Septembre, dix huit heures, Mulhouse, mon jeune collaborateur et moi allons diner après une journée de travail bien remplie : mise à jour des logiciels des robots d’une usine de notre multinationale. Sur le parking de notre motel, un couple d’anglais consulte un guide sur le capot d’un monospace britannique chargé à ras bord. Le monsieur nous interpelle dans un français chaotique pour qu’on lui conseille un restaurant traditionnel Alsacien. Dans sa langue natale que, de par mes fonctions je pratique couramment, je lui conseille de nous accompagner dans une ferme auberge dans laquelle on avait réservé, pas très loin de la ville. Le couple anglais est vraiment sorti d’une carte postale : Lui, la petite soixantaine, gros chauve avec un pantalon vert, un gilet écossais rouge et bleu sur une chemisette jaune ! Elle, la quarantaine, grande, les cheveux roux, coupés courts et une énorme paire de lunettes carrées qui lui donnent l’allure d’une institutrice de l’ancien temps. La robe aux motifs floraux gigantesques et multicolores est boutonnée sur le devant de bas en haut et la paire de sandales jaune vif doit avoir une pointure masculine…La poitrine semble assez opulente, les hanches ont pris de l’ampleur et un léger embonpoint disgracie la silhouette malgré des jambes élancées et racées. Comme ils viennent d’arriver au motel, il faut les aider à décharger le monospace rempli de valises et de caisses de vin d’Alsace. Impossible d’ouvrir les portes latérales à fond vu que le monospace est coincé entre deux véhicules, alors le mari ouvre le hayon arrière et, en titubant un peu, emmène deux grosses valises à leur chambre pendant qu’on commence à décharger des caisses de vin du fourgon.La rousse anglaise, dégrafe deux boutons inférieurs de sa robe pour monter dans le véhicule, atteindre tous les bagages et nous les avancer. Elle est obligée de s’accroupir et sa robe s’ouvre régulièrement au détour de ses déplacements difficiles : J’ai l’occasion d’entrevoir un morceau de cuisse et la lisière d’un bas couleur chair. Plus elle se déplace en canard, plus sa robe remonte et s’ouvre. À présent, les jarretelles marrons qui tendent les bas sont très visibles et alors que l’anglaise se retourne pour nous avancer deux bagages à main, ma surprise est grande d’apercevoir un morceau de gaine-culotte à l’ancienne avec les jarretelles attenantes et des boutons pression dans l’entre jambes… Je suis persuadé qu’elle s’est rendue compte de mon voyeurisme aigu car elle essaie maladroitement de serrer les cuisses pour me cacher le spectacle de son intimité. Elle arrêta ce jeu excitant en descendant pudiquement du véhicule et en nous priant de les attendre quelques minutes afin qu’ils puissent se changer. Madame porte maintenant un ensemble pantalon et veste en lin écru mais le mari a gardé sa tenue flamboyante. Durant le trajet, on apprend qu’il est dentiste, qu’elle était infirmière avant la naissance des trois enfants…Bref, ils sont en France depuis cinq jours (via Paris) et, cette après midi, ils ont parcouru la route des vins d’Alsace avec plusieurs arrêts pour la dégustation… On nous installe à une table à deux bancs dans un coin de la grande pièce ou une dizaine de convives français nous accompagnent. Betty, l’épouse anglaise, est assise à mes côtés et nous offre un crémant royal à base de liqueur de myrtilles de la ferme. Par politesse, j’offre la même chose vu que c’est mon jeune collaborateur Yannick qui conduit et, que lui, est sobre comme un dromadaire. Le couple anglais devient vite euphorique et on attaque la tarte flambée gaiement en l’accompagnant d’un Tokay Pinot gris excellent dont John, le mari anglais, se ressert copieusement. Il nous narre alors leur visite à Paris, avec les restaurants, les monuments…Il fait même rougir son épouse en évoquant