Le Boing 747 de l’U.T.A a décollé de Roissy à l’heure, c’est à dire à vingt deux heures trente pour Abidjan (Côte d’Ivoire) où nous devrions arriver aux environs de sept heures, heure locale. J’ai mis les écouteurs et, les yeux fermés, j’écoute de la musique classique, je suis toujours un peu crispé pendant la première demi-heure de vol, la musique me détend et me remet en forme. Ouf! Ça va mieux, la petite boule qui me serrait la gorge a disparu. Je me tourne vers Inès et je m’aperçois qu’elle s’est assoupie, elle a incliné son fauteuil au maximum.Inès, comme son prénom ne l’indique pas est blonde, cheveux courts, assez jolie, sa taille est d’environ 1.70m et elle a 24 ans. Nous travaillons dans la même Administration, à la P.J. c’est à dire la police judiciaire où je sévis en tant que Capitaine (anciennement Inspecteur Principal). Nous nous rendons en Côte d’Ivoire pour enquêter sur une affaire où s’entremêlent « traite de blanches » et trafic d’héroïne.J’essaye de me concentrer sur le magnifique prélude de Bach qui m’est distillé dans les écouteurs, mais si mes oreilles sont attentives, mes yeux se moquent bien de Bach et préfèrent s’arrêter sur des volumes tout aussi harmonieux, mais plus palpables d’Inès qui vient de bouger.S’est-elle réveillée? Non elle dort toujours mais, dites-moi que je rêve! Vous n’allez pas me croire, Inès est là , offerte, sa jupe est presque complètement remontée sur ses cuisses qui sont un peu plus entr’ouvertes ce qui me permet de voir un amour de petit slip marron à grosses mailles, entre lesquelles je vois nettement ses poils pubiens. C’est un blonde authentique !J’éteins précipitamment la lumière pour éviter que quelqu’un la voie dans cette position pour le moins équivoque. J’ai une impérieuse envie de la caresser, tant pis, je vais y aller très doucement et si elle me rembarre, je m’excuserais en plaidant les circonstances atténuantes. Je couvre Inès avec la couverture prévue pour cet effet, j’abaisse mon siège au maximum et je me couvre à mon tour avec une couverture.Tout en feignant de dormir, je pose doucement ma main droite sur sa cuisse gauche, juste au-dessus du genou. J’ai le cœur qui bat la chamade et je retiens mon souffle. Au bout d’un temps interminable qui n’a pas duré plus d’une minute, j’ose enfin regarder Inès. Je redoute par-dessus tout de rencontrer un regard goguenard et de recevoir une pique cinglante mais non, ses yeux sont clos, elle a un air paisible et elle dort profondément.Le plus dur reste à faire, il faut que je continue ma progression, allez du courage ! Ma main se met à remonter légèrement en caressant entre les cuisses… Là , si elle se réveille, c’est la paire de gifles assurée. Toujours pas de réaction de la part de la belle endormie. La caresse ne fait qu’effleurer la cuisse d’Inès mais remonte de plus en plus toujours très lentement. La lumière de l’avion vient de s’éteindre pour permettre aux passagers de dormir, nous sommes maintenant dans une pénombre complice. Encore un coup d’œil sur Inès, elle dort toujours mais son souffle me semble un peu plus saccadé. Ma main est maintenant en haut de la cuisse, tout près du slip. La caresse est un peu plus appuyée, il faut que ma main remonte encore mais là , j’ai peur des réactions d’Inès si elle se réveille… allons-y courage, ma main entre en contact avec le slip. À ce moment précis, les cuisses d’Inès se referment sur ma main violemment pour s’entrouvrir de nouveau aussitôt. Ouf! J’ai eu chaud, on n’a pas le droit de faire peur comme cela. Ma main est toujours bien au chaud entre les cuisses d’Inès et le côté de ma main est en contact avec le slip. Je caresse doucement la cuisse tout en frottant légèrement le slip. Au bout de quelques minutes de ce massage intime, je sens que Inès apprécie inconsciemment mes caresses car son slip est de plus en plus humide.Cela fait maintenant plus d’un quart d’heure que je caresse Inès et ma main commence à s’ankyloser. Inès ondule du bassin et son slip est maintenant trempé. Est-ce qu’elle dort toujours ou est-ce qu’elle feint? Pourtant ses yeux sont toujours obstinément fermés et elle sourit aux anges. Qu’est-ce qu’elle est belle comme ça! Elle sourit aux anges, moi c’est au démon qui s’est emparé de mon esprit et de mon corps. Je retire ma main rapidement d’entre ses cuisses pour faire exécuter une petite gymnastique à mes doigts et j’en profite pour les porter à mon nez afin de connaître son odeur intime. Elle est suave et envoûtante, ça me réjouit car je n’aurais pas pu supporter de continuer si cette odeur ne m’avait pas plu. Celle d’Inès, au contraire, me rend fou. En ce moment, je ne cèderais pas ma place pour un empire. Inès dort toujours, ses cuisses se sont légèrement refermées. Ma main repart tout doucement pour poursuivre cette délicieuse exploration, elle remonte lentement mais fermement, ses cuisses se sont légèrement écartées ce qui m’a permis de retrouver très vite le contact du slip.Encore une étape à franchir, il faut que j’arrive à passer mon index sur le côté du slip pour pouvoir caresser