Avec Helene, nous leur avions demandé, d’aller se retrouver pour qu’ils se débrouillent ensembles sur leur avenir, elle téléphone de la maison, sans qu’elle sache que j’écoutais vraiment, ils se donnent rendez vous comme les autres fois mais à 14 heures et non à midiJ’embauche à nouveau celui qui a prit les photos pour aller mettre a nouveau un dictaphone dans la maison, moi je surveille Lucien en scoot, je le suis a sa sortie de bureau, et comme il ne va pas de suite au studio mais déjeuner, quant il sort du restaurant a 13 h30, je dis qu’il peut mettre le dictaphone en placeIl le met à une autre place, mieux caché, a 14 heures, même en avance, nos 2 imbéciles arrivent, pas de bisous, elle se pousse quand il a commencé a vouloir lui faire la bise sur les joues, ils sont restés moins d’une heures, quand elle ressort, apparemment en pleurs, il sort a son tour 5 mn après, pas très joyeux, mon complice fonce chercher le dictaphone et je rejoins Lucien a sa voitureIl était temps, il avait déjà quitté le stationnement, il est retourné a son bureau, j’ai attendu 1/2 heure, puis j’ai appelé Marie, voir si elle était rentrée, elle était effectivement a la maison, je m’étais dit que peut-être, il montait une mise en scène, ils se quittaient dans un endroit ou peut-être, on les surveillait, pour aller discrètement ailleursPendant que je surveillais l’éventuel sortie de Lucien de son bureau, j’ai écouté le dictaphone, au début, ils ont parlés de leur bêtise, du moins le mot bêtise, c’est Marie qui l’a cité, sans rentrer dans les détails, Marie lui a dit, « il me vire, on divorce a mes tords », il a dit pareil sauf que lui c’est plus grave, ça lui coûte plus de fric, Marie lui dit, « on fait quoi, il lui dit, je vais essayer de recoller les morceau »Marie dit, et nous, il répond, pour le moment rien, elle veut que quand j’aille au boulot, que je sois joignable, et quand je quitte le bureau, j’ai une heure pour rentrer, elle m’a autorisé à venir te larguer là, Marie dit, tu me largue, il dit non bien sûr, juste qu’en ce moment, on doit se faire oublier, quand le coup de grisou sera passé, on se reverra en faisant plus attention, Marie dit, moi, je suis a la rue, je peux habiter là, il dit que ce n’est pas possible, que le studio est a son associé aussiMarie dit, et toi, tu vas ou, il dit à l’hôtel, mais elle a le code aussi pour rentrer, et m’a dit qu’elle peut venir a tous moment voir si j’ai changé, je ne veux pas louper cette chance, je te dis, une fois tout ça calmé, on refera comme avant, en faisant plus gaffe, on se rejoindra a l’hôtel et on ne se montrera plus en extérieur, la suite est insignifiante, ils redisent les mêmes choses, puis avant qu’ils se quittent, Marie dit, « tu ne peux pas demander a ton associé, s’il ne peut pas me laisser le studio, le temps que je me retourne »Lucien dit, « non, il ne voudra pas, a moins que ….. », Marie dit, « oui, je paierais une participation », Lucien lui répond, « non pas ca », Marie dit, » quoi », Lucien dit, « et bien si tu acceptais de ….. », Marie dit, « ha, qu’il me saute aussi, c’est ça », Lucien dit, « voilà, comme cela en plus, je pourrais passer le soir en vitesse, et je dirais a ma femme que c’est les embouteillage qui m’on retenu, si on le met dans la combine, si ma femme téléphone, il lui dit que je viens de partir et m’appelle pour me le dire, comme cela je vois le temps qu’il reste, ca te va »Il y a un silence et puis on entend clac, elle venait de lui mettre une gifle, le soir, elle se frottait la main, elle avait mal, je ne lui en fis pas la remarque, j’entend ensuite, tu es vraiment une ordure, comment j’ai pu ….., (elle pleure), il dit, « Marie », elle répond, » laisse-moi salaud, connard, en plus de mal baiser, tu es un goujat », il répond, « tu disais pas ca avant »Elle répond, « pauvre type, tu n’a même pas compris que c’était ce que tu me proposais qui m’a fait deconner, l’espoir d’améliorer ma situation, j’ai fait la pute, qu’est-ce que j’ai été conne, je mérite vraiment ce qui m’arrive », il lui dit, « c’est ça fout le camp salope », la porte claque, quelques secondes de silence et puis il dit, « putain de merde, elles m’emmerdent ces saloperies de bonnes femmes »J’ai téléphoner à Helene pour lui donner le compte-rendu, j’ai appelé de la maison, j’ai fait sortir Marie dehors, disant que j’ai un coup de fil pro, que je lui ferais signe de la fenêtre de revenir, je n’ai pas fait entendre a Hélène, je lui ai juste dit ce que j’ai entendu, la vérité en somme et mon conseil, largue cette ordure, il ne mérite même pas ta présence a une table, je lui raconte aussi la gifle prise, Hélène me dit que Marie lui devient plus sympathiqueJe lui dis que sans la défendre, car elle a des torts, je lui rappelle ce que je lui avais dit la veille, leur rencontre, les promesses faites, que c’est lui qui a tout fait pour la séduire, en lui faisant miroité un bon boulot valorisant et très bien payé, je répète aussi ce qu’il a proposé, qu’avec la complicité de son associé, laisser le studio à Marie en se faisant payer en nature tous les deux, qu’une fois seul, il a hurlé » putain de merde, elles m’emmerdent ces saloperies de bonnes femmes »Les jours qui ont suivis, le mardi matin, en pleurant, Marie me dit qu’elle n’a rien trouvé, je lui dis, comme la semaine a été correcte, qu’elle a respecté ce que je lui ai demandé, le ménage fait, la bouffe prête, la maison entretenue, j’accepte une semaine de plus, elle veut venir m’embrasser, mais je la repousse en disant, beurk, j’aurais l’impression d’embrasser Lucien, tu me prends pour un « con »Sa joie se transforme en pleurs, je n’aime pas agir ainsi, mais j’avais trop souffert et été trop humilié, je n’avais pas eu ma récompense d’homme fidèle et amoureux, le mot « con », je le lui avais rappelé à plusieurs reprises, le soir même, je lui dis de venir, on va au studio et je lui fais récupérer ses affairesElle a voulu refuser, je lui ai dit, tu ne discutes pas, tu as fais la pute, alors tu prends ton du, j’ai dû le répéter en criant, je lui demande s’il y en a beaucoup, elle dit « oui, je crois, je sais plus », je dis deux grosses valises ça va, elle dit « je pense oui », les valises ont été juste, il ne s’était pas foutue d’elle, mais ca, je ne lui ai pas dit, tout est mis dedans, je dis « , c’est tout, elle dit « oui, je crois »Elle ne répond pas et commence à descendre