Elles me connaissent depuis que j’habite cet immeuble : elles habitent le 3° comme moi. Deux colocataires, je crois étudiantes. Elles sont bien mignonnes, bien faites et polies, ce qui ne gâte rien. J’ai la surprise de voir la blonde arriver chez moi, ce samedi soir. Elle cherche à bavarder simplement, à croire qu’elle est fâchée avec sa copine. Je n’ai rien contre la présence d’une jolie fille chez moi. Sans rien demander elle s’assoit sur une chaise, dans ma chambre. Je rêve de la voir sur le lit, contre moi. Ses bavardages deviennent vite centrés sur ce qui ne m’intéresse qu’à moitié : sa vie intime. Qu’est-ce que j’en ai à fiche de savoir qu’elle avait un copain (je m’en doutais), il a rompu pour je ne sais qu’elle raison obscure (Je m’en fiche complètement). Elle me demande si j’aime les filles, comme si j’avais une tête particulièrement antiféministe.
– Venez près de moi, vous allez voir si je n’aime pas les filles, même blondes.
– Je n’ose pas, vous allez me mordre. Je passe pour un anthropophage maintenant
– Venez vérifier.C’est elle qui mord mes lèvres. C’est une attaquante de première classe, digne de joueuse en première division. Elle ne reste pas longtemps le cul sur la chaise, je la bascule sur moi, de l’autre coté en plus. Elle crie, rit, crie encore. Elle est à point pour la suite.Cette fois c’est moi qui l’embrasse. La suite est tout à fait normale : un baiser avec la langue n’a jamais tué personne, surtout une belle blonde. Elle se blottit contre moi. On dirait qu’elle est morte : j’ai un cadavre de fille contre moi. C’est un suicide (je n’y suis pour rien, monsieur le Juge)Enfin elle repend vie, elle se tourne totalement contre moi, me serre contre elle. Ou elle ne sait pas ou elle le fait exprès. Sa présente inopinée contre moi fait que j’ai une saine réaction qui montre que j’aime les sexes de fille : je commence à bander. Je ne me doute pas qu’elle aussi doit commencer à être excitée. Qu’elle idée aussi de venir me narguer. Elle l’aura voulu : je glisse ma main sur ses jambes, jusqu’au triangle, pas celui du stop, celui de la haut, juste en dessous le pubis. Sa jupe ne fait pas le poids. Je la remonte bien haut, enfin juste ce qu’il faut pour que je caresse ce que je cherche : son sexe. Un vague string la protège. J’allais commettre l’irréparable quand :
– Je m’appelle Véronique, Véro pour les intimes.
– Moi, c’est Pierre.En somme je peux déshonorer Véro sans crainte. Mes doigts écartent sa « protection », sa cuirasse. J’ai libre accès à une intimité rare. Je ne touche pas sa fente, comme un dillentente je promène une main sur son ventre (son nombril est adorale, j’y mettrais ma langue après). Son ventre est en creux, ses cotes ressortent un peu. Je pars en exploration vers ses seins. C’est tout juste si elle ne les tend pas. Si elle attendait de moi une rapidité d’exécution elle s’est trompée de magasin. Elle a le culot de me demander d’aller plus vite. Non, mademoiselle en rodage il y a des limitations de vitesses. Je n’ai pas envie de perdre mon permis de baiser. Notre futur couple est bien en rodage. Elle ne suit pas l’actualité : même si le conducteur bande il faut qu’il ait le contrôle du couple. C’est ce que j’ai lu dernièrement.Je tiens ses mains au-dessus d’elle : j’ai commencé par caresser son corps, je ne fais pas une course de côte, de côté oui. Elle me mort toujours, Elle en veut plus, je lâche ses lèvres (dommage pour descendre un peu lentement sur son cou, ses salières, et puisqu’elle l’exige sur ses seins. Ils sont durs, malléables quand même. Les pointes sont aussi dures que des petits cailloux. Mes mains remplacent les lèvres Cette fois je vais explorer le nombril. C’est une simple cicatrice de la naissance. D’accord tout le monte en possède, un sauf c’est bien connu, notre ancêtre à tous Adam, nait de je ne sais qui et de je sais qui comme mère ? Une diablesse ou une sainte qui passait par là. D’après l’histoire compliquée d’Adam et sa nana tout n’était pas rose avec un serpent d’un part et Dieu de l’autre. Ne revenons pas longtemps sur cette histoire ancienne. En plus une sainte à cette époque c’était une variété rare.Quoiqu’il en soit elle a un très jolie nombril : vous le n’avez pas vue, alors silence, vous n’y connaissez rien de rien. Moi, si.Donc ma langue montée (modèle exclusif sur demande à l’auteur, prix en fonction de nombre de commande, remises aux anciens combattants de14/48 ou aux libérés des paroles amoureuses) à certain moment comme une plate-forme de recherche de forage en mer du Nord, pour trouver des bricoles dans le nombril. Je dois faire des trouvailles intéressantes pour la dame qui s’en plaint par des gémissements incongrus (à l’époque des portables dans les transports en commun ?)Oublions cette affreuse époque pour revenir à la réalité qui l’intéresse. Donc la langue munie de sa tête fouilleuse est dans le nombril de la fille. Le gout est délicat, il sent la savonnette, le corps trop propre. Mes mains entourent ma prise. Je caresse le ventre. Et là, poussé par l’instinct une main se perd dans un endroit humide, un marais, sans doute, mais un marais odorant. Le dragon de ce marais réagit par de nombreux miaulements. Il n’est pas dangereux. Il agit comme une sirène en attirant, non les marins, mais les organes préhensifs. Donc ma main recherche des raretés : une fente ; un clitoris, un vagin, un périnée, et pourquoi pas un tout petit trou que la nature a greffé entre les fesses.Véro réagit à sa façon : elle voudrait que je sois plus actif, plus impudent, plus impudique. Plus je ne sais quoi. Courage, ça viendra. Elle est d’une impatience cette Véro !!!!Elle doit être contente : je pose ma main à plat sur son seul accès déclaré au plaisir (ce qui est faux) Son jus se dépose sur la paume, inonde mes doigts. Je suis tenté de mettre un doigt dans ma bouche pour la gouter. Une de ses mains emprisonne la mienne. Je suis aux travaux forcés. Je dois nettoyer ce que j’ai sali : elle se contentera d’un seul doigt pour le moment (oui, monsieur le juge, je ne peux lui en donner plus à cause d’une paralysie des autres doigts)La pauvre Véro gémit quand le doigt passe en roulant sur son bout de viande. Elle s’arrête même de respirer, juste au moment où je sens des spasmes sur son sexe. Elle doit jouir.
