SuiteAvec l’effleureur, j’ai Ă©tĂ© reconnaissant au dĂ©but, copain de jeu ensuite et finalement ami, puis grâce aux privilèges avec Marie, on est devenu très bon ami, jusqu’Ă me donner le code de sa maison pour rentrer et qu’il me dise « si tu a besoin d’un peu de liquide, c’est le coffre lĂ , avec le mĂŞme code plus l’annĂ©e de naissance de ma femme « , il y avait une belle somme, si au dĂ©but, l’amitiĂ© avec son mari n’Ă©tait pas vraiment rĂ©ciproque avec elle, depuis que cocu, j’ai offert Marie Ă son mari, elle l’est devenu progressivement, la prendre a notre service en Ă©tant très bien rĂ©munĂ©rĂ© et complice muetteElle m’adorait, pareillement avec Marie, connaissant nos secrets d’alcĂ´ves, un jour, elle me demande a moi seul en secret, d’installer une camera de surveillance miniature, elle me montre un article vu dans une revue, mais je connaissais dĂ©jĂ cela, lĂ ou elle eut du mal Ă me dire, c’est qu’elle voulait ĂŞtre la seule a savoir cela, me disant qu’elle n’osera jamais regarder a cotĂ© d’eux, je comprenais cela, un voyeur n’est pas un spectateur, l’effleureur m’avait dit une fois, ma femme, c’est comme si c’Ă©tait moi, tu t’attaque Ă elle, tu t’attaque a moi, tu lui fais plaisir, c’est a moi que tu fais plaisir, mĂŞme si elle te demandait de la conduire chez son amant, si elle en avait un, tu la conduit chez son amantDonc cette fois-ci, sa femme me demande cela a son insu, hors de question de dire non, surtout qu’il n’y avait rien Ă cacher, elle-mĂŞme me demandait de lui offrir Marie, donc pas de risque de dĂ©couverte comme j’ai eu, a la boite, je n’Ă©tais plus du tout soumis a un travail, je pouvais prendre une semaine non dĂ©clarĂ© comme vacances, on ne me disait rien, sauf si j’avais un repas d’affaires, le directeur me demandait souvent des comptes-rendus de ces repas, il avait peur que ça tourne en dĂ©bauche, je disais non, ça drague, des fois leur pied s’Ă©garent, mais pas plus, je prends donc, soit une matinĂ©e, soit un après-midi, suivant consultation des rendez-vous boulot de son mariLe midi, je mange avec elle, le vendredi, je lui dis que demain samedi, je viendrais finir, la mise en route, elle me dit, non qu’elle n’est pas lĂ , qu’elle va je ne sais oĂą avec son mari et qu’ils vont rentrer tard le samedi après midi, je rĂ©ponds, et bien ca sera lundi, de retour a la maison, je me dis, suis-je bĂŞte, j’ai les codes, la permission de rentrer quand ils ne sont pas lĂ , et comme justement, ils ne sont pas lĂ , je vais pouvoir faire les rĂ©glages, ça lui fera une surprise, j’amènerais Marie dimanche comme ça, j’avais pris l’habitude de me garer une rue avant pour ne pas qu’il reconnaisse ma voiture et la machinalement, j’ai fait pareilJe finissais mes rĂ©glages, quand j’entends une voiture se garer, j’Ă©tais dans la pièce oĂą il y avait l’ordi, je me sentais mal d’ĂŞtre chez eu sans qu’il le sache, mĂŞme avec autorisation, je me dis que dĂ©s qu’ils s’Ă©loigneront de la cuisine et couloir, j’irai Ă la porte, sonner pour dire que je viens rendre visite en passant vite fait, mais ils restent dans le couloir, dix minutes après, quelqu’un sonne, je me sens très mal, il ouvre, et je vois Annie (j’autorise de raconter), bien sĂ»r, dĂ©s qu’elle rentre, en mĂŞme temps que la bise, ses mains se baladent, a ce moment, je me dis que c’est plus que ce que je voyais lors des rassemblements comme anniversaire ou autre, j’admire Annie toujours impeccablement sexy, la femme de l’effleureur est en cuisine, elle ne vient pas la saluer, Annie contre l’huisserie de porte de cette cuisine et l’effleureur derrière et sur le coteContre toute attente, je vois l’effleureur passer sa main sous sa robe, et Annie Ă©cartant mĂŞme les jambes, j’avais toujours vu l’effleureur n’effleurer qu’a peine toutes les fois, mais lĂ , il pelotait, caressait, après quelques minutes, j’entend qu’il dit, aller au billard, j’allume le PC que j’avais Ă©teint Ă leur arrivĂ©e, le temps qu’il soit opĂ©rationnel, quand j’ouvre les cameras, je vois Annie qui joue avec l’effleureur qui la tripote, puis ensuite, il lui retire sa robe sans mĂ©nagement, pareil pour ses dessous, je vois Annie la bourge BCBG, autant que la Madame, celle qu’on Ă©coute et ou on se tait dĂ©s qu’elle parle, celle qui dit une chose et Ă qui on obĂ©it sans se poser de questionJe vois Ă l’Ă©cran, la belle et la bĂŞte, la Femme fantasme et le rustre, celui-ci la malmène comme si c’Ă©tait une pute, aussitĂ´t une dĂ©ception me donne une boule dans le ventre, mon ami, fait chanter la femme que j’aime d’amour platonique a dĂ©faut d’autre chose, j’ai voulu intervenir comme la fois Ă Notre-Dame, le mĂŞme rĂ©sultat serait arrivĂ© me dis-je, je ne peux pas mettre le son puisque je me ferais repĂ©rer par sa femme, je regarde impuissant, cherchant un moyen, je bande malgrĂ© moiPuis je le vois qui la suce, et faisant gros plan sur le visage d’Annie, je vois son consentement, je suis rassurĂ© d’un coup, Annie s’exhibe Ă sa demande devant lui, il dit, et elle fait, elle est complètement a ses ordres de vicieux pervers, je raconterais plus loin, ce qui se passe sous mes yeux, je comprends donc la situation, son sourire, tout indique qu’elle vient d’elle-mĂŞme, je suis soulagĂ© d’apprendre cela et en mĂŞme temps contentLeur première rencontre, ils se sont connu au cinĂ©ma, voisin de fauteuil, l’effleureur effleurait, insistait, et cela, de plus en plus, pour finir par ce qu’elle se laisse faire, de peur que si elle se dĂ©fend de trop, que son mari intervienne, l’effleureur n’Ă©tant pas gringalet, son mari non plus, il y aurait eu du dĂ©gât, finalement, elle ne regrette pas sur le coup et y prend plaisir, ils se sont quittĂ©s sans rien direQuelques mois après, a son boulot, dans l’ascenseur, elle descend, la porte s’ouvre et il apparaĂ®t avec d’autres collègues Ă elle, allant dĂ©panner, Annie est Ă©carlate, au RDC, il la laisse sortir en premier et plus loin dit  » bonsoir madame », il rejoint sa fourgonnette, elle apparaĂ®t derrière lui en disant, « Mr, je….., il….., je voulais, comment dire, je……. » et il rĂ©pond, mais Mme, laissez-moi, je ne vous ai jamais vu, d’ailleurs, je ne vois jamais rien……. avec les mainsElle dit merci, il rajoute, la prochaine fois, dans la mĂŞme situation, seuls (disant cela, il tournoie ses mains), quelques mois après, au dĂ©tour d’un couloir, Annie le voit pĂ©nĂ©trer dans l’ascenseur, elle presse le pas, monte dans l’ascenseur, lui tourne le dos après l’avoir juste regardĂ©, et lĂ , il lui a mis une main sous la jupe en chuchotant, la maintenant, je me souviens, elle chuchotait aussi, « mais vous ĂŞtes fou, arrĂŞtez »Elle se dĂ©battait très lĂ©gèrement par principe, arrivĂ© au RDC tout Ă©tait redevenu normal, elle le prĂ©cĂ©dait devant et nota son tĂ©lĂ©phone qui Ă©tait sur sa camionnette, son mari l’a appelĂ© pour un dĂ©pannage un soir, en arrivant, elle fait celle surprise, mais l’effleureur n’Ă©tait pas dupe, surtout en voyant que la fuite venait d’un « sabotage volontaire « , quand son mari Ă©tait dans une autre pièce, elle disait non Ă ses mains baladeuses sans se pousser, a ce moment-lĂ , il avait devinĂ© la complicitĂ© de son mari sans en ĂŞtre certain.Reprenons ou j’Ă©tais planquĂ© dans la petite pièce servant de bureau au-dessus du billard, j’Ă©teins l’ordi, j’entends sa femme rentrer dans les toilettes, je sors de la maison et m’en vais, je rejoins Marie, le dimanche, nous allons chez eux, je dis a l’effleureur, que Marie veut un billard, ce qui Ă©tait vrai, elle m’a dit « je pourrais faire un billard », je lui ai rĂ©pĂ©tĂ©, pour un billard, tu