les escaliers, je lui dis, « tes valises, je ne suis pas ton larbin », je lui dis de remonter, et de laisser les clefs sur la table avec un mot de son choix, que je ne le lirais pas, elle a écrit, j’ai pris mes affaires, voilà tes clefs et va te faire foutre ordure, j’étais sur le palier, elle passe, j’allais claquer la porteElle me dit, je ne te demanderais plus rien, mais va lire, je ne voudrais pas qu’il invente ce que je n’aurais pas écrit, je dis que je m’en fout, elle me dit, ne le fait pas pour moi, fait le pour l’amour que tu as eu pour moi et que j’ai gâché, je ne te demanderais plus rien après, j’ai été lire quand même pour la raison qu’il n’invente pas ce qui n’est pasAprès dîner, les soirs, je retournais travailler, ce qui me permettait d’aller voir Hélène le lendemain, mon travail était correct, mon chef ne me disait rien, au-dessus de lui, on me savait avec des problèmes familiaux sans les connaitre, et comme mon boulot se faisait sans problème, que j’étais même plus présent en heures, mes horaires étaient acquis, tant que Marie respectait les horaires imposés, elle restait à la maison, c’était maison, boulot, maison, ses seules sorties, c’était les courses que je lui demandais et celles du samedi, on partageait les courses, l’eau, l’électricité, elle payait le tiers du loyerPendant 2 mois, je repoussais d’une semaine à chaque fois sa valise, la première semaine, un soir, je n’ai pas été au boulot, mais voir Lucette, elle s’était mise belle pour moi, je ne suis pas Lucien, j’ai dit à Lucette, je t’aime Lucette, mais je ne suis plus le Henri que tu as connu il y a dix ans, aujourd’hui, je suis incapable de faire confiance a une autre femme et je suis incapable de fidélité, je t’estime de trop pour te laisser gâcher ta vie avec moi, je te rendrais malheureuseJe veux bien être ce que tu veux, un amant, un ami de confiance, un confident, mais un mari, j’en serais incapable, elle pleure sur mon épaule, je lui dis pardonne moi, on devait aller dîner, mais elle me dit adieu, en moi-même je dis en parlant de Lucien « ordure », en pensant cela je pense a Marie aussi, mais je me dis que Lucien avait fait a Marie la même chose que je lui ai fait faire avec l’effleureurLa méthode était différente, lui par les paillettes et les flonflons, et moi par « amour », ca m’a fait un coup de voir Lucette partir, je comprenais son choix, en partant, je lui dis, « je serais toujours là pour toi Lucette », je suis rentré à la maison, Marie ne comprenait pas, j’avais les yeux brillant, quand elle me demande ce que j’ai, je lui dis, « résultat de tes conneries, dommages collatéraux ».Le lendemain, j’ai voulu me consoler dans les bras d’Helene, je n’y allais que 2 ou 3 fois la semaine, c’était le rythme de Lucien, elle était habituée, je ne voulais pas faire capoter son divorce en y étant régulièrement plus souvent, déjà que même là, on a pris un risqueAvec Marie, plusieurs fois le soir a la télé ou moi seul choisissait le programme, je lui ai dis d’aller mettre un pyjama ou un tee short plus ample, ou un pantalon, alors qu’avant, je le lui interdisais presque, cela avait beau être Marie salope, Marie l’infidèle, Marie la menteuse, mais malgré tout cela, s’était aussi Marie bandante, Marie désirable, Marie la belleEn octobre, le divorce était prononcé, Hélène, une semaine après moi, nous avions obtenu ce que nous voulions, moi peu de choses, nous n’avions rien, Hélène a eu la moitié de la maison, avec l’usufruit jusqu’a sa mort ou son désir de vendre, une somme pour les enfants jusqu’a leur majorité, et une bonne rente pour elle a vie avec un petit pécule sur les actions de la boite, je découchais les mardis et vendredi, on passait la nuit ensemble, les parents gardaient les enfants, Marie travaillait dans la même boiteJ’avais sympathisé avec son chef, en discutant comme ça, il avait des problèmes avec un fouteur de trouble, son chef n’était pas une demi-portion, mais il disait avoir peur des représailles, il m’a expliqué la situation, ses craintes étaient légitimes, j’explique a l’effleureur qui, avec le même copain, ont été réglé à leur manière le problème, le service ne m’a rien coûté, l’effleureur me dit, que j’ai déjà payéLe chef de Marie me faisait ensuite un compte-rendu de son comportement au boulot, qui était normal, elle était triste disait-il, il nous savait divorcer, mais vivant encore ensemble, a sa boite, tout le monde le savait, des collègues ont essayés de la draguer, elle les a envoyé paitre Les 3 coups de sexe avec Hélène ne me rassasiaient pas, la présence de Marie que je laissais sur l’incertitude de pouvoir rester, même habillée mémère, Marie me faisait bander, je m’en cachais, je me sentais salaud, mais je ne pouvais pas faire autrement, un vendredi soir, je la trouve moins tristeJe me dis qu’elle s’est faite a sa vie de bonniche, car c’est bien comme cela que je la traitais, ce même soir le téléphone sonne, Annie me demande si je peux venir maintenant, Annie est en chine, moi a paris, elle me demande de venir de suite, une heure après je suis dans l’avionArrivé chez Annie, elle me dit, il faut qu’on parle, je suis étonné, car pendant le déroulement des choses, je lui téléphonais régulièrement pour avoir un conseil et la tenir informé, elle me dit, tu as eu ta vengeance, tu as retourné une situation à ton avantage, mais ne deviens pas un autre, on t’apprécie pour ce que tu es, pas pour ce que tu risques de devenirAujourd’hui, Marie est dans le même état, voir pire que toi quand tu as appris sa trahison, elle a fait une bêtise, elle est d’accord pour en payer le prix, elle l’accepte, elle s’auto flagelle, j’ai discuté longuement avec elle aujourd’hui, et je peux te dire que quand elle dit qu’elle t’aime, elle est sincère, qu’elle le regrette, elle est sincère aussi, tu te souviens la première fois, tu m’avais demandé, j’avais, sans vouloir en dire plus « oui elle t’aime » je la sentais fragile, elle était jeune, vulnérableAujourd’hui, je lui ai dit de sortir, de voir du monde, de refaire sa vie, au bout d’une demi-heure, elle voulait rentrer, elle avait peur que tu la vires si elle n’était pas là, je lui ai dis, qu’avec moi, elle ne risquait rien, ca, elle le savait et elle est restéAnnie me dit ensuite, elle a fauté, elle a payé, elle ne mérite pas non plus la peine de mort, nous ne sommes pas des arriérés, elle a fait une bêtise, elle le