son sexe directement, ça y est c’est fait, mon cœur bat cette fois à 200 pulsations minute, que c’est doux! Voyons, je vais tenter d’introduire mon index dans sa vulve. J’y suis déjà , cela n’a pas été long, il faut dire qu’elle est tellement mouillée que mon doigt a glissé tout seul à l’intérieur.Je crois rêver, c’est la première fois que je me trouve dans cette situation, j’ai honte, j’ai un petit peu l’impression de commettre un viol, un viol en vol, cela ferait un beau titre de polar ! Je me dis que cette fois le stade du harcèlement sexuel est largement dépassé et que si Inès n’est pas consentante et qu’elle se réveille maintenant, j’aurais de très gros ennuis. Mes appréhensions s’envolent vite car le bassin d’Inès vient à la rencontre de ma main, comme pour l’encourager à poursuivre. Que feriez vous fait à ma place? Je poursuis donc et mon index s’enfonce tout au fond de son sexe et ressort aussitôt pour lui masser le clitoris quelques instants avant de s’y glisser à nouveau. Inès dort toujours.Je continue à la masturber doucement et délicatement pendant de longues minutes. Inès adore cela, je le ressens car son bassin a pris le rythme et vient au-devant de mes caresses, ce qui les facilitent. C’est doux, quel pied! Je n’ai jamais compris les hommes qui prennent tout de suite leur plaisir sans se préoccuper de celui de la femme, ils ne savent pas ce qu’ils perdent.Brusquement, Inès se met à gémir tout en refermant brutalement ses jambes. J’exulte, je la regarde, j’adore regarder une femme pendant son orgasme. Au bout de quelques minutes, je sens le corps d’Inès se détendre peu à peu, ma main reprend possession de son sexe, il est tellement inondé que je peux y enfoncer deux doigts sans difficulté. C’est chaud, c’est doux, c’est bon! Elle a peut-être envie de continuer? On va bien voir. Je me remets à la masturber tout doucement pour commencer, à la recherche d’un encouragement qui ne tarde pas à venir, en effet, le corps d’Inès reprend son balancement tandis que mes deux doigts fouillent son intimité. Je réalise le comique de la situation et cela me met en joie. Inès jouit très vite cette fois et son orgasme me surprend car cela ne fait pas cinq minutes que j’ai recommencé à la saresser.Se peut-il qu’elle en veuille encore? Je commence à avoir mal à la main mais ce ne sera pas moi qui demandera grâce le premier. En tout cas ce n’est pas elle non plus car j’ai la surprise de voir qu’elle ne repousse pas ma main, bien au contraire elle la serre fortement entre ses cuisses comme pour m’empêcher de la retirer. Comment résister à une invitation si pressante? Je ne peux pas et je dois dire que c’est avec un plaisir mêlé d’orgueil qu’après quelques minutes je fais jouir Inès pour la troisième fois. Cette fois, Inès ne s’oppose pas à ce que je retire ma main et je me décide à dormir, il est deux heures du matin.Une heure avant l’atterrissage, toutes les lumières s’allument dans l’avion ce qui me réveille brusquement. Inès s’éveille à son tour et s’étire langoureusement.— Où sommes-nous? me demande Inès— Nous sommes dans un avion qui va atterrir à Abidjan dans environ une heure, on va nous apporter notre le petit déjeuner.— Déjà ! Je n’ai pas vu le temps passer!— Tu as dormi pendant tout le trajet, j’espère au moins que tu as fait de beaux rêves? dis-je pour lui tendre la perche, mais elle doit être peu sportive car elle ne saisit ni la perche tendue, ni la balle au bond, au contraire, elle s’en fiche, car elle élude la question:— Et toi, tu as bien dormi?— Pas assez, je me suis endormi vers deux heures de matin.— Les voyagent te réussissent bien, tu sembles fraîche comme un gardon!— Oui, je me sens bien, je suis en pleine forme!— C’est un peu normal, tu as dormi pendant presque tout le trajet.— Pas du tout, je peux t’assurer que je ne me suis pas endormie avant deux heures du matin moi aussi… Tu sais, ce n’est pas parce que l’on a les yeux fermés que l’on dort obligatoirement…Alors là , elle me la coupe ! Elle a dit cela en me regardant droit dans les yeux où je crois lire une petite lueur de moquerie. Elle est gonflée celle là ! Je réalise tout à coup qu’elle avoue avoir joué la comédie du sommeil et qu’elle assume. Une bouffée de chaleur et de joie m’envahit d’un seul coup, ça change tout, j’ai des tas de choses a lui dire. Je cherche une réponse intelligente, mais je ne trouve rien d’autre à dire que:— Je croyais…— Tout le monde peut se tromper, me dit Inès très sérieusement,Puis elle me regarde et nous éclatons de rire en même temps, un long rire complice qui nous rapproche instantanément. J’ai soudain une envie folle de l’embrasser, mais nous ne sommes pas seuls et je me contente de lui prendre discrètement la main. J’exerce une légère pression sur sa main, elle y répond en pressant fortement la mienne. Je ne connais pas le langage des mains mais je crois deviner qu’elle m’a répondu « moi aussi j’ai envie de faire l’amour avec toi ».Je suis aux anges, je suis sur maintenant que je vais la posséder et cela provoque en moi une érection fulgurante, impétueuse.