Cela faisait maintenant quelques temps que je voyais rĂ©gulièrement JĂ©rĂ´me après mes cours. Je passais deux folles heures en sa compagnie deux fois par semaines mais cela ne nous suffisait pas… Nous devenions petit Ă petit accro l’un Ă l’autre… Et puis, un dimanche soir, alors que nous discutions ensemble au tĂ©lĂ©phone en se cherchant l’un l’autre, comme Ă notre habitude… Je lui soutenais que les hommes sont par nature plus faibles que les femmes (rires)… Et bien sĂ»r, lui n’Ă©tait pas du tout d’accord… Je dĂ©cidais de lui donner un exemple très explicite…
– Alors si je viens me glisser nue dans ton lit, tu pourrais rĂ©sister Ă la tentation de me sauter dessus ? – Mais parfaitement, je pourrais très facilement rĂ©sister !!
-Tu sais que ce n’est pas beau de dire des mensonges… Mais puisque tu es autant convaincu, parions !! Un simple pari d’ami… D’accord ?
-Ma chĂ©rie, ton Ă©go va prendre un sacrĂ© coup… Pari tenu !!!
-Tu es libre demain matin ? Je commence Ă 10h… Je te propose de passer te rĂ©veiller avant d’aller en classe… On verra si tu arrives Ă rĂ©sister !
-A demain matin alors, parce que je t’attends de pieds fermes !!! » Ce pari n’Ă©tait bien sĂ»r qu’un prĂ©texte pour se voir mais le jeu devenait plus piquant puisque nous devions chacun essayer de pousser l’autre Ă bout tout en Ă©vitant de craquer nous-mĂŞmes… En me couchant ce soir lĂ , je pensais Ă toutes les choses imaginables que je pourrais faire pour qu’il craque… Mes rĂŞves furent peuplĂ©s de fantasmes très coquins que je vous raconterai peut-ĂŞtre un jour…Le lendemain matin, j’arrivais devant chez lui… Je composais le code et sonnais Ă l’interphone… J’entendis sa voix Ă peine rĂ©veillĂ©e me dire de monter… J’arrivais devant la porte de son appartement et elle Ă©tait entrouverte… Je la poussais doucement et entrais sur la pointe des pieds… Il faisait assez sombre puisque les volets Ă©taient tous fermĂ©s… Je dĂ©cidais d’Ă´ter quelques vĂŞtements parce que la victoire ne serait que meilleur si j’arrivais Ă le faire craquer sans ĂŞtre complètement nue… Je me glissais donc sous la couette ne portant que des bas accompagnĂ©s d’un joli string noir sexy… Je savais que lorsqu’il se rendrait compte que je n’avais pas de soutien gorge, cela le rendrait fou… Les bas aussi le font craquer… Je cherchais vraiment Ă mettre ses nerfs Ă rude Ă©preuve… Je vins donc me blottir contre lui en faisant comme si de rien n’Ă©tait, en jouant l’innocente…
On s’embrassa tendrement comme pour se dire bonjour mais pour l’instant il ne se passait rien… Il ne rĂ©agissait pas mais je savais qu’Ă un moment ou Ă un autre il n’en pourrait plus d’attendre… Il me suffisait d’attendre patiemment… Comme pour montrer que j’avais tout mon temps je me tournai vers l’extĂ©rieur du lit, dos Ă lui… Il me suivit rapidement, me serrant dans ces bras, comme pour me protĂ©ger… Ce moment fĂ»t dĂ©licieux Ă©motionnellement parlant… Je sentais son bras autour de ma taille… Au dĂ©but complètement immobile, il se mit lentement en mouvement… Commençant par remonter doucement vers mes seins comme pour vĂ©rifier si je portais un soutien-gorge… Lorsque sa main effleura ma douce poitrine, il la retira brusquement… J’imagine qu’il prĂ©fĂ©rait s’Ă©loigner de la source de tentation… Je sentis sa main de nouveau caresser ma taille et aller en descendant cette fois-ci… Il croisait mon string sans s’y attarder et continuait de descendre lentement… IntĂ©rieurement, il savait que je portais des bas mais il voulait en avoir le cœur net… Et lorsqu’il en fĂ»t sĂ»r, je sentis son membre virilement tendu dans mon dos… Il allait craquer, il Ă©tait Ă deux doigts… Mais il est plus coriace que je ne le pensais… Il se recula pour se dĂ©coller de moi… Ce n’Ă©tait pas bon pour moi, car le sentir bander m’avait excitĂ©… Après tout il Ă©tait dans mon intĂ©rĂŞt qu’il craque… Alors je revenais Ă la charge, me retournant vers lui et venant poser ma tĂŞte sur son torse… J’entendais son cœur battre plus vite… Mais il ne rĂ©agissait toujours pas… Alors j’enlevais mon string en faisant bien en sorte qu’il le remarque… Cela lui faisait de l’effet car je remarquais aisĂ©ment que son caleçon Ă©tait tendu au maximum imaginable… Il devait se sentir horriblement Ă l’Ă©troit… je lui suggĂ©rais donc (toujours de manière innocente !!) qu’il devrait se mettre Ă l’aise et donc retirer son caleçon puisqu’il le gĂŞnait… Mais il refusa catĂ©goriquement, il Ă©tait dĂ©cidĂ© Ă se tenir tranquille mais il Ă©tait hors de question pour moi de repartir bredouille…
Je passais donc Ă la vitesse supĂ©rieure… J’Ă©tais sur le dos, les jambes repliĂ©es et Ă©cartĂ©es… Je passais ma main sur mon petit bouton rose, et je descendais lentement jusqu’Ă atteindre mon jardin secret, j’Ă©tais trempĂ©e et je le savais depuis longtemps dĂ©jĂ mais je voulais que lui, le sache Ă son tour… Alors je dĂ©cidai d’y aller franchement :
-Je suis toute trempée !!!!