regrette, elle sera beaucoup plus forte pour ne plus faire de bêtise, elle s’est confiée en me disant ce que je savais déjà, elle s’est humiliée devant moi en me le racontant, seule une femme malheureuse peut faire cela, alors je te le demande, redeviens le Henri que j’apprécieje lui dis que je ne peux pas pardonner, je n’y arriverais pas, mais elle me dit, ce n’est pas le pardon qu’elle veut, c’est toi, même sans sexe, je lui dis, je fais quoi, Annie me dit, ca, c’est a toi de le savoir, mais soit tu coupe net avec elle, soit vous trouvez un compromis tous les deux, elle est prête a tout pour te garder, mais ne la torture pas dans l’incertitude, tu sais ce que c’est que de souffrir, et elle, elle souffre encore plus, et toi, tu souffre aussi de la situation, je me trompe, aller sauve toi maintenantAnnie avait bien sur entièrement raison, j’aimais Marie malgré cela, malgré moi-même, mais sans la faire souffrir par l’incertitude, je voulais qu’elle voie ce qu’elle avait perdu, en rentrant, je ne lui parle pas de cela, je lui dis de venir sur le fauteuil, moi sur le canapé, j’ éteins la lumière, la pièce juste éclairée par la rue, ce que je vais lui proposer est inacceptable, j’en ai honte de ce que je vais dire, je l’aime malgré tout, mais si je cède, je me dégoûterai, je n’aurais plus aucune fiertéJe lui dis, bon, pendant que tu me trompais, bien après bien sûr, c’est-à-dire quand je l’ai su, lui, il baisait ma femme, moi, je baisais la sienne, je ne sais pas combien de fois tu y as été, mais depuis, je pense y avoir eu droit bien plus que lui, de plus, cela ne m’a rien coûté, tout comme le divorcesa femme, je la vois encore, j’ai dix années de fidélité inutile a rattraper, Marie ne dit rien, elle est juste surprise, voila ce que je te propose, je te garde ici, non pas comme épouse, ca s,’est fini depuis février ou mars, je crois, tu sais mieux que moi, je te garde avec les inconvénients d’être une épouse, c’est a dire comme certaines féministes disent, une bonniche, comme depuis que j’ai décidé de divorcer, tu t’occupe de la maison, des courses, de la cuisine, ménage, etc.Quand je reçois une femme, tu dors dans la chambre d’ami, quand je suis seul, on dort et baise ensemble, si j’ai envie et toi aussi bien sûr, l’envie doit être pluriel, si je sors la nuit, je te préviens pour que tu ne m’attendes pas, toi par contre, pas de sortie, tu ne reçois personne, comme j’ai dit, les inconvénients de l’épouse, tu ne sors qu’en ma compagnie, sauf pour le boulot cela s’entendOn reprendra une vie de couple comme avant, se sont les privilèges d’épouse qui ne seront plus, et si un soir, je décide d’inviter une femme à dîner, soit tu cuisine, soit tu reste dans la chambre d’ami, voilà, ca c’est une première chose, qu’est-ce que tu décide, inutile de continuer si déjà le ca bloqueJ’attends qu’elle m’envoie balader, je sais que belle comme elle est, les prétendants ne manqueront pas, pour moi, de toute façon, elle est perdue, je préfère souffrir en la perdant que d’être la risée de tous en ayant été cocu sans le lui faire payer le prix fort, hors de question de retour comme avant, j’attends sa réponse négative où elle me dira que je suis un salaudGrand silence pesant puis je dis, « alors », un silence encore et elle me dit, « avant je veux savoir, est-ce qu’il te reste une petite étincelle d’amour pour moi », je réfléchis et dit, » hélas, sinon je t’aurais éjecté le jour où j’ai su que pour toi, je n’existais plus, mais comme je t’aimais comme un dingue, il en reste toujours des traces indélébiles, quand tu as dit que j’étais « con » tu avais entièrement raison, et là sans y croire », elle me dit « je suis d’accord, et la suite, c’est quoi », je lui répète ce que je viens de lui proposer tellement son accord me parait absurdeJe suis pris de court, abasourdi, mais j’avais déjà mûrit ce genre d’idée de suite, en sachant que cela ne la dérangerait pas trop, je dis, la suite, c’est qu’en plus d’être ma bonniche (j’insiste sur le terme, pour qu’elle comprenne bien)que tu sois aussi ma putain, elle me dit avec tristesse dans la voix, tu veux que je fasse le trottoir, je ne lui dis non pas ca, je ne suis pas un mac, rien qui n’ai un lien avec de l’argent, elle me demande de développerje dis, c’est simple, si on va dans un club échangisme, je baise la femme, et l’homme te baise, on va chez l’effleureur, si je te demande comme l’autre jour, tu le fais, on va danser, si un type te tripote et que je te dise de le laisser faire, tu le laisse faire, si je baise une femme ici et que je te demande d’amener a boire, tu nous sers a boire, habillée, ou nue, suivant mon envieJ’étais complètement déstabilisé par son acceptation, que je décide de pousser au de la de ce que j’avais prévue comme humiliation, je lui dis, si une femme est avec moi et si elle est bi, tu devra participer, elle m’avait mis sur le cul en acceptant d’être ma bonne, et là, elle répond d’accord aussitôt, je lui dis attention, je préfère que tu me dise non maintenant et je te donne un mois pour faire tes valises, car si demain, ou dans la semaine, un cas de figure se présente et que tu refuse, il n’y aura pas de valises, ca sera tes affaires par la fenêtre et toi sur le palierJ’ai très bien compris dit-elle et demande si a la longue, je pourrais lui pardonner, je dis, pardonner, non, t’aimer à nouveau, différemment, peut être, elle me demande si je peux écouter ce qu’elle a me dire, elle veut que je sache, que je la crois ou pas, mais que je sache, je lui dis que comme elle ne m’a pas interrompu quand je lui disais mes conditions, que je veux bien l’écouter, je regarde l’heure sur la pendule aux aiguilles fluo et lui dis, pas plus de 5 mnÇa suffira dit-elle, bon, déjà, je ne t’ai pas tout dit concernant la 2e fois avec lui, mais comme ca me justifiais un tout petit peu, je n’ai pas voulu t’énerver, je continue ce que je veux te dire, je savais aussi le risque de faire un « stage », je me croyais forte, l’appât d’un poste plus valorisant m’a perdue, je savais le risque, mais comme il me rassurait de plus en plus dans son comportement, je n’ai rien vu venir, j’étais ivre de bien-être, ivre de te plaire, ce que je faisais me plaisait, je parle d’avant ma bêtiseJ’accompagnais des décideurs, on me flattait, jamais je n’ai eu de gestes déplacés, cela me rassurait, lui me disait que tu allais être fière de moi quand je