L’après-midi, je commandais six autres caméras, et le WE suivant, j’ai dû changer en même temps toutes les moulures d’angle polystyrène du plafond, pour la pièce entre la salle et le bureau, coucou m’avait dit, je te mets du rigide comme gaine, si un jour, tu as besoin de passer d’autre câble, tu te feras moins chier, bravo coucou, je n’ai même pas mis dix minutes pour ça.Le lundi après la séance avec Marie, elle appelle steed, les femmes sont bizarre, le vendredi, elle était excitée par sa séance du matin, le samedi, ça ne lui disait plus rien, le dimanche, elle était indécise et le lundi, elle voulait recommencer, elle l’appelle, vers 11h30 comme l’autre fois, après la politesse d’usage, il lui demande pourquoi elle l’appelle, elle répond que c’est pour demander s’il était bien rentré.D’un ton sec comme à son habitude, il dit, non, vous appelez pour autre chose, Marie balbutie encore, il demande, « allez, dis-moi le vrai motif et les vraies raisons », elle dit vouloir recommencer, oui dit il, recommencer quoi, elle répond, « comme vendredi », il dit, « non, dites-moi cela de façon plus précise, en oubliant rien.Marie à du tout lui dire ce qu’il lui a fait dans les moindres détails, cela l’excitait, elle, cela m’excitait aussi, ce qui fait que je la tripotais en même temps, elle a eu un petit gémissement qu’il a entendu, elle lui a dit quand il lui a fait remarquer, « ben, oui, ça me fait de l’effet de m’en souvenir », il a demandé qu’elle se caresse, mais j’avais une envie et Marie aussiElle lui a dit qu’elle voyait ma voiture arriver, et qu’elle le rappellerait pour une date, il lui a demandé comment cela serait possible pour qu’elle accepte sans capote, elle a répondu « avec un test », il a répondu favorablement en disant qu’elle ne risquait rien, mais qu’il comprenait cela, nous avons baisé ensuite (je dis bien baiser et non faire l’amour).Il n’était pas question qu’il vienne toutes les semaines, et lui aussi, il lui avait dit que ce genre de jeux doit être espacé, trois semaines après, en milieu de semaine, il appelle pour savoir si le lundi, il peut passer pour montrer un projet, cela tombait mal, car mes associés seraient là, l’un a de la famille à cent km de là et profite du déplacement, m’évitant d’aller sur Paris, emmenant par la même occasion son associé et voisin, leurs femmes s’entendant bien aussi.Il me dit que c’est dommage, car il doit aller lundi chez un client et nous sommes presque à mi-chemin, une idée me vient, je lui demande s’il ne veut pas plutôt venir le samedi ou dimanche, dormir à la maison et partir de chez nous, le temps gagné sur le trajet lundi, nous pourrons le passer sur le dossier s’il ne veut pas travailler le WE.Disant qu’il y a longtemps que de travailler le WE ne le déranger plus, mais qu’il ne veut pas nous déranger, je lui dis que pour moi, c’est pareil, et qu’il a bien vu que chez nous ou au bureau, c’est pareil, j’insiste un peu, je sens que ma proposition l’intéresse, mais qu’il ne veut pas s’imposer, une idée me vient encore pour lui donner prétexte.Je lui dis que je le rappelle dans la journée, ou peut être dans dix minutes, j’appelle Annie, elle n’est pas a son bureau, son « secrétaire » la bip et elle me rappelle peu après, je lui explique la situation, disant aussi qu’il dit être bon cavalier et s’il serait possible de faire une ballade à cheval le dimanche, avec ou sans elle, Annie n’ayant rien prévue, elle accepte.Je rappelle steed, et lui dis, « une promenade à cheval nous attend dimanche si vous acceptez, au lieu d’un dîner d’affaires, ça sera un WE d’affaire, il fait celui gêné, mais pouvant justifier moralement qu’il accepte pour le cheval et non pour ma femme, il dit, « d’accord pour samedi dans l’après-midi ».Ne voulant pas trop s’imposer, il est arrivé vers 17 h, il avait acheté un beau bouquet dans le coin, on lui a dit qu’il ne fallait pas, répondant que c’était la moindre des choses, qu’il avait un peu honte de s’imposer, mais que je l’avais appâté avec une ballade à cheval, en moi-même, je me suis dit, est ce le cheval ou la jument qui l’a attiré le plus.En tout cas, la soirée s’annonçait bien, j’allais pouvoir tester mes nouvelles cameras, en plus de servir pour mon plaisir de voyeur, elles servent aussi au point de vue sécurité, ça enregistre tout, celles extérieures et intérieures. Quand je regarde, je vois aussi ce qui se passe a l’extérieur, des fois où quelqu’un viendrait, j’ai une sonnerie qui se met en route, si je faisais sonner, Marie dirait, quelqu’un arrivePar respect, soit je n’enregistre pas, ou si c’est le cas, j’efface après avoir visionné, avec Marie, le lendemain, on regarde les scènes ou un client soit, se contorsionne, soit fait un geste furtif, une fois vu, j’efface, Marie ne sait pas que j’enregistre 24/24 dans la maison, hé oui, chat échaudé………, elle pense que seul l’extérieur est enregistré ou alors quand un client est la.J’ai la chance que ces enregistrements ne m’ont apporté que la preuve que Marie ne me trompe pas, j’ai deux circuits d’enregistrement, celui extérieur et celui intérieur, celui intérieur n’est pas accessible, celui qui voudrait faire disparaitre les traces, ne détruirait que celui extérieur, l’autre est camouflé dans un autre endroit.Si elle avait un amant, il faudrait qu’il creuse un tunnel jusqu’à la cave, et je me dirais qu’elle y reste longtemps à la cave, ce qui ferait que j’y mettrais une caméra, peut être suis-je un peu parano, j’ai essayé de me faire violence, mais cela me bouffait la vie, j’étais insupportable, absent, on me parlait, je n’entendais pas, ici Annie me dit, que j’étais con, elle a bien raison.Ce qui fait que par la suite, je me disais « au diable vouloir faire ce dont je suis incapable et qui emmerde tout le monde, je surveille et je deviens meilleur », ce qui fait que les caméras surveillaient Marie les 4 heures par mois où elle était seule a la maison, quand rarement j’allais voir un client seul sans elle, ou au pain.Annie me dit ici, que pour si peu, ça ne valait pas ces dépenses et le temps perdu d’installation, je me permets de lui rappeler que son mari, chez un couple, a bien baisé la maîtresse de maison dans sa cuisine, alors que son mari à elle qu’il ne connaissait pas, regardait un match de foot dans la pièce a coté.Après ces anecdotes, revenons au moment ou steed est arrivé avec ses fleurs, afin de lui donner du temps libre, je fais celui qui a à faire à l’extérieur, lui disant d’entrer et que je ne serais pas long, par la fenêtre, il me voyait au bâtiment plus loin, il dit à Marie, en montrant son test qu’elle regarde, « penchez-vous sur le canapé, je vous vouvoie pour ne pas me mélanger les crayons quand il reviendra ».Marie se penche, et il lui met la main sur le sexe, sexe qui au bout de trois ou quatre pressions de sa main, s’humidifie, il dit, « au moins là, je sais que vous êtes contente de ma présence, regardant par la fenêtre, il lui malaxe le sexe et caresse ses seins, Marie aurait pu jouir, si j’avais su qu’il aurait entrepris cela, je ne serais pas revenu aussitôt.Visite des lieux extérieurs pendant qu’elle prépare le repas où on discute boulot aussi, être ici lui fait plaisir, cela se ressent dans son parlé qui est moins sec, plus « amical », je vois qu’il n’est pas pantouflard, pour son âge, il a un bon pas, et n’est pas essoufflé. Il a aussi la correction de savoir se tenir, à aucun moment, il ne fait de sous-entendu de mauvais goût en parlant de Marie.En rentrant, nous allons au bureau régler ce dont pourquoi il était venu, des précisions sur le travail en cour et demain matin, il me présentera le nouveau projet, comme il reste du temps, avant que Marie soit prête, nous allons faire un billard, il n’y joue pas régulièrement, mais sait y jouer, à table, rien n’indique qu’il y ait quoi que se soit avec Marie, même quand j’ai été en cuisine ou au café.Voulez-vous aller vous rafraichir dis-je, bonne idée dit il, je lui indique qu’il peut rester en pyjama, il a une robe de chambre répond-il, je dis parfait, on est en WE, Marie l’emmène à la salle de bains où il tripote un peu, j’y vais ensuite, il tripote encore, c’est au tour de Marie ensuite, comme prévue, elle m’appelle avec la ligne du fax, je décroche, et quand elle revient, je feins