Je sais que ce texte n’est pas une performance littéraire. Il a été écrit pour une personne en particulier qui semble aimer son plaisir avant tout. J’ai voulu lui en donner pour son argent et je me suis dit que d’autres personnes pouvaient peut-être aimer ce récit. C’est la raison pour laquelle je vous le fait partager.FloraneJ’ai trouvé un endroit assez particulier.On arrive sur les lieux et tu constates que l’endroit est vieux et malpropre. On y entre quand même. Les murs sont défoncés, de vieux matelas traînent dans certains coins, on peut même y voir des seringues par terre ainsi que des courroies.— Allez, ne traîne pas les pieds, suis-moi !Nous arrivons dans une pièce où il y a même des chaînes et un poteau. Tu me vois venir et tu me souris. Oh, si tu savais comme tu as bien raison !— Viens, que je t’attache.J’ouvre mon sac et en sors des cordes que j’attache aux chaînes puis à tes mains, ensuite je t’attache les pieds. Tous tes membres sont attachés séparément pour te donner un peu de latitude.— Je suis certaine que tu es excité, est-ce le cas ? Je vais voir ça !Il ne m’en faut pas plus pour défaire ta ceinture et ton pantalon pour ensuite les glisser ainsi que ton slip à la hauteur de tes genoux.— Regarde-moi cette belle bête bien dressée. Je vois que ça t’excite hein ? Je ne suis pas surprise et je suis certaine que tu es ravi d’être à ma merci !Tu me regardes sans parler et tu sembles encore plus excité.— Tu aimerais que je te suce, que je te fasse jouir, hein ?Je m’agenouille et effleure ton sexe de ma langue, tu me regardes, je fais de même et je sens la fièvre s’installer dans ton corps. Je continue l’exploration de ton sexe sur sa longueur. Je lèche tes couilles à grands coups de langue, puis remonte la bête pour la posséder dans ma bouche.Je t’avale en profondeur pendant que je masse tes couilles. Tu as assez d’aisance avec les cordes pour me maintenir la tête sur ton pieu. Tu oses même te propulser dans ma cavité buccale plus profondément que je ne peux te prendre ; j’étouffe, mais je ne dis mot. Je me relève et retrousse ma jupe pour enlever ma petite culotte, je m’approche pour te la faire humer, pour imprégner mes odeurs jusqu’au fin fond de ta mémoire.Je te tourne le dos pour aller au poteau, tu en profites pour me toucher, pour essayer de m’enfiler ta bite, mais voilà que je raccourcis les cordes. Tes mains sont rivées aux petites chaînes du poteau, il ne te reste que six centimètres de jeu. Je me retourne, te regarde et souris.Je m’approche, retrousse ma jupe et écarte les jambes pour venir coincer ton gros sexe le long de ma vulve.— Dis, mon Lapin, tu veux bouger du bassin ?Tu coulisses le long de ma chatte, saluant mon clitoris au passage, tu le fais grossir à chaque mouvement. C’est divinement érotique et je décide de me retourner et m’appuyer sur le poteau. Je penche mon dos pour t’offrir ma chatte assoiffée et aussitôt, tu plantes ton sexe dans mon antre ruisselant. Je me masturbe aussitôt pour m’assurer de jouir avant toi. J’essaie de gémir en silence mais je n’y arrive pas. J’aurais vraiment envie que tu continues de me besogner, mais comme je ne veux pas que tu jouisses, je dois me retirer de là .— Mais qu’est-ce que tu fais ?Je me déplace derrière toi et t’écarte les fesses pour lécher ton trou du cul. Comme tu aimes, tu parviens à te pencher un peu, je te lèche plus aisément et tu me demandes de baisser ton pantalon car il te gêne, placé ainsi sur tes genoux.Et je te laisse pour aller fouiller dans mon sac.— Ne te retourne pas s’il te plaît.J’enlève ma jupe et m’installe un gode ceinture. Je m’approche, tu ne te retournes pas et voilà que je t’écarte les fesses à nouveau. Je me crache de la salive dans une main et la dépose sur ton trou serré, y introduit un doigt avec facilité et te sodomise doucement. Puis, comme tu dilates bien, j’en introduis un autre. Je t’entends gémir et me dire que tu aimes ça.— Tu aimes, mon Lapin ? Alors, accueille bien ce gourdin artificiel.Et je dirige le gode sur ton anus, puis je pousse doucement pour l’introduire.