t’annoncerais que j’ai démissionné parce que j’ai trouvé un autre boulot a plus du double comme salaire, avec des responsabilités et plus de liberté, j’y croyais, il me laissait avec une employé qui m’apprenait, j’étais convaincu de sa bonne foi, tu te rappel, me dit-elle, on avait parlé d’acheter une maison, j’ai vu en ce travail, une possibilité d’acheter sans changer notre train de vie, mon salaire en plus, c’était les traites d’une éventuelle maisonAprès comme j’ai dit, j’ai picolé, ensuite, je suis reste 2 semaines sans y retourner, j’avais honte et aussi, je voyais notre maison s’envoler, et ce fameux vendredi, 2 semaines après que j’y avais retourné souviens toi, tu étais soucieux au boulot, des problèmes sur un projet, pendant presque une semaine, on n’a pas fait l’amour, et j’ai succombé à nouveau, je n’ai aucune excuse, je sais, après coup, lui aussi s’en voulait, du moins me le faisait croire, et puis, les fois suivantes, je me suis dite que je me sentais bien, je me sentais mieux avec toiPour me donner bonne conscience, je te critiquais, disant qu’au lit, tu ne me satisfaisais pas, que je ne t’aimais pas, que tu étais « con », c’était faux, en disant cela, je me donnais bonne conscience et vis a vis de lui aussi, pour qu’il se dise que je ne suis pas une salope, et que si je fais cela avec lui, c’est parce que je n’ai pas ce qu’il me faut, ensuite, il avait tout fait pour que j’aie une super confiance en lui, ça plus ça plus ça, voilà, c’est tout, je ne cherche aucune excuse, je suis une conne, c’est toutJe lui dis en fait, si je suis cocu, c’est de ma faute, je suis coupable et tu es victime, je casse une assiette et tu vas te faire baiser par un autre pour m’apprendre à être moins maladroit, que je soit coupable de ce que tu me reproches, ok, mais dans un couple, quand une chose ne pas, on en parle, on ne punit pas l’autre de ne pas être comme ceci ou comme celaCe qu’elle dit est vrai, je me rappelle de certaines fois, les emmerdes de la vie qui coupe la libido, Annie me dit qu’il est dur de résister parfois, vu comme ca, les torts sont partagés, je lui dis, tu aurais du tout me dire, je t’aurais mise en garde, comme je te l’ai dit, cette première fois, bourrée, tu me l’aurais avoué, je t’aurais pardonné, j’aurais été triste, t’aurais fait la tête quelques temps, puis ça aurait passé, j’aurais tout fait pour ne pas que tu rechutes, j’aurais toujours eu confiance en toi, même plus encore, on ne doit rien se cacher dans un couple, toi, tu sais comment une femme peut me piéger, moi, je sais comment un homme peut le faireElle me dit, si je sais quelque chose sans importance qui peut te faire fâcher avec un copain, est-ce que je dois te le signaler, je dis, absolument tout, elle dit, tu vois par exemple, là, j’ai peur que l’on se fâche encore, je dis, si tu me le dis, je ne me fâcherais pas, me reprenant en ayant peur, je dis, « tu n’as pas eu un autre amant », non, non, non dit-elle, en très grosse bêtise, je n’ai que celle la, je dis ouf, aller raconteElle dit, c’est l’effleureur, avant qu’on s’en aille, quand tu étais avec elle, la haut, je dis oui, elle continue en disant, tu m’avais retiré mon string et sg, et lui, il a cru que je l’avais fait pour lui, et comme je ne devais pas le repousser, il m’a caressé et touché la chatte, je dis continu, elle dit, j’ai laissé faire pour toi, je lui demande, ca t’a fait quoi, elle répond toute tremblante, tu avais tout fait pour m’exciter et qu’il m’excite, alors, je n’ai pas pu résister, j’aurais joui si vous n’étiez pas arrivéJe lui dis calmement, viens a coté de moi, tu vois, la vérité te rapprochera de moi, mais tu mérites une mise à l’épreuve, tu vas t’habiller de façon, à me donner envie de toi, soit aguichante sans être vulgaire, elle me dit timidement, quelle tenue je peux mettre, comprenant sa question, je dis, tout ce qui est ici, même les siennes, elles sont a toi, elle va prendre sa douche, je prends la mienne ensuite, elle retourne dans la salle de bain et je l’attendsEn fait, j’aurais préfère au début qu’elle me dise vraiment non et parte, mais si elle accepte vraiment ce que je lui ai dis, je vais avoir ma vengeance dans le plaisir, il faut dire aussi que de ce qu’elle me dit, cela est peut-être vrai, dans la rue, j’ai plus vu Lucien la câliner, qu’elle aller vers lui, elle répondait à ses câlins, mais n’y allait pas d’elle-même, mais bon, cela n’enlève rien au resteMarie revient dix minutes après moi, allume la lumière, je suis ébloui, je vois qu’elle a les yeux encore brillants, mais elle est superbement belle et bandante, je me pose la question, que faut-il mieux, une femme comme elle et être cocu ou une autre beaucoup moins belle fidèle, je suis incapable de répondre, elle a mis le tailleur vert de Lucien, porte jarretelle, bas noir, chemisier vert plus foncé, elle s’exhibe devant moi, elle m’allume et je m’enflamme, Annie m’a dit qu’elle m’aime vraiment, et elle a raison quand elle dit que je l’aime encore, elle me regarde avec ses yeux de chatte, elle me dévoile petit à petit son corps splendide, a cet instant, je suis content qu’elle accepte mes conditionsJ’énonce ses positions, puis lui dis, viens me sucer salope, elle obéit a toute mes demandes, après l’avoir bien chauffée, nous avons été dans la chambre non pas baisée, mais faire l’amour, bien sûr l’abstinence d’elle, plus son striptease m’avait déjà trop excité et je ne fus pas à la hauteur, j’ai joui trop vite sans pouvoir me retenir, je me suis excusé sans me rappeler que je ne devais pas, elle m’a embrassé, enlacé m’a répète qu’elle m’aimait et avait comprit la leçon, étant elle aussi en manque, elle se caressait en m’embrassant la bouche ou les joue, de l’entendre gémir, m’a redonné vigueur et j’ai pu me rattraper un peuOn a remis cela le matin en se réveillant, en partant, je lui ai dit, que la baise ne changeait rien à mes conditions, elle a répondu « je sais », la semaine suivante, j’avais déjà demandé a Helene de venir manger un soir avec Marie en bonniche, Marie avait acceptée, je lui avais acheté une tenue de bonne qu’elle mettait certains soir a ma demande, bonne ou bourge, Marie était bandante, après plusieurs hésitations et mon insistance, Helene fini par accepterMarie va ouvrir a Helene en disant bonjour madame, première journée de Marie a l’épreuve, elle prit les affaires d’Hélène, l’emmena au salon ou je