un dialogue avec mes associés.En allant au bureau, j’allume la lumière de la pièce entre mon bureau et la salle, Marie le lui fait remarquer, disant, « regardez sous la porte, voyez le trait de lumière, et maintenant, vous ne le voyez plus, ça signifie qu’il est au bureau, quand il reviendra, il rallumera ».Chuchotant, il dit, « pourquoi me dites-vous cela petit cochonne », ils revoient la lumière s’allumer, je reviens en disant, « je m’excuse, les fax envoyés sont illisibles, je dois les renvoyer absolument, si vous voulez regarder la télé ou autre, j’en ai bien pour vingt minutes, hein Marie, tu gères ça », je m’en retourne ensuite, étant resté à l’encadrement de la porte, je n’ai pas éteint, mais avant de rentrer dans le bureau, je ferme la lumière de cette pièce, qu’il regarde.Quand nous avons un repas d’affaires, la copine ne nous dérange pas, sauf si on le lui demandait de se joindre à nous, mais cela n’est arrivé qu’avec des clients softs qui ne font que mater, les volets sont fermés bien évidemment, installé devant mes ordis, (j’en ai un qui ne sert que pour les téléchargements seulement), j’ai l’impression d’être un vigile, sauf que le programme est plus intéressant, sur l’un il y a les anciennes camera, et sur l’autre, les nouvelles, avec zoom et rotation, (ce ne sont pas les cameras qui bouges).Après qu’elle ait allumée la télé, il fait mettre Marie à genou sur le canapé, pour qu’elle surveille le trait de lumière indiquant ma venu, il a remonté sa robe de chambre sur son dos et il la masturbe, elle gémit à plusieurs reprises, le temps étant compté, il la fait mettre dans la même position, mais par terre, les genoux sur un coussin, puis il la pénètre.Ce qu’elle aime, ce n’est pas son sexe en elle, même si elle l’apprécie, c’est la situation, c’est ce qu’elle me disait, mais Annie me dit, « ce qu’on aime, c’est qu’on nous fasse se comporter comme une salope devant un inconnu ou un autre, qui nous utilise comme telle ».La dessus, je rejoins Annie, il est évidant que le type doit se dire, « mais quelle salope cette bonne femme, une vraie chienne en chaleur, heureusement pour moi que son mec est aveugle », le plaisir qu’on en retire tous les deux est à ce prix, Annie me dit aussi que Marie en retire beaucoup plus de plaisir dans ce genre de situation, que si elle avait un amant même plus jeune, bien monté ou autre.Le cérébral chez une femme est plus important que des mensurations, heureusement, car sinon, les godes et funk machine remplaceraient les hommes, même s’il en existe qui n’aiment qu’être bourrées, la plupart aiment les préliminaires cérébraux, autant voir plus que ceux physiques, pendant ce temps, il s’inquiète de l’heure, elle répond, « non, on a encore cinq minutes, j’étais là quand il les a envoyées », et puis, la lumière nous avertira dit-elle, il lime Marie en se retenant jusqu’à l’heure dites et jouit en elle.J’ai laissé Marie se relaver avant de revenir et quand j’arrive, ils sont de chaque côté du canapé, elle éteint la télé en disant qu’il n’y a rien, (à l’époque, il y avait déjà plein de programmes pour débile et de nos jours, c’est pire), je m’assoie sur un fauteuil, nous discutons une bonne heure sur tous les sujets puis nous allons nous coucher.Marie était super excitée par cette mise en appétit, moi également, nous l’avions installé a l’opposé de la maison, comme à chaque invité, pour ne pas se déranger mutuellement par des ronflements ou autres bruits devant resté discret, ceci dit, pendant quelques minutes, Marie a mimé l’acte sexuel, on sait que la nuit quand tout est calme, cela s’entend de la chambre d’ami, j’ai attendu un peu voir s’il arrivait, mais non, il est resté dans sa chambre, on a fait l’amour ensuite de façon moins bruyante.Le lendemain matin, levé à 8 heures, nous avons fait un billard, puis sommes allé chez Annie pour monter, en effet, il a un très bon niveau, même Annie à été étonnée, ce que j’aime, c’est quand un nouveau client arrive et voit Marie pour la première fois, et quand il voit Annie, c’est la même chose, quand j’ai vu Annie la première fois de ma vie, a la terrasse de ce café, ou je matais ses cuisses, je bandais, obligé de cacher ma bosse de mon pantalon, le client-là, n’a pas échappé à la règle et pourtant, elle était en tenue de cavalière, rien de bien sexy.Nous avons fait une balade jusqu’à midi, Annie avait embauché une voisine qu’elle prend a chaque fois quand elle a du monde, de cette façon, elle reste avec nous au lieu d’être aux fourneaux, pendant qu’avec le mari d’Annie et steed, on va voir les autres chevaux, les femmes se changent, elles se mettent en tenue de sortie.Quand on rentre, steed dit, « Mr Henri, vous avez une femme sublime, mais là, je vois double et je vous jure que je n’ai encore rien bu, le repas se passe, steed à perdu de sa rigueur, il est moins froid, plus souriant, après le repas, on a refait une ballade à cheval, ou a un moment Annie et lui, on fait un galop plus hard puis quelques exercices comme du trot, c’était magnifique à regarder.Vers dix-huit heures, nous rentrons, on brosse les chevaux puis on prend congé, ils voulaient qu’on reste, mais boulot le lendemain, afin qu’il ne se dise pas qu’il à trop de chance de se retrouver seul avec Marie, le dimanche soir, il n’a eu que le temps de ma douche, ou il a dit a Marie de faire attention quand on a du monde, qu’il l’a entendu gémir.Marie a fait l’air gêné, elle ouvre sa robe de chambre pour lui montrer son déshabillé sexy en dessous, il fait « wouaa » sans le bruit, elle avait mis un déshabillé sexy semi-transparent noir avec bas et porte jarretelle.En tout cas, il était conquis, son visage plus souriant, ses mots moins secs, il était plus convivial, nous savions déjà qu’il ne remplacerait pas notre client coquin, celui devenu notre ami, mais il avait une bonne mentalité, il nous inspirait confiance, (la suite nous a données raison).Au lit, nous avons recommencé le bruitage sexuel, mais il n’est pas plus venu, il est parti le matin sans avoir à se lever de bonne heure, il nous a remerciés à plusieurs reprises, le mardi matin a 11h30, il appelle pour nous remercier soit disant, mais reconnaissant son numéro, je dis à Marie de prendre, il nous remercie certes et demande si je suis là, elle dit non, il lui pose des questions sur le WE sexe.Après cela, il lui dit, qu’il a scrupule à revenir en mon absence, n’étant pas habitué a ce genre de situation, je tarde a réagir, il demande à Marie si elle lui en veut, croyant que son silence en est la cause, je réagis et écris, puis elle lui dit, « il ne faut pas, avec vous, il ne risque pas que je le quitte, je me suis laissé faire là parce que votre ton autoritaire m’a bouleversée.Maintenant, la chose est faite, on est rentré dans une situation qu’on ne sortira jamais, ce qui est fait est fait, on ne pourra jamais revenir en arrière, au début, j’avais un peu peur, maintenant, je me sens en sécurité, je ne veux pas collectionner, si un autre se présente, je refuserais si on continue, sinon je me laisserai encore faire et peut être tomberais-je sur un malade.J’écris en abrégé pour Marie, elle comprend très bien le message que je veux lui faire passer, il ne marche pas, il court, disant, « vu comme cela, en effet, je rends presque service, c’est un comble, j’ai d’un coté l’envie de continuer et de l’autre, je me sens salaud », elle dit, « vous voyez, déjà se sentir mal, pour moi, c’est rassurant », il répond, je vais peser le pour et le contre et vous tiens au courant.Dans le mois qui a suivi, nous avons échangé plusieurs coups de téléphone professionnels, moi pour avoir des précisions et lui pour l’état d’avancement, Mari lui avait dit, « pour m’avoir moi, c’est après 11h30, ce qui fait qu’il m’appelait en dehors de ces heures-là quand c’était professionnel, et puis quatre a six semaines après, il appelle Marie.Après 11h30, elle sait que c’est à elle de décrocher quoi qu’il arrive, si je ne suis pas dans le bureau, elle lui dit qu’elle va voir si ma voiture n’est plus là, en fait, elle me fait signe que c’est lui, elle lui dit, oui, la voiture n’est plus là, il attaque directe en disant, « alors petite salope, tu veux qu’on remette ça, « elle répond, « vous avez réfléchi », il dit, « oui, je préfère avoir des