n’a pas besoin de me demander, elle dit qu’elle prĂ©fèreCa faisait plusieurs fois que je ne matais plus, l’effleureur le savais par sa femme et aussi par moi, Marie le savait aussi, car si je ne lui avait pas dit au dĂ©but, plus tard, je lui avais avouĂ©, puis avouĂ© aussi que maintenant, je les laissais dans l’intimitĂ©, et qu’elle n’avait plus besoin de me dire ce qui se passait, que je lui accordais avec lui un jardin secret, j’avais dit « no limit » et que je ne voulais plus rien savoir, qu’elle avait besoin d’intimitĂ© et que lui Ă©tait le seul avec qui je pouvais laisser tout faireTout, m’avait-elle dit, j’ai dit tout sans aucune exception, toi seule fixe les limites, en rentrant j’avais dis que pendant que vous aller au billard, que je vais regarder ton ordi qui deconne, en fait, c’Ă©tait pour justifier le boulot de la veille, je fais les rĂ©glages et met le son faible, comme elle sait ma prĂ©sence, je n’ai pas a me cacher comme la veilleje regarde en habituĂ©, le dĂ©but se passe normalement, il tripote, puis j’entend, tu aimes ça salope, oui dit elle, lĂ , je suis Ă©tonnĂ©, j’augmente lĂ©gèrement le son, il l’a traitait comme une salope, elle Ă©tait son esclave sexuel, dans un vieux meuble dans le fond, il avait pris un Plug, un gode et un martinet, tend ton cul putain, elle disait oui Mr, le cul en l’air, il rentra le Plug après avoir frottĂ© sur le sexe qui dĂ©goulinait, elle prenait de coups de martinets, elle disait plus fort mais il dit non, ca se verra sinonAvec le gode ensuite, il la fit jouir, je bandais, je n’avais aucune jalousie, je me demandais pourquoi elle ne me l’avait pas dit, je me rappelai de ce que je lui avais dit, de ne rien dire, de la laisser libre de tout, j’avais dit pareil a l’effleureur, ma femme est entièrement a toi dĂ©s qu’elle rentre ici, mais je n’Ă©tais pas jaloux, lĂ j’Ă©tais juste surpris, car j’avais loupĂ© des « sĂ©ances » il humiliait Marie, il faisait avec toutes ses perversionsAprès avoir joui, il lui dit, tend ton cul bien en l’air salope, il retira le Plug et lui mit la queue de billard, et la faisait ramper sur les genoux, Ă quatre pattes sur le billard, il lui mettait des coups de martinet lĂ©ger, en fait, il la soumettait et elle, elle se soumettait a lui, je bandais, j’entendis sa femme venir, je coupais tout, puis rentrais dans le programme en disant, que je n’y arrive pas, que je n’ai pas ce qu’il faut, elle repartit, car je cherchais pour elleEn remettant la vidĂ©o, je vois Marie lui faire une fellation, surpris encore, mais j’avais donnĂ© l’autorisation, sa femme revient et me dit qu’ils ne vont pas tarder, alors je ferme tout et j’arrive, 5 minutes plus tard, ils arrivent, j’ai su a force qu’il Ă©tait chronomĂ©trĂ© par sa femme, elle devait lui dire, tu as 15 ou 20 minutes, je ne dis rien Ă Marie, qui a la maison, me donnait des marques d’affection, parfois, elle me disait, si tu me le demande, je te dirais tout, mais je lui redis Ă nouveau, non, avec lui, vous pouvez faire tout ce que vous avez envie et je ne veux pas le savoir, pas parce que je suis jaloux mais parce que je veux que tu ai un jardin secret, tu me cache tout avec lui, et tu ne me cache rien en dehorsElle m’enlace en disant  » ce temps-lĂ est bien rĂ©volue, mĂŞme avec lui dĂ©jĂ , ça m’ennui un peu », je lui dis qu’il ne faut pas, ce qui est excitant pour vous deux, c’est que je ne sache pas, de plus, aucun risque d’ĂŞtre dĂ©couvert, puisque je le sais, je lui dis « si tu va boire un verre avec un collègue sans me le dire, je ne serais pas content, mais si tu passe chez l’effleureur faire un billard, je ne dirais rien »Je la conforte dans ce qu’elle me fait en douce, je lui dis mĂŞme que si un jour, elle veut aller le voir en pleine journĂ©e, quand il est lĂ , qu’elle a juste Ă Ă©crire un mot me disant, « je suis au billard », cela afin que je ne m’inquiète pas et que je ne me fasse pas de mauvaises pensĂ©e, elle m’enlace en disant que jamais il n’y en aura un autre dont j’ignorerais, l’effleureur et c’est toutUn soir vers 18 heures, je vais voir l’effleureur seul, pour faire un vrai billard comme cela arrivait souvent, on discute en mĂŞme temps et en jouant, j’emmène le sujet sur Marie, elle lui a dit que je ne sais rien et qu’a ma demande, je ne veux pas le savoir, elle explique le jardin secret, a un moment, il me demande en sous-entendu, si je veux qu’il arrĂŞte, je dis surtout pas, j’ai dit Ă Marie, qu’elle Ă©tait libre de tout, comme je t’ai dis a toiJe lui dis, qu’elle en a besoin, que je prĂ©fère la donner a quelqu’un que je connais, plutĂ´t que se soit un autre que je ne connais pas, qui me la prenne et la jette ensuite, Je profite du sujet en demandant, tu en as beaucoup qui viennent, il dit non, son ton est fuyard, je dis, tu sais, ce qui me rentre dans une oreille, ça ne ressort pas, il me dit, je sais, mais tu n’aimerais pas que je dise a d’autres que j’ai ta femme au billardJe dis, non, mais si l’autre le sait dĂ©jĂ , il marque un temps d’arrĂŞt, tire et loupe son coup, je lui dis plusieurs prĂ©noms autres qu’Annie et il dit non, qu’il ne le dira pas, il me dit, tu sais, je sais que tout le monde se doute que j’ai les mains baladeuses, la plupart sont comme toi, ils aiment que leur femme soit un peu tripotĂ©eLa plupart de leur femme, mĂŞme si elles font celles qui se faufilent pour Ă©viter cela, elles le font faussement, tu fais le mĂŞme geste sans qu’elle ne soit vu, et elles se dĂ©fendent moins, si tu fais pareil avec du monde, elles te gifleraient presque, beaucoup de femmes aiment avoir une main qui se ballade sur elles, si personne ne les voient, elles me disent d’arrĂŞter mais la fois d’après, elle reviennent volontairement se mettre dans les mĂŞmes pièges, Ă force, je les sens celles comme caJe ne sais pas si toutes aiment cela, il dit,  » toutes, non, j’ai dit la plupart et tu serais surpris », je me doute, je lui dis-je, il me dit, si une femme Ă©tait ici comme la tienne, elle serait le genre Ă se laisser faire si tu la pelotes en douce, mais surtout pas de façon visible par d’autres, sinon lĂ , c’est la claque, elles peuvent se laisser toucher le minou furtivement en jouant, celles qui ne veulent pas, si c’est en douce, par contre si on peut te voir faire a ne lui toucher que le pied, vlan, tu en prends uneJe le laisse parler, car je sais de qui il s’agit, il me dit tout, les prĂ©noms au hasard sortis, lui indique que je ne sais rien, je lui dis, donc si une femme que tu tripotes a la maison, dans la cuisine oĂą on ne peut pas la voir, elle va se contorsionner pour que tu arrĂŞtes, pour que tu ne touches pas, du moins pour que tu le croies, mais qu’elle va revenir d’elle-mĂŞme pour que tu recommences, et lĂ , il m’explique certains trucs oĂą j’ai peinĂ© a bien comprendre, il me ditElle est seule chez elle, avec toi, tu fais ca, elle te claque, il y a du monde autour de vous, tu fais ca, elle te claque encore plus, mais si quelqu’un est dans la maison, son mari par exemple, cachĂ© par une cloison, ou un mur, qu’elle passe devant toi, si tu lui fais ca, comme une main furtive aux fesses ou aux seins, elle va te faire une mimique avec les yeux ou la bouche ou murmurer, « hĂ©, ca va pas », toi, tu reste au mĂŞme endroit, tu continu a parler avec son mari qui est dans la pièce a cotĂ©, elle va repasser a cote de toi, tu refais pareil, tu ne bouge toujours pas, elle repassera encore en disant la mĂŞme chose, faisant celle qui te dit d’arrĂŞterJe ne veux pas lui dire que je sais, je dis que j’ai une bourge en ce moment comme maĂ®tresse, il me dit, c’est les plus