Lorsque nous avions 22-23 ans, mon amie Alexia et moi aimions particulièrement les garçons un peu plus jeunes que nous de 5 ou 6 ans, surtout s’ils Ă©taient un peu timide. Pour les trouver, nous partions Ă ce que nous appelions « La chasse aux puceaux. », ou le dĂ©niaisement des puceaux.
Pour dĂ©nicher notre « gibier », nous allions sur les terrains de foot, ou sur des places communales dans les petits villages, lĂ oĂą les jeunes avaient l’habitude de se retrouver. Nous repĂ©rions ceux qui Ă©taient seuls ou un peu isolĂ©s des autres, et lĂ commençait notre travail d’approche.
Comme nous Ă©tions un peu plus âgĂ©es qu’eux, et que nous avions dĂ©jĂ une voiture, nous les impressionnions. Après nous ĂŞtre approchĂ© et avoir liĂ© conversation, nous les emmenions faire un tour en voiture lĂ oĂą ils le dĂ©siraient. GĂ©nĂ©ralement nous n’allions guère loin, bien souvent un tour du village pour que leurs copains puissent les voir en charmante compagnie. Nous prenions ensuite l’habitude de les retrouver chaque week-end, et nous nous faisions le plus charmeuse possible. Après quelques semaines, ils Ă©taient mĂ»rs, il n’y avait plus qu’Ă les cueillir, ce fut le cas par exemple pour MickaĂ«l et Florian.Ils avaient 18 ans tous les deux, et plutĂ´t en avance physiquement pour leur âge, de plus ils Ă©taient beaux garçons. Ils nous avaient avouĂ©s après plusieurs semaines de notre petit manège, qu’ils aimeraient bien sortir avec nous.
MickaĂ«l avait craquĂ© pour moi, et Florian pour Alexia. -Vous ĂŞtes très belles, et vous nous plaisez beaucoup, nous aimerions que vous soyez nos petites amies. Nous confia Florian un dimanche soir. -Cela nous touche beaucoup, et vous nous plaisez Ă©normĂ©ment Ă©galement, mais nous avons l’habitude de sortir qu’avec des garçons plus âgĂ©s.Annonça Alexia sur un scĂ©nario bien rĂ´dĂ©. Les garçons commençaient Ă dĂ©sespĂ©rer lorsque j’intervins.- Nous voulons bien essayer avec vous, mais comme nous avons dĂ©jĂ Ă©tĂ© déçues par certains garçons, nous voulons ĂŞtre sĂ»res que vous ferez tout pour nous faire plaisir.Heureux de ce retournement de situation, ils juraient de faire tout ce que nous leurs demanderions.- Alors pour nous prouver ce que vous dĂ®tes, vous commencerez par vous raser les poils, car nous n’aimons pas cela. Vous voyez ceux auxquels on pense. Commenta Alexia. – Tous nos anciens petits amis le faisaient. Dis-je pour les rassurer davantage. On se retrouvera samedi prochain au stade, et si vous nous avez fait plaisir, on sortira avec vous. – Mais il faut que l’on vous dise autre chose encore. Ajouta mon amie : Virginie et moi sommes de vraies amies qui partageons tout, mĂŞme les petits copains, nous ne sommes pas jalouses du tout. Ce qui veux dire que l’on ne sortira pas forcĂ©ment l’une avec l’un d’entre vous, et l’autre avec le deuxième, mais que nous deux sortirons avec vous deux sans distinction. Vous aurez ainsi chacun 2 filles pour vous.Le samedi suivant, je suis sĂ»re qu’ils Ă©taient lĂ depuis un bon moment Ă nous attendre quand nous sommes arrivĂ©es. Dès qu’on les a vu, nous leur avons fait signe de monter dans la voiture, et nous sommes parti dans un petit coin tranquille. Une fois descendu de la voiture, c’est Alexia qui les a branchĂ©s sans dĂ©tournement.