remords que des regrets, et comme tu dis, avec moi, au moins tu es en sécurité ».Il demande s’il y a un jour tranquille, elle dit que j’ai été un rendez-vous la semaine dernière (mensonge), et que je dois y retourner, il répond qu’il a toutes les matinées de libre, elle lui dit, qu’elle ne veut pas lui demander pour ne pas éveiller la suspicion, il lui donne son téléphone personnel de chez lui, disant que jusqu’à 22 h, elle peut appeler pour le lendemain matin, (suivant le moment où je prends ma douche).Ceci étant entendu, le soir même, elle l’appelle le mercredi pour le vendredi matin, à 9 h 30, il est sur place, il met sa voiture pareillement, il vient avec sa valise à malice comme il dit, elle lui dit en parlant de moi, » il a une heure trente de route, ça fait trois heures plus un minimum de trente minutes sur place, étant partie a sept heures trente, ça fait onze heures ici au plus tôt.Comme la fois d’avant, il avait dit à Marie, de le recevoir en déshabillé comme il l’avait déjà vu, comme je l’avais dit à Marie, la fois où elle s’est mise en déshabillé pour lui, il lui demande, « l’autre fois, dans cette tenue, il ne vous a pas posé de question », elle dit, « pourquoi », il répond, on voit que vous avez des bas et le soir pour se coucher, ce n’est pas justifiable », Marie va dans la salle de bains et ramène une paire de chaussettes comme les bas en disant, je mets ça souvent le soir, ha d’accord dit il.Il demande à Marie de mettre la couette de la dernière fois, elle la ramène avec un drap-housse de lit une place qui tient la couette, on s’équipe dit-il, il l’a fait se mettre en appuis sur la table et la fouille, Marie sait que j’ai rajouté plusieurs cameras, mais ignore que celle-ci zooment, s’il avait été possible, je ne lui aurais rien dit, elle dit que cela l’excite que je la mate, mais je crois que cela la bloque un peu.Je vois son visage, sa bouche fait haaa, ses yeux se ferment, il lui tripote les seins, les fesses, caresse ses cuisses, il la complimente et dit, « ton mari sait certainement qu’il a une superbe femme, mais il ignore à quel point celle-ci est salope », elle se tortille sous la fouille de ses doigts.La salle est séparée du salon par une poutre en chêne vertical et de chaque côté, elle se trouve à 1 mètre du mur avec un petit muret d’un mètre de haut entre et une autre poutre horizontale ou dessus Marie a mis une plante, la poutre verticale provient d’une vielle poutre d’un ancien bâtiment démonté de la région, les clous ont été retirés, mais il y a des trous qui servaient a passer des boulons tous les soixante centimètresSteed avait remarqué ces détails, aussi de sa valise, il sort un boulon qu’il passe dans un de ces trous qui doit être a deux mètres du sol, il y visse un anneau, je me dis, lui aussi, il s’équipe, il lui passe autour du cou, un collier en cuir avec velours et anneau, il la fixe sur l’anneau a la poutre, elle n’est pas sur la pointe des pieds, mais très tendu, tête sur le côté, il passe ses mains autour de la poutre qui fixe avec des bracelets cuir et velours qu’il attache ensembles.Marie m’a dit après qu’elle n’avait pas eu peur a ce moment-là, elle lui faisait confiance et me savait prêt à intervenir, mais sur le coup, j’ai eu une petite appréhension, seule la placidité de Marie me rassurait, il lui met ensuite un Plug et des boules vibrantes.Une fois fixée, il sort un martinet, les lanières sont plus longues que celui de la dernière fois et dit, « bon, petite salope, comme tu profite de l’absence de ton mari pour le tromper, ça mérite une bonne punition », sa voix est comme la première fois où il est venu à la maison, je retrouve là, les moments avec l’effleureur, Marie également, elle appréciait, je le voyais à son visage sur le moment et elle me l’a dit ensuite.Il continue en disant, « on va régler quelques détails, à partir de maintenant, tu m’appelles maître, tu ne m’appelles plus au bureau, c’est moi qui t’appelle, sauf en cas d’urgence ou comme l’autre soir, pour m’informer, c’est moi qui viens quand j’ai envie et non le contraire, a chaque fois que je viendrais comme aujourd’hui, je te punirais comme je vais le faire, pour la raison que tu trompes ton mari.Ensuite, quand je viendrais pour le boulot, enfin, si je reviens, cela dépendra de ton mari et des affaires, je t’ignorerais en sa présence, mais comme il arrive qu’on soit seuls, je me servirais de toi, et tu auras la charge de me dire si cela est possible ou pas, Marie dit, « oui maître » à chaque demande.Autre chose, j’ai envie de revenir un WE, alors lundi, je t’autorise à m’appeler pour me dire que tu veux que je revienne et à ce moment-là, tu t’arrangeras pour pousser pour que je vienne, tu pourras m’appeler aussi pour que je fasse ce qu’il faut pour justifier cela, je vous ai encore entendu le dernier soir, j’ai dû me branler pour dormir, la prochaine fois, comme je n’ai entendu que toi te lever, je t’attendrais dans le couloir et tu me feras une pipe, je ne serais pas long.Autre chose encore, ta copine, a ton avis, tu crois qu’elle aimerait être à ta place en ce moment, je la sens aussi réceptive que toi là dessus, très sympathique, mais très bourgeoise, le genre à dire lorsqu’on lui met un Plug dans le cul, « ho non mon dieu, pas ça, non, non, ne le retirez surtout pas », Marie dit, « alors là, ça m’étonnerais, mais je ne suis pas dans leur couple ».Il répond, « oui, mais bon, son mari est sympathique, mais je n’essaierais rien qui puisse le changer sur ce point », en moi-même, je me dis, pas con le steed, il est vrai que dans l’optique où il croit que c’est un mari jaloux, il vaut mieux que je le chasse avec dix coup-de-poing, plutôt qu’un seul de son mari, en fait, il en ressort que Marie a plus de chance qu’Annie de m’avoir pour profiter de cette situation, pour une fois que j’ai une qualité.Quand je raconte cela à Annie, elle me dit qu’on était con à l’époque de se cacher notre vie sexuelle, car si avec Annie, on savait ce qu’on faisait ensemble ainsi que les petits tripotages lors de danse, si Annie savait pour notre client et ami, elle ignorait nos penchants pour ces séances, et j’ignorais qu’ils étaient de grands libertins.Annie comprend que ce genre de chose pour un homme ne s’avoue pas, d’aimer voir sa femme avec un autre, de nos jours, c’est un peu plus démocratisé, je savais que leur couple auraient peut-être été intéressé, mais il m’aurait fallu avouer que j’avais vu Annie et que Marie allaient aussi chez l’effleureur pour les mêmes raisons, Annie me dit qu’elle n’a jamais rien senti chez ce client qu’il était comme cela, sinon, elle l’aurait peut-être encouragé dit-elle, mais allons savoir comment à l’époque, on se serait comporté dans pareil situation, aujourd’hui, on a une vue différente des choses.Quand il avait attaché Marie et dit vouloir mettre les choses au point, j’ai enregistré, et avec Marie, on a écouté ensemble ce moment-là, entendant cela, nous étions excités tous les deux et mettions au point les détails pour la prochaine fois qu’il viendra un WE, elle lui dira qu’après le sexe, je dors, ce qui est un peu vrai, il ‘arrive de dormir deux ou trois minutes avec Marie, chose que j’évite avec d’autre.Pour l’heure, Marie est attachée, il met les boules à fond, et lui titille le clito, elle se contorsionne de ce que lui permet sa position, elle gémit, il arrête de la chatouiller et avec le martinet, il la frappe sur le dos, les fesses, les cuisses, en disant, « alors petite pute, on trompe son mari pendant qu’il est au boulot, on se comporte en salope en son absence en recevant un autre, voilà comment je traite les morues dans ton genre ».Au neuvième coup, elle commence à prendre plaisir, il continue de la traiter puis quelques autres coups et insultes après, regardant son visage, je vois qu’elle s’immobilise, son corps se raidit, puis elle jouit en demandant qu’il lui caresse le clito, il approche derrière elle, lui attrape les seins en disant, « à qui tu t’adresse là », Marie dit, « pardon maître, vous me faites trop de bien, touchez-moi maître », bien dit-il.Il se frotte à elle, lui tripote les seins d’une main et de l’autre lui malaxe le clito tout en la traitant et l’humiliant, « tu aimes ça salope ?, à qui tu appartiens ?, tu seras ma salope ?, tu