salopes, dans la vie de tous les jours, elle joue les saintes, et dans le lit, elles veulent ĂŞtre prisent pour des putes et qu’on agisse comme des salauds, je lui dis, a ton avis, Marie est une bourge ou pas, il me dit, tu veux quoi, savoir, ou pas savoir, je lui dis, Ă©coute, pour moi, Marie aime venir ici, c’est tout ce qui compte, que tu la traite comme une reine ou comme une pute, si elle vient et redemande Ă venir, c’est qu’elle aime, donc pour moi ça me suffitDe toute façon, je vois ce que tu veux dire, j’ai Ă©tĂ© une fois Ă une dĂ©monstration de sado maso, il y avait des femmes et aussi des hommes attachĂ©s, fouettĂ©s, maltraitĂ©s et ils ou elles en redemandaient (encore un mensonge pour avoir le vrai), je dis, si Marie aimait ça, elle me l’aurait dĂ©jĂ demandĂ©, et lĂ , il me dit, non, dĂ©trompe-toi, ta bourge par exemple, (il dĂ©tourne le sujet), hĂ© bien, tu pourrais faire cela si c’est son tripMais son mari, lui, il ne pourrait pas, je dis, il ne pourrait pas la fouetter, il dit si, mais elle ne ressentirait pas l’excitation du geste, cela ne fonctionne pas entre Ă©poux ou alors ce n’est que cinĂ©ma, celui ou celle qui domine doit ĂŞtre Ă©tranger au couple, en moi-mĂŞme, je me dis que j’ai appuyĂ© sur le bon bouton, il parle de ce qu’il connaĂ®t en tant que pratiquant, je me dis, le veinard, il a Marie, Annie et peut ĂŞtre encore d’autresOn continue a parler et au fil de la conversation et de la partie, il me dit, après une demande dĂ©tournĂ©e, « n’insiste pas, je ne dirais rien, de toute façon, si j’en avais une autre, en plus de ta femme, ça serait le maximum, une, c’est bien, deux, ça va encore, après ce n’est plus gĂ©rable, ou alors ne faire que ça de la journĂ©e et prendre du fortifiant, après la partie, je rentre Ă la maisonJe repensais Ă ce qu’avait dit l’effleureur, mais timide, je n’ose pas, le temps passe, l’automne Ă©tait revenue, j’ai de temps Ă autre des coups de fil de Madame, qui me dit ne pas nous oublier, qu’elle n’a pas de temps, des soucis sans importance, etc., je n’y croyais pas a ce moment, mais c’Ă©tait vrai, un soir, j’avais arrosĂ© une affaire au boulot, j’ai bu plus que raisonnablement, Marie, sans le savoir, avait prĂ©parĂ© un apĂ©ritif, j’en prend un seul, comme je ne compte pas ressortirCe soir-lĂ , Annie vient nous voir, superbe, son mari en dĂ©placement, je lui dis qu’elle mange avec nous, je nous ressers l’apĂ©ritif, j’en prends juste un pour trinquer, Marie est en cuisine, a prĂ©parer le repas, Annie me demande, si a ma boite, je peux prendre quelqu’un pour un stage, je dis, je ne sais pas, mais je vais faire tout pour pouvoir te dire oui, elle me dit que c’est très important qu’elle ait son stage, elle me dit, je te demande ça comme un grand service, je lui explique le fonctionnement chez nous, je sais que des fois, on a des jeunes qui viennent, mais je ne m’en occupais pasPendant que je lui parlais, le cœur battant, l’alcool aidant, je mets ma main sur le genou d’Annie, elle ne rĂ©agit pas, j’emploie la mĂŞme mĂ©thode que Madame, deux minutes après, elle se lève et quand elle se rassoit, me demande comment va notre couple, je dis que ça va, mais j’ai Ă©tĂ© fort, alors, je dois marcher sur des œufs maintenant, (mensonge encore), remettant ma main sur son genou en disant, figure toit que ………., Marie arrive, elle pousse ma main pendant que je la retirais aussi, Marie repart, je continue de parler, je pose encore ma main sur son genou, deux ou trois bonnes minutes se passent, et elle commence seulement bouger pour que je me pousseParlant toujours, je recommence, et elle me dit a voix basse, « ta main » je dis ha oui, elle est bien lĂ et je pousse plus entre ses genoux, elle me chuchote, retire ta main, je chuchote, tu n’aimes pas, mais ce n’est pas ça dit-elle en me la retirant, je la remet un peu plus tard, elle me la retire, car Marie arrive et se met a cote d’elle sur le canapĂ© a sa gauche, mais plus enfoncĂ©e dedans, Annie a pris un chips, le porte a sa bouche et je lui frĂ´le le tĂ©ton du revers des doigts, le chips tombe sur elle, en le ramassant elle me fait les gros yeux, mais se remet a la mĂŞme placeEn moi-mĂŞme je jubile, merci l’effleureur, alcoolisĂ©, je recommence, elle me laisse un peu faire en se protĂ©geant avec le bras, mais je suis par dessous et mes doigts sur son sein, elle me serre la main avec son dessous de bras pour ne pas que je caresse, restant droite, elle parle Ă Marie et quand elle se lève pour retourner en cuisine, elle desserre son bras pour que je retire ma main, tu es chiant me chuchote-t-elle souriante, je lui dis, laisse ma main-lĂ et je ne le refais plus, elle dit non, je lui prend le sein et le genou de l’autre main, arrĂŞte dit elle sans me pousser, je dis, tu aime ça puisque tu resteElle se lève et je dis, non reste et je ne te touche plus le sein, elle se rassoit, je touche son genou, qu’est-ce que j’ai dit dit-elle, je dis, j’ai dis le sein, ce n’est pas le sein, c’est le genou lĂ , de la cuisine, Marie dit, on va pouvoir passer a table, Annie se lève, je la retiens et passe ma main sous sa jupe, elle se dĂ©hanche, mais je tiens sa cuisse prĂ©s du genoux, elle dit, lâche moi, je dis, si tu me laisse te faire du pied Ă table, elle dit, et puis quoi encore dit-elle, joignant le geste a la parole, je lui dis, ma main remonte alors, a mi-cuisse, elle dit non arrĂŞte, en se dĂ©hanchant, elle m’Ă©chappe et va s’asseoirElle est Ă la mĂŞme place que madame la fois oĂą elle est venue, sauf que c’est moi qui lui fera du pied cette fois, quand Marie est Ă table, je fais du pied a Annie, et remonte sur sa jambe, elle serre les jambes, avec mes deux pieds, je les enserre, elle les met sous la chaise, je mets un pied sur son genou, elle me pince le pied, je tape avec sur la table en sursautant, quand Marie est en cuisine, je lui attrape un sein, elle se dĂ©bat toujours souriante, je lui dis donne ta jambe, elle dit, mais qu’est-ce que tu as ce soir, je dis, tu aimes ça, ça se voit, aller, arrĂŞte dit elle, non dis-jeMarie revient, Annie et Marie sont en chaussures avec petit talon, quand elles marchent, on entend sur le carrelage de la cuisine, je sais donc ou se trouve Marie rien qu’au bruit qu’elle fait, bien sĂ»r quand elle revient, je me fais discret, je remets mon pied sur Annie, elle serre les jambes, je force sur elle, elle me fusille des yeux quand elle regarde vers moi, mais son sourire la trahit, je lui fais signe dĂ©s que Marie est dans son assiette, je me lève et en passant, je lui frĂ´le un sein, je vais Ă la fenĂŞtre justifiant un bruit, quand je reviens, je recommenceMarie se lève Ă nouveau et en la suivant, je retouche un sein en passant, je redemande sa jambe, un refus a nouveau, je remets mon pied et levant les yeux, elle accède a ma demande, jamais je n’aurais osĂ© cela si je ne l’avais pas vu chez l’effleureur et s’il ne m’en avait pas involontairement parlĂ©, mĂŞme un peu Ă©mĂ©chĂ© comme j’Ă©tais. Marie et Annie, sont pareilles, elles partagent les mĂŞmes « dĂ©viances » sauf que dans la vie, l’une est plus timide et l’autre autoritaire, je caresse du dessus du pied, la jambe d’Annie puis je la serre de mes deux piedsMarie se lève Ă nouveau, je libère Annie, quand Marie revient, de mon pied, je tapote Annie pour qu’elle remette sa jambe, elle la remet aussitĂ´t, je la caresse Ă nouveau, je caresse doucement, dĂ©licatement, au dĂ©but comme elle me donnait sa jambe droite, en la caressant de son genou a sa cheville, a chaque fois que j’Ă©tais a son genou avec mon dessus de pied, du bout de mon mĂŞme pied, je sentais son