15 ans, 15 ans de vie commune effacĂ©s, cette fois j’en ai assez !
Je la largue, je n’en peux plus, l’annĂ©e 2012 pour moi c’est une vraie catastrophe, tout va mal, un gros client m’a plantĂ© en dĂ©but d’annĂ©e, après c’est une grosse casse mĂ©canique, rĂ©sultat : un Ă©norme paquet d’euros perdus.A condition de « serrer les boulons » comme on dit ça va ĂŞtre dur, très dur mais s’il n’y a pas de nouvelles catastrophes, j’arriverais peut ĂŞtre Ă m’en sortir.C’est ce que je m’Ă©tais dit et que j’avais dit Ă ma femme. Connaissant son cĂ´tĂ© cigale, j’avais insistĂ© lourdement. Peine perdue, je passe sur les dĂ©tails, mais elle m’a plongĂ©e de nouveau dans une merde noire.Je m’explique : il Ă©tait prĂ©vu qu’elle aille voir sa fille qui vit Ă l’Ă©tranger, le voyage Ă©tait prĂ©vu depuis plus de 6 mois et elle m’avait certifiĂ©e qu’elle avait tout vu sauf un lĂ©ger dĂ©tail : le billet d’avion qu’apparemment elle ne pouvait payer. En plus elle devait se rendre dans le sud pour une rĂ©union de famille : idem pas d’argent pour le billet.Moi comme un c… j’ai avancĂ© l’argent, lui faisant bien comprendre que je m’enfonçais un peu plus, alors elle m’a jurĂ©e qu’elle me rembourserais, j’ai fait semblant d’y croire et je me suis demandĂ© comment j’allais m’en sortir cette fois.Et il y a 2 semaines nouveau coup sur la tĂŞte : sa banque menaçait de lui retirer sa carte et son chĂ©quier si le compte n’Ă©tait pas renflouer. LĂ j’ai pĂ©tĂ© les plombs, j’ai comblĂ© le trou de son compte en dynamitant le mien et le pire c’est qu’il a fallu que je l’emmène prendre son avion (5 heures de route) mais je lui ait bien prĂ©ciser qu’il faudrait qu’elle se dĂ©brouille pour le retour car je serais au boulot et que j’avais perdu assez d’argent comme ça.Nouvelle promesse de sa part et nous nous quittons en froid.Son sĂ©jour durait normalement 15 jours et nous n’avons pratiquement pas eu de contact. L’avant-veille de son retour, je reçois un sms me disant qu’elle restait 15 jours de plus et d’aller la chercher Ă l’aĂ©roport car elle n’a trouvĂ© personne et qu’elle ne veut pas prendre le train et surtout le RER et le mĂ©tro.Je l’ai aussitĂ´t appelĂ© et ça s’est très mal passĂ©, je lui ai annoncĂ© mon intention de rompre car je n’en pouvais plus, on s’est bien engueulĂ©s, on s’est dit des choses horribles et j’ai raccrochĂ©.Puis m’est venu une idĂ©e, j’irais la chercher, il faudrait 5 heures pour revenir, je connaissais la route par cœur car je la faisais souvent pour mon taf et je connaissais un endroit bien particulier pour faire une halte. J’imaginais un plan pour me venger. Je sentais que j’allais bien m’amuser !!!Le jour venu je suis Ă l’aĂ©roport, la voilĂ qui arrive !DĂ©cidĂ©ment, elle est toujours aussi bandante, pas grande 1m60, une jolie poitrine (85c), mince (47 kg) et surtout un cul bien bombĂ© qui attire la main de l’honnĂŞte homme. D’ailleurs je ne suis pas le seul Ă la mater, les hommes et mĂŞme certaines femmes se retournent sur son passage.Il faut dire qu’elle porte un petit haut qui dĂ©nude ses Ă©paules bronzĂ©es et qui dessine parfaitement sa poitrine ferme en soulignant l’absence de soutien-gorge, le tout complĂ©tĂ© par une jupe courte (mi-cuisse) que je ne connaissais pas.Je crois connaĂ®tre le but de cette tenue vestimentaire, se doutant que les retrouvailles allaient ĂŞtre « difficiles » et connaissant mon goĂ»t pour le sexe et son corps, elle avait mis tous les atouts de son cotĂ©.Je prends sur moi et retenant une envie de la prendre lĂ , tout de suite, je l’accueille très froidement, lui faisant part de toute ma rancœur. Ce qui est bien chez elle c’est qu’elle ne s’est pas laissĂ© dĂ©monter et qu’Ă la fin elle criait plus que moi.Moi, j’avais mon idĂ©e en tĂŞte et je lui ai carrĂ©ment exposĂ© mes envies : je lui expliquais que nous allions nous sĂ©parer un certain temps car je n’en pouvais plus, ne lui laissant pas le temps de me couper, je lui dis que j’avais malgrĂ© tout encore envie d’elle et que nous nous arrĂŞterions sur la route du retour et que c’Ă©tait Ă prendre ou Ă laisser.Soit elle acceptait, soit je la laissais lĂ et elle se dĂ©brouillait pour rentrer chez elle.Sur le coup elle ne me croit pas et me dit que c’est une forme de prostitution.Comme tu veux lui rĂ©pondis-je et je m’Ă©loigne.Attends !! OĂą vas-tu ? Tu ne vas pas me laisser lĂ Si ! Tu as entendu ce que je viens de te dire, c’est oui ou non !!Jamais j’aurais cru ça de toi !C’est parce que j’Ă©tais trop bon et trop con. Maintenant ça change. Alors que fais-tu ?Un blanc….. Puis voyant que je reste inflexibleBon d’accord mais je te prĂ©viens tu me le paieras, après tu ne me toucheras plus !!Je ne rĂ©ponds pas et me dirige vers le bus qui va nous ramener au parking ou nous attend la voiture.Une fois sur la route et tant que l’on n’est pas sorti de la rĂ©gion parisienne il règne un silence de plomb, la circulation est intense et je suis très occupĂ© par la conduite, mais ça ne m’empĂŞche pas de jeter des regards sur les cuisses largement exposĂ©es (la jupe est remontĂ©e très haut) et sur les seins qui ballotent doucement au grĂ© des imperfections de la route.Une fois la rĂ©gion parisienne derrière nous, je sors de l’autoroute pour prendre l’ancienne nationale.Que fais-tu ?
Je te l’ais dit, on va faire une petite halte
C’est pas vrai !! Tu as rĂ©servĂ© un hĂ´tel ? T’as vraiment bien montĂ© ton coup !
Tu verras, (avec un grand sourire) ne sois pas impatiente !!
Salaud !!Domptée elle se cale dans son siège et fait mine de regarder le paysage.Je continue ma route et comme la circulation est bien fluide, je pose ma main droite sur sa cuisse, elle sursaute Ah non ne me touche pas !
Oh mais si je vais te toucher, tu te laisses faire ou bien j’arrĂŞte la voiture et tu continues Ă pieds, avec ta tenue tu devrais trouver rapidement quelqu’un pour t’emmener, par contre oĂą ça je sais pas !!
Salaud
Tu te rĂ©pètes mon angelĂ -dessus je continues Ă caresser ses jolies gambettes puis ma main s’aventure sur un sein dont le tĂ©ton pointe Ă travers le petit haut. Est-ce la colère ou l’excitation ?Plusieurs kilomètres passent et nous arrivons vers le lieu que je connais.Ma belle est surprise Que fais-tu ? OĂą va-t-on, il n’y a rien ici
Mais si il y a un petit bois très agrĂ©able, on sera très bien, tu connais mes gouts j’aime bien baiser en plein airJe fais exprès d’utiliser des mots qui la choque, une fois bien la voiture arrĂŞtĂ©e, je me tourne vers elle : Tu vas me sucer comme on faisait autrefois, obĂ©is sinon je te laisse lĂ Voyant ma dĂ©termination elle s’exĂ©cute, elle se penche sur moi dĂ©fais ma ceinture, dĂ©grafe mon jeans et sors ma bite.Au moment de l’emboucher, elle se redresse et regarde autour de la voitureTu es sĂ»r qu’il n’y a personne ?
Regarde ! Tu vois quelque chose ? Il n’y a rienSur ce elle se penche Ă nouveau et cette fois elle m’avale entièrement.J’apprĂ©cie la caresse et me laisse pomper pendant quelques minutes puis je lui lance : En quoi ça te gĂŞnes, souviens toi quand tu m’as sucĂ© alors qu’un mec nous matait dans les dunes, c’est toi mĂŞme qui me l’a dit avant que tu te jettes sur ma bite
Ou bien quand tu m’installais sur le fauteuil dans ton salon, tu me suçais et on Ă©tait juste derrière la baie vitrĂ©e, exposĂ©s Ă la vue de tout l’immeuble d’en face. Y en a qui ont du se rĂ©galer, surtout que j’en profitais pour relever ta jupe et te caresser les fesses.
!!!
Tu dis rien, rappelle-toi encore quand un type nous avait suivi avec son cyclo, il nous avait d’abord surpris sur le parking de la plage, lĂ encore tu me suçais (t’adorais ça Ă l’Ă©poque) et il avait vu ta tĂŞte monter et descendre derrière la vitre de la voiture, le repĂ©rant, on Ă©tait parti en forĂŞt pensant ĂŞtre tranquilles. Puis soudain je l’avais aperçu cachĂ© derrière un arbre, quand je t’ai prĂ©venu tu n’as pas arrĂŞtĂ© ta fellation, au contraire tu as pris ma main pour la poser sur ta tĂŞte et tu as posĂ© l’autre sur ton petit cul. Bien entendu j’ai relevĂ© ta mini robe et bien exposĂ© ta croupe au voyeur. Ensuite je t’ai prise en levrette sous le regard de notre « invitĂ© » en ayant pris soin de mettre tes seins Ă nus. Tu as jouis très fort et moi aussi
C’Ă©tait il y a longtemps !!De nouveau elle abaisse sa tĂŞte et elle reprend son sacerdoce
ArrĂŞtes lui dis-je, on va modifier le jeu
Quoi ?
Enlèves tes fringues !
Ça va pas !!
ObĂ©is !Pendant qu’elle enlève ses vĂŞtements, je passe Ă l’arrière de la voiture, et je sors une boite de sous le siège.Qu’est-ce que c’est ?