- Ă”tez donc vos shorts que l’on voie si vous nous avez fait plaisir.MickaĂ«l et Florian se retrouvèrent Ă demi-nu, les mains cachant timidement leur service trois pièces.- Comment voulez vous que l’on vĂ©rifie si vous faites les timides, mettez vos mains sur vos tĂŞtes. Leur intima t’elleUne fois la position prise et constatant qu’ils nous avaient obĂ©i, Alexia se jeta sur MickaĂ«l et l’embrassa avec passion. J’invitai Florian Ă en faire autant, invitation qu’il ne mit pas longtemps Ă mettre en pratique.- Je vais chercher une couverture, dis-je, nous serons mieux.Lorsque je revins, j’Ă©tais entièrement nue, les 2 garçons n’avaient d’yeux que pour moi. Pendant qu’ils me regardaient, Alexia se mit Ă©galement en tenue d’Eve, et les apostropha :- Et alors, je ne vous plais pas moi.Le regard des deux garçons allaient de l’une Ă l’autre, puis se croisaient avec un petit sourire, en ayant l’air de se dire : « Mais non mon vieux, on ne rĂŞve pas. »Puis nous nous allongeâmes tous les quatre pour un après midi passionnĂ©. Ce que nous pensions se confirma, ils Ă©taient bien puceaux, et c’est grâce Ă nous qu’ils ont perdu leurs virginitĂ©s.
Nos relations continuèrent ainsi quelques temps, nous faisions l’amour soit avec l’un, soit avec l’autre, ou encore avec les deux, histoire de bien les accrocher. Mais il Ă©tait temps de continuer Ă suivre notre plan, ce fut Ă nouveau Alexia qui leur proposa :- Est-ce que cela vous plairait de faire l’amour avec d’autres filles ?
Les garçons ne comprenaient pas, ils pensaient que nous ne voulions plus sortir avec eux. Je les rassurai :- Nous vous aimons plus que jamais, mais on vous a dit le premier jour que l’on n’Ă©tait pas jalouse. Nous avons parlĂ© de vous Ă nos amies, et elles voudraient bien faire votre connaissance. Cela ne nous dĂ©range pas de vous partager, Ă partir du moment oĂą vous ĂŞtes amoureux de nous, et que c’est uniquement pour leur faire plaisir que vous les verrez. En plus je vous rappelle que vous avez promis de faire tout ce que nous voudrions. Il ne fallu pas longtemps pour les convaincre.- Nous sommes d’accord. Dirent-ils Ă l’unisson.- Cela tombe bien que vous soyez nus, on va vous prendre en photo pour vous montrer Ă nos amies. Allongez-vous sur la couverture, je vais chercher mon appareil.On passa la fin de l’après midi Ă les prendre en photos dans de nombreuses poses, et en particulier leurs anatomies sexuelles.
On leur expliqua ensuite qu’on ne pourrait pas toujours ĂŞtre avec nos amies pour le leur prĂ©senter. Mais que si une fille se prĂ©sentait Ă eux avec un certain mĂ©daillon, ils devraient la suivre et lui faire plaisir. Nous avions achetĂ© plusieurs mĂ©daillons identiques que nous leur avions montrĂ©s. Et surtout que si elles ne leur prĂ©sentaient pas ce passe droit, ils devaient les ignorer, celles lĂ ne seraient pas de nos amies.- J’espère que vous serez Ă la hauteur, car si elles sont déçues, elles se le diront et nos autres amies ne voudront plus aller avec vous.Dans les semaines qui suivirent, les garçons qui profitaient de nos copines nous expliquèrent combien ils Ă©taient heureux d’ĂŞtre avec des filles comme nous. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que nos amies nous rĂ©tribuaient pour les moments qu’elles passaient avec eux.Il Ă©tait temps de passer Ă la partie suivante de notre plan, pour gagner encore plus d’argent.