accepteras tout ce que je te demanderais ? « , tout en étant tripotée elle répond, « oui maitre j’aime ça, oui maitre, je vous appartiens, oui je ferais tout ce que vous me demanderez maitre ».Tout en étant fortement excitée, et voulant me justifier que ce qu’elle vient de dire, n’est du qu’à son état, elle profite que sa tête est tournée vers une des cameras pour la fixer discrètement, afin que je la regarde, elle ne sait pas que je la vois de très prés, je vois bien l’état dans lequel elle se trouve, et j’en suis content pour elle, il est là pour ça, j’ai bien vu aussi que son orgasme est plus violent qu’avec moi, j’y suis habitué.Après cela, il la détache, retire son matériel et le range, il l’installe sur la table, il la fixe les bras sur les pieds de table, les pieds sur les autres pieds, jambes parallèles aux pieds de table, fixés avec une sangle, il lui maintient les genoux en position écartés maximum, il lui maintient aussi le bassin, empêchant qu’elle lève ses fesses, j’imagine déjà ce qui va lui arriver, Marie également.Elle a toujours le Plug et les boules, il ramène un vibro qu’il branche sur une prise, il met les boules en marche, la « pauvre » Marie, comme j’ai le son, j’entends que la vibration du vibro est plus forte qu’un simple gode, en peu de temps, elle hurle comme une truie qu’on égorge, elle est complètement déconnectée de l’environnement, c’est comme cela que je l’aime.Autant, elle essaie de me ménager quand son plaisir est moyen, autant, elle ne s’occupe plus des personnes autour quand elle est prise à son plaisir, elle est à son entière merci, Marie aimait déjà le sexe quand on s’est connu, c’était une grande jouisseuse, avec le temps et nos pratiques, c’est devenue pire encore, si je n’étais pas complice et que j’arriverais à la maison et la voyais comme ça, elle lui dirait de continuer sans s’occuper de moi, pour me demander pardon ensuite, en disant qu’elle ne savait pas ce qu’elle faisait.Lucien a eu facilité à la faire tomber, si je ne l’avais pas rassasié dans les pattes de l’effleureur, je pense qu’il y aurait eu un second Lucien un jour ou l’autre, comme j’avais dit, on n’arrête pas l’eau, on ne peut que la canaliser, je suis celui qui lui a donné et permis ses pulsions, donnant a d’autres le soin de lui donner ce que je ne pouvais pas.Comme le mari d’Annie disait, « quand on a des femmes comme les nôtres, il faut leur donner une liberté que d’autres ne feraient pas, Marie m’aime pour cela, Annie ici me le confirme, et elles nous rendent la pareille, Marie m’a permis Annie en cadeau d’anniversaire, sachant qu’elle était sa plus grande rivale.Pour le moment, elle est torturée à l’extrême, elle hurle, elle supplie, elle implore, elle promet, elle est prête a tout pour jouir, il en profite pour asseoir son autorité, ses exigences, lui disant, « je déciderais de tout, tu seras ma chienne, ton corps m’appartiendra, je déciderais de tout, tu seras ma putain, et si je te mettais sur le trottoir, te faire baiser, hein, répond salope, espèce de pute ».Il lui répète cela en l’approchant pré de l’orgasme un peu plus, et à chaque question, elle répond « oui maître, faites jouir votre salope, oui, je serais votre pute, je ferais tout ce que…… haaa », Marie hurle sa jouissance en le remerciant et répétant qu’elle sera sa chose, sa pute.Comme à chaque fois, j’ai le sexe à l’air quand je suis en mode voyeur, et je me tripote un peu, de l’entendre jouir aussi intensément, sans que je ne fasse quoi que se soit, mon sperme sort tout seul, m’obligeant me masturber un peu pour jouir pleinement, foutu pour foutu, chez l’effleureur, j’avais du matériel bas de gamme, là, c’est du High-tech, le son est aussi bon que si je lui tenais la main.Après avoir joui comme une hystérique, il la tripote le temps qu’elle se remette de son émotion, ce qui ne l’empêche pas d’apprécier à nouveau ses caresses, si la première demi-heure, elle est un peu gêné par ma présence comme voyeur, au fil des « séances », elle se lâche de plus en plus et m’oublie complètement.Nous en avions parlés et je lui avais dit que je ne lui en tenais pas du tout rigueur, quand le plaisir submerge, le monde peut s’écrouler, pendant ce temps, il continue à la caresser, entretenant son excitation, puis la réchauffant à nouveau, à son tour, il monte sur la table se faire sucer, elle est toujours attachée, il se met en 69.J’ai pleine vue sur le cul de Steed, beurk, cela ne me fait pas du tout bander, je change d’angle, elle a toujours le plug et les boules qu’il a dû à nouveau actionner, à ce que j’entends, il lui bouffe le clito, elle arrive un peu à bouger ses lèvres sur son sexe, puis quand il est prêt à jouir, c’est lui qui fait le mouvement des va-et-vient.À ce moment-là, il ne la suce plus, il râle et accompagne son plaisir en donnant le rythme, quand il sort son sexe, elle a les joues gonflées, il lui amène une petite serviette de sa mallette où elle recrache tout dessus tout, en continuant à reprendre le chemin du plaisir, habitué de cette pratique, je vois bien qu’il l’amène à nouveaux prés de l’orgasme sans le lui donner.Après un orgasme, Marie redevient une femme timide qui sait se tenir, qui n’affiche pas son plaisir, mais quand elle est demandeuse, qu’elle reprend le chemin du plaisir, sa timidité disparaît, et elle n’a plus aucune retenue, elle se donne entièrement, pour le plus grand plaisir de celui qui la guide sur ce chemin.J’arrive à ne plus être jaloux de ce genre de situation, je sais que c’est moi qu’elle aime tout le temps, celui qui lui donne du plaisir, elle ne l’aime que pendant ce moment magique qui s’estompera rapidement.Le temps passant vite, une fois son orgasme fini, il la détache, elle va à la douche pendant qu’il range, quand elle sort, il va se nettoyer à son tour, il ne la tutoie plus, le vous est revenu, après lui avoir demandé si cela lui a plu et qu’elle a dit oui, il lui demande quand est-ce qu’il pourra sans éveiller de soupçon, revenir un WE, elle répond qu’elle va voir ça et il rajoute que si en plus, il y a une promenade à cheval, ça serait bien, qu’il est même prêt à payer s’il le faut.Après son départ, Marie était crevée, moi, j’avais joui également, on a décidé de se reposer sexuellement, nous avions d’autres clients pour nos repas d’affaires, c’est donc deux semaines plus tard qu’elle lui téléphone en disant que pour le WE prochain, il y a une possibilité pour qu’il vienne, nous n’avons aucun mal à trouver un prétexte pour cela, tout le monde poussant dans le même sensDe son côté, il ne se casse pas la tête non plus, il a soit disant le même client que la dernière fois à voir, il ne s’impose pas malgré tout, il n’arrive que le samedi après midi, par politesse, j’avais prévenu Annie pour une ballade à cheval le dimanche.Ce client était sympathique quand on le connaissait bien, mais contrairement à notre client et ami qu’on a eu, il n’était pas vraiment souriant, il ne s’extériorisait pas, le mari d’Annie disait qu’il n’a rien d’un joyeux drille, ce qui était vrai, mais il avait des qualités, il connaissait son boulot et reconnaissait le travail accompli, il était de parole.Il arrive donc ce samedi avec un gros bouquet de fleurs pour Marie ainsi qu’une grosse boite de friandise qu’il avait remarqué être à son goût, lorsque nous sommes dans le bureau, il demande les toilettes, je mets les camera quand il s’y rend et comme je me doutais, il murmure quelque chose à Marie.Je n’ai rien entendu, mais pendant qu’il devait uriner, elle a été prendre dans sa veste un plug et un œuf vibrant télécommandé, elle l’a mis pendant qu’il était avec moi, je les ai laissé un peu seuls, justifiant un petit travail à terminer, il a contrôlé manuellement, si elle avait mis le plug et l’œuf en le mettant en marche.