Regarde c’est pour toiAprès m’ĂŞtre saisis de ses fringues, j’exhibe une paire de menottes et un bandeau Il est hors de question que je participe Ă tes jeux de pervers
C’est comme tu veux !! Et je la sors de la voiture Elle se retrouve juste vĂŞtue d’un tanga, puis elle comprend que je ne lâcherais pas.Docilement elle rentre d’elle-mĂŞme Ă l’arrière de la voiture, je lui fais mettre elle-mĂŞme le bandeau sur les yeux, puis je la positionne Ă quatre pattes sur la banquette arrière, je lui fais mettre une menotte Ă son poignet gauche, je lui fais passer la chaine derrière la patte de la banquette et refermer l’autre menotte sur son poignet droit.La voilĂ bien attacher, les yeux bandĂ©s, elle est complètement Ă ma merci. Le spectacle est sublime, les menottes l’obligent Ă se pencher en avant ce qui fait que son cul est bien cambrĂ© et Ă peine couvert par le tanga blanc.J’en profites pour palper ses seins qui pendent doucement, l’attrapant par les cheveux, je relève sa tĂŞte et enfourne mon sexe bandĂ© au fond de sa gorge, je prends sa bouche comme si c’Ă©tait un sexe, dans sa position elle ne peut que subir, c’est le dĂ©but de ma vengeance.D’une autre boite je sors des jolis bijoux de seins vibrants que je m’empresse de fixer sur les tĂ©tons pendant qu’elle continue sa fellation.Sortant de la bouche gourmande, je contourne la voiture en laissant la porte ouverte. ArrivĂ© de l’autre cĂ´tĂ©, j’ouvre l’autre porte et la saisit par les hanches, Cambres toi, plus !!!En voyant ce petit cul je ne peux me retenir et j’applique une bonne fessĂ©e, surprise elle pousse un cris.ArrĂŞtes !Ne tenant absolument pas compte de ses supplications, je continue ma fessĂ©e puis Ă©cartant le tanga je m’enfonce brutalement dans sa chatte. LĂ , surprise !! Elle est trempĂ©e et surtout je vois que son minou est Ă©pilĂ©, il reste juste un petit triangle de poils parfaitement taillĂ©, je suis Ă©bahi !!!Je ressors aussitĂ´t et j’approche mon visage :C’est nouveau ça ! Depuis quand tu te fais Ă©piler, quand je t’en parlais tu ne voulais pas
Chez ma fille, tu sais qu’il y a une piscine dans la rĂ©sidence, et quand j’ai voulu mettre un maillot je me suis aperçue que je les avais oubliĂ©s en mĂ©tropole, alors elle m’a prĂŞtĂ©e un des siens mais il Ă©tait plus petit que les miens et je voyais les poils, ce n’Ă©tait pas beau. Alors ma fille m’a indiquĂ© un salon pour me faire Ă©piler.
En tout cas c’est bien entretenu, alors que tu savais que tu revenais, c’est curieux, ce ne serait pas plutĂ´t Ă cause du gars qui vous a aidĂ© pour monter les meubles de ta fille. C’est bien un ancien lĂ©gionnaire et je crois qu’il te trouvait fort Ă son goĂ»t. C’est ce que tu disais dans tes mess Ă ton arrivĂ©e. En plus tu restes 15 jours de plus, ça ne te ressembles pas.
Ne te fais pas de film et terminons en je ne tiens pas Ă ĂŞtre vue dans cette position
Tu me raconteras ton sĂ©jour en dĂ©tails, je pense qu’il y aura bien des surprises mais on verra ça quand on aura fini nos galipettes, et ne crois pas que tu y Ă©chapperas je ne te libèrerais que lorsque tu m’auras tout dit.Sur ces bonnes paroles, je plonge mon visage entre les deux globes de chair, au plus profond du sillon, nouvelle surprise, ma petite salope mouille abondamment, j’ai l’impression qu’elle aime se faire un peu bousculer.LĂ elle va ĂŞtre servie !!Je lèche sa petite chatte toute juteuse, j’aspire le dĂ©licieux nectar, je mordille son clito, elle se trĂ©mousse, mon index glisse sur le renflement de son petit trou, je sais qu’elle aime ça.Aaaahhhhh
Je vois que ton petit cul est toujours aussi sensible
Hhhummm continues !Je n’en reviens pas de sa soudaine docilitĂ©, est-ce le fait d’ĂŞtre entravĂ©e et d’avoir les yeux bandĂ©s, j’avais toujours soupçonnĂ© chez elle un petit cĂ´tĂ© exhib, voire peut ĂŞtre un peu de soumission.Je tenais enfin ma vengeance !! mais avant de vous raconter la suite, laissez-moi vous expliquer ma petite manip.L’endroit oĂą je nous avais conduit, je le connaissais bien, depuis 2 ans exactement, un jour que je revenais de Paris et comme j’avais bossĂ© toute la nuit, j’avais envie de me reposer et je cherchais un coin assez isolĂ© pour pouvoir faire une bonne sieste. Je venais de le trouver.J’ai dormi une bonne heure et c’est une envie pressante qui m’a rĂ©veillĂ©e, je suis sorti de mon vĂ©hicule et j’ai cherchĂ© un coin discret. Il y avait un chemin qui s’enfonçait dans les bois et j’ai vu une voiture arrĂŞtĂ©e, un jeune homme se tenait Ă cotĂ© et regardait dans l’habitacle.Je me suis approchĂ© par curiositĂ©, bingo un couple Ă©tait en train de s’envoyer en l’air, sous le regard du voyeur.Je n’ai pas voulu les troubler et je me suis Ă©cartĂ© pour les laisser finir, je suis retournĂ© Ă ma voiture et j’ai grillĂ© une petite cigarette, je n’avais pas envie de repartir tout de suite, j’Ă©tais bien lĂ .Quelques minutes plus tard j’entends un bruit de moteur et voilĂ la voiture du couple qui s’en va, la femme est en train de se rajuster, ils me font un petit signe en partant puis je vois le « voyeur » qui arrive Ă son tourSalut, c’Ă©tait sympa le spectacle
Slt Oui c’Ă©tait super
Ça arrive souvent ici ?
Ceux-lĂ ils viennent souvent, le mardi et le jeudi, ils sont sympas et me laissent regarder mĂŞme qu’une fois la nana m’a sucĂ©
Veinard surtout qu’elle a l’air mignonne
Oui super bonneLa dessus je l’avais laissĂ© et quand il m’arrivait de repasser par lĂ j’avais une pensĂ©e pour ce petit jeune et j’espĂ©rais que le couple lui avait accordĂ© de plus grandes faveurs.Tout cela m’Ă©tait revenu, parce que le jour de l’arrivĂ©e de ma future ex-femme tombait un mercredi et j’entrevoyais un plan machiavĂ©lique.J’Ă©tais parti la veille et comme on Ă©tait mardi, j’espĂ©rais trouver le jeune homme dans le bois. Quand j’arrive, coup de chance la voiture est lĂ , portières ouvertes et le jeune voyeur (environ 17 ans) en train de se caresser devant le visage de la femme.A nouveau je m’esquive discrètement pour les laisser finir. Ce qui m’intĂ©resse c’est de parler au jeune homme.Il se passe bien une bonne demi-heure avant que le couple ne reparte, puis le jeune homme arrive Ă son tour.Bonjour, tu me reconnais ?
Ah oui, on avait discuté du couple
C’est ça ! Dis-moi pourrais-tu te trouver ici demain en fin de matinĂ©e
Ben oui ! Mais pourquoi ? Eh je suis pas pédé moi
Rassure-toi moi non plus !! Mais j’aurais besoin de toi, et crois-moi tu le regretteras pas
Comment ça ?
T’aimes bien mater hein !
Oh oui !
Alors soit lĂ demain et tu vas ĂŞtre servi, je compte sur toi
Ok j’y serais
Mais surtout tu t’avances que lorsque je te ferais signe, compris c’est important
Ok comprisLĂ -dessus j’Ă©tais parti Ă Paris chercher ma femme.Je pense que vous commencez Ă entrevoir le dĂ©nouement Donc ce mercredi matin, nous sommes lĂ , la voiture enfoncĂ©e dans le chemin, portières ouvertes, ma douce nue Ă part un petit tanga, Ă quatre pattes sur la banquette, menottĂ©e et les yeux bandĂ©s.
Le spectacle est magnifique et j’en profites pour filmer avec ma camĂ©ra en m’arrangeant pour qu’lle entendes le bruit de la mise en route.Que .. que fais-tu ?
Tu as bien entendu, je fais un petit film pour mes longues soirĂ©es d’hiver
Non tu n’as pas le droit
J’ai tous les droits, tu sais pourquoi : j’ai les mains libres et toi tu es attachĂ©e et Ă ma disposition.Sur ce je pose mes mains sur ses hanches et après avoir posĂ© la camĂ©ra dans un endroit stratĂ©gique, je m’enfonce dans sa chatte ruisselante.Je regarde autour de moi et joie : j’aperçois le petit jeune, je lui fais signe d’approcher doucement et sans bruit.Alors que le gamin s’approche sans bruit, je sors de la boite ou se trouvaient les bijoux de seins et je sors un plug, ainsi qu’un gode un peu particulier.Pendant que je pilonne ma chĂ©rie, je positionne le plug sur son petit œillet et l’enfonce doucementRĂ©action immĂ©diate : aiieee oh non arrĂŞtes !!
Laisses toi faire salopepuis je me penche vers elle et saisissant le gode je le fais pénétrer dans sa bouche.mmmhhhggllluuub
Suces bien ma belle, tu vois je te prends par tous les trous Ă moi tout seulCe gode est particulier, court mais d’un diamètre impressionnant, il lui empli complètement la bouche et distend ses mâchoires, de plus afin que la « victime » ne puisse le recracher il dispose d’une courroie qui permet de l’attacher derrière le crane, je m’empresse de la fixer.VoilĂ le boulot, ma chĂ©rie en levrette, menottĂ©e, un gros gode rempli sa bouche, un plug dilate son anus et mon sexe va et vient dans sa chatte, le film va ĂŞtre gĂ©nial.Au dĂ©but de ces trois pĂ©nĂ©trations la miss regimbe puis fini par accepter sa situation et mĂŞme de l’apprĂ©cier Ă en croire la mouille qui coule de sa chatte dilatĂ©e, mĂŞme son petit trou suinte autour du plug, mine de rien elle est en train de prendre un giga pied.Il y en a un autre qui prend son pied, c’est mon jeune voyeur, il se caresse frĂ©nĂ©tiquement, ceci me donne la possibilitĂ© de voir son sexe et je me rends compte qu’il est plutĂ´t bien pourvu. Ses yeux sont exorbitĂ©s, je vois qu’il meure d’envie de poser ses mains sur le corps dĂ©nudĂ© de ma petite salope.De nouveau je me penche Ă son oreille : Je crois que j’ai entendu du bruit
hhhuuummmmm
Que dis-tu ? Ah oui tu veux que je te libère
hhhhhuuuummmm
Je crois que j’aperçois quelqu’un !! ah oui c’est un petit jeune homme qui approcheMa chĂ©rie gigote dans tous les sens, essaie de se libĂ©rer, puis vaincue s’immobilise
Bonjour, jeune homme vous faites une petite balade, venez admirer le paysage
Bonjour Msieudame
Sois pas timide, approche, regarde une belle salope, je peux te dire qu’elle prend son pied, tiens soupèse un sein, il est beau hein ??
Oh oui dit-il en empoignant le sein gauche,
Attends, enlève d’abord le bijou de sein et après tu pourras triturer son tĂ©ton elle adore !!!