-Hein ??!! Quoi ??!! Pourquoi tu me dis ça ?
-Mais pour rien… Rendors-toi… Hummm j’ai envie de me caresser….
-T’es pas sĂ©rieuse lĂ !!!??
-Ohhh oui, c’est bon, si tu savais !!! Il devenait fou mais je jubilais, d’une part parce que je le sentais craquer, et d’une autre part parce que mes caresses Ă©taient jouissives… Je continuais donc de plus belle, ma respiration Ă©tait saccadĂ©e mais je m’empĂŞchais de gĂ©mir pour ne pas faire flancher son cœur (rires)… Mon bassin s’animait petit Ă petit d’un mouvement circulaire au rythme des va-et-vient que mes doigts faisaient dans mon vagin… Il me regardait, et pouvait lire le plaisir dans mes yeux… Ces yeux qui l’invitaient Ă venir se joindre Ă cette partie… Rien ne pouvait plus l’exciter Ă ce moment-lĂ … Mais je fus dans le mĂŞme Ă©tat lorsque je remarquai qu’il se branlait en me regardant me caresser… Je lui posais la question avec une voix de cochonne :
-Tu vas bien ??
-Je…Je n’en peux plus !!! Il se pencha sur moi et remplaça mes doigts qui me pĂ©nĂ©traient profondĂ©ment par les siens… Je le sentais aller et venir en moi, cette sensation me rendait dingue… J’adorais le fait qu’il contrĂ´le la situation mais pour une fois j’avais aussi envie de mener la danse… Je retirais sa main et me mit Ă califourchon sur lui…-Tu as perdu alors tu n’as plus aucun droit…. Il se laissa complètement faire… Je l’embrassai tendrement, d’abord sur les lèvres, puis dans le cou, sur les Ă©paules et je descendais tout doucement… Le torse, le ventre, le nombril… Il savait pertinemment ce que je voulais lui faire mais je voulais le rendre fou… ArrivĂ©e au nombril je descendais encore plus lentement, je touchais presque au but mais je ralentissais encore plus, je mettais sa patience Ă rude Ă©preuve… Et d’un coup, d’un seul, il m’attrapa par les cheveux et m’enfonça son gland dans la bouche… Ce geste m’avait vraiment excitĂ© mais j’avais dĂ©cidĂ© de mener la danse…
-Si tu recommences, j’arrĂŞte !! Je sentais son Ă©treinte se relâcher… Mais bon je n’allais pas reculer puisque son gland Ă©tait plein de ma salive… Je l’engloutis de nouveau pendant que ma main tenait fermement la base de sa hampe… Puis comme possĂ©dĂ©e, je fus animĂ©e d’un mouvement presque impossible Ă stopper de va-et-vient de plus en plus profond… Je l’entendais me supplier d’arrĂŞter… Qu’il n’allait plus pouvoir se contrĂ´ler… Je pensais que cela voulait dire qu’il ne pourrait s’empĂŞcher de dĂ©charger dans ma bouche… Mais cela signifiait qu’il ne pourrait plus rĂ©frĂ©ner sa bestialitĂ© encore longtemps… M’attendant Ă ce qu’il jouisse dans ma bouche, je continuais le mouvement de plus belle… Il se redressa net, me retournant avec une facilitĂ© presque anormale… – Je t’avais prĂ©venu que je ne pourrais plus me contrĂ´ler… Advienne que pourra !! Cette situation m’excitait au plus haut point et j’avais envie de sexe, et puis lorsque JĂ©rĂ´me Ă©tait aussi dĂ©cidĂ© Ă faire quelque chose, mieux valait ne pas l’en empĂŞcher… Je me laissais donc faire… Il percha mes jambes sur ses Ă©paules et me pĂ©nĂ©tra en entier d’un seul coup… Nos cris respectifs retentirent se mĂŞlant pour