l’attendais, je l’embrassais amoureusement, voyant cela, Marie était reparti à la cuisine, Hélène se laissa faire en se disant que c’est un juste retour de manivelle, Marie nous servie l’apéritif très professionnellement, quand on passa a table, pareil, mais pendant l’entrée ou Marie était en cuisine, elle me demanda pour lui plaire d’arrêter de traiter Marie en bonniche et de la faire assoir avec nousHélène est très gentille, je vais en cuisine dire a Marie d’aller se mettre en tenue sexy et de venir a table avec nous, disant que c’est a celle que tu as fait du mal qui le demande, Marie la remercie et s’excuse pour le mal qu’elle a pu faire, elle revient très sexy, Hélène dit, on va briser la glace, en fait, je ne vous en veux pas, grâce a vous, je me suis débarrassé d’un pauvre type, alors sachez que je n’ai pas de haine envers vous, Marie lui dit merci, elle lui demande de l’appeler Hélène, Marie s’effaçait, je lui dis que quand elle est à table avec moi, qu’elle peut prendre part aux conversations comme une épouseOn a parlé de chose anodine, des enfants, Marie de sa stérilité, des fois ca revenait sur les événements, les femmes voulaient savoir comment c’était arrivé, après le repas, Marie qui n’était plus la bonne, mais la maîtresse de maison, elle servait et apportait les plats, on discuta au salon, Marie sur un fauteuil et Hélène a cote de moi sur le canapé ou je la caressais tendrement, mMarie ne me regardait pas, elle regardait HélèneElle m’avait dit plus tard qu’elle avait mal, mais qu’elle méritait cette torture, après avoir digérés, après avoir convaincu Helene, on a été se coucher, Marie regardait la télé et nous, on baisait sans se retenir de crier, le lendemain, Marie avait été chercher des croissants et nous portait le petit dej, je fus étonné, le midi, on a été au resto, Hélène a demandé a Marie si elle voulait venir, que sa présence ne la dérangeait pas, Marie me regarde et je lui dis, oui vient, elle était contente, je n’ai jamais par contre pu mettre Marie et Hélène ensemble dans mon lit, je l’ai proposé à Hélène, mais elle a dit ne pas être intéressé par l’experienceAvec Hélène, on savait qu’on ne finirait pas notre vie ensemble, elle m’a dit à un moment donné, elle t’aime, ne la perd pas une 2eme fois, quelques mois plus tard, je perdais Hélène, elle avait un copain, cela n’a pas duré, car un jour, elle m’appelle et on a recommencés a se voir au moins 1 fois par mois, j’étais un extra disait-elleComme Marie avait jouer le jeux, je lui dis, c’est bien, tu a respecté ta parole, plus tard dans le mois, Marie me dit que le copain d’Olga l’avait quitté, 15 jours après, Olga l’avait oublié, j’avais donc dis a Olga que Marie m’inquiétait, que je voulais m’entretenir avec elle sans Marie, j’avais été un peu grave dans mon expression, il est vrai qu’a ma demande, Marie allait au boulot moins sexy qu’avant, sans être mal habillée non plusOlga prend un après-midi, je prétexte que Marie risque de m’appeler à la maison, a 14 h Olga arrive, je ne me rappelle pas l’avoir jamais vu habillée ainsi au boulot, elle rentre, je l’installe sur le canapé, prend mon appareil photo en lui disant, attend, je fais des photos, c’est pour la nouvelle assurance contre le vol, c’est l’appareil qui prend sur le cote, je prends Olga, les dessus des genoux bien découvert et éléganteJe m’installe a cote d’elle, je la complimente et lui rappelle la fois lors d’un pot où elle m’avait fait ce qui pouvait ressembler a des avances, elle s’en défend, et en parlant, je fais comme l’effleureur, la main sur les genoux furtivement, je lui dis que je suis cocu, etc. etc., puis l’attrape et l’embrasse, mes photos étaient inutiles, elle ne s’est pas débattue, les photos me servaient au cas ou elle n’aurait pas voulu et l’aurait dit a marie, je l’ai baisée cinq jeudi de suite, ce 5 eme jour, je lui ai dis que Marie m’a dit qu’elle avait envie d’elleOlga me dit, « avec Marie », je lui ai dit que je n’y voyais aucun inconvénient et que je pouvais même préparer la chose, mais manque de chance encore, Olga n’était pas bi, j’ai dit à Marie que j’avais baisé Olga, disant que c’est fini, Marie a pleurée en allant dans sa chambre, celle d’ami, puis elle est revenu en disant, tu te venge, je dis oui, quand tu allais batifoler, c’est elle qui te couvrait, autour de toi, tu n’avais qu’un seul ami, moi, et tu m’a trompéAprès cela, je lui dis, bon, maintenant, tu as passé le plus dur, Hélène, Olga, avoir d’autres femmes ne me tente pas vraiment, hélas pour moi, c’est toi que je préfère, je ne dirais pas que baiser Olga m’a déplut, mais je préfère faire l’amour avec toi, je lui ai dit qu’Olga, maintenant, était à ma solde, et que si elle m’appelait pour me dire que je t’ai dis cela, ca remettra en cause notre accord, avec elle, je ne veux pas qu’il y ait de changementUn samedi, on a été chez l’effleureur dîner, j’avais dit à Marie, pas de dessous, elle obéit avec plaisir, a l’apéro et a table, il la tripotait discrètement, bien sûr sa femme et moi, on le savaient, après le café, il me dit, « un petit billard vite fait », je répond moi non, j’ai trop mangé mais Marie oui, elle m’a d’ailleurs demandé si elle pourra faire une partie, ils sont descendus seuls, Marie m’a racontée qu’avant qu’elle attrape la queue (de billard), il avait déjà passé sa main en dessous, je fais, non, tu plaisante, il n’a pas fait cela, le salaud, demain, je vais le voirContrariée, elle me dit, je croyais que tu étais d’accord, tu m’as demandé d’être nue dessous, je dis, j’espère que ca na pas été plus loin, elle pleure en disant si, je dis, ne pleure pas, raconte, si tu veux que je te pardonne, donc après sa main dessous je suis restée sans bouger, pensant que c’est ce que tu souhaitais, il m’a excitée en me caressant le sexe (moi Henri par moment je disais, « le salaud »)Une minute après, il me soulève, m’assoit sur le billard, me renverse dessus et lève ma jupe pour me sucer, comme je pensais que tu lui avais demandé, je n’ai pas beaucoup refusé, j’ai dit non mais il ne m’a pas écoutée, tu n’aurais pas dû me laisser seule avec ou alors me le direJe lui dis, bon ca va, il t’a sucé et c’est tout, ca va encore, j’espère que tu ne m’a pas fait l’affront de jouir, elle pleure en me demandant pardon, ne voulant plus la torturer ainsi, je la rassure en disant, écoute, le seul responsable, c’est moi, j’ai voulu cette