Ma chĂ©rie, dommage que tu ne vois rien, notre jeune ami est, disons, très bien montĂ©Nouveaux mouvements dĂ©sordonnĂ©s, ses seins ballotent au grĂ© de ses mouvements ce qui ne laissent pas indiffèrent son peloteur.Moi pour ma part je continue Ă m’activer puis j’ai une autre envie, je m’empresse d’en faire part Ă ma chĂ©rie.J’ai envie de ton cul ma belle et je pense que notre jeune ami aimerait bien se faire sucer, alors je vais libĂ©rer ta bouche.Je dĂ©tache la courroie, elle recrache aussitĂ´t le gode et au moment oĂą elle veut crier, le jeune lui enfonce sa bite dans la bouche jusqu’Ă la garde et lui maintient la tĂŞte fermement.Eh bien il est pressĂ© le jeunotSur ces paroles, je prends le gode et l’introduit dans la chatte bouillonnante puis je pose mon gland sur le petit trou et doucement mais fermement je pousse, millimètre par millimètre je vois le gland disparaĂ®tre progressivement dans l’anneau distendu.A travers son bâillon de chair la belle crie son dĂ©saccordNooooffffppphhhHĂ©las pour elle nous la tenons fermement, lui par les cheveux tout en lui pistonnant la bouche et moi par les hanches afin de pouvoir terminer mon intromission dans son petit cul bien serrĂ©.En regardant le tableau que nous faisons, je sens monter en moi une irrĂ©pressible envie, ma bite Ă©tant maintenant complètement enfoncĂ© dans l’Ă©troit canal, j’entame Ă mon tour de vigoureux coups de reins, je vois mon « collègue » de baise accĂ©lĂ©rer lui aussi, et presque ensemble nous envoyons de puissants jets de foutre.Je vois du sperme couler du sphincter dilatĂ© et en regardant plus haut je vois que la belle n’a pas pu tout avaler et que d’abondantes coulĂ©es de sperme Ă©pais macule son visage.Au lieu de recracher le sexe encore bandĂ© du jeune homme, la belle continue de pomper la belle bite, puis entreprend de la nettoyer Ă grands coups de langue.En fin de compte je croyais m’ĂŞtre vengĂ©, mais je pense plutĂ´t que je lui ait offert un superbe cadeau, tant elle a semblĂ© apprĂ©cier se faire prendre par 2 belles queues.Ce qui s’est passĂ© pendant son sĂ©jour chez sa fille, je vous le raconterais prochainement !!!VENGEANCE (SUITE)Le petit jeune (il avait en fin de compte 19 ans), une fois bien pompĂ© et nettoyĂ© par ma douce nous quitta en me remerciant au moins 10 fois.Ma chĂ©rie avais promis de me raconter ce qui s’Ă©tait passĂ© pendant son sĂ©jour, mais hĂ©sitait un peu et je compris pourquoi Ă la fin de son rĂ©cit.Pour ĂŞtre sĂ»r qu’elle me raconterait tout je ne l’ai pas libĂ©rĂ©e, et c’est menottĂ©, agenouillĂ©e et les yeux bandĂ©s qu’elle me raconte tout. Et lĂ je faillis avoir une attaque !!!!Mais pour que ce soit plus facile c’est elle qui va tout vous raconter.Au mois d’aout je suis parti chez ma fille qui vit dans les dom, je devais y passer 15 jours mais Ă la suite d’un concours de circonstance je suis restĂ©e 1 mois.Lors de mon dĂ©part il y a eu une crise avec mon homme si bien que nous nous sommes quittĂ©s un peu en froid. Je passe sur le vol, arrivĂ©e Ă destination, ma fille est lĂ avec mes petits-enfants.Un peu fatiguĂ©e par la durĂ©e du vol, je passe la 1° journĂ©e avec ma petite famille, le lendemain les enfants ont Ă©cole et ma fille travaille (profession libĂ©rale), si bien que je passe la journĂ©e tranquille et comme il fait très chaud je pense que je vais aller Ă la piscine de la rĂ©sidence.Je file dans ma chambre pour mettre un maillot et je m’aperçois que je les ais oubliĂ©s en mĂ©tropole.J’appelle ma fille Ă son bureau et lui explique mon problème.ChĂ©rie j’ai oubliĂ© mes maillots, peux-tu m’en prĂŞter un ?
Oui, regarde dans mon armoire et choisis en unJe regarde dans l’armoire et effectivement je trouve plusieurs maillots dont un qui me plait beaucoup. Il est blanc, le soutient gorge qui est un push up pigeonnant fait ressortir la poitrine, en fin il ne la fait pas ressortir, il l’offre carrĂ©ment. Le bas est en fait un mini string ficelle qui ne cache vraiment que l’essentiel. S’ il y a des hommes ils vont flipper. C’ est un vĂ©ritable pousse au crime.C’est un ensemble magnifique et comme ma fille a les mĂŞmes mensurations que moi (85C) et taille 36 voire 34, il me va comme un gant.A une exception près : je ne me suis pas Ă©pilĂ©e et c’est vraiment pas classe !!.Nouveau coup de fil Ă ma fille pour une adresse d’Ă©pilation.Le temps d’appeler, rendez-vous est pris pour le dĂ©but d’après-midi. ArrivĂ©e au salon une charmante mĂ©tis m’installe dans une cabine et me demande ce que je souhaite.Le maillot s’il vous plait,
Vous voulez une totale ou vous souhaitez autre chose
???
Oui vous souhaitez une Ă©pilation intĂ©grale ou vous voulez par exemple : un petit cœur, un ticket de mĂ©tro ou ??
Un triangle oui je voudrais juste un petit triangle, ce sera plus facile Ă entretenir qu’un cœur.
Bien madame, je vais m’occuper de vous. DĂ©shabillez-vous !J’obtempère, et la jolie mĂ©tisse se met Ă l’ouvrage. Je ne suis pas très habituĂ©e Ă ce qu’une femme s’occupe de ma petite chatte mais je dois avouer qu’elle s’y prend bien et je me surprends Ă apprĂ©cier ses mains qui parcourent mon intimitĂ©. Petit Ă petit les poils disgracieux disparaissent et bientĂ´t il reste un petit triangle de poils très courts. La jolie mĂ©tisse passe un baume apaisant sur toute la zone Ă©pilĂ©e et ses gestes se font caresses, puis elle me met en garde :Attention petite madame, il ne vaut mieux pas faire des galipettes ce soir, ça va ĂŞtre sensible.
Pas de risque, je viens juste d’arriver et Ă part ma fille je ne connais personne et surtout pas d’homme.
On ne sait jamais.Tout ça dit avec l’accent crĂ©ole. Mais par contre son massage a failli me donner un orgasme, moi qui ne suis absolument pas attirĂ©e par les femmes, ses caresses m’ont rendue toute chose.Elle me tend sa carte et me dit :Reviens quand tu veux ma chĂ©rie, j’aurais toujours un moment pour m’occuper de ta petite chatteJe rougis comme une collĂ©gienne, et me sauve presque en courant.En arrivant Ă la rĂ©sidence, j’ai repris mes esprits, dĂ©cidĂ©ment mon sĂ©jour commence bien, le lendemain de mon arrivĂ©e je me fais draguer par une femme. Ma fille aurait pu me prĂ©venir elle doit bien le savoir si ça se trouve elle s’est fait draguer elle aussi.Comme sa vie amoureuse est proche du zĂ©ro, d’après elle, j’espère qu’elle n’a pas succombĂ©, cette petite mĂ©tisse Ă l’air très experte. Il faudra que j’Ă©claircisse cela.SitĂ´t dans l’appartement et vu la chaleur, je me change et j’enfile le maillot de bain qui m’ a fait craquer ce matin, je me trouve super canon et je suis très fière de mon corps pour mon âge, en plus il n’y a plus ces poils disgracieux !!Je descends et me rend Ă la piscine, il n’y a personne vu l’heure, les gens doivent travailler et les enfants sont Ă l’Ă©cole.Je m’installe sur ma serviette juste au bord de la piscine et je ne tarde pas Ă m’endormir. Un toussotement me rĂ©veille, un homme s’installe de l’autre cĂ´tĂ© du bassin et voyant que je suis rĂ©veillĂ©e il me salue.Je lui rends son salut et je le regarde d’un peu plus près. C’est un bel homme, dans la cinquantaine mais très bien conservĂ©, cheveux bouclĂ©s, grisonnant et plutĂ´t baraquĂ©.Voyant que je le regardais il se lève et vient vers moi en souriant :Bonjour, je m’appelle Jo mais je n’ai pas l’honneur de vous connaĂ®tre, vous ĂŞtes nouvelle dans la rĂ©sidence ?
Bonjour, je m’appelle Myriam, je suis en vacances chez ma fille : Sarah … vous la connaissez
Sarah ! Bien sĂ»r, vous ĂŞtes sa maman, je n’en reviens pas, j’aurais plutĂ´t dis sa sœur !!
C’est gentil !
C’est sincère !!Je voyais son regard posĂ© sur moi, il dĂ©taillait chaque courbe de mon corps mais je ne sentais aucune perversitĂ© dans son regard.Tout en me reluquant sans gĂŞne, il m’annonce qu’il va prendre un petit bain. Puis il plonge et nage un crawl parfait. Il fait plusieurs longueurs puis sort de l’eau et se sèche.En se sĂ©chant il continue de me regarder avec un lĂ©ger sourire, puis il s’approche :Je suis enchantĂ© d’avoir fait votre connaissance et je pense que l’on se reverra très bientĂ´t
Tout le plaisir a Ă©tĂ© pour moi !! Ă bientĂ´t.Il va bientĂ´t ĂŞtre 17 h, je quitte Ă regret la piscine, juste au moment oĂą ma fille arriveTiens tu es lĂ
Oui je m’apprĂŞtais Ă remonter
Ah je vois que tu as pris ce maillot, tu as toujours aussi bon goĂ»t ! Mais mĂ©fie-toi c’est un vĂ©ritable appel au viol. D’ailleurs je ne le mets jamais ici, je le prends uniquement quand je vais au club.
Je comprends mieux pourquoi ton voisin me regardait !
Quel voisin ?
Je crois que c’est humm oui c’est ça : Jo un beau quinqua bien foutu tu le connais bien ?
Et il t’as vue dans ce maillot, je crois qu’il va pas tarder Ă se manifester !!!Elle me dit tout ça en riant, Ă©tonnĂ©e je la questionne :Qu’est-ce que tu veux dire ?
C’est lui qui doit me donner un coup de main pour les meubles, tu sais je t’avais dit qu’un voisin ancien lĂ©gionnaire devait m’aider, eh bien c’est lui et je suis sĂ»r que maintenant qu’il te connait, on va le voir dès ce soir.Elle avait raison, nous sommes parties chercher les filles Ă leurs cours de danse et au retour, Jo Ă©tait lĂ et nous attendait.bonjour Sarah, re bonjour Myriam,
Oui, maman m’a dit que vous aviez fait connaissance !