À table, Marie « avale de travers » par trois fois, elle m’a dit qu’il n’avait pas trop « abusé », ce soir-là, une fois couché, on savait qu’il écouterait et attendrait son tour, on a été surpris qu’il lui demande de se faire remplir, bien entendu, je l’ai fait, dés qu’elle a été dans le couloir pour se rincer, il l’a entraîné vers la salle et l’a baisé en appuis sur le mur.Marie a joui encore une fois, il lui a mis sa main sur la bouche pour éviter qu’elle crie, lui disant en l’insultant, qu’elle aimait servir de sac à foutre, ne pouvant pas aller voir, pour ne pas être surpris, elle m’a raconté qu’il aimait baiser quand c’est déjà gras, elle dit qu’elle a bien joui, qu’il a été endurant, ne jouissant qu’après elle, dans la foulée, elle lui avait dit qu’après le sexe, je m’endormais aussitôt quelques minutes, il n’a donc pas tardé à partir dans sa chambre pendant qu’elle reprenait une douche.Le dimanche matin, nous avons un peu parlé boulot, il n’a pas taquiné Marie, rien dans son attitude ne laissait voir qu’il se passait quelque chose, nous avons mangé le midi tous les trois et l’après-midi, Annie nous attendait pour la ballade, lui, il était déjà en tenue de cavalier, les deux femmes se ressemblaient de dos.Il nous dit, au mari d’Annie et à moi, messieurs, je suis incapable de par leur silhouette, de dire qui est qui, la seule chose qui me l’indique, c’est la façon de monter de votre femme (Annie), qui est aussi à l’aise sur un cheval qu’elle doit l’être sur un fauteuil, nous sommes montés aussi et les avons rejoints, avec Annie, il a été faire un bon galop, nous n’avons pas suivi, car nous ne sommes pas aussi émérites.Annie dit qu’il est très bon cavalier, mieux qu’elle dit-elle, au retour, il nous a dit le contraire, qu’elle l’était mieux que lui, en tout cas, Annie comme lui était enchanté de cette promenade, ne voulant pas gêner Annie, il a dit à son mari quand elle était plus loin, « monsieur, mon âge me permet de vous dire que votre femme sur un cheval, a une grâce que peu peuvent se vanter, nous mangeons tous ensemble le soir et rentrons pas trop tard.Steed avait demandé à ce qu’on prévoie une invitation au restaurant tous les 5 pour les remercier, nous disant qu’on a des amis super, il a entièrement raison et ceci est notre fierté, (Annie dit ici que c’est réciproque), le soir en rentrant, rien de plus que la veille, je fais l’amour à Marie et il la baise pleine de mon foutre à sa demande, depuis que j’ai plaisir à voir Marie prise par un autre, j’accepte plus facilement les déviations qui ne sont pas les miennes.Marie a besoin de sexe autre que le mien, de différence aussi, je la sens bien quand elle va le rejoindre, elle n’y va pas, elle y court, une fois, j’avais fait celui qui ne veut pas qu’elle y aille, elle m’avait sorti toute une panoplie de raison pour y aller, voyant qu’elle devenait triste, j’ai avoué la plaisanterie, elle est partie aussitôt.Le lendemain, il est reparti chez lui, en faisant croire qu’il allait chez un client pour justifier d’être le WE chez nous pour diviser le trajet, je lui ai dit, qu’il n’hésite pas quand ça arrive, Marie aussi aimait, elle n’est pas amatrice du changement de partenaire, mais préfère plusieurs fois le même en dehors de nous deux.Avec Steed, nous n’avons pas retrouvé notre premier client complice, ils étaient comportements différents en tout point, par contre, si avant il cherchait la concurrence, maintenant, il s’arrangeait pour que se soit nous, qui soyons retenus, il était presque notre représentant, il téléphonait souvent pour le boulot, des petites modifs en cour d’étude, puis quand il jugeait le temps suffisamment espacé, il appelait à 11h30 pour avoir Marie, à cette heure, c’est elle qui répondait toujours.Il y eut une autre visite en matinée qui s’est passée comme la fois précédente puis la fois suivante, il revient un matin, même heure comme toujours, il l’attache encore au poteau, la fouette pour lui apprendre à me tromper, ensuite elle passe sur la table, attachée et yeux bandés, il lui met les boules et la vibre, il s’éloigne et ouvre la serrure de porte de la maison silencieusement et l’entrebâille, je ne comprends pas sur le coup, je réfléchis et j’ai peur de comprendre, en clair, je flippe.Un type rentre, je me lève de mon fauteuil et je prends une arme de défense que l’on a depuis qu’on est ici, je scrute le type, qui enlève une espèce d’imper, dessous, il est presque nu, il retire ses chaussures, il est habillé comme style homme soumis, il se met le masque, ma peur disparaît un peu, il ne vient pas pour nuire, mais pour une séance, il se met un masque de cuir avec bâillon boule, le client s’occupe de Marie qui n’a rien entendu.Le type se déshabille, comme Steed, il n’est pas épais, moins grand, je n’ai rien à lui envier, par contre, quand il retire son slip, je me sens complètement ridicule, sans être une bête de foire, il doit bien faire 22cm par 5 cm de diamètre, ce qui se passe ensuite vient un peu expliquer certaines conversations avec lui et aussi le fait de baiser Marie pleine de mon sperme, Steed est bi.J’ai une petite déception, une petite crainte aussi pour le relationnel, tout en tripotant Marie, le soumis le branle, le doigte à sa demande, il retire les boules et Steed suce Marie, le soumit lui la caresse, elle comprend qu’elle a deux amants, croyant que c’est moi au début, ils échangent de place, Steed la traite en la tripotant.Après cela, il la détache et la met pied à terre et ventre sur la table puis la rattache jambes écartées et poignets aussi, tous les deux la baise à tour de rôle, Marie comprend à ce moment-là que ce n’est pas moi, elle est surprise, mais comme je ne suis pas intervenu, elle accepte, quand Steed la baise et lui dit, ne craint rien, il a passé le test, le soumis encule Steed, ensuite, c’est l’inverse, je suis content de n’être que spectateur.Après plusieurs échanges, ils la détachent, lui retire son bandeau, il fait mettre le soumis assis sur la table et lui dit de le sucer en lui mettant un coup de cravache sur les fesses, ce qui était inutile, elle s’y empresse avec plaisir, Steed l’encule pendant ce temps, ils inversent encore, quand le soumis encule Marie, elle a une légère grimace qui disparaît, il la lime de plus en plus vite, elle prend plaisir, elle suce Steed goulument, il lui prend les cheveux et lui soulève la tête pour qu’elle le regarde et lui demande en l’insultant si elle aime.Marie est sur la pente de l’orgasme, Steed la connaît maintenant, il lui fait dire les mots qu’elle dit dans ces moments-là, que c’est une pute, une salope, il lui a donné l’élan, maintenant elle ne se retient plus, « oui, je suis votre pute, je veux de la bite, je suis votre salope, baisez-moi comme un morue », Steed rajoute, « oui ne t’inquiète pas, je vais te foutre sur le tapin salope, hein, tu feras le tapin pour moi », elle répond oui a toute ses demandes.Elle n’est plus elle-même dans ses moments-là, voyant qu’elle va bientôt jouir, il dit au soumis, vas-y inonde cette sale pute, il s’active et elle jouit, suivi du soumis qui râle dans son bâillon et qui la lime même après, ensuite, ils échangent de place, Steed la pénètre là où c’est déjà rempli, cela est sans surprise, le soumis est devenu moins vaillant, elle doit lui redonner vigueur avec une pipe pendant qu’elle se fait sodomiser.Steed se retient, il lime, il s’arrête, il reprend ses va-et-vient, le soumis petit à petit, reprend de la vigueur, à la trentaine, ça redémarre au quart, une fois la forme revenue, ils vont sur le canapé, Steed est sur le dos, Marie sur le dos aussi et sodomisé, le soumis vient dessus et la baise, le plaisir revient, Marie hurle à nouveau son plaisir, Steed l’insulte, Marie se comporte en chienne, le soumis besogne.Après un temps non comptabilisé, Marie part à l’orgasme, Steed, sans bouger, jouit aussi en lui tripotant les seins, le soumis accélère pendant qu’elle jouit puis il vient à son tour, on entend que Marie crier des, « ha qu’est-ce que c’est bon, je jouis, c’est bon, haaa », après cela, chacun d’eux va se rincer dans la salle de bains, le soumis d’abord, Steed demande si elle apprécie sa surprise, elle répond que oui.Marie a enfilé un peignoir, le soumis revient, Steed va se rincer, il demande à Marie si cela lui a plu, elle dit oui, il répond, « j’espère qu’on se reverra », Marie ne répond rien, elle sourit simplement, ils partent ensuite, j’avoue qu’au début, j’ai eu un peu peur, mais le soumis est sympa et correct, tout comme Steed, je conçois qu’il ne pouvait pas me demander mon avis.Le lundi, il rappelle Marie à l’heure habituel et lui pose la question, demandant si cela lui a plu, disant que si elle ne veut plut qu’il vienne, ça sera suivant son désir, me regardant, elle