Un après midi que nous Ă©tions dans notre coin tranquille, et après leur avoir fait Ă chacun une super fellation, nous leur proposâmes :- Est-ce que cela vous ferait plaisir de nous voir faire l’amour toutes les deux ensemble.LĂ encore ils croyaient rĂŞver, jamais ils n’auraient pu imaginer une telle proposition de notre part. Nous avions souvent l’habitude, Alexia et moi de nous donner du plaisir mutuellement, alors ce fut donc sans aucun complexe que nous nous donnâmes en spectacle devant nos deux « chĂ©ris ».
Tout en nous caressant et en nous embrassant, nous jetions un œil vers eux. Ils Ă©taient fascinĂ©s par notre spectacle, et comme ils Ă©taient nus, nous avions pu constater qu’ils Ă©taient très excitĂ©s par notre show.
Après notre représentation, une partie plus dure allait se jouer.
– Est-ce que cela vous a plu ? demanda Alexia.
Nous n’attendions pas de rĂ©ponse, le simple fait de les regarder nous apportait la rĂ©ponse que nous connaissions par avance.
– Nous non plus, ne dĂ©daignons pas les spectacles du mĂŞme genre. Continua-t-elle.
Pour que ce soit bien clair dans leurs esprits, je précisai.
– Nous serions super contente de vous voir tous les deux vous donner du plaisir. Les eux garçons y Ă©taient violemment opposĂ©s, il fallu batailler farouchement. Nous leur expliquâmes tous les inconvĂ©nients Ă nous dĂ©cevoir : que l’on ne sortirait plus avec eux, qu’ils ne verraient plus nos amies, et surtout qu’ils avaient une promesse Ă honorer. Pour les rassurer, nous leur assurâmes que de tous les garçons que nous connaissions le faisaient sans complexe, et que nous ne le dirions Ă personne. NaĂŻvement avec leur jeunesse, ils semblaient croire ce gros mensonge.Après bien des palabres, et que nous leur ayons promis de les aider, ils consentirent Ă nous faire plaisir, sous la condition expresse que nous ne dirions rien Ă personne. Ce fut Ă ce moment une grande source de plaisir pour nous : nous nous rĂ©galerions de ce spectacle Ă venir, mais surtout notre plan prenait une bonne tournure. Une fois MickaĂ«l et Florian face Ă face sur la couverture, nous nous couchâmes collĂ©es derrière chacun d’eux. Nos mains prirent une des leurs pour l’approcher du sexe de leur camarade. Après le premier attouchement, et les premières caresses ils se dĂ©brouillèrent très bien sans nous. Alexia qui Ă©tait derrière Florian, lui appuya doucement sur les Ă©paules pour le faire descendre. Une fois le visage de celui-ci Ă hauteur de la virilitĂ© de MickaĂ«l, elle prit cette dernière dans sa bouche pour quelques allers retours, puis invita Florian Ă faire de mĂŞme. A notre grande surprise, il le fit sans difficultĂ©. Après plusieurs minutes, et sentant la jouissance imminente de MickaĂ«l, elle bloqua la tĂŞte de Florian pour qu’il ne puisse se dĂ©tourner. LĂ encore Ă notre plus grand Ă©tonnement, il but le plaisir de son ami sans dĂ©faillir. L’initiation buccale de MickaĂ«l se fit presque aussi facilement que celle de Florian.
La fin du week-end se passa gentiment, en nous faisant encore plus câlines. Pour les remercier davantage, nous .leur avions promis Ă chacun une soirĂ©e seul avec nous deux, ils en Ă©taient fous de joie d’avance.
Naturellement, cela faisait partie de la phase suivante de notre plan, nous avions dĂ©cidĂ© Alexia et moi qu’il serait plus facile d’arriver Ă nos fins en les rencontrant seuls. Aussi nous avions donnĂ© rendez vous Ă Florian en premier, car il nous avait semblĂ© que Florian serait plus facile Ă convaincre pour ce que nous avions prĂ©vu.