J’ai aperçu une sirène en allant Ă la piscine, c’est comme ça que j’ai rencontrĂ© ta ravissante maman
flatteur lui lançais je, quand mĂŞme un peu gĂŞnĂ©e.Il Ă©tait venu pour savoir quand il pouvait monter les meubles, et insista pour venir dès le lendemain, comme j’Ă©tais lĂ , Sarah accepta son offre.Quand il est sorti, je me suis adressĂ©e Ă Sarah :Tu aurais pu me demander mon avis quand mĂŞme ! Maintenant il va me scotcher
C’est de ta faute aussi, porter ce maillot !!
Si il faut porter une burqa pour aller à la piscine ça promet !
En riant : mais non porte le ce maillot et je pense qu’il va y avoir de nombreux pères qui vont accompagner leurs enfants !!La soirĂ©e s’est passĂ©e tranquillement.Le lendemain Ă la première heure, Jo est lĂ et toute la journĂ©e il va monter les meubles et nous en avons profiter pour faire connaissance.Il voulait tout savoir de ma vie, je lui en dis un peu, mais j’Ă©vitais les questions trop perso.Par contre lui me dit tout de sa vie, c’Ă©tait un ancien lĂ©gionnaire (gradĂ©), divorcĂ© et qui faisait des petits boulots pour s’occuper. Il me fĂ©licita pour mon physique, me disant que je devais ĂŞtre sportive et surtout, Ă ma grande satisfaction, il me donnait presque 10 ans de moins.Bref nous avons bien sympathisĂ©, il s’est mĂŞme proposĂ© pour me servir de guide car je lui avait fait part de ma dĂ©ception : cela fait mon 3° sĂ©jour chez ma fille et je ne connais toujours pas son pays.AussitĂ´t il me promet qu’il va s’occuper de ça. Puis on continue le montage des meubles, si bien que le soir venu je ne pense plus Ă sa promesse.Plusieurs jours se passent au grĂ© de la bronzette, balades en ville et restos. Je m’occupe de mes petites filles, bref les vacances !!!Le deuxième jour, en prenant l’apĂ©ro, Sarah me dit :Tu sais que tu as des admirateurs dans l’immeuble !!!
??
il y a Jo ça tu le savais dĂ©jĂ , mais il y a aussi Simon, c’est un policier et j’ai vu comment les honorables pères de famille te regardaient en douce.
Pourtant je ne fais rien pour les exciter et je te fais remarquer que je n’ai plus remis ton maillot.
Pour Simon, comme il est cul et chemise avec Jo, je suppose qu’ils ont dĂ» parler ensemble.Donc Ă partir de ce moment j’ai fait plus attention, je ne voulais pas que ma fille ait des ennuis Ă cause de moi. Je ne pensais pas Ă Jo et Simon mais surtout aux pères de famille, ne voulant pas semer la zizanie dans les couples. Surtout que je m’entendais bien avec les jeunes femmes de la rĂ©sidence.Dans la semaine j’ai fait la connaissance de Simon, Sarah l’avait invitĂ© (par son activitĂ©, elle a souvent affaire Ă lui et Ă ses collègues), je dĂ©couvrais un bel homme, aussi baraquĂ© que Jo, grand brun au sourire charmeur, un peu plus jeune, je dirais entre 40 et 45 ans.Je pense qu’il Ă©tait attirĂ© par Sarah, ou peut-ĂŞtre mĂŞme qu’il y avait eu quelque chose entre eux, lĂ aussi il fallait que je sache. La soirĂ©e a Ă©tĂ© très sympa Simon nous charmait toutes les deux et j’avoue que nous Ă©tions très rĂ©ceptives l’une comme l’autre, se faire draguer ouvertement par un bel homme, quelle femme ne craquerait pas !!!Mon sĂ©jour Ă©tait idyllique, bien mieux que les prĂ©cĂ©dents, Jo me guidait pour me faire visiter la ville et des coins que l’on ne trouvent pas dans les guides touristiques mais je me sentais en sĂ©curitĂ© avec lui et j’apprĂ©ciais son comportement respectueux envers moi, mĂŞme si je surprenais souvent son regard sur moi.Un midi, quand je rejoins Sarah pour un petit resto entre filles, elle m’annonce que Jo ne m’ayant pas vu ce matin l’a appelĂ©e :Sarah, pouvez-vous vous libĂ©rer samedi, toi et ta maman ?
Je pense oui ! Les filles seront chez leur père, pourquoi ?
Eh bien ta mère m’a dit qu’elle ne connaissait pas le pays en dehors de la ville, alors je me suis dĂ©brouillĂ© et j’ai prĂ©vu une remontĂ©e du fleuve, dĂ©part tĂ´t samedi, remontĂ©e du fleuve et retour le soir. Tu peux avoir confiance, je connais bien le fleuve et je ne vous ferais pas prendre de risques, ta maman devrait apprĂ©cier.
Oh oui je pense qu’elle va aimer, elle me reproche continuellement de ne rien lui faire visiter.
Oui, on sera quatre
Ah bon qui sera le quatrième ?
Je pense que ça va te plaire, il y aura Simon, je l’ai prĂ©venu, tu penses qu’il Ă©tait partant !!!Je vois que Sarah est partante elle aussi et je repense Ă la promesse que Jo m’avait fait et que j’avais oubliĂ©. Moi aussi je suis toute remuĂ©e par cette perspective, 2 bels hommes pour nous servir, hhhuuummm miam miam !!!Nous nous regardons toutes les deux soudain très complices.Le jour du dĂ©part, Jo et Simon viennent nous chercher et nous filons vers le fleuve. Je ne suis pas très rassurĂ©e Ă la vue du fleuve, l’eau est boueuse et il y a un fort courant. Ce n’est pas la vue du bateau qui me rassure, enfin bateau : c’est plutĂ´t une grosse pirogue qui ne me paraĂ®t pas très stable. Voyant mon expression les deux hommes me rassurent
Ne t’inquiètes pas c’est une excellente pirogue et pour aller ou on va c’est le meilleur bateau, les indiens s’en servent depuis des siècles et surtout on sait bien s’en servir l’un comme l’autre, on ne vous ferait pas prendre de risques.Un peu rassurĂ©e j’aide Ă charger les quelques bagages prĂ©vus (pique-nique, boissons un peu de matĂ©riel de secours, selon eux il faut toujours prĂ©voir une ou deux toiles de tente et des rechanges au cas oĂą il y aurait un problème, ce n’est pas ce qui me rassure le plus. Sarah elle aussi se veut rassurante :Ce sont des pro, je suis dĂ©jĂ allĂ©e avec eux il n’y a rien Ă craindre, tu vas voir on va passer une bonne journĂ©e et n’oublie pas que nous sommes bien entourĂ©es !!Au moment oĂą nous finissons de charger les derniers bagages, le tel de Sarah sonne, c’est sa secrĂ©taire, catastrophe, il y a un gros pĂ©pin, il faut qu’elle retourne Ă son bureau.DĂ©solĂ©e, Sarah doit nous laisser, je ne veux plus partir sans elle, les hommes sont catastrophĂ©s, Sarah m’ordonne de partir avec eux : Vas-y, tu m’as assez cassĂ© les pieds en me disant que je ne te faisais jamais rien voir, en plus c’est pour la journĂ©e
(Discrètement) je vais être seule avec ces deux hommes tu te rends compte !
Tu ne crains rien avec eux, ils connaissent le fleuve et la forĂŞt parfaitement et ce sont des gars biens, ils ne vont pas te violer, je suis dĂ©jĂ aller avec eux et je suis revenue saine et sauve et ma vertu avec.Je finis par me rendre Ă ses arguments et au soulagement de mes deux chevaliers servants je dis ok.La journĂ©e est fantastique, je ne sais plus ou porter mon regard, le fleuve serpente au milieu de la forĂŞt, Ă chaque mĂ©andre du fleuve c’est diffĂ©rent, de nombreux animaux Ă©voluent, invisibles pour ceux qui ne connaissent pas la forĂŞt. Mais mes guides m’apprennent Ă deviner leur prĂ©sence. En fin de compte, la vie grouille sous le feuillage, des cris retentissent partout, on entend des bruissements, des animaux rampent…. c’est fascinant.En milieu de journĂ©e, nous nous arrĂŞtons pour le pique-nique dans une petite clairière Ă une centaine de mètres du fleuve.Les deux hommes ne savent pas quoi faire pour m’obliger, ils sont adorables mĂŞme si je surprends toujours leurs regards sur mon anatomie, mais bizarrement je me sens en complète sĂ©curitĂ©.De plus pour cette balade sur le fleuve et en forĂŞt, il Ă©tait hors de question de s’habiller sexy, il faut avant tout des vĂŞtements pratiques. Ça m’a fait drĂ´le au dĂ©part, je m’habille toujours très fĂ©minine, limite sexy, il vaut mieux faire envie que pitiĂ©. Mais lĂ c’est impossible.Si bien que vraiment je me sens bien avec mes deux hommes pour moi toute seule.Vers 16h, hĂ©las, il faut penser au retour, Ă 18h30 maxi la nuit tombe et il vaut mieux ĂŞtre sorti de la forĂŞt.Je regarde la forĂŞt et le fleuve, je prends des photos car je sais que je ne reviendrais pas de sitĂ´t, pendant une heure je mitraille Ă tout va, n’oubliant pas de photographier Jo et Simon..Nous allons bientĂ´t arriver lĂ oĂą nous avons pique-niquĂ© tout Ă l’heure, il me semble reconnaĂ®tre les lieux, au mĂŞme moment le moteur se met Ă cafouiller et finit par s’arrĂŞter. C’est quand mĂŞme pas le coup de la panne !! Mais non Ă voir leurs tĂŞtes je sens bien qu’il y a un problème !!Jo arrive Ă guider le bateau jusqu’au rivage c’est bien l’endroit de ce midi.Les hommes commencent Ă vĂ©rifier le moteur, il se passe un long moment puis Jo finit par dire c’est foutu pour ce soir, j’appelle mon mĂ©canicien.Au bout de 10 mn, il rĂ©ussit Ă avoir le garage et Ă parler avec Thomas son mĂ©canicien, il lui explique notre problème, Thomas voudrait bien nous aider mais il est dĂ©jĂ en dĂ©pannage et ne pourra rentrer que dans 1 heure, plus 3 heures pour nous rejoindre, c’est pas possible il fera nuit depuis longtemps dĂ©jĂ .Il nous demande de passer la nuit sur place, sachant que nous sommes Ă©quipĂ©s, et demain il devrait arriver vers 10 h pour essayer de rĂ©parer ou nous remorquer.Comprenant que nous devons passer la nuit dans la forĂŞt, je m’affole on ne va quand mĂŞme pas dormir ici, dis-je en montrant la pirogue Ă©chouĂ©e
non me rĂ©pond Jo, on va aller dans la clairière ou nous Ă©tions ce midi, c’est plus sĂ»r.
Il faut que je prĂ©vienne Sarah ? Passe-moi ton telJ’appelle Sarahcoucou ma puce c’est maman,
Ah maman alors !! Vous ĂŞtes arrivĂ©s, cette journĂ©e comment c’Ă©tait
C’Ă©tait gĂ©nial, mais par contre on a un problème, le moteur est en panne et on est obligĂ© de passer la nuit en forĂŞt, je suis morte de peur !!!