autre genou, mais cette fois-ci, je ne le sentais plus vraiment, après trois autres caresses, je ne sentais plus du tout son autre genouM’avançant sur la chaise sans que cela se remarque, gagnant peut ĂŞtre quatre ou cinq centimètres, mon dĂ©but de caresse commençait avec le bas de mon tibia, et mon pied ne trouva pas son autre genou, je continue un peu Ă caresser puis avec mon pied, je remonte sa jambe vers le haut, pendant ce temps, on discutait tous, une fois sa jambe a la hauteur de mon genou, par de rapide aller de ma main dessous la table, je caresse sa cheville, Marie retourne en cuisine pour ramener le dessert et les fruitsElle me dit, tu en as quoi de plus, je dis « pareille que toi », se faisant, j’ai attrapĂ© son pied de la main droite et me penchant, je caresse sa jambe de la gauche, elle se tient Ă la table, car quand elle veut se reculer, je la lui lève plus, en mĂŞme temps, je lui dis, quand on sera sur le canapĂ©, tu remonteras Ă mi-cuisse, elle refuse et je dis, je te pince un tĂ©ton sinon, souriante toujours, elle me dit que je suis tombĂ© sur la tĂŞteMarie allait revenir, je lâche Annie, on finit le repas avec des caresses sur sa jambe que j’ai redemandĂ© et qu’elle a donnĂ©e, Marie nous dit de passer au salon, mais Annie l’a rejoint dans la cuisine, je la suis et la taquine en la touchant, voyant que c’est plus risquĂ©, elle va au salon, je lui rappelle ma demande, elle dit non, je pince son tĂ©ton, elle se dĂ©bat mais je sens que c’est moins virgulant comme dĂ©fense, avant que Marie n’arrive, elle me dit, bon arrĂŞte, la t’es content, je met ma main sur sa cuisse et comme elle me pousse, je lui montre ma bosse au pantalon, elle me dit cache ça, je dis, je cache mais tu ne me repousse pas, Marie arrive et je dis a Annie, discrètement, tu me pousse et je me lèveMarie s’assoit, du revers de ma main, je caresse le tĂ©ton d’Annie a travers son corsage, elle va pour me donner du coude, je fais celui qui va se lever et elle relève un peu son bras, je lui ai caressĂ© le sein pendant plus de 5 minutes, Marie se relève pour dĂ©barrasser, je retire bien sur ma main, et quand elle part, j’attrape la cuisse, elle me dit d’arrĂŞter, que je suis pire que l’effleureur, je lui dis oui, mais avec lui, tu te laisse faireQuoi dit-elle, je dis, je vous ai vu une fois, tu ne le repoussais pas beaucoup, quand ça dit-elle, je dis, tu vois, tu ne dis pas le contraire, tu demandes juste quand, je dis, attend, Marie n’en sait rien, on va en parler quand elle sera lĂ , prit de court, elle dit non, je dis alors tu me laisses pareil qu’a lui, je lui tripote les seins, elle se dĂ©bat Ă peine, elle dit, il ne touche pas, il frĂ´le lui, je dis de la façon que je vous ai vue, je pense qu’a d’autres moments, il devait frĂ´ler pas mal ?Ă€ ce moment-lĂ , Annie dans sa tĂŞte cherchait Ă quel moment, j’avais pu les surprendre, ils faisaient toujours attention, surement une fois ou deux oĂą on a trop risquĂ©, elle se demandait quel geste j’avais bien pu voir et me le demande, je lui rĂ©ponds que je ne le lui dis pas, mais que je peux le lui montrer sur elle, et qu’elle risque de frissonner, quand Marie revient, on discute encore, je caresse encore puis quand elle part, je lui dis que je la raccompagne a sa voiture, elle monte et me demande encore quand je l’ai dĂ©couvertSans rĂ©pondre, je lui dis que je viendrais lui dire pour le stage, mais je ne dirais pas quand, et aussi, que ce que j’ai vu, jamais je ne le dirais Ă personne, c’est dans ma tĂŞte et n’en sortira jamais quoi qu’il arrive, je lui dis aussi, n’en dit a personne non plus, ni a l’effleureur, on serait gĂŞnĂ©s tout les deux. Annie me faisait confiance la dessus, tout le trajet, elle se demandait Ă quel moment, puisqu’il ne faisait jamais rien en dehors du billard, mais il est vrai que des fois, Ă©tant certain de pas ĂŞtre vu, l’effleureur lui attrapait furtivement un sein ou passait sa main sous sa jupe sans l’en empĂŞcher, regardant juste si personne n’arrivaitBien sĂ»r dans ma tĂŞte, une idĂ©e germait, je demandais Ă mon chef comme un service, si une stagiaire pouvait l’intĂ©resser, il en parlait au directeur, je pense qu’il l’a plus fait pour me rendre service, dans la semaine, j’avais la rĂ©ponse positive. Entre-temps, la femme de l’effleureur me tannait pour pouvoir visionner, je ne savais pas comment faire, car elle pensait qu’il tripotait seulement, et je l’ai vu se faire sucer, je me sentais mal, d’un cote, je le trahissais lui et si je ne le faisais pas, je lui refusais un service, je lui tirais les vers du nez quand je venais, pour ne rien faireJe lui dis, tu n’as pas peur que ca dĂ©rape plus a force, elle rĂ©pond que ça sera Ă moi qu’il ferait le plus de peine, je lui dis, non, j’ai dit Ă Marie qu’au billard, tout lui est permis, elle dit, mĂŞme s’il la pĂ©nĂ©trait, j’ai dis tout sans exception, j’ai confiance en elle et en lui, il ne me la prendra pas il ne te quittera pas et elle ne me quittera pas non plus, elle me dit, elle a de la chance, elle prĂ©fère qu’il fasse cela ici, qu’ailleurs en me le cachant, je lui ai donnĂ© l’autorisation de faire ce qu’il veut avec, moi aussi pas de limite mais ici seulement, c’est pour ça que je veux voir sans ĂŞtre dĂ©rangĂ©, et en plus, après j’en profitedans la semaine, un collègue se plaint qu’on lui a crevĂ© son vĂ©lo et volĂ© ses chaussures dans sa cave, et la une, idĂ©e me vient, je pense a mon vĂ©lo, que je n’ai pas sorti depuis que je suis avec Marie, le soir, je vais a la cave, comme je n’ai plus la clef depuis le temps, j’achète une scie a mĂ©taux, je coupe le cadenas le lendemain, mon vĂ©lo est une Ă©pave, oxydĂ©, pneus craquelĂ©s, le samedi, je m’en dĂ©barrasse sur un trottoir plus loin pour qu’il soit volĂ© et je vais voir l’effleureurJe lui dis que comme je m’empatte un peu, j’avais repris le vĂ©lo depuis quelques temps sans le dire Ă Marie, et en montrant le cadenas, je dis, plus de vĂ©lo, il me demande si je sais qui s’est, pour aller s’en occuper, je dis que je ne sais pas, il faudrait que je trouve un box, mais pas par chez-moi, il dit, pour un vĂ©lo, met le ici, je dis non, Marie va le voir d’une part et je ne veux pas t’encombrer, et la comme prĂ©vu il m’emmène dans sa cour, dans un dĂ©barras jouxtant la petite pièce de visionnageIl doit y avoir 5 ou 6 mètres carrĂ©, plein de vieillerie bonne a la dĂ©charge, il me dit, ça te suffit, je lui dis, et tes affaires, il rĂ©pond, ça, justement, ça fera une occasion de les virer a la dĂ©charge, je vois la petite porte donnant sur la rue qui n’a pas servit depuis longtempsJe lui dis, c’est vrai que tu peux charger de par ici, je lui dis, ça ne te dĂ©rangerait pas de me louer ce local alors, il me regarde de cotĂ© en disant, tu n’a pas d’autres conneries Ă me sortir, je lui dis que j’ai un ordi que j’ai rĂ©cupĂ©rĂ©, je peux l’entreposĂ© aussi avec, il dit « tu mettras ce que tu veux, tu as vu ce qu’il y avait »Un lundi, Annie m’appelle au boulot, c’est très rare, elle me demande si on peut parler, je dis non (car j’ai un collègue dans mon bureau), je lui dis, je peux te rappeler, elle me propose de manger ensemble, je dis bien sur, et le midi, elle me redemande, en me disant qu’elle est très contrariĂ©e, je m’aperçois qu’en effet, cela la prĂ©occupe beaucoup et je m’en excuse encore aujourd’hui auprès d’elle, de n’avoir pas rĂ©flĂ©chi a cela, rassurant, je lui dis, « Annie, on se connaĂ®t depuis plus de 10 ans maintenant, je t’ai racontĂ© mes galères, tu n’es pas qu’une très bonne amie, tu es bien plus encoreSi demain, un mĂ©decin m’appelle en me disant