des achats de lingerie sexy près de St Lazare. John est très volubile et la deuxième bouteille de Tokay est bien entamée quand il attaque ses confidences sur une aventure amoureuse lors d’un séminaire à Paris il y a quelques années. Il me raconte tout, de A à Z, comme perdu dans son nuage imbibé d’alcool, ignorant volontairement ou pas, la présence de son épouse éméchée mais, attentive. Au fil du récit, Betty se raidit et sa main gauche devient blanche à force de serrer le bord de la table. Visiblement elle vient d’apprendre qu’elle avait été trompée et elle est humiliée publiquement par son gentil dentiste de mari ivre au point de se vanter publiquement de ses exploits sexuels en sa présence.Pour éviter l’incident, je prends discrètement la main de ma voisine et la console en l’étreignant tendrement. Betty se calme un peu mais ses yeux sont encore injectés de sang et son corps crispé de violence retenue. Tout se serait peut être estompé si, cet ivrogne de dentiste n’avait rajouté une couche, en évoquant des clientes peu farouches de son cabinet ( dont une amie intime de son épouse !) qui s’installaient sur son fauteuil médical, la jupe sur le nombril, le slip sur les chevilles et la main dans sa braguette…Fier de lui, le mari anglais se leva dignement et se rendit aux toilettes accompagné de mon collaborateur qui craignait qu’il s’effondre en chemin. Betty est au bord de la crise de nerfs, elle distille à voix basse une série de gros mots à l’encontre de son mari dont je saisis au vol :Meurtre, divorce, scandale, tribunal…Je la laissais quelques secondes dans sa haine puis très délicatement je posais la main sur sa cuisse et tout en entamant une caresse amicale je lui suggérais le mot vengeance. Elle sortit de son monologue intérieur et me fixa le regard quand je répétais le mot vengeance tout en accentuant la pression de ma main sur sa cuisse. Betty resta songeuse cinq secondes puis radieuse, sa joie éclata dans ses yeux pétillants de haine :  » SPLENDID !!! .  » lança t-elle alors que son mari revenait en titubant. Pendant qu’ils savouraient une tarte maison à la mirabelle, ma main droite occupait, sous la table, l’entrejambe de Betty et, à travers le tissu, elle caressait discrètement la chatte anglaise. Betty mangeait comme si de rien n’était pendant que son époux continuait à parler de ses clientes peu farouches. Quand mes doigts s’immiscèrent difficilement sous la ceinture du pantalon et dans sa culotte en coton, Betty marqua un temps d’arrêt dans sa dégustation gastronomique puis écarta lentement les cuisses pour me permettre un accès plus facile. Au toucher, la toison pubienne était soyeuse et abondante. Je pris plaisir à enfouir ma main dans cette forêt bouclée. Mon index caressait délicatement maintenant une zone charnue et humide et j’entrepris ensuite l’exploration d’une zone chaude et moite. Le visage de Betty resta imperturbable mais un liquide chaud inonda mon doigt curieux.Quand le fermier vint s’enquérir de nos appréciations culinaires, je retirais la main en catastrophe et Betty la serra dans la sienne en guise de remerciements. À la surprise de son mari, elle commanda un schnaps pour chacun en vue d’une  » fantastic night ! « , allusion que l’anglais ne releva pas tant il était imbibé. Le fourgon de l’entreprise était garé assez loin et on dut soutenir le dentiste ivre avant de le sangler sur la banquette arrière. Il s’assoupit dans la minute. On était les derniers clients à partir, le clair de lune était splendide. Betty s’était assise entre nous deux, sur la banquette avant du véhicule et remercia Yannick, le jeune informaticien, par un tendre baiser maternel sur la bouche. Elle avoua que son époux la négligeait depuis deux ans et qu’elle avait maintenant la réponse à ses questions ! Elle m’embrassa ensuite