(En riant) ne t’affoles pas, avec Jo et Simon tu es entre de bonnes mains, ils connaissent la forĂŞt et toi qui voulait un peu de piment, tu es servie, ils sauront s’occuper de toi. Je discerne dans ses derniers propos comme un sous-entendu, lĂ encore il faudra que j’Ă©claircisse çaMais pour l’instant il faut que l’on monte le campement, les deux hommes font des navettes pour emporter tout le matĂ©riel du bateau jusqu’Ă la clairière. Les tentes sont montĂ©es autour d’un feu de bois.Tu peux mettre tes affaires dans celle-ci, me dit Jo, en me dĂ©signant la plus petite des deux, nous on prendra la grande avec le matĂ©riel.
D’accord, dis-je.Une fois le feu bien pris et une bonne rĂ©serve de bois empilĂ©e Ă cĂ´tĂ©, la nuit tombe très vite et je commence Ă prendre conscience de l’endroit oĂą nous nous trouvons. La forĂŞt est tout autour de nous, menaçante, sombre, je sens la peur de l’inconnu !Puis je prends conscience des odeurs, en journĂ©e elles sont prĂ©sentes mais avec tout ce qu’il y a Ă voir, elles n’ont pas cette intensitĂ©, odeurs de pourriture vĂ©gĂ©tale, odeurs de la forĂŞt, puis les bruits : les insectes, les feulements des fauves en chasse, des cris d’agonie, tout ça me saute Ă la figure dès que la nuit est tombĂ©e.Après avoir dinĂ© frugalement nous discutons un peu, je sens que mes compagnons essaient de me rassurer, mais moi la citadine je n’en mène pas large.Enfin il est l’heure de dormir, je rentre dans ma tente et je prends soin de bien la fermer. il faut Ă©viter de laisser le moindre passage Ă toutes les bestioles qui vivent ici (araignĂ©es serpents etc …) brrrrr j’en ai la chair de poule.Après m’ĂŞtre dĂ©shabillĂ©e, j’enfile ma nuisette, c’est bien moi ça : emporter une nuisette au fond de la forĂŞt, quelle idĂ©e !!, pour ma dĂ©fense je ne pensais pas passer la nuit en forĂŞt.Je suis allongĂ©e depuis une ½ heure, jusqu’ici j’entendais mes compagnons discuter Ă voix basse mais depuis 2 Ă 3 minutes plus aucun bruit ne parvient de leur tente, ils ont du se coucher. Si je n’entends plus rien de leur part, par contre une multitude de bruits me parvient de la forĂŞt autour de nous, j’essaie de me raisonner mais au fil des minutes l’angoisse monte. Soudain quelque chose frĂ´le ma toile de tente, lĂ je panique et j’appelle Jo, pas de rĂ©ponse, j’appelle Simon, lĂ non plus pas de rĂ©ponse, j’essaie de nouveau Jo, enfin il me rĂ©pond :
Myriam qu’y a t’il ?
J’ai peur, quelque chose a essayĂ© de pĂ©nĂ©trer dans ma tente. Je voudrais aller avec vous je ne vais jamais pouvoir dormir seule.
Bon ok
Viens me chercher je n’ose pas sortir !!
J’arriveDès qu’il arrive, je m’empresse de le suivre, il fait nuit noire, seul le feu perce un peu les tĂ©nèbres menaçantes.Dans ma hâte, je ne me suis pas rendu compte que j’Ă©tais en nuisette, lĂ je bĂ©nis la nuit noire, mes deux hommes ne le verront pas.
Il n’y a pas beaucoup de place me dit Jo, vient te mettre entre nous deux on va se serrer
Alors le petit métro, tu as la trouille toute seule dans le noir se moque Simon
Moques toi, n’empĂŞche que j’ai cru qu’une bestiole voulait entrer dans ma tente
Ça devait être un jaguar, il chasse la nuit
quoiii c’est pas vrai !!
Mais non je plaisante, ne t’inquiètes pas ici tu es en sĂ©curitĂ©, allez maintenant dodo !!Nous sommes allongĂ©s tous les trois, je suis un peu plus rassurĂ©e et je sens que je vais finir par m’endormir.Malheureusement il n’en n’est pas de mĂŞme pour les 2 hommes, je les sens qui bougent, se retournent, maugrĂ©ent, si bien qu’Ă la fin je leur demande ce qu’ils ont :Qu’y a t-il ? Vous ne dormez pas !
(C’est Jo qui me rĂ©pond) ben non on n’y arrivent plus
Pourquoi, vous n’avez plus sommeil ?
C’est pas ça ! Mais le fait qu’on soit tous les trois dans le lit, moi perso ça me trouble
Je vais retourner dans ma tente, tant pis je ne dormirais pas, mais je ne vous gĂŞnerais plus !!
Tu ne nous gĂŞnes pas, bien au contraire !! hein Simon !!
Exact ce que dit Jo, je suis d’accord avec lui
Ben alors ???
(Jo) tu comprends, le fait que tu sois lĂ entre nous, en plus je me souviens de toi en maillot, alors … tu comprends, on est des hommes.Brutalement, je comprends et je m’affole :Eh !! vous n’allez pas me violer quand mĂŞme !
Ça va pas !! comment peux-tu penser ça, on est pas des saints mais on a jamais violer une femme.
J’ai eu peur
On te comprend, n’empĂŞche que l’on arrive plus Ă dormirIl se tourne vers moi en me disant cela, et involontairement je sens une masse dure contre ma main droite.Je sursaute, comprenant ce que c’estouhh , je vois, c’est moi qui te fais cet effet ?
Qui veux-tu que ce soit !La situation est en train de m’Ă©chapper, je sens une boule de chaleur envahir mon corps et presque malgrĂ© moi je pose ma main sur l’Ă©norme bosseArrĂŞtes ou je ne vais plus me maitriser
Elle est Ă©norme !!!Simon, qui a compris ce qui se passait, saisi mon autre main et la pose Ă son tour sur son short, je sens la mĂŞme protubĂ©rance que chez Jo, j’en ai le souffle coupĂ©.Oui, c’est ça ma belle, vas-y !!
Vous ĂŞtes fous, tous les deux, je je….Je ne peux finir ma phrase, une boule de chaleur explose dans mon ventre, la nuit, la forĂŞt, les bruits partout autour de nous, je perds pieds.Sous le tissus des shorts je sens palpiter deux colonnes de chairs, je n’arrive pas Ă retirer mes mains, les deux lascars s’en rendent compte, et en cœur, ils baissent les fermetures Ă©clairs de leurs shorts, libĂ©rant ainsi deux Ă©normes pieux raides.Ils sont Ă©normes, mes mains n’en font pas le tour loin de lĂ !!C’est bien, vas y branle nous, doucement, doucement ! On a le temps !A mon corps dĂ©fendant, mes mains commencent un lent mouvement sur les deux grosses bites, je fais coulisser la peau, mes doigts descendent le long de la hampe puis viennent caresser les couilles gonflĂ©es.J’ai un Ă©clair de luciditĂ©, je suis en train de me comporter comme une salope, au fin fond de la forĂŞt, je suis allongĂ©e en nuisette et tanga entre deux hommes que je ne connaissais pas il y a seulement quelques jours, et en plus je suis en train de les masturber sans qu’ils ne m’aient forcĂ©e.Je serais tĂ©moin d’une telle scène, je traiterais la fille de pute. En l’occurrence, la pute c’est moi !! et non seulement je n’ai aucun regret, mais en plus je mouille comme une salope.Jo et Simon l’ont bien compris et deviennent nettement plus entreprenant :Tiens on dirait que notre petite Myriam aime tenir des grosses bites dans ses mains !!!
oui mon Simon, je pense que l’on va passer un bon moment.
Tu vas voir ma belle, on va bien s’occuper de toi, pour commencer, enlèves donc ta nuisetteSur ce, ils prennent chacun un bout de ma nuisette et l’a font remonter doucement, bientĂ´t elle passe au-dessus de mes hanches, puis très vite ce sont mes seins qui sont dĂ©nudĂ©s et enfin la nuisette est jetĂ©e dans un coin de la tente.AussitĂ´t deux mains caressent mes seins gonflĂ©s, triturent mes tĂ©tons, les font rouler entre deux doigts, tirent dessus.Je gĂ©mis car je suis extrĂŞmement sensible des seins, et les caresses que me prodiguent Jo et Simon, m’enflamment.Voyant que je rĂ©agis, les deux lascars amplifient leurs caresses mammaires et conjointement je sens leurs deux autres mains descendre vers mon ventre.Pendant ce temps, je n’ai pas lâchĂ©e leurs bites gonflĂ©es, j’accĂ©lère mes mouvements, mais, craignant peut ĂŞtre d’exploser trop vite, ils me font lâcher prises.Jo prend place entre mes jambes qu’ils relèvent et sa tĂŞte descend dans la fourche de mes cuisses. Il me jette un regard puis enfouis son visage entre mes cuisses qu’il maintient largement Ă©cartĂ©es, je sens son souffle sur mon intimitĂ©, puis sa langue entame une sarabande sur ma fente qui s’humidifie très rapidement.
Simon pendant ce temps caresse mes seins puis c’est sa bouche qui se pose sur un tĂ©ton, l’aspire, le mordille, le suce, je sens de l’Ă©lectricitĂ© traverser ma poitrine !! j’ai toujours Ă©tĂ© très sensible des seins et ils ont tout de suite trouvĂ© mon point faible.Sous la dĂ©charge d’Ă©lectricitĂ© mon corps se cambre, Jo en profite pour introduire un puis deux doigts dans ma chatte ruisselante, je pousse un cri sous l’effet de la jouissance qui surprend les deux lascars.Ils ne s’attendaient pas Ă une telle rĂ©action, et une fois la surprise passĂ©e j’entends leurs commentaires salaces.Eh dis donc mon vieux Jo, notre petite mĂ©tro Ă l’air de prendre son pied on dirait !!!
ooohh oui, c’est une vrai inondation, ma main est trempĂ©e, elle est vraiment chaude cette petite salope.