lui dit qu’il pourra revenir, mais préférerait qu’il n’y en ait pas d’autre non plus, il lui dit qu’il n’en a pas d’autre et qu’il est en couple avec lui.En fait, d’après ses explications, ils sont homos tous les deux, mais pas fermés aux femmes quand elles sont jolies, il lui reparle d’Annie, Marie lui dit ce qu’elle savait à l’époque, qu’elle n’était pas comme elle.Ce qui suit, est le récit de l’anecdote quand avec Annie, je contais cette histoire, Annie me dit ici, que « c’est dommage cette image que l’on voulait donner de nous », elle aurait aimé être à la place de Marie et quand je lui dis qu’il l’aurait obligé à gouiner ensemble avec Marie, elle me fait un sourire.Je continue mon récit, elle écrit, et le soir même, sans prévenir, elle s’invite à l’apéro en amenant une bouteille, elle discute avec Marie douce, après m’avoir dit que c’est confidentiel, je pense à des soucis de femmes, puis quand je peux revenir, Annie me dit d’un aire faisant croire a de l’étonnement, « c’est vrai qu’une fois, tu avais dit à Marie, que si elle allait avec une autre femme, elle n’aurait même pas besoin de te le dire ni demander.Je me rappelle vaguement avoir dit cela, mais ça rentre dans ma mentalité et je lui dis, surement, elle me dit, « donc, elle fait l’amour avec Patricia (une connaissance pas mal), elle ne te le dit pas, tu le découvre, et tu ne le lui reproche pas », je dis, oui, c’est ça, elle ironise en remplaçant Patricia par une autre qui n’a aucun atout pour elle, je réponds que là, je ne comprendrais pas, sur le même ton, elle me dit, » et si c’est moi, je fais un signe avec les yeux en l’air montrant l’extase.Marie me dit, alors soit content, les deux femmes s’embrassent sur la bouche, je suis médusé, elles m’apprennent aussi ce que je savais en partie, mais sans qu’Annie soit dans le coup, Annie ne savait pas que je savais pour Marie et sa copine, mais j’étais loin de savoir pour elle trois ensembles, Marie attend ma réaction, celle-ci est positive, je lui souris, elle me raconte les détails de quand cela se passait, a quel moment, c’est Annie qui a décidé de ne rien dire à personne ni même à son mari qui vient de l’apprendre une demi-heure avant.Je leur dis, que je suis très content de l’apprendre, et que si Marie n’avait pas voulu te céder, je lui aurais dit qu’elle était bête, la seule ombre au tableau, c’est que je n’ai pas le droit d’assister a leurs parties, hélas, connaissant mes trucs avec les caméras, elle me dit qu’elle ne fera jamais cela chez nous, mais elle n’est pas contre un jour, de faire une partie à trois ou quatre, mais toujours sans pénétration.Revenons maintenant au moment où j’ignorais tout ça, le client à Marie au bout du fil, lui avouant son homosexualité « ouverte », il est entendu avec Marie qu’il pourra revenir avec son soumis, mais qu’elle ne veut pas qu’il y en ait plus, chose qu’il a très bien comprise et qui de toute façon n’aurait pas été plus loin, faute d’autres partenaires.Après cela, je dis à Marie que je ne participerais jamais à leur trio, comme à chaque fois, il se passe un bon mois, avant qu’il ne rappelle Marie, il demande pour une invitation de tout le monde au restaurant, en demandant s’il peut emmener son soumis en le faisant passer pour un éventuel collaborateur, je dis oui à Marie qui lui répond.Ils arrivent toujours le samedi en milieu d’après-midi, je fais connaissance du soumis et de près, effectivement, il est efféminé dans son comportement et ses paroles, sans être une grande folle non plus, disons que je n’irais pas seul avec lui au restau, mais accompagné de femmes, il n’y a pas de soucis, nous discutons boulot, le soumis est avec Marie dans la salle, comme Steed est là, je ne peux pas mettre mes cameras en route, Marie me dit qu’il n’a rien tenté, il l’a juste remercié de l’invitation sans parler de ce qui s’est passé la première fois.À l’heure convenue, Marie est prête, très bien habillée, sexy sans être vulgaire, le soumis complimente à tout-va en me disant, « votre femme est superbe, vous devez en faire des envieux », je lui dis que j’ai cette chance, au restaurant Annie et son mari nous rejoignent », Annie aussi était habillée sexy, le soumis dit, « mais nous sommes à un défilé de mode », Steed dit, « non, ici les femmes sont bien plus belles, ce ne sont pas des squelettes », le soumis dit, « messieurs, vos femmes sont débordante de beauté.Marie a dit à Steed que je n’étais pas du tout bi et que le mari d’Annie, s’il n’était pas homophobe, il n’accepterait pas de débordement, il a compris et a mis le soumis dans la confidence, d’ailleurs celui-ci n’a eu d’yeux que pour les femmes, je me suis dit en moi-même, que s’il pouvait devenir qu’hétéro, ça ne serait pas plus mal, la soirée se déroule bien, le soumis est de bonne compagnie, plus bavard que Steed, quand je vois le mari d’Annie rire avec, je suis content de comment ça se passe.Quand on voit Steed et le soumis, rien n’indique qu’ils sont homos, ils savent se tenir en public, il y a une manière entre le moment public et le moment jeu en privé, Annie avait choisi le restau et on n’a pas été déçu, après le restau, nous avons été chez nous finir la soirée, puis vers minuit, nous nous sommes quittés.À ma demande, Marie avait dit qu’elle était désolée, qu’elle n’avait pas eu le temps de faire un second lit, car la chambre était encombré, et demande si cela ne dérange pas le soumis de dormir sur un matelas à même le sol, afin que devant moi, ils ne disent pas dormir ensemble, de mon côté, j’avais une fois que nous n’étions que tous les 5, fait celui qui s’endort sur le canapé, disant que je ne suis pas habitué à boire.Une fois tout le monde douché, chacun regagne sa chambre, pendant que c’est mon tour, Marie avait voulu demander s’il venait comme à chaque fois, mais Steed fut plus rapide en demandant si c’était possible, qu’elle vienne les rejoindre en nuisette sexy juste le temps de la tripoter un peu, elle a dit qu’elle voyait comment je suis, et elle les rejoindra un peu ou plus, lui disant « je passe à la douche avant », il répond, « non ».Marie et moi sommes tout excités de ce qui va se passer, je la baise en ne lui donnant qu’un seul orgasme, afin qu’elle en ait pour eux, après cela, elle va les rejoindre ou elle se fait embrasser, fouiller, titiller, elle gémit de plus en plus, comme il n’y a pas de camera dans la chambre, j’ai dû écouter à l’ancienne, derrière la porte.Steed lui demande de crier moins fort, elle lui répond, « il dormait sur le canapé, une douche et une bonne baise, là, il est HS jusqu’à demain matin, Marie est en bonnes-mains, elle profite au maximum, elle gémit, elle redemande, je ne vois rien, mais j’entends, elle m’a dit ensuite, qu’allongée sur Steed qui la pénètre, lui faisant face cette fois, le soumis par derrière la sodomise en douceur, elle fait des « hou, haa, oufff, doucement, là oui, oui,c’est bon, encore ».Marie se donne entièrement à ses deux amants, elle s’envole dans un orgasme qui dure jusqu’au suivant ou Steed dit, « je tiens plus, je vais jouir, t’es prête », marie dit « oui », il lui dit, « aller donne le signal et on jouis tous ensemble », elle dit, « encore, oui plu vite, là comme ça, oui plus vite encore, plus vite, plus vi…, haaaa je jouiiii », steed dit, « aller on rempli cette salope, haaa, elle est bonne, hein qu’elle est bonne », le soumis ne répond pas, il jouis dans un râle qu’il tente d’étouffer au maximum.Il continue à la limer tant qu’il est dur, Marie en profite, ne s’arrêtant qu’à la débandade, ils sont restés sur le dos tous les trois pour reprendre leur souffle, Marie au milieu en étant caressés, c’est Steed qui lui dit de s’en aller pour ne pas prendre de risque, elle les a laissés puis est passé à la douche, quand elle est arrivée, je bandais, elle m’a dit, toi, tu es venu écouter, elle m’a soulagé d’une pipe royale.Le lendemain, je suis debout avant tout le monde et dis que je suis au bureau depuis cinq heures, nous sommes invités tous chez Annie, afin de ne pas être au service en nous laissant, elle a une voisine de confiance pas bien loin qui fait le boulot à sa place, elle donne ses directives pour le repas, et quand on est à table, elle ne se lève plus, nous avions pareil avec la femme de l’effleureur avant.Le