fougueusement comme pour rattraper le temps perdu ; Je suçais sa langue langoureusement en caressant sa poitrine.Comme elle avait l’air d’apprécier, je dégrafais deux boutons de la tunique pour palper un sein lourd avec ma main qui s’était engouffrée sous le bonnet d’un énorme soutien-gorge. Nos ébats continuèrent de longues minutes et j’avais réussi à sortir les deux mamelles britanniques de leur écrin en baissant les bretelles du soutien-gorge. Les seins étaient imposants et laiteux avec de grandes aréoles et des tétines aussi larges que des filtres de cigarettes qui durcissaient sous l’effet de mes succions profondes. Je repris mon souffle en me redressant sur le siège et je fus très surpris d’apercevoir la main travailleuse de Yannick sous la culotte anglaise.Comme le mari commençait à ronfler, Betty se retourna et envoya une bordée d’injures à son époux puis elle baissa brusquement pantalon et slip sur ses chevilles en nous lançant en français :  » Apéritif before orgie  » et elle éclata de rire avant de fermer les yeux, attendant nos caresses. Les cuisses ouvertes sur sa large chatte velue et la lourde poitrine laiteuse en liberté, la bourgeoise anglaise s’offrait à la débauche de ses sens. C’était un apéritif original. Yannick s’occupa méticuleusement des gros nichons maternels britanniques tandis que ma langue goûtait la foufoune moite de la Lady qui poussait déjà de légers râles de satisfaction. Betty haletait maintenant et nous arrêta net en nous expliquant qu’elle ne voulait pas faire plus dans le véhicule mais qu’elle prendrait soin de nous deux au motel. En ville, un distributeur nous donna un paquet de préservatifs pour rassurer tout le monde. On coucha le dentiste au motel, en donnant le numéro de ma chambre à son épouse très excitée et totalement pompette. En la quittant provisoirement, je l’invitais à essayer la lingerie sexy parisienne en lui faisant un clin d’œil polisson….Betty réapparut dans ma chambre vingt minutes après. Yannick et moi l’attendions en petite tenue allongés sur le lit. Elle portait encore son ensemble en lin mais des hauts talons noirs et elle avait manifestement forcé son maquillage. Ses lèvres rouge vif étaient sensuelles à souhait et ses yeux fardés à outrance appelaient au vice. Elle me demanda de baisser la lumière et se retourna pudiquement pour se débarrasser de son ensemble puis elle nous fit face. Des bas noirs à couture, tendus par un porte-jarretelles rouge, encadraient un triangle rose fluo bordé de dentelle noire. Le slip possédait une large ouverture bordée de froufrous noirs qui ne cachait rien de la minette velue de l’anglaise. La Lady se caressa alors la chatte lentement en se passant la langue sur les lèvres et en nous provoquant du regard ( elle devait avoir vu çà dans un film X ! ). Elle sortit, un à un, ses seins d’un soutien-gorge à balconnet assorti au slip mais visiblement trop petit pour les contenir. Une mamelle lourde dans chaque main, elle s’approcha de nous, comme pour nous donner la tétée. Elle nous les fit sucer un à un longuement puis elle s’écarta du lit en reculant et, en se baissant, elle anima son buste d’un mouvement latéral pour laisser ses gros nichons se balader librement dans l’espace.Accroupi, Je léchais sa grosse moule goulûment pendant que mon index explorait le petit trou de Madame qui essaya d’arrêter ( mais sans succès) cette fouille intime. Le slip sexy était aussi largement ouvert à l’arrière… Yannick se jeta sur les seins de notre partenaire pour les masser en profondeur et en sucer les bouts épais. Betty commença à mouiller et des petits cris de plaisir s’échappèrent de ses lèvres. Elle choisit cet instant pour s’asseoir sur le lit, jambes ouvertes, foufoune rousse velue en exhibition, et pour enfin se saisir de nos membres et commencer à