Je ne suis pas une salope !! je mmmuuummmphhhhJe ne peux finir ma phrase, Simon lâchant mon sein, m’embrasse Ă pleine bouche pendant que ses mains malaxent ma poitrine et pincent mes tĂ©tons durcis.Je manque dĂ©faillir, un nouvel orgasme monte dans mon ventre qui, lui, est fouillĂ© par les doigts de Jo.Soudain Jo retire ses doigts de ma fente, il saisit mes jambes et les remonte vers mon visageSimon, tiens lui les jambesSimon interromps son baiser et saisit mes chevilles et je me retrouve avec mes genoux au niveau du visage ce qui fait que je suis totalement offerte au regard des deux hommes.Simon s’adresse Ă moi :Maintiens tes jambes relevĂ©es, ma belleEn disant cela il caresse ma fesse droite, je ne comprends plus rien Ă ma rĂ©action, je devrais hurler, rabaisser mes jambes et remettre ces deux malotrus Ă leurs places, au lieu de cela, je maintiens mes jambes le plus haut possible et j’attends leurs caresses.Je n’ai pas Ă attendre longtemps, Jo le mieux placĂ©, pose ses mains Ă plat sur l’intĂ©rieur de mes fesses et les Ă©carte encore plusRegarde ça mon Simon, elle mouille tellement que ça coule jusque dans son petit trou du cul, c’est super, elle va ĂŞtre bien lubrifiĂ©eSur ces paroles, il pose son pouce sur mon œillet qui palpite doucement, le masse dans un mouvement circulaire, remonte Ă ma fente d’oĂą s’Ă©chappe un flot de cyprine, il fait aller et venir son pouce entre mes lèvres puis le ramène devant mon petit trou et appui doucement.Pendant une fraction de seconde il ne se passe rien puis le pouce est comme aspirĂ© et Jo reprend ses mouvements de va et viens dans mon fondement. MalgrĂ© moi je pousse un gĂ©missement d’autant plus que Simon vient de s’attaquer Ă mon clito qui pointe hors de son capuchon, je sens ensuite deux doigts s’insinuer dans ma chatte baveuse, le pouce sort de mon fondement mais est très rapidement remplacĂ© par deux doigts qui s’enfoncent de plus en plus loin dans mon anatomie.Je gĂ©mis sans discontinuerRegarde-moi ça, elle mouille de plus en plus, mĂŞme son cul est trempĂ©, je vais lui mettre un troisième doigt
Vas-y dilate lui bien son petit cul !! Ça va être sa fête
oooohhhhh, arrĂŞtez je vous en priiiiieeeee !!! ouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiJe me sens partir, la jouissance Ă©clate dans mon corps, je hurle mon plaisir, Jo me branle cul de plus en plus vite, Simon quant Ă lui s’est relevĂ©, il passe au-dessus, s’agenouille juste au-dessus de ma tĂŞte et me prĂ©sente sa bite Ă sucer.MalgrĂ© la jouissance qui me submerge, je ne peux m’empĂŞcher d’Ă©carquiller les yeux devant la taille de son sexe, il est Ă©norme, long large, jamais je ne vais pouvoir le prendre en bouche !!!Ouvre bien grand ta bouche ma jolie, tu vas bien me sucer, t’aimes ça, hein !! sucer une grosse bite !!Je devrais hurler, je dĂ©teste la grossièretĂ©, mais je me contente d’ouvrir ma bouche pour avaler le gland. La manœuvre est compliquĂ©e je suis obligĂ©e de me distendre les mâchoires pour finir par emboucher le gros champignon.Je ne pensais pas qu’elle allait y arriver !!Ma bouche est complètement remplie, je ne peux mĂŞme pas bouger la langue et pourtant Simon essaie de s’enfoncer encore plus loinFais gaffe, tu vas lui pĂ©ter les mâchoires, vas doucement rigole Jo, tout en continuant Ă me doigter l’anusJe ne peux plus Ă©mettre aucun son, soudain Jo retire ses doigts de mon anus dilatĂ© puis prenant son sexe en main (mon dieu il est aussi imposant que celui de Simon), il pose le gland devant mon petit trou.J’essaie de me libĂ©rer mais Simon maintient ma tĂŞte et continue d’enfoncer son pieu dans ma bouche Ă©cartelĂ©e.Jo, lui, n’a qu’une idĂ©e en tĂŞte :Tiens la bien, je vais lui exploser le cul Ă cette petite pute !!
nnnooonnnngggghhhhhh oooorrrggghhhhh !!!!!le gland tente de forcer le passage, pendant deux Ă trois secondes je sens une pression Ă©norme sur mon anneau, puis celui-ci lâche brutalement et le gland violacĂ© s’engouffre dans l’Ă©troit conduit.MalgrĂ© le bâillon de chair qui obstrue complètement ma bouche je pousse un hurlement de douleur, j’ai l’impression qu’un fer rouge fouille mes entrailles, pendant quelques instants la douleur est si vive que je pleure Ă chaudes larmes.Voyant cela Simon arrĂŞtes de pistonner ma bouche et apostrophe Jo
oooohhhh Jo, va doucement!!Tu es trop grosJo Ă©coutes Simon et ne bouge plus, son gland reste quand mĂŞme enfoncĂ© dans mon petit trou qui est maintenant totalement dilatĂ©.Ma bouche est grande ouverte sur un cri silencieux ce qui incite Simon a m’enfoncer de nouveau sa queue jusqu’Ă la glotte.Soudain, Jo se retire de mes reins, je n’ai pas le temps de me rĂ©jouir qu’il m’a dĂ©jĂ saisi par les hanches et retournĂ©e comme une crĂŞpe, dans le mouvement la bite de Simon s’est Ă©chappĂ©e de ma bouche.Je me retrouve Ă quatre pattes en moins de temps qu’il n’en faut, Jo saisit ma taille, puis ses mains se posent sur mes fesses et les Ă©cartent largementPutain quel cul !!!Sur ces paroles, il enfonce deux doigts dans le petit trou. Sous le coup de la brutale intrusion je pousse un cri aussitĂ´t interrompu par l’envahissement de ma bouche par la verge de Simon qui n’attendait que ça.(Simon) mmmhhuuummm quelle suceuse !!
(Jo) oui !! On voit qu’elle aime la bite, je lui reprends le cul et après on change
(Simon) oh oui tu vas voir c’est la reine de la pipe, c’est encore meilleur qu’avec sa fille !!C’est bien ce que je pensais, il a dĂ©jĂ couchĂ© avec ma fille, je ne peux plus penser au fait que je sois en train de sucer l’amant de ma fille, car Jo profite de mon instant de relâchement, retire ses doigts de mon cul, et me sodomise profondĂ©ment.MalgrĂ© le bâillon de chair je pousse un tel hurlement que mĂŞme la forĂŞt se tait.La douleur est abominable, le sexe s’est enfoncĂ© d’au moins 15 cm dans mon rectum, j’ai l’impression qu’il m’a ouverte en deux, prudemment Simon a retirĂ© son sexe de ma bouche, pendant des secondes qui me paraissent une infinitĂ©, je ne sens plus qu’une intense brulure, puis petit Ă petit la douleur diminue mais pas la sensation de chaleur, qui, elle, reste très forte.De moi-mĂŞme j’avance ma bouche et happe la grosse bite en face de moi, et tout en la pompant goulument je me mets Ă onduler doucement des hanches, puis je recule imperceptiblement pour m’empaler encore plus sur l’Ă©norme queue.Voyant ma bonne disposition, Jo me claque violemment les fesses, puis les pĂ©tris Ă pleines mains tout en me sodomisant comme un soudard.(Jo) petite salope, t’aimes ça hein, te faire dĂ©foncer, tiens prends ça !!!
(Moi) ouiiiiiiii, vas y encule moi, plus fort !!!!
(Simon en m’enfournant sa queue dans la bouche) suce moi bien salope !! Il s’enfonce tellement loin dans ma gorge que je manque de vomir, ils sont dĂ©chainĂ©s !! les claques pleuvent et les injures aussi.Moi qui ne supporte pas les gens grossiers, je mouille sous les injures et les claques, je deviens une vraie chienne.
J’entends les deux hommes se concerter : (Simon) allez on change, j’ai envie de gouter Ă ce jolie petit cul
(Jo) super, j’ai envie de me faire sucer par cette belle bouche
(Moi) et moi j’ai peut-ĂŞtre mon mot Ă dire !!!
(Simon et Jo en chœur) toi tais-toi ouvre la bouche et suces !!!ils me prĂ©sentent tous les deux leurs deux bites que j’avale successivement, je ne me reconnais plus, sucer Simon, pas de soucis, mais sucer le sexe de Jo qui sort de mes fesses, ça non !! je refuse.Une paire de gifle, puis Jo, profitant du faĂ®t que j’ouvre la bouche pour protester force mes lèvres :Tu vas me sucer salope !! Ouvre ta petite gueule !!MatĂ©e, j’ouvre mes lèvres et engloutit le pieu de chairSimon passe derrière moi, saisit mes hanches, se positionne et me sodomise aussi sauvagement que Jo tout Ă l’heure, sauf que maintenant le passage est fait, le cri que je pousse n’est plus de douleur mais de jouissance et est très vite Ă©touffĂ© par le bâillon de chair.A partir de ce moment les deux compères se dĂ©chainent, je deviens leur jouet sexuel, ils me prennent dans tous les sens, m’enculent sauvagement puis me donnent leurs bites Ă sucer, prennent ma chatte et mes fesses en mĂŞme temps, je jouis sans discontinuer.A un moment il m’a semblĂ© entendre le portable de Simon sonner mais je ne me souviens plus de rien. C’est Simon qui m’a racontĂ© après coup.Son portable a effectivement sonnĂ©, c’Ă©tait Sarah ma fille qui venait aux nouvelles et comme nous Ă©tions en pleine action elle s’est inquiĂ©tĂ©e des bruits qu’elle entendait. Simon, enivrĂ© par la situation, s’est lâchĂ© :Oui Sarah, ne t’inquiètes pas on fait un peu la fĂŞtependant qu’il lui parlait, de sa main libre il m’infligeait des claques sonores sur les fesses et ma bouche occupĂ©e a pomper la bite de Jo produisait des clapotis très bruyants.(Sarah) mais que faites-vous ??
(Simon) devines !!
(Sarah) Ohh j’y crois pas !!, passe-moi maman
(Simon) ce n’est pas possible, elle est occupĂ©e
(Sarah) passe la moi je veux lui parler
(Simon en riant) pas possible je te dis, elle ne peut pas te parler, elle a la bouche pleine !!! Si tu veux je t’envoie des photos, tu vas ĂŞtre surprise
(Sarah) ??? Que racontes tu ??
(Simon) tu vas recevoir les photos
(Jo) Sarah, ta maman suce divinement bien !!!Simon a raccrochĂ©, je n’arrive pas Ă imaginer la rĂ©action de Sarah, j’espère qu’elle n’aura pas entendu.. AussitĂ´t après avoir raccrochĂ©, Simon a pris plusieurs photos, alors que je ne me suis rendu compte de rien, submergĂ©e par la jouissance que me procuraient les deux mâles.Sur la 1° on voyait mon visage en gros plan et ma bouche dĂ©formĂ©e par un sexe Ă©norme Ă moitiĂ© enfoncĂ©. Mes yeux grands ouverts fixaient l’objectif, et pourtant je ne me souviens de rien.Sur la 2° on voyait un cul cambrĂ©, deux mains posĂ©es sur les fesses et un autre Ă©norme sexe presque entièrement enfoncĂ© dans la rondelle dilatĂ©e.Sur la 3°, la vue Ă©tait de Âľ arrière et on voyait le sexe pratiquement sorti du cul pommelĂ©, puis on apercevait les seins qui ballotaient et enfin on distinguait le cotĂ© de mon visage dĂ©formĂ© par la bite qui Ă©tait enfoncĂ©e dans ma bouche. Mon visage Ă©tait dĂ©gagĂ© car une main relevait mes cheveux pour que l’on puisse bien me reconnaĂ®tre.Je ne m’Ă©tais rendue compte de rien et quand Simon m’a racontĂ© ça, Ă un moment oĂą ils m’accordaient une pause, j’ai cru dĂ©faillir.(Moi) tu n’as quand mĂŞme pas envoyĂ© ces photos Ă ma fille
(Simon) mais si, tu sais qu’elle se doutait bien que l’on s’occuperait bien de toi, elle m’avait mĂŞme encouragĂ© !!