Le rendez vous fut donnĂ© le mardi suivant dans un bar oĂą nous avions nos habitudes. Afin de dĂ©sinhiber un peu Florian pour ce qui l’attendait, nous lui avions offert quelques verres d’alcool, puis nous sommes allĂ©s chez Alexia.
Une fois sur place, nous lui avons fait un torride strip-tease lesbien, puis nous l’avons dĂ©shabillĂ© tendrement.
Je lui proposai alors :
– Mets toi Ă quatre pattes, c’est une excellente position pour que l’on puisse te caresser partout.
Notre plan Ă©tait dĂ©jĂ rĂ´dĂ©, nous l’avions dĂ©jĂ rĂ©alisĂ© plusieurs fois avec d’autres garçons. Alexia s’occupait du cĂ´tĂ© pile, et moi de sa poitrine et de son service 3 pièces.
Chacune d’un cĂ´tĂ© de Florian, nous commençâmes par lui caresser l’intĂ©rieur des cuisses, dans le but de bien lui faire Ă©carter les genoux. Alexia se plaça ensuite derrière lui entre ses cuisses, ainsi positionnĂ©e elle l’empĂŞchait de les resserrer. Je commençai Ă lui câliner la poitrine en descendant tout doucement vers le sexe. Mon amie lui caressa rapidement le dos, puis les reins pour atteindre ce qui nous intĂ©ressait plus particulièrement : ses fesses.
Alexia débuta tendrement par tout le fessier, de droite à gauche, puis de gauche à droite, et ainsi de suite mais avec des gestes de moins en moins large. A la fin sa main faisait carrément du sur place, juste au milieu des fesses de Florian. A ce moment là , elle changea de sens pour aller de bas en haut, puis de haut en bas.
Pendant ce temps, je n’Ă©tais pas restĂ©e inactive, j’alternais caresses manuelles et buccales. Florian Ă©tait dĂ©jĂ fort excitĂ© par mon manège.La technique d’Alexia Ă©tait assurĂ©e. En descendant, son majeur caressait le sillon, et les autres doigts frĂ´laient 2 par 2 chaque fesse. Mais en remontant beaucoup plus doucement, le majeur appuyait plus fermement entre les deux globes, particulièrement sur son petit trou.Au dĂ©but Florian ne semblait guère y prĂŞter attention. Mais au fur et Ă mesure de ses caresses, Alexia s’attardait plus nettement en plein centre, et finit par ne plus le quitter. Florian marqua alors une pose dans son excitation. Je dus trouver les mots justes pour le rassurer, mais surtout m’activer sur son sexe dressĂ©, avec mes lèvres et ma langue. Je sentis que le majeur d’Alexia Ă©tait arrivĂ© Ă ses fins, c’est-Ă -dire pĂ©nĂ©trer entièrement dans le petit trou, quand Florian voulu se redresser.Je m’empressai de le fĂ©liciter, en lui faisant remarquer que d’autres l’avaient dĂ©jĂ fait avant lui, et que dans quelques minutes il dĂ©couvrirait un nouveau plaisir.LĂ encore, je dus employer la bonne formule, car il me fit comprendre de reprendre ce que j’avais commencĂ©. Je m’y employai bien Ă©videmment encore plus activement. Aux mouvements du corps de Florian, je compris que le doigt d’Alexia avait maintenant pris pleine possession du lieu, et s’activait d’avant en arrière. La partie Ă©tait presque gagnĂ©e, d’autant que Florian ne semblait plus choquĂ© par cette pĂ©nĂ©tration si particulière pour un garçon. Il me semblait par ailleurs ĂŞtre encore plus dur et plus long.Alexia avait maintenant un deuxième doigt qui avait rejoint son majeur, Florian avait l’air de commencer Ă y prendre goĂ»t. Les petits verres pris au bar nous avaient bien aidĂ©s.C’Ă©tait le moment pour moi d’une nouvelle intervention. ArrĂŞtant ma fellation, je sortis mon vibro masseur et commençai Ă lui caresser les bourses avec l’appareil. Florian parut surpris mais se laissait faire avec complaisance. Puis j’allai de ses bourses Ă son