— Oh ! Florane, mais… mais… Ouhhh….. Tu es une garce… (mot gentil de ta part !)Je me plante bien au fond de tes entrailles et te maintiens par les hanches. Ensuite, c’est sans difficulté que je t’empale sur ce gode nervuré en te tirant vers moi.— Tu aimes cette grosse bite dans ton cul ?— Oh oui ! Continue…Je t’empale plus ardemment encore, j’aimerais être un peu plus grande pour mieux te sodomiser.— Je crois que j’aurais besoin d’aide pour mieux faire le travail !Comme je prononce ces paroles, des personnes entrent dans la pièce. Je te vois qui relève la tête pour essayer de regarder qui entre, mais j’essaie de continuer de t’enculer.— Florane, qu’est-ce qui se passe ?— J’ai des amis pour toi !— Des amis ?— Oui, des amis ! Laisse-toi faire…Une personne s’approche, je me retire et il te flanque sa bite dans ton cul dilaté. Je m’approche de toi et te regarde.— Tu aimes toujours, mon Lapin ?Je sais par tes expériences antérieures que tu aimes te faire sodomiser par un homme. D’autres personnes s’approchent de toi et tu peux maintenant constater que ce sont deux autres mecs. Ils ont l’air un peu givrés, mais ne sont pas dangereux.— Goûte bien à ce petit plaisir que j’ai déniché pour toi, mon Lapin, ils ne sont là que pour toi. C’est gratuit, profites-en bien !Je me déplace et te regarde te faire enculer par ce mec avec des piercings sur une lèvre et un sourcil. Ça aurait été génial s’il en avait eu un sur le gland, bon sang, je crois que j’aurais été jalouse !Je te regarde prendre ton pied et je vois les deux mecs se branler pendant que le troisième t’encule. Je t’entends gémir à chaque coup qu’il te donne. C’est dommage, ton cul est un peu coincé avec ton pantalon… je vais y remédier sous peu. Le mec te cogne de plus en plus fort et je crois bien qu’il est sur le point de te tapisser les entrailles. Il grogne, se raidit et on peut entendre ses gémissements de jouissance. Il se retire. Aussitôt je m’avance.— Attendez un peu, les gars.Je m’approche et défais les cordes à tes chevilles, tu en profites pour te relever et regarder ces mecs. J’enlève tes souliers et ton pantalon. Mick regarde ton sexe un peu mou et salive devant cette belle queue. Il a bien raison, elle est tellement appétissante, dénudée de tous ces poils qui agacent la langue.Tu le regardes s’installer à tes genoux. Il t’empoigne les couilles à pleine main, les caresse fermement comme je n’ai jamais osé le faire et s’en empare à pleine bouche. Tu aimerais bien relever ta queue pour mieux lui offrir tes couilles à bouffer, mais tes mains attachées au poteau t’en empêchent. Tu penches la tête légèrement vers l’arrière en fermant les yeux et c’est à ce moment que ta bite est aspirée par la bouche de Mick.Tu laisses échapper des sons car il est plutôt brusque, mais il semblerait que tu aimes, à ce que je vois !Mick continue à te siphonner la queue pendant que Fred s’approche. Il s’installe à ton côté, te tripote les fesses pendant qu’il termine sa cigarette. Tu sens bien sa main se faufiler dans ta raie, je te regarde réagir, tu ne protestes pas, je suis même certaine que tu as envie de beaucoup plus !— Hé, le Petit, dégage et laisse-le moi, lance Fred à Mick.Puis, s’adressant à toi :— Penche-toi que je t’en donne un coup dans ton joli petit cul.Tu acquiesces à sa demande et te penche vers l’avant en te tenant toujours sur ce poteau. Fred t’enfile sa queue dans ton trou encore gluant et t’encule sans ménagement. Je le regarde faire car il a un pieu énorme. J’en mouille tellement c’est excitant à regarder, j’ose même glisser mes doigts sur ma chatte duveteuse, même si je sais que Nico est assis à mes côtés sur la vieille couverture qui traîne. Il n’en a rien à cirer des mes envies, il se masturbe aussi en les regardant. Semblerait qu’il soit prêt pour une deuxième partie !Je le regarde se masturber et c’est encore plus excitant, je sens bien mon clitoris gonfler sous mes doigts. Nico me regarde :— Tu sembles avoir de grosses envies, ma jolie ?— Je n’en peux plus.— Alors le buffet est là , à tes côtés. Sers-toi !