situation, toi, tu ne m’a pas trompée, je l’embrasse et dit continu, tu vois, plus tu me dis la vérité et plus je t’aime, elle me regarde et dit qu’elle a tellement peur de me perdre, je lui dis, si je te demande de ne rien mettre dessous et te dit d’aller seule avec l’effleureur, tu dois te douter que ce n’est pas de l’inconscience de ma part, rien à voir avec la même chose a ton travail où je t’ai demandé de mettre des vêtement de mémère, allez continueIl m’a fait jouir, je me suis mordu la main pour pas crier, après il m’a remise a terre et m’a pénétré avec ses doigts, il m’a attrapé un sein et m’a refait jouir, j’ai cru qu’il allait me pénétrer avec son sexe ou demander une pipe, mais il a dit non, ca c,’est pour sa femme, j’ai dit oui, sa femme le laisse faire à condition qu’elle en profite après, si tu le pompe, il n’aurait plus de jus ensuite, en ce moment, il doit la baiser fougueusement, c’est d’ailleurs ce qui nous attend maintenant, elle m’embrasse et après je lui dis, tu as comprit le terme de tromper, ce soir, tu ne m’a pas trompé, avec Lucien, rien que le premier baiser, là, tu m’a trompé, pardonne-moi dit-elle, on a baisé ensuite, excités par ce qui s’était passé au billardÀ noël, zéro cadeau pour Marie, contrairement, a moi ou j’ai une montre de plongée avec des chocolats, étonnée, car d’habitude, je lui en fais plusieurs, je lui dis, noël pour moi, c’est un mauvais anniversaire, elle voit aussitôt ce que je veux dire et me dit que d’être ensemble lui suffit, on a rien fait de spécial à noël, au jour de l’an, on a été invité chez le chef de Marie, ils étaient seuls, nous aussi, je lui avais dis qu’on s’était remis a l’essai, Marie était très belle et élégante, sa femme était un peu froide au début, elle a retrouvé le sourire en voyant Marie amoureuseJe lui rendais ses marques de tendresse, Marie était un peu timide, c’était son chef, il l’avait déjà engueulé avant, mais plus depuis qu’on se connaît, elle était intimidée, quand sa femme était parti discuter la bonne année au téléphone dans une chambre pour pouvoir écouter, il a avoué au début avoir voulu séduire Marie, elle l’a confirmé, il dit, elle m’a repoussée sans équivoque et en douceur, disant que maintenant, il est sérieux, il dit cela pour Marie, moi, je sais qu’avec sa secrétaire, il ne se gène pas, il sait que je le sais, mais il ne veut pas me l’avouer, on les quitte peu après, sa femme est ravie d’avoir fait notre connaissanceLe mois suivant, nous rendons l’invitation, son chef avait refusé notre date et nous en a donné une autre où on était libre aussi, quand ils sont là, au moment de trinquer, il dit, attendez, j’ai une annonce à faire, il tend une enveloppe a Marie, elle monte de deux échelons, passant en grade au-dessus des autres, c’est a dire que c’est le grade avant chef de service, elle est toujours, simple employés, mais au grade supérieur, avec presque 15 % de paie en plusNotre invité est chef de bureau, au-dessus de chef de service, en moi-même, je me dis, merci l’effleureur, je l’ai d’ailleurs dis à Marie, le soir au lit, sans réfléchir, elle me dit, comment je pourrais le remercier, je lui dis, devine, elle répond que ca dépend de ce que je lui autorise, excités, on s’est occupé de notre envieQuand nous nous promenions, je voyais Marie regarder discrètement des maisons à vendre en banlieue proche, je faisais celui qui ne le remarque pas, on était dans la période anniversaire de mon cocufiage malgré qu’elle me montrait des signes de sincérité, chat échaudé ….,Pendant cette période, on allait au cinéma, en semaine, pas beaucoup de monde, je disais à Marie quoi mettre, pas de dessous, elle souriait, elle aimait autant que moi ces petites soirées, il arrivait des soirs sans rien, mais c’était rare, souvent un type se mettait a coté d’elle, avec toute la place ailleurs, on se doutait pour quoi il venait, le type la caressait et elle se laissait faire à ma demande, on se donnait la main, je sentais a ses crispations son plaisirUne fois, je l’avais laissé seule, restant 3 rangées derrière, mais sur le côté, jamais il n’y en a eu deux, je lui expliquais que même si un jour, on venait au cinéma pour ne voir que le film et que ce genre de situation arrivait, qu’elle n’avait pas besoin de ma permission pour écouter son envie, et que même si moi, je ne voyais rien de ce qui se passait, ce qui est peu probable, mais c’est pour un exemple, cela n’était pas me tromper, l’important était que le type soit un inconnu qu’on ne reverra pas et que se soit dans la discrétion, que toute la salle regarde vers elle au lieu du filmLe plus beau coup au cinéma, c’est la fois ou un type se met a coté d’elle comme toujours, puis commence à le toucher, comme elle se laisse faire, le type s’enhardit, j’avais mis mon manteau et le sien devant moi pour faire du volume et nous cacher un peu, il la caresse, il fait cela très bien, je le ressens a sa main qui se serre sur la mienne et ses yeux qui plissent, il me l’a mise dans un état d’excitation tel, que j’étais aussi excitéLe type se doutait depuis le début de ma complicité, alors il y allait sans détour, il lui pinçait les tétons, triturait ses seins et de l’autre main la doigtait, elle était presque à jouir, elle était penchée sur moi pour pouvoir lui donner plus d’espace de manœuvre a ses doigts, que je n’ai pas pu résister a une fellation, elle me suçait et a un moment, elle s’est arrêté, immobile pendant quelques secondes, le plus fort de la jouissance, elle allait crier et je l’ai étouffé avec mon sexe qu’elle a continué a pompé jusqu’a temps que je jouisse aussiAprès cela, je lui dis de récompenser le bienfaiteur, je me suis mis au bord du fauteuil, l’a cachant d’éventuel spectateur qui rentreraient, elle l’a masturbé en se faisant caresser les seins à sa vue avec le pull remonté, une manche défaite, le type en partant a dit « merci m’sieur dame, vraiment merci », en sortant Marie m’a dit, « j’ai bien fait », j’ai dit, tu as eu du plaisir, elle a dit oui, alors j’ai dit, tu as très bien faitMarie avait compris les limites et la différence entre les actes, avant pour elle, il était moins grave d’embrasser Lucien sur la bouche que de se faire toucher les seins au cinéma, je lui ai dit que la première fois, saoule, c’était pardonnable, elle avait pris plaisir sans moi, mais ne m’avait trompé que dans le sens où elle cachait ses rendez-vous même