sexe plusieurs fois, avant de laisser l’olisbos Ă Alexia.Cette dernière remplaça rapidement ses doigts par l’appareil vibrant, et repris de plus belle ses mouvements de pĂ©nĂ©tration. J’avais arrĂŞtĂ© toute caresse sur son sexe Ă prĂ©sent, Florian semblait toujours aussi excitĂ©. Quelques minutes plus tard, alors que je lui caressais le reste du corps uniquement avec mes seins, le travail d’Alexia trouva sa rĂ©compense, Florian se libĂ©ra dans un grand spasme. Nous avions gagnĂ© cette bataille.Après avoir repris son souffle, il nous avoua que ce qu’il venait de subir lui avait bien plu. Après la fellation sur MickaĂ«l, nous lui avions permis de vaincre un autre tabou.L’initiation de MickaĂ«l vint deux jours plus tard, avec le mĂŞme mode opĂ©ratoire. Je ne sais pas si Florian lui avait parlĂ© de sa soirĂ©e, mais dès les premières approches d’Alexia, il sembla se bloquer complètement. Il nous fallu force de persuasion pour arriver Ă nos fins, notamment lui faire comprendre que Florian avait beaucoup apprĂ©ciĂ© cette soirĂ©e. Si pour ce dernier, il nous avait fallu Ă peine une heure, nous dĂ»mes batailler prĂ©s de trois avec MickaĂ«l pour un rĂ©sultat presque aussi bien. Le week-end d’après, nous avons retrouvĂ© les garçons avec chacun un prĂ©sent pour eux. Nous leur avons expliquĂ© qu’ils nous avaient fait Ă©normĂ©ment plaisir lors de ces dernières rencontres, et que c’Ă©tait normal qu’on leur fasse un cadeau Ă notre tour. En dĂ©ballant la dernière console de jeux dont ils rĂŞvaient, ils sautèrent de joie comme des gamins. C’est avec une partie de l’argent que nous gagnions grâce Ă eux, que nous avions pu acheter ces jeux. Notre petit « commerce » continuait de marcher Ă merveille, autant les filles que nos deux amis Ă©taient heureux de l’arrangement. MickaĂ«l et Florian ignoraient toujours qu’ils nous rapportaient de l’argent. Après avoir reçu ces cadeaux, les garçons Ă©taient plus amoureux que jamais.Lors de la rencontre suivante, nous leur avons demandĂ© de refaire une petite sĂ©ance comme celle avec le vibro masseur. Mais cette fois nous voulions que ce soit leurs sexes qui jouent le rĂ´le de l’appareil. En clair, nous voulions les voir se sodomiser l’un l’autre. Une nouvelle fois ce ne fut pas aisĂ© d’arriver Ă nos fins, mais le fait qu’ils nous aient dĂ©jĂ pris de cette manière nous aida grandement, ils avaient beaucoup apprĂ©ciĂ© cela. Nous leur avions Ă©galement expliquĂ© que ce serait beaucoup plus agrĂ©able pour tous les deux, qu’avec un gadget en plastique.Une nouvelle fois, ce fut Florian que nous dĂ©signâmes pour ĂŞtre pĂ©nĂ©trĂ© le premier, c’est lui qui avait eu l’air d’apprĂ©cier le plus les soirĂ©es chez Alexia. Lorsque MickaĂ«l eut pris son plaisir entre les reins de son ami, nous leur avons fait quelques câlins avant d’inverser leurs rĂ´les. LĂ encore, MickaĂ«l fut un peu plus rĂ©ticent que Florian. Mais ce dernier vint Ă notre rescousse, en expliquant que si lui l’avait fait, il Ă©tait normal que MickaĂ«l se laisse faire Ă son tour. A notre grand Ă©tonnement, une fois l’affaire faite, MickaĂ«l dĂ©clara qu’il Ă©tait vrai que c’Ă©tait mieux qu’avec le vibro.Ils Ă©taient maintenant prĂŞts pour la suite, mĂŞme si nous n’avions pas encore rĂ©ussi Ă les faire s’embrasser sur la bouche. Nous avions pris Ă prĂ©sent l’habitude de nous retrouver chez Alexia, et le lendemain nous leur avions apportĂ© un nouveau prĂ©sent, pour les remercier du spectacle de la veille. Le lecteur MP3 qu’ils reçurent chacun, les enchanta une fois de plus.
Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, d’autant que les garçons nous avaient assurĂ© qu’on pouvait leur demander ce qu’on voulait.Comme nous leur avions assurĂ© que de les voir faire l’amour ensemble nous excitait au maximum, nos journĂ©es de rencontres commençaient toujours par un petit spectacle entre eux.
Ayant vu que nous avions tenus nos promesses de silence, et grâce aux consoles de jeux et aux baladeurs, ces derniers commençaient Ă mieux apprĂ©cier leurs relations physiques. Nos Ă©bats suivants n’en n’Ă©taient que plus exaltĂ©s. Fidèles Ă notre plan, Ă chaque nouveau week-end nous leur apportions un petit cadeau, moins onĂ©reux que les premiers bien sĂ»r.
Après quelques sĂ©ances, j’ai rapportĂ© mon appareil photo pour les prendre en pleins Ă©bats. LĂ encore, il fallu discuter ferme, mais cette fois ils furent plus facile Ă convaincre. Pendant qu’ils se donnaient du plaisir, je n’avais de cesse de les prendre dans des poses les plus excitantes possibles.Nos rencontres Ă prĂ©sent avaient pris un nouveau tour, il Ă©tait de moins en moins frĂ©quent que nous leur fassions l’amour. Leurs Ă©bats ensemble, et les rencontres avec « nos amies » semblaient les satisfaire pleinement. De notre cĂ´tĂ©, nous Ă©tions Ă©galement enchantĂ©es de cet Ă©tat de fait. Lorsque nous Ă©tions seules, nous poursuivions nos petits Ă©bats entre filles, et nous prenions plus de plaisir entre nous qu’avec eux. Mais notre idĂ©e finale n’avait pas encore abouti, et ce furent eux qui un jour donnèrent un coup d’Ă©lan Ă notre plan.- Vous nous apportez toujours des cadeaux, mais nous n’avons pas les moyens d’en faire autant.- Si vous le dĂ©sirez, nous pouvons vous faire gagner un peu d’argent de poche.L’appât de l’argent Ă©tait très fort pour eux, d’autant que nous leur avions fait miroiter de belles sommes Ă gagner. Ils semblaient très intĂ©ressĂ©s.- Nous avons montrĂ© vos photos Ă certains de nos amis, et ils seraient prĂŞts Ă vous rencontrer. Ce sont des garçons sympa et très gĂ©nĂ©reux.Les garçons avaient ouvert de grands yeux en dĂ©couvrant notre proposition, le mot homosexuel, qui pour l’instant n’avait pas semblĂ© les interpeller, leur Ă©tait arrivĂ© en pleine face.Une nouvelle fois, il fallu tergiverser longuement en dĂ©taillant tous les avantages, en leur expliquant qu’ils faisaient dĂ©jĂ cela entre eux, et que maintenant ce n’Ă©tait plus qu’un petit cap Ă passer. Pour finir de les convaincre, nous leur avons proposĂ© d’essayer une fois en notre compagnie, et que s’ils ne voulaient pas, nous n’insisterions plus. Cette dernière proposition leur paru rassurante.Pour cette première j’en avais parlĂ© Ă Nicolas, un garçon homo que je connaissais, qui Ă©tait un peu plus âgĂ© qu’eux, de plus il me devait un service. Alexia et moi qui lui avons expliquĂ© ce