former une sauvage mĂ©lodie… LĂ , je dois vous avouer que j’en ai pris pour mon grade (rires)… Il me limait comme jamais il ne l’avait fait car la douleur que j’avais ressentie après notre première rencontre (cf. Premières Jouissances), n’Ă©tait mĂŞme pas comparable Ă ce que je ressentais Ă ce moment… Ses grands coups de bassin, s’accompagnaient de cris bestiaux qui m’auraient sĂ»rement fait fuir dans d’autres circonstances… A chaque percĂ©e que son membre effectuait, je croyais dĂ©faillir tant le plaisir que je ressentais Ă©tait intense… Je n’essayai mĂŞme pas de retenir l’orgasme car mĂŞme si j’avais essayĂ© je n’aurai pas rĂ©ussi… Et mon corps fĂ»t soudain pris de violents spasmes presque incontrĂ´lables… Ce puissant et violent orgasme m’assomma tant que j’en avais oubliĂ© mon prĂ©nom… Il se retira, abandonnant mon corps inerte sur le lit qui semblait avoir Ă©tĂ© tĂ©moin d’une fĂ©roce bataille… Il me regardait car l’Ă©tat dans lequel il m’avait mis lui offrait un sentiment de triomphe…
-Tu vois ce qui arrive quand tu me cherches… Reprends rapidement ton souffle car je n’en ai pas encore fini avec toi… A peine remise, il me retourna comme une crĂŞpe, me relevant pour que je sois Ă quatre pattes… Il m’Ă©carta les jambes et je le senti me pĂ©nĂ©trer centimètre par centimètre… Comme pour se dĂ©lecter du plaisir qu’il ressentait… J’appris plus tard qu’il avait agi ainsi pour pouvoir graver cette image dans sa tĂŞte, se rappeler ce moment toute sa vie… Je le sentais entièrement enfoncĂ© en moi… Son bassin recommença Ă cogner contre moi de nouveau… Hurlant des mots crus, il me massacrait littĂ©ralement… J’eus plusieurs autres orgasmes dont il ne me laissa pas le temps de me remettre… Mais je sentais qu’il avait de plus en plus de mal a se contrĂ´ler… A ce rythme, il ne tiendrait pas longtemps… Il ralentissait lĂ©gèrement l’allure mais je voulais sentir cette chaleur m’envahir de l’intĂ©rieur… Alors rassemblant les faibles restes de force que j’avais, je le forçai Ă revenir Ă une allure plus soutenue en accompagnant son mouvement…
-Je vais jouir !!!! Je vais Jouiiiiirrrrr !!!! Il se retira et jouit sur mes fesses… Je sentais sa chaleur se dĂ©verser jusque dans le creux qu’avait formĂ© mon dos en se cambrant durant la pĂ©nĂ©tration… J’Ă©tais comme vidĂ©e de mon Ă©nergie… Je retombais sur le ventre pendant qu’il m’essuyait les fesses et le dos…
-Tu es contente ? Tu as gagnĂ©…
-Je suis trop jeune pour mourir… Tu voulais que mon cœur s’arrĂŞte ou quoi ??
-Je ne dirais qu’une seule chose : parfois le lot du perdant est plus intĂ©ressant que celui du gagnant… Dit-il en Ă©clatant de rire… Nous nous endormĂ®mes tous les deux, l’un dans les bras de l’autre… Une dĂ©licieuse odeur de crĂŞpe me rĂ©veilla… J’eus droit Ă un petit dĂ©jeuner au lit en bonne et due forme… J’avais complètement oubliĂ© que je devais aller en classe… Mais il Ă©tait dĂ©jĂ presque midi… Il Ă©tait trop tard… Nous refĂ®mes l’amour de manière moins abrupt après notre petit dĂ©jeuner… Nous avons passĂ© toute la journĂ©e au lit… Et le soir il me raccompagna jusqu’Ă la maison… Ce fĂ»t un rĂ©veil mĂ©morable !!