– Recommence
– Et moi ?
– Toi ? AprèsGarce de fille, toutes le mêmes : les hommes après, pourtant je ne vois pas de requin ou de navire qui coule. Je ne vais pas lui donner satisfaction. Je passe ma main entre ses fesses pour trouver volontairement son petit trou. La coquine s’en doutait : elle se laisse faire, elle accepte que mon doigt masse son anus. Il est tendre, je devrais y entrer facilement. Elle ne l’aura pas de suite. Je ne fais que caresser. La garce, elle attrape ma main la pousse et me voilà un doigt prisonnier de son gentil et beau cul.Si la colocataire de Véro est de la même trempe, je ne suis pas sorti de l’auberge. J’aime les filles comme tous les hommes, à dose normale, disons trois ou autre fois par jour. Mais Véro est du genre vampire elle en veut plus souvent.Quand je n’ai pu la faire jouir qu’avec mon doigt en guise de suppositoire, elle a voulu la suite. Véro s’est installée sur moi, bien confortablement, ses jambes autour des miens. D’abord retenue par ses bras, elle a posé sa poitrine sur moi. Un éclair, un coup de foudre tombait sur moi. Dans un dessin animé de Tex Avery on aurait vu deux cœurs exploser vers la lune pour revenir dans les poitrines sanglantes : par forcément la bonne poitrine. Bref Véro m’enchantait. Il lui fallait du lourd, pas de l’ersatz, pas du café américain, un véritable express ! Elle arrivait à faire entrer ma queue dans sa sacoche. Je sentais cette indescriptible sensation du prépuce qui reste en arrière de la bite. Et l’entrée dans sa grotte bénie. Elle fermait les yeux, comme moi. C’est bien connu, les filles jouissent au moins deux fois plus que les hommes après le premier orgasme. Véro ne fait pas exception : elle jouit quand je suis encore en elle. Véro attend sa pleine satisfaction, me fait sortir d’elle. Je suis la bite en l’air, seul un instant. Je dois avoir l’air fin ainsi avec une fille qui se penche sur moi. Véro est gourmande et affamée. Elle prend ma pine à pleine main, me branle avec art. Je suis pas son premier, loin de là. Elle se penche, attrape mon bout par les lèvres. Le retient, le fait doucement glisser dans sa bouche : elle le fait sortir. Sa langue sert de serviette pour essuyer ses secrétions. Oh, pas longtemps, le temps de lécher le gland, rechercher le frein, en faire le tour, recommencer en bonne pipeuse et surtout attendre la décharge du sperme dans la bouche. Tout garder la semence jusqu’à l’épuisement de le prostate.Véro attend juste ce qu’il faut, se retourne donne son sexe à ma bouche. Si elle a eu un dose de sperme, j’ai moi aussi une dose extraordinaire de cyprine parfumée, légèrement salée. Un liquide dont je ne me lasse pas. Le plus fort est qu’elle me fait encore bander, cette fois en mettant deux doigts sans mon cul. Elle remplace les doigts par sa langue : c’est la première à me faire ça. J’avoue aimer. Elle me lâche, revient sur moi ma bite dans son cul : elle me tourne le dos. Quand elle est sodomisée selon ses gouts, elle vient à nouveau sur mon cul : il y entre cette fois profondément deux doigts. Nous nous sodomisons de concertQuand elle est satisfaite
– Tu baises bien, je vais le dire à l’autre. J’ai comparé ta baise à la sienne : c’est meilleur avec toi. Je te l’enverrais.Elle revient, vers moi dévoyée : une seule fois elle est venue avec sa compagne, elle est restée pour nous voir baiser, sans participer. Son jugement est sans appel : elle baise mieux que l’autre. Donc je ne peux que la baiser elle, l’irremplaçable. Chaque vendredi soir elle vient me rendre une petite visite de courtoisie. La petite visite dure jusqu’au lever du soleil. Je me demande ce qu’elle fait avec l’autre colocataire. Baiser, faire du tricot ? Véro n’a jamais voulu m’en parler.