que nous attendions de lui, il fut enchantĂ© par notre proposition, d’autant qu’il n’avait jamais fait l’amour Ă trois.Le soir dit, en voyant arrivĂ© leur « client », MickaĂ«l et Florian furent rassurĂ©s, n’Ă©tant âgĂ© que de quelques annĂ©es de plus qu’eux, il aurait pu ĂŞtre un de leurs copains. Après avoir goĂ»tĂ© le champagne pour fĂŞter cette première, les trois garçons trouvèrent rapidement un sujet de discussion commun : les jeux vidĂ©o dont tous trois Ă©taient accros. Mais ce n’Ă©tait pas le but final qu’Alexia et moi nous nous Ă©tions fixĂ©.- Si l’on faisait un « Strip As ?». Proposai-je après un moment.La règle du jeu basĂ©e sur le strip-tease n’Ă©tait pas compliquĂ©e. Avec un jeu de cartes, on distribuait tour Ă tour Ă chacun une carte, face visible. Celui qui recevait le premier As serait celui qui perdrait un vĂŞtement. Le second As dĂ©signerait le dĂ©shabilleur, et enfin le troisième indiquerait celui qui choisirait le vĂŞtement Ă Ă´ter. Naturellement nous avons jouĂ© avec eux Ă ce jeu, mais lĂ s’arrĂŞterait notre participation, Nicolas Ă©tait venu uniquement pour les garçons.
Nous avions dĂ©cidĂ© avec Alexia que pendant que les garçons s’occuperaient ensemble, nous ferions quelques photos pour enrichir nos albums.Lorsque nous fĂ»mes nus tous les cinq, j’annonçai qu’il Ă©tait temps de passer aux choses sĂ©rieuses, et de demandai Ă Nicolas ce qui lui ferait plaisir. PrĂ©sentant dĂ©jĂ une superbe Ă©rection, et voulant entrer directement dans le vif du sujet, il dĂ©clara :- J’aimerais que MickaĂ«l et Florian commencent par me faire une petite gâterie.Il se leva et invita nos deux amis Ă se mettre Ă genoux devant lui. Florian pris immĂ©diatement la pose demandĂ©e, MickaĂ«l sembla hĂ©siter un instant, puis voyant nos yeux furibards, il imita son camarade.Nicolas pris chacun des garçons par la chevelure, et leur imposa la cadence qu’il souhaitait, allant d’une bouche Ă l’autre.
Après un moment, il leur demanda.- Caressez-moi avec vos langues Ă prĂ©sent.LĂ aussi il dirigea les tĂŞtes Ă sa convenance. Les deux langues allaient et venaient selon le bon vouloir des mains qui les guidaient. Plusieurs fois, elles arrivaient en contact l’une de l’autre, comme attirĂ©e par le bout de la hampe. Cela semblait Ă©normĂ©ment plaire Ă Nicolas qui, Ă un moment donnĂ©, se recula en intimant aux deux garçons.- Embrassez-vous pleine bouche. Et sous nos yeux stupĂ©fiĂ©s, ils acceptèrent la demande en se roulant une magnifique pelle.Alexia et moi n’en revenions pas, Nicolas avait rĂ©ussi Ă leur faire faire ce qu’ils nous refusaient Ă chaque fois que nous leur avions demandĂ©.Puis Nicolas reprit le mouvement initial en pĂ©nĂ©trant chaque bouche de son sexe. Il se libĂ©ra quelques instants plus tard en essayant de partager Ă©quitablement sa semence.
