassible, tu te laisses faire, guidant toi-mĂŞme leurs doigts ou leur sexe, vers les endroits secrets de ton intimitĂ©. J’ai les yeux embuĂ©s de larmes, quand tes puissants orgasmes terrassent la pièces. J’entends les rires narquois des hommes, qui viennent de te donner du plaisir.
Puis ils s’Ă©vaporent sous les volutes, comme dĂ©clinent tes gĂ©missements.
Quant Ă moi, j’ai de la peine Ă rĂ©alisĂ© ce Ă quoi je viens d’assister.
Nous sommes restĂ©s trop longtemps, et nous sommes perdus dans les vapeurs de sexes de ce sauna maudit, et il faudra du temps pour que nĂ´tre couple s’en remette…si toutes fois il s’en remet.