repas se passe bien, aucune allusion sexuelle de part et d’autre, notre conversation pouvait être entendu pour tout âge, Annie et Steed, se sont promenés tout seuls, et nous aussi de notre côté, à un croisement, cinquante mètres devant nous, nous avons vu débouler au galop deux silhouettes familières, ils s’amusaient comme des ados, au retour, ils se sont re congratulé à redire que l’autre montait mieux que lui.Le soir, nous avons fini les restes, et mangé léger, sauf Steed qui disait avoir honte de manger autant, alors que les femmes pensaient à leurs hanches, nous sommes rentrés de bonne heure, nous avons commencé à discuté et j’ai fait celui qui baille, Steed dit, « hé oui, quand on se lève au chant du coq, après on se couche avec les poules, on va y aller aussi ».Marie a été les rejoindre ¼ d’heure après l’extinction des feux, cette fois-ci, j’avais prévu un micro dans leur chambre éclairé par la lune, plus performant que celui des débuts, j’ai absolument tout entendu, elle leur a dit que je me suis écroulé comme une masse et que je ne me réveillerais pas avant trois bonnes heures, Marie m’a raconté ensuite ce que je ne pouvais pas voir, mais que j’ai deviné.Steed allongé sur le dos, Marie le sexe sur la bouche de Steed et le soumis qui suçait Steed, elle le regardait faire et ça l’excitait, ils ont fait ensuite le triangle, le suceur se faisait sucer par l’autre qui lui se faisait sucer aussi, elle se faisait ensuite sucer par l’un, et sodomiser en même temps par l’autre, puis Marie prise en levrette par le soumis qui était sodomisé par Steed, puis encore Marie sur le dos, et elle suçait les 2 bites en même temps ou à tour de rôle.Quarante-cinq minutes après, (indiqué par mon réveil digital luminescent), puis un orgasme pour elle, ils se mettent dans la même position que la veille, mais inversé, le soumis sur le dos, elle, face a lui et empalée, Steed derrière qui la sodomise, Steed est moins vaillant que son soumis, il va moins vite, le rythme est plus lent.Cela excite Marie, mais elle veut jouir, elle le lui demande, mais il dit, « tais-toi salope, tu es notre pute », les insultes de Steed pleuvent, cela accentue son excitation, il continue en parlant à son soumis, « regarde la petite sainte nitouche qu’on accompagnait au restau hier, en fait, c’est une morue, une bouffeuse de bite, un sac à foutre, hein salope, tu n’es qu’une pute ».Il n’en faut pas plus pour que Marie parte vers l’orgasme, disant, « oui, je suis votre pute, je suis votre salope, videz vos couilles en moi, faites de moi tout ce que vous voulez, je, je, haaaaa », Steed à son tour dit, « ha merde, la salope, elle me fait cracher, ha putain, je jouis, va-y met tout dans sa chatte », le soumis accélère, puis je l’entend cracher à son tour, Marie crie des encore pendant qu’ils se vident entièrement.Ils se remettent tous sur le dos, elle avait prévu du sopalin pour s’essuyer, après les souffles repris, elle entreprend des pipes à tous les deux, le soumis est le premier à reprendre forme, Steed n’a pas pus l’avoir suffisamment en forme pour une pénétration, le soumis a sodomisé Steed, qui a voulu une pipe en même temps par Marie, une fois son deuxième jus donné, il va se coucher sur le matelas a terre en leur disant, « quartier libre, je suis éliminé ».Marie et le soumis ont baisés ensuite, alternant sodo et baise en levrette, elle a joui une première fois puis la seconde fois, elle lui demande de jouir en même temps, c’est Marie qui donne le tempo, il lui donne son allure et quand il est à point, le signale à Marie qui commence le compte à rebours, puis c’est l’explosion, Marie hurle, s’en rendant compte, elle mord l’oreiller.Après un nouveau petit repos, elle les quitte en disant qu’elle est morte, elle prend sa douche et me rejoint, pendant sa douche, Steed disait à son soumis, « elle n’est pas que belle », le soumis répond, « il n’y a vraiment rien à jeter, elle nous ferait facilement changer de bord », Marie arrivant, je n’ai pas entendu la suite, le matin, ils sont repartis.Tous les mois, ils revenaient soit pour une matinée soit pour un WE, il y avait quelques rares fois ou le soumis n’avait pas pu venir, le soumis lors de matinée, était traitée comme elle, fouettée, mais jamais le WE, cela faisait deux ans que ça durait et puis un jour, à 11 h 30, sans qu’on puisse l’avoir prévu, il arrive dans la cour au moment où je sortais, dans la voiture, je n’ai pas vu la tête qu’il a faite, mais je me suis douté.On a insisté pour qu’il reste mangé, il nous dit avoir quitte l’entreprise de Steed, en fait, ils se sont séparés, en allant à la cave chercher une bouteille, j’ai laissé Marie avec lui pour savoir sans besoin d’un décodeur, leur histoire à pris fin de façon définitive, il avait vraiment un rendez-vous dans le coin, il a prévenu qu’il serait en retard en partant.Pendant le moment où j’étais à la cave, Marie lui a demande de repasser le soir, il n’a pas osé, mais elle lui dit de revenir avec un petit bouquet pour dire que vous êtes arrivé sans rien a midi, (Marie a de la répartie maintenant), on discute, disant que nous sommes toujours en bons termes avec Steed, ce qu’il comprend fort bien.Marie lui avait dit de repasser vers dix-huit heures pour avoir le temps de faire un repas préparé, à l’heure dites, il était là, nous feignons la surprise, il présente son bouquet pour sa justification, Marie lui propose de dîner avec nous, il refuse, j’insiste fermement, il accepte, je lui dis que je dois les laisser, car j’ai des fax à envoyer.Sur ‘ordi, je mets les cameras en route, assis sur le canapé, il confit à Marie les raisons de leur rupture (sans intérêt ici), il lui parle de son goût pour la soumission, Steed était bien dans ce domaine, il n’est pas spécialement gay, mais plutôt bi, il dit aussi qu’il le remercie de l’avoir fait connaitre, belle femme, mari sympa, amis sympa.Il ne, c’est rien passé pendant leur discussion, nous avons pris l’apéro ensuite, puis le repas, nous avons discuté boulot, loisir, Marie dit au digestif, zut, c’est vrai, je n’ai plus ma liqueur, c’est un code que je dois la laisser seule avec, pour lui dire qu’elle viendra ce soir, a son étonnement, il refuse, disant qu’il ne peut pas me faire cela, avec Steed, c’était différent, mais là, ça serait salaud.Elle lui dit, « ça alors, un homme avec une conscience qui pense avec sa tête au lieu de son sexe », il répond, « oui peut être, même si en ce moment, mon sexe me traite d’idiot », montrant sa bosse qui venait de se former, après la demande de Marie.Je reviens après un temps raisonnable pour dire qu’il n’y en a plus du tout de sa liqueur préféré, il a fallu le forcer à rester, manger, le forcer a rester dormir, contrairement à quand on avait speed et lui, Marie a mis un déshabillé sexy, pas vraiment ravageur, mais du genre a ce que le film ne soit pas du tout captivant, le pauvre subissait le supplice de tantale.Avant la fin, je me lève et dit, « je vous laisse, je suis mort, avant qu’il ne puisse dire quelque chose, elle dit, « nous, on ne se couche pas maintenant, on attend la fin, je ne réponds pas et les laisse, quand je suis éloigné, il dit, « non, ce n’est pas sérieux », pour plaisanter, j’avais dit à Marie sur le ton de la plaisanterie, qu’elle prenne une cravache s’il discute, marie, elle, l’avait pris au premier degré.Elle prend la cravache dans le pot à parapluie et lui en met un coup sur une cuisse en disant et faisant, « chut », il fait un signe de « non », elle lui en remet un autre coup et lui demande de se mettre nue, elle re claque encore deux fois pour qu’il le fasse, il fait « pfuitttt », mais en étant content d’obéir, l’excitation l’emportant, ses scrupules disparaissent.Marie a mené la danse tout le long de leurs ébats, l’embrassant partout, se faisant lécher partout aussi, il lui a donné deux orgasmes sous ses ordres, ne jouissant qu’à son ordre, ensuite, ce fut mon tour, elle passe a la douche et je lui redonne un orgasme, Marie est une vraie bombe lorsqu’on a des « invités » actif, je peine a me retenir.Pour le WE c’est pareil, Marie « l’oblige » à rester, n’étant pas cavalier comme Steed, nous n’avons pas été voir Annie, le WE se passe de la même façon, après quelques séances avec Steed, avec lui ensuite, s’arrangeant pour qu’il ne se croise pas, Marie avait fini par lui faire admettre, qu’il ne me trompait pas, mais boostait notre cpl, mais un vendredi soir, plusieurs WE passé, je m’étais endormi réellement, et eux, au lieu d’aller dans la chambre d’ami, on été dans la salle, on avait bien bu, et j’avais la gorge sèche, je décide d’aller dans la cuisine en passant par la salle sans faire de bruit.