Nous avions pendant tout ce temps lĂ rĂ©alisĂ© de magnifiques clichĂ©s, sans que nos deux amis n’aient l’air choquĂ©s.Le trio vint nous rejoindre ensuite sur le canapĂ© pour une courte pause, le temps de prendre une ou deux coupes de champagne.Nicolas voulu terminer sa soirĂ©e en prenant l’un des deux garçons par derrière, prenant que lui-mĂŞme se ferait prendre par le second. C’est naturellement Florian qui se proposa pour recevoir Nicolas, alors que MickaĂ«l « fermerait la route ».Ce fut alors un Ă©trange ballet de corps masculins qui se dĂ©hanchaient devant nous, en essayant tous trois de suivre le mĂŞme rythme.
Nicolas se lâcha le premier, suivi de très près par MickaĂ«l. Lorsque ce dernier se retira de Nicolas, celui-ci retourna Florian pour lui faire une fellation. Nicolas avait du cœur, il voulait que Florian ait lui aussi sa part de plaisir.
Avant de partir Nicolas nous laissa discrètement une belle somme d’argent, il avait Ă©tĂ© très satisfait par les garçons, et davantage d’avoir pu rĂ©aliser son rĂŞve Ă trois.Au dĂ©briefing, ils nous avouèrent que ce fut plus facile qu’ils ne l’auraient jugĂ©, et qu’avec quelqu’un qu’ils ne connaissaient pas auparavant, ils pensaient que cela aurait Ă©tĂ© plus difficile. En voyant ce qu’ils avaient gagnĂ©, ils furent encore plus heureux. Nous avions bien Ă©videmment, Alexia et moi, pris une belle commission au passage.- Vous ne gagnerez pas autant Ă chaque fois, Nicolas a Ă©tĂ© particulièrement gĂ©nĂ©reux avec vous. Leur annonça Alexia pour calmer leur ardeur fiduciaire.Ils acceptèrent qu’on leur trouve d’autres amis, Ă condition que cela reste toujours discret, et qu’ils ne soient pas plus âgĂ©s.Pour la discrĂ©tion, il n’y avait pas de problème, nous n’avions pas envie d’ĂŞtre ennuyĂ©es par qui que ce soit, et nos clients ne tenaient pas beaucoup Ă de la publicitĂ©. Sur la question d’âge, nous leur avons expliquĂ© que les garçons de leur âge n’avaient pas besoin de payer, et nous nous sommes engagĂ©es Ă en trouver qui n’auraient pas trop de diffĂ©rence avec eux.
Bien Ă©videmment, nous leur avons prĂ©sentĂ© plusieurs fois d’autres amis, en prenant naturellement notre pourcentage Ă chaque fois. Ca, ils n’en n’Ă©taient pas au courant non plus, d’autant que les « clients » mâles donnaient gĂ©nĂ©ralement beaucoup plus que nos amies.La vie Ă©tait belle, nous avions de beaux et bons amants entièrement dĂ©vouĂ©s, et notre pĂ©cule grandissait de jour en jour.Nos relations ont continuĂ© encore de nombreuses semaines avec MickaĂ«l et Florian, jusqu’Ă ce qu’ils dĂ©couvrent que nous gagnions de l’argent avec les filles et les garçons que nous leur prĂ©sentions. Mais surtout ce qu’ils n’ont pas apprĂ©ciĂ©, c’est que nous avions d’autres « poulains » sous notre coupe, que l’on commençait Ă dresser eux aussi.Nous les avons revus sĂ©parĂ©ment quelques mois plus tard, ils ne nous en voulaient plus. Au contraire, ils nous Ă©taient reconnaissants de les avoir initiĂ©s, et de leur avoir fait connaĂ®tre beaucoup de monde. MickaĂ«l nous surprit beaucoup en nous avouant qu’il partageait sa vie avec un autre garçon. Des deux, c’est lui qui nous avait semblĂ© prendre le moins de plaisir avec les garçons.
Florian quand à lui, vivait avec une femme beaucoup plus âgée que lui. Il admit aimer être soumis, dominé et humilié par cette femme de caractère.Décidément, ils avaient bien changé nos petits puceaux.