soft avec un autre, bourrée, il l’avait comme violée, droguée, peu flatteur pour un hommePeu à peu, Marie était redevenu l’épouse aimée, elle me remercia de n’avoir pas abusé de la situation, elle avait eu mal avec Helene à la maison, mais elle disait se rendre compte de ce que j’avais pu éprouver quand elle était avec LucienUn soir, on a la visite de l’effleureur et sa femme, on leur dit de rester dîner, et je devine qu’il tourne autour du pot, sa comptable, celle qui faisait ses comptes, qui classait ses factures, ses achats, celle qui remplissait le grand livre (pas l’expert-comptable) celle-ci donc partait en retraite, je le soulage en disant « tu voudrais que Marie la remplace », si c’est possible dit-ilJe regarde Marie qui dit oui, 4 heures de travail maxi par mois, on se bat pour le salaire, je lui répond, si tu la paie, tu la vexerais, Marie dit pareil, on s’entend pour que le 10 de chaque mois, il amène toutes ses factures et documents utiles et Marie s’en occupe, paie les fournisseurs en mettant des dates sur les enveloppes des échéances, cela étant un service, il n’y a rien eu de sexuel pendant ses visites, j’ai toujours été présent sans l’avoir programmé et bien souvent, il était avec sa femme, je zapperais ces moments dans mon récitAvec ma boite, on avait eu une invitation à une expo, je n’en avais rien à faire, mais on me demanda d’y aller pour faire voir que notre boite est venue, mon chef me demande cela comme un service, il a eu vent que ce client va aller ailleurs sur ce projet, il veut le lui annoncer à cette soirée, alors il dit, qu’il a mieux à faire avec un contrat en bonne voie, mon chef a été conciliant avec moi quand j’avais eu mes soucis, je me dois de lui renvoyer l’ascenseur, l’exposant était le frère du client,Un vendredi soir, je dis à Marie de s’habiller en tenue de soirée, arrivée sur place, on ne connaissait absolument personne, on regarde ce qui est exposé, de la même manière qu’un illettré voudrait lire du chinois, je vois mon client, je dis a Marie de m’attendre là, mon client discute et comme je ne veux pas le déranger dans son explication, j’attends a 2 mètres, en attendant, je regarde vers Marie, il y avait déjà 2 mouches autour d’elle, elle les éconduit en prenant leur carteÉtant comme un idiot à attendre, je contourne mon client pour prendre une coupe, avec une coupe a la main, on a l’air moins bête que sans, je ne voyais plus Marie, deux types qui étaient a coté s’approche de moi pour prendre une coupe aussi, il discute, regardant les personnes présentent, mes yeux tombent sur une femme en discussion avec une autre, femme très classe, très hautaine, BCBG, comme Annie, mais moins belle (grrrr)Un de ceux arrivés dit a son copain, regarde celle là, elle en jette, l’autre lui dit, oui, elle en jette, mais ce sont les hommes qu’elle jette, mon client a fini de discuter, mais je reste a écouter, l’autre dit comment ca, en parlant plus doucement, je tends l’oreille en faisant celui regardant ailleurs, il dit, « je sais cela de Corine qui l’a surprise avec Marise, parait qu’elles s’embrassaient comme des crevardes et j’ai aussi Alain qui l’avait déjà vu avec une collègue a lui »Comme je suis prés d’eux, ils pensent que j’écoute, mon client étant libre, je lui fais signe et m’approche pour le saluer, il me dit, bonsoir, et regardant ailleurs, il me dit, il faut que je vous vois, mais plus tard, sans dire plus, il m’a oublié et se dirige vers l’entrée, Marie étant entourée de paon, je la sens gênée, elle se demande ce que je vais penser de la voir avec ces types autourEn suivant mon client qui perd des secondes à répondre aux bonsoir de ceux ou celles croisés, j’ai un coup de cafard, je regarde ces coqs autour d’elle, a part un ou deux, les 3 autres qui sont a coté, sont grands, baraqués sans être gonflés, beau en me basant sur les critères féminins, ils collent au physique de beauté de Marie, je me vois moi et me dis, ou est l’erreur, je me sens mal, je me sent salaudComme je le suivais dans la même direction mon client, moi vers Marie, lui, arrivé devant elle, il l’a salut, les paons se poussent et s’éparpillent, je suis a cinq mètres derrière, Marie m’a vu arriver, sa main est dans celle du client qui lui a fait un baisemain, elle lui demande de l’excuser et me rejoins, je me tourne sur le coté pour faire celui qui ne voit pas le client, je feint la surprise quand Marie est a coté de moi et je l’entraine au buffet, je ne vois pas la tête du client mais a peine le temps de nous rejoindre, il me dit, voila, je suis a vousIl dit en voyant Marie, « ha, on se connaît déjà », Marie dit, oui depuis une minute, il m’avait planté tout à l’heure pour la rejoindre, et maintenant, si Marie restait jusqu’au matin, il ne bougerait pas de là, par moment, je vois les paons qui restent a bonne distance, ils doivent se dire, c’est son frère, son cousin, son patron, un copain, le mari d’une copine, un voisin, toute la panoplie doit y passer, je dis au client, voulez-vous que je passe au bureau, il bredouille non et nous entraîne dans une pièce interdite au publicLes dames d’abord dit-il, il a quand même le temps de savoir qu’on est mariés, elle ne dit jamais divorcer, j’allais attaquer sur le travail, mais regardant sa montre, il dit, zut, un rendez-vous, et propose dans la semaine un dîner d’affaires avec nous sur le contrat qu’il devait nous refuser, Marie doit absolument venir, car sa femme sera là aussi, après de multiple compliment à Marie, il nous raccompagne à la sortie et repart, nous, on retourne a l’intérieur, je vois bien que son rendez-vous est bidonMais j’ai d’autres projets, je repère la femme de toute à l’heure et dis a Marie de se mettre dans un endroit et de ne pas me regarder, surtout pas dans ma direction, sauf si je lui fais signe, je prends une carte de visite, je déchire en ne prenant que le téléphone et met dans ma poche, je m’approche d’elle, je lui demande si elle peut m’accorder 20 secondes en tète à tête, sa copine dit, je vais nous chercher une coupeElle me demande si on se connaît, je dis hélas non, elle demande la raison de ma demande, et je me lance, je dis, vous voyez la robe noire devant a moins de 10 mètres, elle regarde, me regarde, regarde Marie plus longuement, et dit, elle a une belle robe, elle la porte bien, je dis voilà, c’est tout, faisant un geste pour lui dire de venir, Marie me voit, et me