les astiquer manuellement, timidement. Je libérais mon sexe de sa main et lui présentais aux lèvres. Visiblement, vu son attitude, la fellation n’était pas sa tasse de thé… Je lui soufflais dans l’oreille le mot  » Vengeance  » et presque immédiatement sa bouche s’ouvrit timidement pour recevoir en offrande mon gros sexe humide. J’enlevais alors ses lunettes énormes pendant que j’engouffrais ma verge au fond de sa gorge et Betty se fit un devoir de me sucer méthodiquement et avec ardeur. Ses lèvres dégoulinaient d’une fuite de sperme quand je la mis à quatre pattes sur le lit et que je lui léchais sa moule trempée et ouverte en refouillant, de deux doigts, les profondeurs de son petit trou ridé, sans aucune opposition cette fois.Mon jeune complice se faisait exciter la queue par le balancement des grosses mamelles anglaises qui, par un mouvement de pendule d’horloge, la lui caressaient. De petits cris de plaisir de plus en plus rapprochés et sonores nous prouvaient que la sage épouse anglaise prenait son pied. On se relaya ensuite ( préservatif en place) chacun son tour, pour la pénétrer brièvement dans toutes les positions : En levrette couchée sur le flan et à quatre pattes, en missionnaire ses jambes sur nos épaules ou repliées sur son buste…Quand une queue la pénétrait, l’autre était dans la main ou la bouche de la Lady. De nombreuses minutes après, le petit ventre rond de l’anglaise dégoulinait vu l’effort physique imposé mais ses râles de jouissance allaient crescendo et nos voisins ne devaient plus se poser de questions ! Mon jeune collègue explosa, avec un cri d’extase, dans la foufoune britannique et s’essuya tranquillement le sexe dégoulinant entre les nichons de l’épouse (qui avait été trop longtemps sage)puis il s’éclipsa après un gros bisou sur les lèvres de Betty qui reprenaient son souffle. Sans que je le lui demande, Betty me resuça le membre activement et se mit alors sur le bord du lit dans la position du prieur musulman, la croupe largement ouverte. Elle guida d’elle-même mon sexe turgescent à l’ouverture de son anus béant et elle murmura :  » Vengeance…  » .La pénétration se fit en douceur et ma queue s’enfonça en entier dans ce tunnel moite. Betty agita sa croupe pour me faciliter la tâche et augmenter sa jouissance. M’accrochant à ses hanches larges, je la limais frénétiquement et mon sexe éclata son jet de sperme très rapidement pendant que l’épouse du dentiste serrait ses dents sur le drap pour ne pas hurler son second orgasme.L’épouse, dévergondée maintenant, eut la gentillesse de m’ôter le préservatif et de me lécher méticuleusement tout ce qui restait sur mon sexe. Betty, ravie de sa vengeance, essuya avec son slip sexy le sperme qui inondait ses lèvres pulpeuses, sa poitrine opulente, sa chatte béante rouge vif et son petit trou encore élargi. Quand le slip, au parfum masculin maintenant, eut tout épongé, Betty m’expliqua que cette pièce à conviction de sa vengeance serait offerte à son mari dès son réveil !Elle ne revêtit que sa tunique et je la raccompagnais chez elle dans la nuit noire en la soutenant un peu car sa démarche était hésitante. Au milieu de la pelouse, prés d’un spot posé au sol, elle me donna soudainement les vêtements qu’elle n’avait pas remis, s’accroupit en relevant sa tunique, écarta les cuisses et fit un énorme pipi urgent dans le gazon. Le jet, irisé par le spot, ressemblait à celui d’une jeune génisse tant il sortait puissant et abondant de sa chatte poilue.  » Sorry.  » dit-elle simplement en se réajustant. Un énorme bisou humide nous sépara à l’entrée de sa chambre. Betty me montra alors la boite de préservatifs qu’elle m’avait fauchés et m’expliqua simplement que c’était pour continuer sa vengeance pendant la suite du voyage de leurs vingt ans de mariage et elle éclata de rire…