(Moi) ohhh non !! Quelle horreur, que vas t’elle penser de moi ???
(Simon) elle va penser que sa mère est une grosse salope, comme elle !! eh oui on s’est occupĂ© d’elle comme de toi aujourd’hui, d’ailleurs on a pas fini avec toi !!Sur ces paroles, ils m’ont saisi et ont recommencĂ© Ă se servir de mon corps comme bon leur semblait, au bout de plusieurs minutes je leurs demandais d’arrĂŞter car mon sexe et mon anus me brulaient Ă force de pĂ©nĂ©tration et de jouissance.(Simon et Jo) ok alors tu vas nous pomper Ă fond ma belle, tu vas nous faire cracher notre jus et tu vas tout avaler, t’as compris ???je ne rĂ©pondis pas, me contentant de pomper consciencieusement les deux gros dards, pendant que je suçais, leurs mains me palpaient, pinçaient les bouts de mes seins, les faisaient rouler, malaxaient mes fesses rougies par les fessĂ©es successives, puis appuyaient sur ma nuque pour que leurs bites rentrent complètement dans ma bouche aux mâchoires distendues.Je subis ce traitement pendant de longues minutes et enfin je sentis leurs sexes se contracter alors ils m’ordonnèrent de me positionner Ă genoux face Ă eux et d’ouvrir grand ma bouche.Ils posèrent leurs glands sur mes lèvres et ensemble ils lâchèrent de gĂ©nĂ©reuses salves d’un sperme Ă©pais, crĂ©meux et odorant.Une bonne partie fila dans ma gorge, je m’empressais d’avaler le prĂ©cieux nectar, le reste s’Ă©talait sur mon visage, dans mes cheveux, mon cou et coulait mĂŞme sur ma poitrine.Les deux hommes m’ordonnèrent de les lĂ©cher et pendant que je m’exĂ©cutais, je surpris Simon faisant de nouvelles photos de mon visage couvert de sperme avec les deux bites qui se faisaient lĂ©cher en Ă©talant le sperme sur mon visage.Quand tout fut fini je suppliais Simon d’effacer les photos.(Simon) trop tard beautĂ© !!! Sarah doit se dire en regardant ces photos que sa petite maman est une coquine qui aime beaucoup la bite. ah ah ah !!!
(Jo) ça je confirme !!! On m’a rarement sucĂ© comme ça et j’adore ton petit cul Ă©troit, c’est divin !!
(Moi) Que vas t’elle penser de moi ?? Pourvu que les petites ne voient pas ça !!
(Simon) je t’ai dĂ©jĂ dit qu’elle se doutait que tu Ă©tais très « hot », le seul dommage c’est qu’elle ne soit pas venue, on se serait bien marrĂ©s tous les quatre
(Jo) oh oui, ç’aurait Ă©tĂ© chouette de se faire sucer par la mère et la fille en mĂŞme temps, je suis certain que notre petite Myriam aimerais partager nos bites avec sa fille chĂ©rie.MalgrĂ© moi, en entendant ces paroles, je ne peux m’empĂŞcher d’imaginer la scène, ma fille et moi entièrement nues livrĂ©es aux caprices de ces deux obsĂ©dĂ©s. A ce moment-lĂ , j’Ă©tais loin de me douter que la scène que j’Ă©tais en train d’imaginer allait rĂ©ellement avoir lieu quelques jours plus tard.Sur ces pensĂ©es Ă©rotiques, nous avons fini par nous endormir. La nuit fut assez courte car le matin nous nous sommes levĂ©s de bonne heure pour attendre le dĂ©panneur.Vengeance finJe n’Ă©tais pas en grande forme, j’avais mal partout et particulièrement Ă mon petit culJe n’osais pas regarder mes deux compères pendant que nous prenions le cafĂ©, eux par contre semblaient très Ă l’aise et me dĂ©taillaient sans vergogne.(Simon) tu es encore plus belle le jour, ma chĂ©rie, nous avons passĂ©s une nuit fabuleuse !!
(Moi) je t’en prie, ne raconte ça Ă personne et surtout pas Ă Sarah
(Simon) rappelle-toi qu’elle doit avoir reçu les photos !! et je vais te dire un petit secret : elle m’avait demandĂ©e de te draguer, si possible avec le concours de Jo.
(Moi) quoi, que dis-tu ???
(Simon) tu as bien compris, je crois que ta fille chĂ©rie a voulu te compromettre un peu, c’est pour cette raison qu’elle a voulu que je prenne des photos.
(Moi) ce n’est pas possible !! que me veut elle ?
(Simon) ça je ne pourrais pas te le dire, demande lui tout Ă l’heure quand nous arriverons car j’entends Thomas mon dĂ©panneur qui arrive.Effectivement, le dĂ©panneur arrive, voyant qu’il ne peut pas rĂ©parer sur place, il tend une remorque et nous ramène vers la ville.J’apprĂ©hende le moment oĂą je vais me retrouver en face de ma fille, je vais mourir de honte !!A l’arrivĂ©e j’aperçois Sarah qui nous attend sur le ponton et c’est avec un grand soulagement que je vois les petites qui sont avec elle, cela repousse le moment des explications.(Moi) Bonjour Sarah, bonjour les filles !
(Les filles) Bonjour mamie !!!
(Sarah) bonjour alors enfin de retour !!!
(Simon et Jo) salut les filles !!Après les embrassades, nous rĂ©cupĂ©rons mes bagages et nous prenons congĂ©s des hommes. Dans la voiture, sur le trajet du retour, les petites me questionnent sur ma petite escapade, je leur rĂ©ponds afin de ne pas laisser de « blanc » dans la discussion.Sarah ne prend pas part Ă la discussion et je vois son regard se poser sur moi Ă la dĂ©robĂ©e, je suis mal Ă l’aise. Enfin, après une demi-heure nous arrivons Ă la rĂ©sidence.Au moment oĂą nous rentrons dans l’appartement, les filles se prĂ©cipitent dans leurs chambres pour jouer nous laissant en tĂŞte Ă tĂŞte.(Sarah) on va devoir discuter toutes les deux
(Moi) certainement, expliques moi pourquoi tu as demandée à Simon de prendre des photos et de me draguer, alors que tu couches avec lui
(Sarah) tu peux jouer les grandes dames, tiens regarde les photos !!Elle me montre les photos, je rougis violemment, elles sont vraiment très hard !!(Sarah) tu pourrais jouer dans un porno, j’aurais dĂ» lui dire de faire un filmLĂ je vois rouge, sans rĂ©flĂ©chir je gifle ma fille qui pousse un oh de stupĂ©faction, des larmes perlent Ă ses yeux et du coup j’Ă©prouve un sentiment de culpabilitĂ© et je la prends dans mes bras.(Moi) excuses moi ma chĂ©rie, je ne voulais pas, je suis dĂ©solĂ©e, pardonne moi
(Sarah en reniflant) on en reparlera ce soir quand les petites seront couchĂ©esNous avons sĂ©chĂ©es nos larmes respectives, la journĂ©e s’est dĂ©roulĂ©e sans autres incidents. Le soir venu, après avoir couchĂ© les enfants, Sarah vient me rejoindre(moi) peux-tu m’expliquer tout ce cirque
(Sarah) ne me fais pas la morale, tu as vu les photos !!
(Moi) on ne va pas recommencer
(Sarah) oui tu as raison, j’ai voulu te piĂ©ger car je t’en veux toujours
(Moi) encore !! Ma fille m’en voulait car quand elle Ă©tait jeune, je l’avais laissĂ©e en garde chez mes parents car Ă l’Ă©poque j’Ă©tais divorcĂ©e et je vivais avec un homme qui ne voulait pas d’enfants. Cette situation avait durĂ©e plusieurs mois et ma fille l’avait très mal vĂ©cu et depuis m’en voulait terriblement.Enfin de lĂ Ă monter un tel scĂ©nario, j’en Ă©tais estomaquĂ©e !!(Moi) que vas-tu faire de ces photos ?
(Sarah) je ne sais pas encore !! je verrais cela à la fin de ton séjour !!
(Moi) tu ne vas pas les montrer Ă JJ (c’est mon mec actuel)
(Sarah) c’est Ă toi de jouer, il faudra que tu sois persuasive !!!
(Moi) ma chĂ©rie, je t’en supplie ne fais pas ça
(Sarah) eh bien il faudra que tu retournes en forĂŞt avec Simon et Jo, je vous accompagnerais
(Moi) quoi, que veux-tu dire par lĂ ?
(Sarah) tu as compris, tu retournes dans la forĂŞt, je crois que les hommes n’en n’ont pas fini avec toi, et je veux voir ça en vrai !! Et ce n’est pas nĂ©gociable, compris ma petite maman chĂ©rie
(Moi vaincue) d’accord tu es la plus forteLe reste de la semaine se passe normalement, j’essaie de faire plier Sarah mais rien n’y fait, elle reste inflexible et semble prendre un grand plaisir Ă me dominer. J’Ă©tais loin de me douter de ses projets Ă mon encontre.Jo et Simon, Ă la demande de Sarah ont organisĂ© un nouveau voyage sur 2 jours et la veille après avoir confiĂ© les enfants Ă leur père nous nous prĂ©parons pour le dĂ©part de bonne heure le lendemain matin.7 heures, le chargement terminĂ© nous grimpons dans une pirogue et dĂ©part pour la forĂŞt.Les hommes sont tout heureux de me revoir, et semble très contents que ce soit Sarah qui soit Ă l’origine de ce voyage et surtout qu’elle soit elle aussi prĂ©sente. Je ne sais pas ce qu’ils ont mijotĂ©s tous les trois, mais je me doute que je vais en faire les frais.Sur la pirogue, Simon et Sarah sont cĂ´te Ă cĂ´te et s’embrassent goulument, Jo pilotant la pirogue me demande de me rapprocher et aussitĂ´t je sens sa main libre se poser sur mon Ă©paule et glisser vers ma poitrine.Je sens sa main soupeser un de mes seins puis il approche sa bouche de mon oreille :(Jo) on va passer un bon moment tous les quatre.
(Moi) que veux-tu dire ?
(Jo) chut, tu verras !!! Il termine sa phrase par un petit rire sardonique qui me laisse un peu inquiète.