que tu as besoin d’une greffe de foie ou autre et que je suis compatible, je ne rĂ©flĂ©chis pas, je dis, j’arrive (et c’est encore vrai aujourd’hui), te faire quelque chose qui te porterait prĂ©judice, j’en serais incapable, autant, j’aime Marie malgrĂ© ce qu’elle m’a fait, autant, je t’aime toi, mĂŞme si entre nous, ce n’est que platonique, dis moi quant et ou alors dit-elle, je te dis, Annie, je ne peux te promettre qu’une chose, il n’y a que moi qui t’ai vu ce jour-lĂ et personne d’autre n’aurait pu te voir, si tu me tuais maintenant, il n’y aurait plus de tĂ©moinsRassurĂ©e, après plusieurs promesses que personne ne le sait, que mĂŞme l’effleureur, je ne le lui dirais pas et lui redisant aussi que j’aimerais que cela reste entre nous deux et que jamais je ne ferais quelque chose pour lui nuire, elle me demande pourquoi je ne l’ai pas dit avant et pourquoi je ne lui dis que maintenant, je rĂ©pond « tu vois que je ne cherche pas a te mettre mal a l’aise, pourquoi je ne l’ai pas dit avant, c’est parce que cela ne me regardais pas, pas plus que maintenant et pourquoi maintenant, c’est parce que j’ai envie de te chahuter, comme ça, sans raison, avant je t’aimais beaucoup, maintenant, je t’aime encore plus, comme amie s’entend, amie compliceRegarde, lĂ , tu es avec moi et comme il y a du monde, je ne bouge pas, elle me dit qu’elle va se sentir mal vis a vis de Marie, je lui dis, et avec la femme de l’effleureur alors, Annie s’est un peu vendu sans le savoir, elle change de sujet et je ne m’Ă©tend pas dessus, voulant que les choses soit claire, Annie me dit, tu me vend ton silence alors, je dis, pas du tout, je ne te vend rien, tu ne me dois rien, elle dit ne pas comprendre ce que je veux, je lui rĂ©pond, « rien, je te vois, dans un recoin, je te chahute, je te vois avec du monde, je reste normal, libre a toi de me laisser un peu faire ou pas, elle dit, alors je ne me laisserais pas faireJe rĂ©ponds, je t’obligerais comme l’autre soir, Annie a un sourire, elle me dit non aujourd’hui, mais je crois que cette fois-lĂ , elle avait eu peur d’un chantage et je lui avais dit, « si nous devions faire cela ensemble, ça serait avec grand plaisir mais sous conditions, d’abord que ce soit toi qui le dĂ©cide et le veuille et avoir l’accord de ton mari, mais jamais je ne t’obligeraisTe chahuter est une chose, mais cela, jamais de la vie, Annie retrouve son beau sourire, en ayant l’air de plaisanter, je lui dis, le chahutage, je t’oblige un peu, mais c’est uniquement parce que je sais que tu aime cela et que tu n’osera jamais le dire, elle s’en dĂ©fend, mais dans ma tĂŞte, je sais avoir raisonJe la raccompagne Ă sa voiture, une fois dedans, elle me dit, en tout cas merci, disant que c’est ma boite qui paie le resto, elle dit, oui merci aussi pour le resto, mais surtout pour ne pas avoir abusĂ©, je lui rĂ©ponds, hors de question de s’afficher, je me rattraperais quand tu reviendras a la maison ou nous chez toi, elle fait « mais oui bon, je te laisse », en disant cela, j’ai remarquĂ© son petit sourireLe WE l’effleureur et coucou, dĂ©barrasse ce petit appentis, leurs femmes nettoient et profitent aussi pour virer des vieilleries, me rendant compte de mon oubli, pour alimenter la pièce, je dis, il n’y a pas le courant, pour la batterie interne de l’ordi, coucou va voir derrière et en revenant dit, il y a une prise, je pourrais percer un trou sans faire de dĂ©gât au mur, comme il n’a pas de forĂŞt assez long, je dis que je vais voir (un copain commun) j’emprunterais oĂą il viendra le faire, cela Ă©tant entendu, j’emprunte un foret avec la grosse perceuse plus une chute de gaine qu’il avait, je perce le lundi soir, met la gaine et coucou revient sous les deux jours en passant dans le coin pour poser la prise et brancher Sa femme me presse pour terminer, je lui dis, que les cameras sont dĂ©fectueuses, qu’ils me les changent sous garanti, en fait, j’en mets trois autres en plus, de meilleure qualitĂ©, chère Ă l’Ă©poque, je fais les branchements quand je sais que personnes n’est lĂ , je dis a l’effleureur de me poser un verrou pour le nouveau vĂ©lo que je vais acheter, je garde la clef et lui en donne une autre d’un autre verrou comme double, s’il me dit que la clef ne fonctionne pas, je saurais qu’il vient voir, mais comme la porte de derrière est toujours fermĂ©, jamais ils ne viennentJe piège la femme de l’effleureur en disant que je viendrais soit vendredi ou samedi lĂ , ou ceux d’après, elle me dit que vendredi d’après, elle ne peut pas, qu’il ne seront pas lĂ , elle me sort une excuse bidon, je dis que je viendrais donc celui lĂ , je prĂ©fère que vous soyez lĂ quand je viens avec Marie dis-je (en lui faisant un clin d’œil), j’en dĂ©duit que c’est parce qu’Annie sera lĂ , le samedi d’après, pour faire plaisir Ă sa femme et a moi-mĂŞme, mais elle ne le sait pas, je m’active a mettre tout en place, je viens donc en semaine oĂą il est en dĂ©pannage loinJe replace les mini cameras, j’en mets une troisième, j’ai 3 câbles en plus Ă passer, les autres y sont dĂ©jĂ , rien ne se voit, c’est coucou qui a fait l’Ă©lectricitĂ© avec de la rĂ©cup d’usine, les nĂ©ons et les câbles Ă©lectrique sont dans ce qu’il appelle des chemins de câble, sorte de grosse cornière pleine de trou, je peine juste a passer les câbles par le trou de chauffage, mais sa femme m’aide a cela, coucou Ă©tait revenu brancher et fixer les prises de courantJe dĂ©monte ce qu’il a fait pour passer mes câbles de la petite pièce a l’appentis, sans l’aide de sa femme, car elle ne sait pas, comme tout est derrière le petit bureau, on ne voit pas mes câbles et la prise qui ne colle pas contre le mur puisque mes câbles y sont, cotĂ© appentis, j’avais mis un petit bureau et une chaise aussi, achetĂ© une poignĂ©e de cerises Ă EmmaĂĽs, je me suis Ă©quipĂ©, cycliste, mais sans ce qu’on appelle le moule bite, les gants, bonnet, pincesLe vendredi soir arrive, j’emmène Marie après dĂ®ner, il lui propose un billard, moi je dis non, allez-y , je dis Ă sa femme, que je vais m’occuper de mon vĂ©lo pendant que Marie est occupĂ©e, que cette semaine, je n’ai pas eu BCP de temps, je lui avais dit que j’attendait un CD d’installation et que je ne l’ai pas encore eu, elle Ă©tait déçue mais je lui ai dis, que lundi, ça serait bon, les cameras ne se voit pas, elles sont mini, j’ai virĂ© la diode indiquant qu’elle est en fonction, et ensuite, les nĂ©ons Ă©blouissant, les dissimule, les chemins de câble Ă©tant de la rĂ©cup, j’ai fait des trous plus gros pour la vision, sa femme a la vison a droite après l’escalier et du cote de l’escalier, moi, j’ai pareil avec en plus, l’autre cotĂ© de l’escalierComme toutes les fois, Marie prend une queue (de billard) et tire quelque coups, je fais mes rĂ©glages lumière et son, je me dis que j’aurais dĂ» prendre des Ă©couteurs, quand j’ai l’image nette, appuyĂ© sur le billard, Marie est jambes Ă©cartĂ©es, lui est derrière avec la main dessous, je note que je devrais baisser un peu la camera derrière eux, il lui attrape un sein pendant qu’il la doigte, les images sont plus nettes que ceux dans la petite pièce, il faut dire que j’ai payĂ© le triple par camera, le son est bon, j’entends Marie qui commencer Ă gĂ©mir et lui qui la traite, je rĂ©alise la situation, ma femme avec un autre et je bande de les voirIls ignorent que je sais tout, a ma demande certes, les salopes fusent, monte lĂ dessus putain, Marie monte sur le billard, il la suce, j’ai l’image de son cul se faisant lĂ©cher la chatte et de l’autre cĂ´tĂ©, j’ai le visage de Marie qui savoure ce qu’il lui fait, mieux