Étant pied nu, je ne fais pas de bruit, je les pense dans la chambre, j’allume et les surprends autant que moi-même, je le suis, dans une position sans appel, après la surprise passé, de voir sa tête me met dans un fou rire, la situation l’a fait débander d’un seul coup.Bien sûr, je n’allais pas faire esclandre et il fallait bien expliquer cela, mais pour le moment, l’événement me mit dans un fou rire que le soumis pouvait trouver vexant et comme ce n’était pas le but, je retournais dans ma chambre.Le soumis pensait que la découverte de mon état de cocu m’avait plus ou moins chamboulé, piétinait dans la salle en cherchant quoi dire, quoi justifier, Marie qui au départ ne savait comment gérer cela, se mit à rire aussi, le décontenançant encore plus, elle lui dit que c’est rien, qu’il n’y a pas à s’inquiéter, il répète, « c’est rien, c’est rien, c’est pire plutôt ».Après le moment de folie passé, je reviens dans la salle, je ferme la lumière et tous les deux, on le rassure, disant que je savais tout, etc., la vérité en quelque sorte, saut que jamais, on a dit que j’etais au courant pour steed, disant juste que je savais pour lui et Marie, il disait se sentir mal de faire cela dans mon dos, je coupe court a ses remord en disant, tu as fait du bien a Marie, alors pour moi, c’est tout ce qui compte.Tout étant entendu, sur le moment et le devenir, il disait que revenir en sachant ce qui se passe, que ça ne le dérangerais plus, mais de l’avoir fait en pensant que c’était en cachette, vis-à-vis de moi, il se sentait mal, quand il a vu que Marie l’entreprenait à nouveau, et que je gardais le sourire, la nature a repris le dessus, je l’ai embrassé, caressé, de son côté, il s’est occupé d’elle, à la lueur de la lune, j’ai vu son sexe de près, je me sentais ridicule.Mais dans mes bras, j’avais une Marie en ébullition, un volcan en éruption, et cela, vaut plus que tout le reste, nous avons fait les mêmes figures qu’il a fait avec Steed, ce que j’ai le plus apprécié, c’est que Marie était encore plus excitée du fait de ma présence, de mon côté, si en principe, je ressens une gène d’être à cote d’un autre homme, cette fois-là, je n’en avais aucune.Le WE s’est passé de la même façon, nuit de sexe, Marie jubilait et moi aussi, lui également, il venait quand Steed ne venait pas, ou alors un soir par hasard, il venait avec un panier de fruit, une cote de bœuf, une bonne bouteille, tout ce qui fallait pour dire qu’il ne venait pas en faisant le pique-assiette, avec soit un bouquet de fleurs, soit un dessous pour Marie.Le récit ici, est lu par Annie et son Mari puis par Marie et moi, je ne voulais pas raconter ce qui suit, mais Annie m’a convaincu par presque par chantage, un WE, le soumis vient le vendredi à notre demande pour profiter au maximum, on venait de recevoir un vin cuit directement du producteur, sexe normal le vendredi soir, un trio comme Marie aime, puis le samedi, nous mangeons chez Annie, l’après-midi, nous mettons en bouteilles.Nous étions sortis de table presque à 16 heures, la mise en bouteilles à dégénéré à la rigolade, en clair, les femmes qui d’habitude ne boivent pas, ont bues, nous qui ne sommes pas des ivrognes, ils nous en faut peu, nous avions abusés, nous mangeons sur place, nous abusons avec un apéro supplémentaire, tout le monde rigole d’un rien, en clair, on est tous pétés.Annie peu habituée s’écroule après le repas, son mari la met au lit, pour ne pas déranger, on prend congé, ne voulant pas reprendre la route, j’emprunte son quad, Marie devant et le soumis derrière, moi au milieu, il y a deux km à faire par les chemins, je suis saoul mais encore lucide, je mène le quad à petite vitesse et droit, l’air frais nous fait du bien.Pendant le trajet, je sens le sexe du soumis et Marie sent mon sexe aussi, elle me dit que l’alcool me fait du bien, je dis qu’à celui derrière aussi apparemment, chasser le naturel, il revient au galop dit il, on arrive à la maison, on se met sur le canapé en relatant la soirée, qu’on s’est bien amusés, on passe à la douche, et au moment de se coucher, comme il n’était pas tard, Marie lui dit, de venir avec nous sur le lit pour continuer la soirée.L’alcool aidant, nous lui avouons notre complicité, la mienne, mon accord avec lui seulement, ne disant juste savoir que ca dure quelques mois après sa rupture avec Steed, il est sur le cul de savoir cela et mon attitude, je lui redis, tu fais du bien à ma femme, alors ou est le mal, je propose un trio, mais il dit, pas ce soir.Il refuse prétextant avoir trop bu et être complètement crevé, je lui dis qu’il a raison, notre état demande du sommeil, le lendemain, Marie est en pleine forme, ses caresses m’excite, lorsque nous sommes invités chez Annie comme la veille, je les regarde avec envie, l’une comme l’autre, Marie me caresse, je veux lui rendre la pareille, mais elle me repousse en disant « non, il n’y a que moi qui touche », elle va dans la salle de bain et se parfume comme Annie.À plusieurs reprises, j’ai envie de la toucher aussi, mais elle me repousse, énervée, elle va chercher des menottes, ils nous arrivaient des fois de jouer avec, avec elle, nous avons essayé pas mal de jeux comme d’endroit, elle me dit, imagine qu’Annie te caresse comme ça, je fais, « hummmmmm », elle dit attend et apporte un bandeau qu’elle me met en disant, imagine que c’est elle qui te fasse cela.Je joue le jeu, j’imagine et bien sûr, rien que le prénom d’Annie et je bande comme un cerf, allez appelle moi Annie, il y a longtemps que Marie n’est plus jalouse d’elle, elle sait aussi mes sentiments et envies pour elle, c’est donc sans gêne que je la transpose sur Annie, elle me caresse, elle pratique inhabituellement pour me mettre dans le contexte, elle parle en même temps, elle fait des humm, des ho, ho, je lui fais chut pour imaginer.Ses caresses m’excitent, j’étais complètement pris dans le jeu, elle me caresse le torse, elle est douce, elle fait différemment comme si c’était Annie qui me caressait, elle arrive entre les cuisses et comme c’est déjà arrivé, elle me pose son doigt sur l’anus, je dis, ho non qui signifie ho oui, elle me fait chut, elle m’écarte les jambes au maximum, elle me suce l’anus, ce qui est très rare, quand c’est bien mouillé, elle m’introduit son doigt, je suis tellement excité, que j’apprécie la caresse, interdite habituellement.Sa langue me lèche les couilles, puis remonte, je donne des ondulations à mon bassin, elle me dit, « ce soir, je veux tout dans ma bouche, j’ai super envie », je sens sa langue qui remonte, l’odeur aidant, j’imagine que c’est Annie, puis à force de remonter, elle m’attrape le sexe en entier dans sa bouche, elle bouge à peine, c’est moi qui lui baise la bouche, son doigt me fouille, sa bouche me suce, parfois sa langue.Je reste dans mon fantasme où c’est Annie qui me fait ça, je dis, « oui Annie, va-y oui, encule-moi, oui comme ça, ho oui, tu suces bien, encore comme ça, oui là, ho putain ça y est, je, je, je haaa oui, je jouis, ho putain, oui va y vide moi bien, haaaa, Annie, oui, oui, j’ai pris un super pied avec une pipe.Je me suis vidé jusqu’à fond de couilles, en baisant sa bouche, une fois fini, elle me détache complètement, disant, ça t’a plu, je dis plus que ça même, j’avais un peu honte d’avoir crié Annie, j’étais lessivé, étonné, Marie me dit, je rejoins le soumis, je dis, s’il ne dort pas, elle y va et ne revient pas de suite, je vais voir, ou plutôt entendre ce qui ne laisse aucun doute.Le WE se passe de la même façon, il me fait l’éloge de ma largesse d’esprit, me remercie en disant qu’il ne sait pas quoi dire, il repart le lundi matin, on lui a demandé de garder cela pour lui, chose qu’il a bien compris, le soir, au lit, elle m’assaille de question sur sa bisexualité, me demandant si je n’aimerais pas essayer, elle me tient des conversations que j’ai compris deux jours après.A suivre.