A midi, nous dĂ©jeunons au mĂŞme endroit qu’il y a 8 jours, je discerne encore les traces de notre campement, tout un tas de souvenirs me reviennent en mĂ©moire !!! Sarah s’approche et me glisse Ă voix basse :(Sarah) alors c’est lĂ que tu t’es fait sauter
(Moi) ne me parle pas comme ça, je suis ta mère quand même
(Sarah) c’est la vĂ©ritĂ© !!, ça te gènes ? Pourtant d’après les garçons tu as bien pris ton pied, il paraĂ®t que tu as jouis comme une salopeJe suis abasourdie, ma fille me compare Ă une salope alors que c’est elle qui est Ă l’origine de cette aventure.Une fois le repas terminĂ©, nous repartons et de nouveau je suis sous le charme de la nature qui nous entoure, cette fois nous allons plus loin car le voyage est prĂ©vu sur 2 jours, nous prenons un autre bras du fleuve et nous arrivons en fin d’après-midi Ă un village composĂ© de quelques cases.(Simon) voilĂ , on va s’arrĂŞter lĂ pour la nuit, j’ai rĂ©servĂ© une case Ă la sortie du village, on sera tranquille (il a un sourire plein de sous-entendus) tout en ayant un minimum de confort. Douche, toilettes …
(Jo) ce soir un repas est prévu avec tous les habitants puis après danses locales, ça vous dit les filles ?
(Sarah et moi) oh oui gĂ©nial, on va s’amuser Nous nous installons, un peu de repos, une bonne douche puis nous sommes prĂŞts tous les 4 et nous nous dirigeons vers la case centrale.Il y a dĂ©jĂ du monde, les villageois hommes et femmes nous souhaitent la bienvenue.A ma grande surprise, les femmes ne sont vĂŞtues que d’un pagne qui laisse leur poitrine Ă l’air, les hommes aussi portent un pagne. Parmi eux je remarque un jeune homme, il est un peu diffĂ©rent des autres hommes, plus grand et très musclĂ©, c’est un vĂ©ritable athlète et mĂ©tissĂ©.Je m’aperçois que Sarah l’a remarquĂ© aussi, elle me regarde et sourit(Sarah) mmhhhhuuumm pas mal !!
(Moi) oh oui qu’il est beau !!
(Sarah) tu te verrais bien dans ses bras !!
(Moi) oohhh !! non j’ai dĂ©jĂ fait assez de bĂŞtises depuis que je suis ici, je n’y comprends rien j’ai toujours envie
(Sarah) c’est le climat, il paraĂ®t que ça agit beaucoup sur nous les femmes !! alors qu ‘en dis-tu ? C’est un beau mâle, imagines toi avec lui et les garçons !!!
(Moi) tais-toi !! ça me rend toute chose rien que d’y penser, allons, cessons ces pensĂ©es salaces et allons faire la fĂŞte !!!
La soirĂ©e a Ă©tĂ© merveilleuse, le repas, uniquement des produits locaux, est dĂ©licieux puis vient le moment des danses, très vite nous sommes invitĂ©s par les indigènes, les garçons sont tirĂ©s par les femmes et les jeunes filles, Sarah et moi passons entre les bras de tous les hommes et forcĂ©ment un moment je me retrouve dans les bras du beau mĂ©tis, je savoure l’instant puis Sarah me pousse pour prendre ma place.La soirĂ©e se dĂ©roule comme dans un rĂŞve, avec Sarah nous passons de cavalier en cavalier et au fur et Ă mesure que la soirĂ©e passe, certains se montrent de plus en plus entreprenants, des mains s’attardent sur notre anatomie, mes fesses sont souvent malaxĂ©es quand le danseur rĂ©ussit Ă m’entrainer dans un coin plus obscur, le mĂŞme traitement est appliquĂ© Ă ma fille, il faut dire que nous avons toutes les deux la mĂŞme croupe callipyge ce qui Ă l’air d’attiser les mâles prĂ©sents, mĂŞme le beau gosse, qui au dĂ©but semblait intimidĂ©, prends mes globes fessiers en mains et au moment oĂą nous arrivons dans une zone d’ombre, il glisse ses mains sous ma robe et caresse directement mon petit cul Ă peine protĂ©gĂ© par un string.J’arrive Ă lui faire lâcher prise et je nous ramène dans la lumière. Ce contact m’a mis le feu aux joues et je change de cavalier, Sarah s’empresse de prendre ma place en me faisant un grand sourire.Les heures passent, il est temps de se coucher, nous retrouvons les garçons. Ils sont bien Ă©nervĂ©s, les filles ont dues les chauffer, une grosse bosse dĂ©forme leurs shorts, nous ne sommes pas encore arrivĂ©s Ă la case qu’ils ont dĂ©jĂ glissĂ©s leurs mains sous nos vĂŞtements ….. mon dieu, je sens que la nuit va ĂŞtre agitĂ©e. (je ne croyais pas si bien dire)Au moment oĂą nous rentrons dans la case, Sarah me glisse Ă l’oreille :(Sarah) regarde, notre beau mĂ©tis nous a suiviEffectivement j’aperçois le beau mâle, il s’est arrĂŞtĂ© Ă quelques pas de la case et s’est installĂ© sur une pirogue retournĂ©e.(Moi) tu crois qu’il va attendre toute la nuit ?
(Sarah) je pense qu’il se doute que notre nuit va ĂŞtre longue, et qu’il voudrait bien en profiterLa dessus les garçons nous saisissent et nous entrainent dans la « chambre », rapidement nous sommes dĂ©shabillĂ©es et nous nous retrouvons Ă genoux face Ă deux sexes en pleine Ă©rection.(Simon) on va pouvoir comparer !!
(Sarah et Moi) quoi donc ?
(Simon) la quelle de vous deux suce la mieux, Sarah tu m’as souvent sucĂ©e, ta mère m’a sucĂ©e aussi mais pas en mĂŞme temps, alors maintenant, vous allez me sucer toutes les deux ensemble pendant que Jo va vous baiser chacune Ă votre tour.
(Jo) et on changera, moi aussi j’ai envie de me faire sucer par la mère et la fille.Les garçons nous ordonnent de nous mettre Ă quatre pattes, Simon avance sa bite, saisit nos tĂŞtes et investit nos bouches l’une après l’autre. Jo pendant ce temps est passĂ© derrière nous, il caresse nos deux fessiers et commente ce qu’il voit(Jo) regarde-moi ça, le mĂŞme cul, elles ont le mĂŞme cul!!j’ai l’impression de voir double.Comme Simon a enfoncĂ© son engin dans ma bouche, Jo lui s’enfonce dans la chatte de ma fille, au bout de plusieurs allers et retours ils changent et je sens la bite Ă Jo s’enfoncer dans ma chatte, ma bouche Ă©tant libĂ©rĂ©e je pousse un cri de surprise et de jouissance, Ă cĂ´tĂ© de moi, ma fille a gobĂ© le sexe tendu de Simon, elle semble apprĂ©cier.Pendant quelques instants on entend plus que les bruits de succion provenant de la bouche de Sarah et les bruits de ma chatte baveuse envahit par le sexe de Jo(Jo) la salope elle mouille !!! en disant cela il pose un doigt sur ma rondelle et l’introduit petit Ă petit
(Simon) elles sucent comme des reines toutes les deux c’est magique !!
(Jo) allez on change, Ă mon tour de comparer vos jolies bouches mes bellesSur ce, ils Ă©changent leur place et Jo prĂ©sente sa bite Ă Sarah (Jo) allez ma belle, suce, goute Ă la mouille de ta mère puis saisissant ma tĂŞte : lèche moi les couilles pendant que ta fille me suce, après vous changerez.Je m’exĂ©cute, je lèche les grosses bourses pleines de jus puis nous changeons, je prends le gland en bouche pendant que Sarah a pris ma place.A un moment, je me retrouve avec une bite dans la bouche et une autre dans la chatte, Sarah s’est dĂ©gagĂ©e et nous observe :(Sarah) c’est vrai que c’est beau Ă voir, tu sais que tu es superbe ma petite maman, Ă quatre pattes avec une bite dans la bouche et une autre dans la chatte, comme diraient les garçons : tu es bandante !!
(Moi) mmmhhhummumummm
(Sarah) chuuuttt !! Puis je sens ses mains se poser sur mon corps, caresser mes courbes, saisir mes seins pour triturer mes tĂ©tons…
Je voudrais lui demander ce qu’elle fait, mais les hommes m’en empĂŞchent en me maintenant fermement. Jo en enfonçant sa bite au fond de ma gorge et Simon en me limant tout en me donnant de vigoureuses claques sur les fesses.(Sarah) c’est pas la peine de te dĂ©battre ma chĂ©rie je suis sĂ»r que tu vas aimer, on va bien s’occuper de toi.A ce moment Jo et Simon dĂ©cident de changer de nouveau et me font pivoter, je n’ai pas le temps de dire un mot, de nouveau mes orifices sont investis.
Mon cri est Ă©touffĂ© par la grosse bite qui remplit ma bouche, je suis affolĂ©e, ma fille ne peut pas me faire ça , c’est pas possible !! (Sarah) regardez les mecs, elle a l’air d’apprĂ©cier le traitement, je vous l’avais dit c’est une vraie salope puis s’adressant Ă moi, je te l’avais dit ma petite maman je te rĂ©servais une surprise tu vois je tiens parole et c’est pas fini. S’adressant de nouveaux aux hommes : allez y baisez la bien !Je sens ses doigts se retirer de mon anus dilatĂ©, bien vite ils sont remplacĂ©s par une verge dure comme l’acier.Les deux hommes profitent de mon corps, celui qui a pris possession de mes fesses, après s’ĂŞtre enfoncĂ© doucement y va maintenant beaucoup plus fort, mes gĂ©missements sont Ă©touffĂ©s par un bâillon de chair qui s’enfonce jusqu’au fond de ma gorge, manquant m’Ă©touffer plusieurs fois.De nouveau ils me font pivoter et je dois sucer le sexe qui quelques seconde plus tĂ´t perforait mon petit trou, l’autre bite investit aussitĂ´t mon anus et entreprend un ramonage en règle.
Soudain je jouis, ça coule de ma chatte, Simon accĂ©lère ses mouvements dans ma bouche et brutalement je sens un puissant jet jaillir du gland et envahir ma gorge, puis un autre et encore un autre, ma bouche est envahie par le sperme chaud, j’avale sinon j’Ă©touffe.Jo Ă ce moment annonce qu’il vient Ă son tour et son jus envahit ma chatte, se mĂ©langeant Ă ma mouille.DĂ©cidĂ©ment, moi qui n’aimait pas trop sucer, depuis le dĂ©but de cette folle soirĂ©e j’ai toujours eu un sexe en bouche, avant je n’aimais pas non plus avaler, lĂ j’ai dĂ» avaler des litres de sperme et pour finir je n’aimais pas sucer après avoir Ă©tĂ© prise, je n’ai pas arrĂŞtĂ©e de la soirĂ©e.Pour couronner le tout, j’ai Ă©tĂ© obligĂ©e de sucer les bites qui sortaient de mes fesses c’est Ă dire toutes, les vrais comme la fausse (le gode). Au dĂ©but j’ai cru ne jamais y arriver puis j’y ai pris goĂ»t, Ă ma grande honte !!!Jamais je n’avais autant jouis !!!J’espère que cette petite histoire vous a plu, n’hĂ©sitez pas Ă me faire part de vos commentaires.