qu’au cinĂ©ma, et ce n’est pas du cinĂ©ma, et ce soir, je me ferais l’actriceJe mate son cul, je mate sa tĂŞte, puis mate son cul Ă nouveau, quand je vois bouger un peu dans l’angle de l’escalier, sa femme ferme la porte Ă clef lorsqu’il y a « billard », la dernière fois, j’ai dĂ» tourner la serrure, ce qui fait que comme il n’y a qu’elle dans la maison, je la devine a nouveau, je ne vois pas vraiment, car c’est sombre et que le nĂ©on d’en face Ă©blouit, mais je me doute d’une prĂ©sence, après l’avoir sucĂ©, il va chercher un gode et bourre Marie avec, je lui fais tout ça moi aussi, mais c’est surement mieux avec un autreIl attrape autre chose et lui dit de mettre sa tĂŞte sur le tapis (du billard)et lĂ , il lui met un Plug de bonne dimension, j’avais remarquĂ© depuis quelques mois, que lors des sodo, je rentrais plus facilement et qu’elle n’avait plus le petit souffle qui indiquait une petite douleur, je ne connais pas la taille du Plug, mais il n’a pas l’air petit, Marie s’Ă©carte les fesses, il le rentre Ă fond, lubrifiant toujours avec sa mouilleMarie ouvre la bouche en grand, il lui gode le clito, il bouge Ă peine, c’est Marie qui se frotte dessus, Ă©cartant encore plus les genoux pour sentir mieux le gode, Marie est toujours habillĂ©e, seul son string est enlevĂ©e, il lui donne le gode, il l’a fait mettre le cul visible de l’escalier, je comprend mieux maintenant, sa femme ne ferme pas les yeux, elle les ouvre, Marie lui tournant le dos, lui, il se met sur le cĂ´tĂ© et avec le martinet, il la frappe, et elle aime ça, puisqu’elle dit des oui encore Mr et des plus fort MrElle rĂ©clame plus fort, mais il dit non pour les traces, elle dit, encore plus fort et qu’elle s’arrangera pour reste dans le noir ce soir, il demande si elle est sur, elle dit oui Mr, comme elle se retourne quant elle rĂ©clame, il lui dit, regarde devant toi salope, tu ne dois pas voir le coup arriver, (belle excuse) sa femme est, on ne peut plus visible maintenant, elle a la main sur son sexe et se caresse, je vois aussi son visage, Marie quant Ă elle, a des soubresauts de plaisir a chaque coup, son visage est expressif, l’effleureur monte d’un cran dans la force des coupsMarie dit, oui, comme ça, encore, elle ne parle pas fort pour ne pas que cela s’entende de lĂ haut, elle sait et est habituĂ©e a ce que je ne vienne pas et que sa femme ne vient jamais non plus, sauf quand elle a prĂ©venue Ă l’avance, l’effleureur lui, sait que je ne viendrais pas, il parle juste plus doucement pour donner le change Ă Marie qui elle a juste peur que sa femme descende, mais comme il l’a rassurĂ©e, elle lui fait confianceLes coups de martinet, fort, mais retenue continu, les insultes aussi, jusqu’a temps que Marie jouisse, son plaisir est beau a voir, cette fois lĂ , elle jouit comme avec moi, ni plus ni moins, seul le chemin menant a son orgasme est diffĂ©rent, cela ne dure pas longtemps, car ils ont un temps donnĂ©, celui ou nous en principe, la haut, ont leur demanderaient ce qu’il font, qu’il ne vont pas jouer toute la nuitSa femme remonte, lui, il lui tripote les seins, puis va regarder dans l’angle de l’escalier, disant, alors, quand viens tu en journĂ©e, elle dit, je ne sais pas, ça m’embĂŞte de venir sans lui dire, lui, il rĂ©pond, tu m’a dit qu’il t’avait dit que si tu voulais, tu pouvais, oui, je t’assure, il m’a dit qu’avec toi, je n’avais pas besoin de le lui dire, juste prĂ©venir ou je suis, un mot avec « billard » suffit a-t-il dit, alors tu voisJe t’appelle la veille dit-elle, car il m’a dit, que s’il est lĂ , il vient, mais que s’il n’est pas la et que je veuille venir, je peux, elle se lève et dit, je me remets et on y va, moi, j’Ă©teins l’ordi, rentre mon vĂ©lo que j’avais mis dehors au cas oĂą sa femme regarderait dehors, j’arrive juste quelques secondes avant eux, faisant celui qui a bricolĂ© leur ordi, Marie est rouge, personne ne lui en fait la remarqueLe soir, elle s’arrange pour qu’on fasse l’amour dans le noir, comme bien souvent, mais lĂ , c’est du dĂ©but Ă la fin, j’ai pĂ©tri ses fesses sans me rappeler, elle a eu un petit pincement de dents, elle me redemande si je veux savoir ce qu’il lui a fait, je dis non, c’est ton jardin secret, je le devine ce que vous faites, mais je veux que se soit ton secret a toi seule, quand tu es avec lui, c’est comme si le temps s’arrĂŞtait, tout ce que vous faites, n’a pas d’importance pour moi, tu fais tout ce que tu veux, tu es libre, après cela, on s’enlaceLe WE passe, le lundi comme promis, je fais semblant d’installer le logiciel des cameras , je règle celle que je trouvais trop haute, je contrĂ´le aussi oĂą il y a mon vĂ©lo, je fais monter sa femme sur le billard, je sens une lĂ©gère imperceptible pensĂ©e dans son regard, je me dĂ©tourne aussitĂ´t mon comportement pour aller rĂ©gler, je règle la sienne et la mienne, sa femme ne m’attire pas vraimentPour donner un chiffre sur 10 comme j’avais fait, Marie et Annie 9, Lucette et Helene 8, pour Madame 7, mais sa femme, elle a 4 ou 5, pas de forme, mal habillĂ©e, pas de dĂ©marche ni de gestuel sensuel, son visage n’est pas laid, mais elle n’a rien de fĂ©minin, petits seins, petites fesses, les jambes, je ne sais pas, les mocassins ne sont pas sexy, ses jupes lui arrivent en dessous les genouxSes atouts sont sa gentillesse et sa serviabilitĂ© ainsi que ses talents de cuisinière, certains copains disent que pour une pipe, ça irait, dans ceux que l’on a en commun avec Annie, les plus belles ont 7, d’autres 5, bien sĂ»r, je ne parle que de celles ayant moins de 50 ans, mais certains ont une femme qui est comme celle de l’effleureur, Ă©tant injuste que seules les femmes soit jugĂ©, Annie donne des notes aussi, j’ai fait une moyenne avec ce que j’ai demandĂ© a Marie, le mari d’Annie et moi, on a 5, Lucien 6, coucou et l’effleureur 3, les autres n’ont pas d’histoires dans ce rĂ©cit mais certains sont beau mec et d’autres nonComme un gamin a qui on donne un nouveau jouet, le mardi, Annie arrive Ă la maison, peu avant 19 heures, elle est reçue par Marie, les deux femmes s’apprĂ©cies maintenant, Marie devenue fidèle et aimante plaĂ®t a Annie, et Marie sachant qu’elle est celle qui m’a poussĂ©e a lui redonner une chance, lui est reconnaissanteQuand j’arrive a la maison, quinze minutes après, Marie cuisine et Annie est sur le canapĂ© a lire une revue, elle discute d’ailleurs sur un sujet qu’elle lit, je fais la bise et lui mets la main sur un sein, dans le sens ou si Marie regardait vers nous, mon corps cache ma main, Annie m’attrape la main, puis me la laisse en me souriant, je sors un petit apĂ©ro lĂ©ger et je m’installe comme la semaine dernière, fort des conseils avisĂ©s de l’effleureur, je met en pratique ceux-ciComme il est dommage qu’Ă l’Ă©poque, je ne savais pas ce que j’apprends en Ă©crivant ce rĂ©cit avec elle, une fois assis, je pose ma main sur ses genoux, elle est en tailleur jupe courte, la tenue de secrĂ©taire très sexy, ce qui est d’ailleurs son job a cette pĂ©riode (secrĂ©taire), je ne vais pas rappeler que je bande, puisque je bandais rien que de savoir qu’elle serait la ce soir, le bruit de pas de Marie qui vient avec nous, je retire ma main, Marie s’assoie et je pince dĂ©licatement le tĂ©ton d’Annie, sauf que lĂ , je fais cela sans apprĂ©hension en sachant qu’elle ne dira rien, quel plaisir quand je l’ai senti se durcirElle ne bougeait pas, ni me repoussait, elle Ă©tait 1/4 tournĂ©e vers Marie, j’alternais entre pincer le tĂ©ton et empoigner son sein, quand Marie retournait Ă la cuisine, je prenais un chips, pour me pencher et