rejoint, je dis à Marie, je te présente Mme…………, elle indique son prénom, les femmes se salut en se souriantJe demande à Marie d’avancer, que je la rejoins, une fois éloignée, je pose ma carte avec le seul numéro et dis, vous êtes intelligente, il y a mon téléphone sur ce petit bout de carte, certaines choses se disent plus facilement quand on ne voit pas son interlocuteur, vous pouvez le laisser là ou il est ou le mettre dans votre sac une fois qu’on sera dehors, elle dit ne pas comprendre mon histoire de robe, en partant, je lui dis, ca serait pour la lui enlever avec ou sans moi, mais chez nous, je lui dis, appeler moi « robe 1 », je saurais qui m’appelle, ensuite, je rejoins directement Marie, la prenant par le bras en lui faisant un baiser sur les lèvres avant de quitter l’expo.Depuis un an, je délaisse les copains, ils ne m’en veulent pas, ils doivent savoir pourquoi, le samedi ont fait le marché, j’ai la surprise de croiser la femme de l’effleureur quand je reviens avec le gros des courses, ce n’est pas son marché, après les discussions d’usage, elle dit, ca ne lui plaît plus le billard a ta femme, je dis si, elle dit, comme on ne vous voit plus beaucoupElle en profite pour demander si on fait quelque chose ce soir, même juste manger vite fait, le message codé est clair, elle savait que je recollais les morceaux avec Marie, que je l’avais offert a son mari quand j’étais en colère avant le divorce, et après aussi, je l’ai offerte pour l’humilier, contente qu’on se remette ensemble, mais déçue qu’on ne vienne plus suffisamment pour exciter son mariJe lui dis, viens, montons, Marie ne va pas tarder, arrivée la haut, je lui dis, parlons franchement, on sait tous les deux, même tous les trois, elle fait celle étonnée puis arrivant à la persuader de dire les choses comme elles sont, elle me dit qu’en partie, qu’elle ne veut pas qu’il sache qu’elle sait, il sait qu’elle sait qu’il promène ses mains, mais il ne sait pas qu’elle se doute qu’il y a eu plus, je lui dis, tu nous en veux, elle dit non au contraire, je dis ouf, que ca m’ennuyait cette situation vis a vis de toi, elle m’avoue ensuite que pendant plusieurs jours après notre passage, il est plus …… entreprenantje lui dis, elle le booste, elle dit oui, mais je ne lui en veux pas, entre elle et moi, il n’y a pas photo, je le comprend, il m’aime mais je ne le motive pas, c’est pour cela que l’on fait cela lumière éteinte, une réponse de ma part serait mensonge ou vexante, je m’abstiens donc et dis, tu n’a pas peur que ca aille plus loin que l’excitation, Marie m’a prévenue qu’elle aurait succombée s’il ne s’était pas reprit, elle dit, bof, j’aurais perdu une soirée et c’est tout, je dis, bon, on passe manger léger ce soir, et tu lui dis pas de billard, je dirais a Marie de dire juste une partie et tu fera celle qui dit, bon, une seule, mais pas plusMarie arrive, je dis qu’on est invité ce soir, elle comprend, elle ne dit rien, elle sait qu’elle doit en partie sa promo a l’effleureur qui a fait pencher la balance, elle met une robe du soir, s’habille en conséquence, Marie a un semi-amant permis, cet « amant-là, ne lui amènera pas d’ennuis comme avec Lucien, Marie n’est pas faites pour être l’amante d’un seul homme, je le vois bien à son comportement avec les autres, et je le vois aussi à son envie décuplé avec moi ensuiteAprès être passé dans les mains d’un autre, les mois passés avec lui, j’avais une Marie plus nerveuse sexuellement, je suis pareil, quand j’avais baisé Helene, Marie m’excitait encore plus après, je ne peux pas lui en vouloir, ainsi est la nature, je ne suis pas jaloux de son plaisir, ca serait même le contraire, des fois, j’ai envie de lui dire de me quitter pour aller avec d’autres types plus friqués , et plus beau, pour son bonheur, mais la perdre serait trop dur, alors lui demander cela serait masochisteChez l’effleureur , on prend l’apéro, un seul, juste par politesse, en parlant, il met sa main sur le milieu de sa cuisse que laisse découvrir la robe, sa femme va en cuisine, je la suis en disant, comment elle a fait son gâteau, avec le canapé, on ne voit pas, mais avec le reflet de la vitrine, on devine au mouvement, il lui parle normalement, mais il a sa main dans le décolleté, elle n’a pas de soutif, pendant qu’elle me donne la recette et la préparation, je devine Marie qui écarte les jambesAlors qu’il n’a que les seins en main, je suis caché par le mur de la cuisine, lui et peut être Marie, voit par la vitrine, mais moi, je vois leur corps et eux qu’une partie de ma tête, il ne voit donc rien, ensuite, je me doute qu’il met sa main entre ses cuisses, elle a un soubresaut des épaules en voulant lever un peu son fessier, Marie forte de ma complaisance avec lui, s’offre a lui, elle sait que sa femme est au courant, lui, il se dit, que si elle le voit, qu’elle pensera qu’il la tripote un peu et c’est tout, il sait que je lui offre aussi, on revient et tout parait normal, on dîne et après le café, Marie insiste pour une partie, sa femme dit « ho non », Marie insiste encore disant juste uneElle cède et nous descendons, je fais deux coups puis je dis, va y Marie, je te laisse jouer, je remonte, puis redescends lumière éteinte, il lui enlève la robe, ce qui n’est pas un exploit à faire, il la mate et la caresse, je bande en la voyant ainsi, il l’allonge sur le billard, elle a la position gynéco, il l’a suce un peu puis se met debout, lui, est de l’autre cote du billard, je le vois de face, elle est allongé face a luiIl la doigte maintenant en lui caressant les seins, elle gémit de plus en plus, des oui encore, puis a un moment, elle dit, « non pas la, non, non pas la, haaa oui la encore, encore, haaaa, c’est bon oui oui, plus vite plus vite, oui, oui, haaa, je jouis, je jouiiiiiiii », son bassin bouge au rythme qu’il la doigte, il ne me voit pas, je remonte sans bruit, j’attend qu’il allume la lumière d’en bas puis sors, si j’avais ouvert dans le noir, la lumière de la salle se serait vu depuis le billard s’il avait regardé l’escalierIl remonte la minute d’après, Marie est rouge, on s’en va aussitôt, sa femme nous dit doucement merci de notre visite, Marie m’a raconté en détail la soirée, puis on a baisé aussitôt arrivée. L’effleureur gâte ma femme et sa femme me gâte, quand nous allons chez eux, elle nous fait nos plats préférés, nos vins préférés, nos desserts préférésA suivre