Étonnée, je le regarde, je suis bouche bée :— Mais tu n’es pas gai, toi ?— Disons que j’aime bien les minettes aussi !— Wrouaahhhhhh !Je me lance sur lui et avant qu’il n’ait eu le temps de dire quoi que ce soit, je suis déjà genoux écartés au-dessus de sa belle queue.— Allez, empale-toi dessus, fais-toi plaisir, ma jolie !Il ne m’en faut pas plus pour m’activer sur cette tige bien tendue.Toi qui es en train de te faire sodomiser par Fred, je t’oublie complètement tellement je prends mon pied avec Nico. Il me semble que ça fait des lunes que je n’ai pas joui de la sorte. À bout de souffle, je m’étends pour reprendre mes esprits, Nico aussi d’ailleurs.Ma vision revient vers toi. Fred t’en donne pour ton argent car il est assez endurant pendant que Mick te masturbe. Oh là , à ce que je vois, je ne crois pas que tu vas pouvoir endurer ce plaisir intense encore bien longtemps ! Mick s’adresse à Fred :— Hé, le Grand, tu ne me laisserais pas une chance un peu ?— Une chance de quoi ?— Que ce soit mon tour, espèce de con !— Qu’est-ce qui t’en empêche, crétin ?Mick part dans une autre pièce ; on entend des bruits et le voilà qui revient avec un vieux matelas miteux qu’il a trouvé. Il le dépose par terre et s’adresse à nouveau à Fred :— Eh, le Grand, dégage !Fred se retire et Mick s’installe à quatre pattes, t’offrant son cul. Je sais que tu préfères enculer les jolies dames, mais son cul bien lisse ne fait pas beaucoup de différence, à bien y penser ! ! Aussi, je me dis que si je te détache, tu pourras mieux goûter le moment présent. J’arrive aussitôt et défais tes liens.Tu t’installes derrière lui et t’enfonces lentement dans son trou du cul. Comme tu débutes un va-et-vient, Fred reprend sa position derrière toi. Tu ne sais plus comment souffler, puis tu finis par trouver le bon rythme. C’est toi maintenant qui grogne, ton visage se crispe et tu laisses aller des gémissements. Tu jouis intensément avec la bite de Fred dans ton cul et tu exploses dans les profondeurs de Mick. Je te vois à bout de souffle. Malgré tout, tu restes encore en position pour satisfaire les envies de Fred qui, soudainement, aboutissent en te défonçant littéralement le cul.Tu n’es cependant pas au bout de tes peines puisque Mick est debout devant toi, la queue bien bandée, te demandant de lui vider les couilles. Tu retournes la tête, me regardes, je te fixe, sans un mot, en me disant que tu dois rendre aux autres ce que tu reçois.Je te regarde prendre sa bite dans ta bouche et à ma grande satisfaction, c’est lui qui te baise la bouche. Il ne prend pas garde à la profondeur et à ce que je vois, il va un peu trop loin ; je t’entends étouffer.— Hé Mick, fais attention, tu vas étouffer mon Lapin !Tu décides de mettre ta main sur sa queue pour en contrôler la profondeur et c’est toi maintenant qui le pompe jusqu’à ce qu’il explose dans ta bouche. Tu sens les jets se répandre jusque dans ta gorge.Mick retire sa queue et te la glisse sur la figure, sur tes lèvres, tu sors la langue pour bien la lécher de son foutre.Mais qu’est-ce que je vois ? Ta queue reprend vie ! Mmm….. Je m’approche.— Ok Mick, dégage ! Allez les gars, dégagez le plancher ! Allonge-toi, mon Lapin et reprends ton souffle un peu pendant que je m’occupe de ta belle bête.Malgré l’état dégueulasse du matelas, tu t’allonges, les jambes molles et te laisse faire. Ma main s’empare de ta bite et je te masturbe sans retenue. Tes couilles vibrent au rythme de ma main et je fais de longs va-et-vient, m’assurant ainsi que le gland se retrouve dans ma main pendant la masturbation. Étant à tes côtés, je vois que tu retrousses les orteils, je te masturbe encore et encore, tu arrêtes de respirer, je masse tes couilles et enfin, tu éjacules dans ma main en te vidant de tout ton jus.J’essuie mes doigts sur le matelas, me relève, remets ma petite culotte et ma jupe, range mon gode ceinture et prends mon sac.— Tu viens ou tu restes ici ?— Florane, tu n’es qu’une garce, laisse-moi reprendre mon souffle !Au revoir, mon Lapin, moi, je sors d’ici !