cacher mon Ă©rection, je remettais ma main sur son genou puis sa cuisse, elle me dit, en parlant du tripotage de sein, « t’es content comme ça » je fais oui en lui montrant le dessous de ma ceintureElle regarda furtivement en faisant celle qui ne veut pas savoir, ni voir, après m’avoir trois fois poussĂ© ma main de sa cuisse, elle finit par me la laisser, Marie revient, je retourne toucher son sein, la première fois, j’avais frayĂ© un chemin Ă ma main entre son bras et dessous de bras, lĂ , elle a son bras un peu plus levĂ©, elle me facilite lĂ©gèrement mon gesteMarie repart, et je lui demande de remonter un petit peu, elle refuse et je dis, mĂŞme si je vais en face sur le fauteuil, pour te rassurer, je n’attends pas et y vais, elle fait cela a ma deuxième demande, je dis plus, Ă plusieurs reprises, j’insiste jusqu’ a temps que je dĂ©couvre qu’elle a un porte-jarretelle, je le lui dis, elle me dit non, je dis, on parie, soit tu me le montres ou si tu me montres que tu n’en as pas, je te laisse toute la soirĂ©e, reste ou tu es alors dit elle, puis elle me le montre, que c’est beau, elle se rassoie et je retourne a cotĂ© d’elle, je met ma main sur sa cuisse, elle ne dit rien, je la retire quand Marie arriveOn discute et j’attrape son sein, je ne rencontre aucune rĂ©sistance, je la caresse, elle parle Ă Marie et aussi a moi, ce qui fait qu’elle est tantĂ´t tournĂ©e vers Marie, tantĂ´t vers moi, quand elle est tournĂ©e vers moi, je lui touche l’autre sein, Annie me regarde, rien que son regard me fait bander, moi, je suis dĂ©jĂ au maxi, si elle voulait me donner la honte, il lui suffirait de me toucher la bosse de mon pantalon pour que j’Ă©jacule aussitĂ´t, comme m’avait dit l’effleureur, mes touchers ne sont pas sans effet, Annie a le visage qui a changĂ©On entend Marie qui est vers le four, loin par rapport a la porte, Annie est Ă ma gauche, on est sur le canapĂ©, assis droit, avec ma main gauche, je passe devant son cou et plonge ma main dans son corsage ou deux boutons sont ouverts, ma main passe sous le haut du soutif, lui attrapant le sein gauche, elle me retient, mais ne peut pas me repousser, sinon elle risque de craquer son chemiser, mon autre main va Ă sa cuisse, elle chuchote non, non en maintenant mon bras gauche et ma main droite, mais je continue et je m’aperçois que ses genoux ne sont plus aussi serrĂ©s et que sa rĂ©sistance s’amenuiseMarie revient, je retire mes mains, Annie est rouge, pour masquer son trouble, elle fait celle qui a bu de travers, on discute, je tripote, Marie repart en cuisine, elle me sermonne, je dis, tu as aimĂ© quand mĂŞme, je mets ma main sur ses cuisses en lui disant, Ă©carte, je la mets entre seulement, on se fixe dans les yeux, je lui dis, tient, je te donne ma parole, que je te demande tout ce que je fais avant, c’est valable tout le temps de l’apĂ©ro, je lui promets sur la tĂŞte Ă Marie, après plusieurs demandesElle me fait comprendre que j’ai intĂ©rĂŞt Ă tenir ma parole, elle Ă©carte ses genoux, je lui dis encore et caresse Ă la mĂŞme hauteur, on se regarde toujours, je retourne sur sa cuisse et dis,  » on continue », elle Ă©carte aussitĂ´t, je caresse et lui dis, « je remonte un peu ma main, cinq cm », elle dit,  » pas plus », faisant non, je remonte, je ne suis pas dupe, et au moment oĂą je raconte en ce moment ce passage, elle m’avoue n’avoir eu qu’une envie, c’est que je ne tienne pas parolePendant que je la caresse, on discute de choses et d’autres pour que Marie entende qu’on parle, après encore quelques secondes de caresse des cuisses, je lui dis, maintenant, je monte ma main au-dessus des bas, elle dit non en serrant ses cuisses, je dis, pas plus haut, que le dessus des bas, lĂ ou ta peau est nue, elle dit non, j’insiste en disant, je promets pas plus haut, regarde, j’ai tenu ses cuisses qui se sont dĂ©tenduesMa main remonte un peu, continuant de rassurer et parlant en mĂŞme temps, ses cuisses s’Ă©cartent et je la touche sur sa peau, je ne touche que sa cuisse droite, je savais que si j’avais voulu, je pouvais plus, Annie me confirme encore qu’a cette Ă©poque, elle Ă©tait super excitĂ© de ce moment, que si Marie n’avait pas Ă©tĂ© lĂ , elle aurait fait une bĂŞtise comme elle dit, mais elle ne m’aurait pas laissĂ© la pĂ©nĂ©trer, cela ne dure pas, Marie revient et nous dit qu’on peut passer a tableElle retourne en cuisine ensuite, Annie se lève, je me lève aussi et je lui attrape les seins en Ă©tant derrière elle, je lui fais sentir comme je bande, elle dit non en posant ses mains sur les miennes pour faire celle qui veut me les retirer, je ne force pas beaucoup pour continuer, je lui vole un baiser sur la nuque puis la lâche en m’excusant, je me dis quel con, et m’excuse, mais elle me sourit et va s’asseoirQuand marie est assise, je lui fais du pied et elle m’amène sa jambe vers moi, ce contact m’excite, c’a l’excite aussi, quand Marie est en cuisine, je lui tiens sa main qu’elle me donne, elle me dit que je ne me fasse pas d’illusion, qu’elle accepte nos petits jeux, mais pas plus, je lui dis, c’est comme ca que je l’entend aussi, Annie faire l’amour avec moi, avant que je la vois chez l’effleureur, je me serais dit, que j’avais plus de chance de gagner 10 fois de suite le pactole du loto, mais depuis ce jour, l’espoir est lĂ©gèrement revenuĂ€ table, je lui caresse les jambes et rien d’autre, a la fin du repas, Marie dĂ©barrasse, Annie l’aide et quand Marie s’occupe du thĂ© et cafĂ©, Annie vient pour s’asseoir, je lui dis de rester debout, et que je promets de ne rien toucher d’humide, elle me dit, tu rĂŞves, je dis,  » reste debout alors, je promet », je met ma main sous sa jupe, je vais au-dessus des bas, je caresse des deux mainsAnnie Ă©tait super excitĂ©e, autant que moi, au moment ou ce passage est Ă©crit, je me traitais de tous les noms, au cafĂ© et thĂ©, il y eut encore quelques tripotages, puis je la raccompagnais a sa voiture avec une bise sur le coin des lèvres qu’elle ne repoussa pas.Après cette soirĂ©e, je pensais encore a ce que me disait l’effleureur, les bourges aiment ĂŞtre maltraitĂ©es, les femmes aiment les hommes qui osent et ne les Ă©coutent pas, elles aiment ĂŞtre lĂ©gèrement forcĂ©e quant elles sont excitĂ©e, ça leur donne un sentiment oĂą elles ne sont pas responsable de ce qui arrive, et quand je repense a tout ca, je me rappelle aussi du passage oĂą il ditDes fois, certaines aiment aussi qu’on leur fasse un petit chantage sur quelque chose d’anodin, ou celle qui ne veulent pas, diront tant pis, a ces mots, je repense Ă Marie, avec le client qui signait a condition qu’elle se laissait toucher, je ne l’avais pas trouvĂ© très rĂ©ticente, juste le petit non de complaisanceIl m’explique que c’est un moyen de faire quelque chose en se disant qu’elles font parce qu’on les oblige, il dit que le chantage doit ĂŞtre lĂ©ger et leur plaire aussi, que si on leur dit (aux femmes) fait moi une pipe oĂą je dis a ton mari que tu as mangĂ© un croissant alors que tu fais rĂ©gime, lĂ , tu as une claqueL’effleureur ne le sait pas, mais le mari d’Annie, qui m’a toujours eu en sympathie depuis qu’il sait que je me suis portĂ© au secours d’Annie, me disait que niveau fille, l’effleureur n’a pas chĂ´mĂ©, des salopes la plupart du temps mais pas des moches, j’avais voulu parler de sa femme, mais il m’a juste dit, elle, tu ne la touche pas, sauf si elle veut mais ça m’Ă©tonnerait, je lui rĂ©pond que physiquement, cela ne me tente pasIl me dit, qu’il ne parle pas de ça, il disait, « a lui, tu lui Ă©tale de la vaseline après lui avoir baissĂ© le froc, tu risquera moins que si tu met une petite gifle a sa femme », rajoutant, Ă©vite de lui baisser le froc si tu tient a ta peau quand mĂŞme, poète et toujours dans des exemples dĂ©mesurĂ©s le mari d’AnnieCe qui fait que quand l’effleureur, qui m’a aussi Ă la bonne, me parle nana, je tend l’oreille attentive, il m’explique donc qu’une fois, la femme d’un voisin, en rentrant dans son garage, après avoir fait une soirĂ©e tard entre filles, car son mari Ă©tait en dĂ©placement, celle-ci Ă©mĂ©chĂ©e sans ĂŞtre bourrĂ©e, arrache 2 tuyaux qui courraient sur le murSachant qu’il Ă©tait de la partie, elle vient le rĂ©veiller en pleine nuit, elle n’a pas pensĂ© Ă couper au compteur, j’arrive, je coupe l’eau, son mari rentrait le lendemain soir, lui, il avait ses clients la journĂ©e, alors il a travaillĂ© pendant la nuit, il a fait une rĂ©paration provisoire pour utilisation de l’eauEn disant de ne rien dire Ă son mari, elle a essuyĂ© et a cachĂ© la rĂ©paration avec du fouillis, il a vu avec elle pour une date pour venir faire le travail comme il se doit, elle a choisi un jour de rĂ©union oĂą il rentre plus tard, l’effleureur rĂ©pare et elle lui demande si elle peut payer en plusieurs fois et merci de ne rien direLĂ , il a dit, je veux bien ne rien dire et Ă©chelonner, mais, il faut me donner une petite rĂ©compense, il dit aussitĂ´t, pas coucher bien sĂ»r, vous voulez quoi dit-elle, comme elle est en jupe, il demande de voir ses cuisses jupe plus relevĂ©e, elle le fait en faisant la tĂŞte, il dit, voilĂ , ce n’est pas difficile, je reviendrais des que je peuxDeux jours après, il revient, disant pour le paiement, elle dit qu’elle ne peut pas encore payer, il dit, ce n’est pas grave, montrez-moi vos cuisses, elle fait celle qui dit non, pas encore, mais le fait quand il lui redemande, il repart et dit a demain, je viendrais tous les jours jusqu’au paiement, le lendemain pareil, sauf qu’elle lui montre sans discuter, pareil le lendemain, elle rentrait vers 17h30 et lui 18h45, sauf les jours de rĂ©union oĂą il rentrait plus tard, il la laissait 1/4 d’heure le temps d’arriverUne fois, l’effleureur Ă©tait dĂ©jĂ rentrĂ©, il la voit arriver en voiture dans une tenue de couleur rouge, et quant il va la voir, elle est en bleu plus sexy, a chaque fois, il complimentait et plus ça allait, plus elle faisait cela comme si c’Ă©tait normal, elle s’habillait exprès pour lui, plus il venait, plus il demandait, il demandait la couleur du string, après il l’a faisait tourne sur elle-mĂŞmeQuand c’Ă©tait osĂ©, elle disait non, et lui, sur un ton gĂŞnĂ©, disait qu’il allait ĂŞtre obligĂ© de le dire a son mari, elle rĂ©pondait non, ne faites pas ça, et elle s’exĂ©cutait, il en Ă©tait arrivĂ© ou il n’avait plus Ă lui demander, elle donnait avant, et a force, elle lui donnait plus qu’il ne demandaitRacontant aussi qu’un fois, mais me faisant jurĂ© de ne rien dire a personne, la femme d’une connaissance, se fait surprendre a la sortie d’un hĂ´tel qu’il venait de rĂ©parer, elle le voit et fait triste mine, elle va le voir, chez lui le soir mĂŞme avant de rentrer chez elle, et lui dit, ok, mais, je laisse mes mains se promener, elle lui dit, tu es fou, il dit bon, a demain si tu change d’avis, je ne vois pas ton mari avant samedi, elle est repartie et le lendemain, elle est revenu aussi sexy, elle regardait en l’air mais je sentais qu’elle aimait, une fois fait, j’ai dis a demain, elle est revenue, aussi sexyIl a recommence puis ensuite, il lui a dit, a lundi, mais je mettrais mes mains sur ta peau, pas que sur les vĂŞtements, elle a dit, ha non, il n’a pas rĂ©pondu, mais lundi, elle Ă©tait lĂ , elle a juste fait le « non » de principe, elle restait 5 Ă 6 minutes seulement, il voyait bien qu’Ă force, elle s’habillait pour venir ou le recevoir, disant ensuite, je voyais bien qu’elle rĂ©agissait a mes caresses, je ne montrais pas que je m’en rendais compteMais a force, elles se retenaient de moins en moins, jusqu’au jour ou succombant, quand je leur ai demandĂ© qu’elle me suce, elles disaient non en mĂŞme temps qu’elles se mettaient Ă genoux, au bout d’une semaine, si je leur avais dit que si j’arrĂŞtais, elles auraient fait la tĂŞte, disant qu’il n’a jamais Ă©tĂ© payĂ© de sa plomberie chez la voisine, mais que cela a durĂ© longtemps avec elleMais pour le moment, j’ai d’autre truc en tĂŞte, le samedi qui arrivait, en principe, Annie sera probablement entre les pattes de l’effleureur, je crois que c’est cette semaine lĂ que Marie est arrivĂ© un soir, les yeux larmoyant, elle m’a dit que ca allait, mais j’ai bien vu que non, comme elle avait renouĂ© avec Olga, je me permets de l’appeler, nous Ă©tions devenu intimesNe voulant pas trop me le dire, je lui dis que je serais discret, que j’aviserais suivant ce que j’apprendrais sans rĂ©gler le problème de façon directe, Marie Ă©tant devenue plus gradĂ©e que certaines, les jalousies se rĂ©veillent, des photocopies de Marie avec Lucien circulent, qu’est-ce que je regrette d’avoir agi ainsi, mais j’Ă©tais tellement malheureux et en colèreĂ€ ma demande, Annie avait dĂ©truit les nĂ©gatifs et photos d’adultère, mais moi, j’avais gardĂ© ces photocopies dont j’avais fait des doubles a ses collègues, Annie me prend celle oĂą on voit le cul de Lucien tĂŞte tournĂ© vers l’objectif et me dit qu’elle s’occupe de tout
Dans la semaine, un copain que je ne connais pas, fĂ©ru de photo mitraille les collègues femmes et hommes de Marie au tĂ©lĂ©objectif, la semaine suivante, des enveloppes avec des photocopies Ă©taient envoyĂ© a Marie, Olga ainsi que ses collègues que j’avais dĂ©jĂ envoyĂ©, Lucien Ă©tait remplacĂ© par un des collègues qui n’apprĂ©ciait pas Marie a cause du fait qu’elle leur avait refusĂ© ses avances, et marie remplacĂ©e par plusieurs collègues fĂ©mininEffervescence dans les bureaux, tous viennent voir Marie qui elle aussi montre les photos qu’elle a reçu, ainsi qu’Olga, Marie ne sait rien de cela, mais Olga si, je lui ai dit que c’Ă©tait ce que j’avais reçu qui m’apprenait mes cornes, Olga joue son rĂ´le, Marie pleure, Olga leurs dis qu’elle et son mari a reçu les mĂŞmes il y a plus d’un an, mĂŞme les deux hommes en photo paniquent, ils sont mariĂ©s, Olga leur dit que si elles ou ils ont un souci, de venir voir Marie, pour expliquer le montage de ces photos Ă leur Ă©poux, je n’ai jamais eu de demande en ce sens et Olga m’a dit qu’elles sont plus cool avec elle, Olga a dit, montre ses photos a ton mari, elle ne voulait pas, mais elle a rĂ©ussi a la convaincreDeux jours après les avoir reçu, elle me les montre en pleurant et jurant qu’elle n’a rien Ă voir avec ces photos, je regarde, les prend et dĂ©chire en la prenant dans mes bras, cela m’a permis de discuter avec elle sur le sujet, je lui ai dit, avant, tu ne m’aimais pas, a la vue de ces photos, cela me l’a confirmĂ©, depuis cette mauvaise pĂ©riode, je te sens aimante, on pourra me montrer n’importe quelle photo qui te compromettrait, je ne le croirais pasElle me dit ensuite, mais tu te rends compte, si tu reçois une photo de moi au cinĂ©ma ou de l’effleureur quand il m’accompagne Ă la voiture en me touchant un peu, je dis au cinĂ©, il n’y aura pas de flash et je suis avec toi, chez l’effleureur, tu a toutes libertĂ©s avec lui, je te vois avec l’effleureur, direct poubelle toutes photos, en plus, je dois t’avouer que quand tu reviens d’un billard, tu es super excitĂ©e et chaude, fais tu ça pour me faire plaisir ou aussi parce que tu aimes, elle rĂ©pond, non, j’aime ça, mais j’ai peur que tu devienne jaloux, je dis, si c’Ă©tais le cas, je ne te le demanderais pasĂ€ suivre