Nous sommes au début décembre 2006. Mon épouse et moi avions planifié pour notre septième anniversaire de mariage une soirée un peu olé olé ! Mais je ne savais pas à quel point. Nous avions réservé une chambre dans un hôtel qui se spécialise dans des thèmes. Nous, nous avions la Diablo : chambre avec mezzanine, large bain-tourbillon, très grand lit, miroirs partout, divan rouge en un cuir de qualité, écran géant pour films pornos, boule disco en miroir, le tout d’un rouge vif pour exciter les sens. Ah oui ! Une cage avec poteau de danseuse et petit fauteuil pour le spectateur.J’avais réservé pour l’occasion un restaurant italien pour bien démarrer la soirée. Ce que je ne savais pas, c’est que ma femme avait d’autres idées en tête, elle me fait souvent des surprises. Il faut dire que mon épouse Linda est une plantureuse femme, qui il y a quelques années se produisait comme strip-teaseuse. Eh oui, j’ai cette chance ! Malgré ses 45 ans que l’on ne lui donne pas, elle fait tourner les têtes des hommes et même des femmes. Elle est tout à fait bisexuelle, et je vis bien avec cela.Au restaurant, voilà que son portable sonne. Elle parle à une amie et elle lui indique le chemin pour se rendre à notre hôtel. Elle me précise que c’est Karine, son amie de travail lorsqu’elle travaillait pour une école il y a quelques mois de cela. Je connais bien Karine, elle a 35 ans et son ami Claude est un garçon charmant, qui me semble un peu hyper-excité mais drôle. Je sais que ce couple s’adonne à l’échangisme sans pénétration, c’est-à-dire qu’on peut tout faire et tout se faire faire mais sans pénétrer la femme de l’autre. Je tiens ces informations de ma femme qui à des conversations disons… personnelles avec Karine.Karine est une splendide blonde aux yeux bleu glacier. Ma femme aime les blondes. Karine est mince avec un cul à faire rêver, pas une grosse poitrine mais bien là, de longues cuisses filiformes, bref un joli brin de fille. Claude est quant à lui beau gosse, pas aussi grand que moi, mais plus jeune… Le salaud !Voilà que j’apprends que Karine veut voir notre chambre. Il est vrai que pour la somme de 300 $, ce n’est pas une chambrette de passe, et Karine a l’intention de louer une chambre semblable. Il est vrai aussi que ces chambres sont très demandées, car on avait réservé en octobre et il n’en restait qu’une seule. Ma femme m’indique qu’ils ne resteront pas longtemps, mais je connais bien ma femme, alors je lui mentionne que l’on devrait acheter deux autres bouteilles de champagne, juste au cas où.Arrivés à notre chambre, on débouche une première bouteille de champagne et au son d’un slow, on danse tout doucement en se disant la chance que l’on a de s’aimer. Voilà que ça sonne à la porte. C’est Claude et Karine en tenue de soirée, car eux aussi avaient une fête pour Noël. Karine comme toujours éclatait par sa beauté avec sa robe au décolleté plongeant et fendue à la cuisse.Karine regarde partout et visite la chambre pendant que je sers à Claude une coupe de champagne. Claude me fait la remarque que c’est un endroit qui incite au péché et à la luxure. Je vois les deux filles monter à la mezzanine dans le petit escalier en colimaçon, puis j’entends Karine qui s’esclaffe d’admiration sur les costumes et déshabillés que ma femme projette de porter durant notre soirée.Et c’est là que tout a basculé…Comme toujours, j’ai ma caméra avec moi et voyant cela, les filles veulent faire du shooting un peu grivois. Nous les gars, on en était tout à fait ravis. Le champagne coule à flot et les filles se changent tour à tour en collégiennes avec des petites jupes courtes, en déshabillé vaporeux. Moi je prends des photos et Claude les encourage à se coller et même se toucher. Connaissant ma femme elle ne devrait pas dire non.Deux bouteilles de champagne plus tard, elles sont en string et seins nus. Pour les besoins de la photo, les langues se touchent et les seins aussi. Puis vient l’idée de prendre un bain de mousse dans le tourbillon. Ouf ! Les filles sont nues, Karine et Linda s’embrassent à grande bouche ouverte. Les voilà enveloppées de mousse et entrelacées. C’est tout à fait bandant et Claude encourage Karine à se laisser aller. Je tamise les lumières et Claude se déshabille en disant qu’il veut voir ça de près et m’invite à en faire autant. Je vois Claude à poil. Je n’ai pas d’attirance physique marquée pour les hommes, mais j’ai déjà eu des aventures homosexuelles dans le passé, et plus qu’une fois. Alors je ne déteste pas voir un beau mec nu.Claude est bel homme, il va sans dire. Je vois son pénis à demi-dur et ce n’est pas si mal. Il se glisse dans la mousse sans toucher aux filles, qui continuent à s’embrasser et je sais que ma femme doit avoir un ou deux doigts dans la chatte de Karine, car celle-ci se lamente quelque peu. Depuis le temps qu’elles se le promettaient, c’est enfin arrivé. Claude me fait signe de le rejoindre. Je suis nu et Claude me jette un œil furtif et je sais qu’il a vu ma queue qui n’était pas loin de l’érection complète. Sans me vanter, ma vieille queue fait pas loin de 18 centimètres quand elle est choquée.Nous sommes dans le bain et nous contemplons le spectacle saphique devant nous. Puis, sans gêne, Karine sort de l’eau, s’installe dans le coin de la baignoire et ouvre largement ses longues cuisses. Elle passe et repasse doucement sa main sur sa chatte rose et rasée. Elle n’a d’yeux que pour Linda. Nous, on a beau sifflé, crié, elles ne nous entendent pas. Ma femme se met à lécher et brouter cette jolie chatte offerte à elle. Habilement, elle étire les lèvres du sexe de Karine. Ses jolies fesses sortent de l’eau savonneuse. Je passe ma main doucement sur sa croupe, mais elle m’indique de sa main, pas touche. On fait, Claude et moi, un commentaire, mais qui est resté sans effet.Karine se lamente de plus en plus fort, c’est hyperbandant de regarder ça. Je constate que Claude, sous la mousse, se caresse la queue et j’en fais tout autant. Karine jouit carrément devant nous. Quel spectacle ! Puis, c’est le tour de ma femme de s’installer tout écartelée devant nous et celui de Karine de lui bouffer la chatte à son tour. Claude, lui aussi, passe sa main sur le beau cul de Karine qui à son tour repousse la caresse. Ma femme se pince les mamelons et ne regarde que la bouche de Karine qui la suce. J’avais déjà vu ma femme avec une autre femme, mais là, c’était très intense.Ma femme jouit à son tour et s’empresse d’embrasser Karine. Elle lui chuchote quelque chose à l’oreille et les deux filles quittent le bain devant nos bouches bées. Elles montent le petit escalier couvertes de mousse et nous font un petit bye bye ! Claude et moi, on se regarde et un peu abasourdi, Claude se lève et dit :Je me lève aussi et je lui dis que moi aussi. Claude a une magnifique queue même si elle est un peu plus petite que la mienne. Il me fait la remarque que pour mon âge je suis en très grande forme. On rit comme des collégiens.Claude m’indique d’aller en haut pour continuer de regarder le spectacle. Il monte devant moi et j’ai ses fesses à quelques centimètres de ma figure. C’est à ce moment que l’idée de me le faire m’est apparue. Mais je sais que Claude n’est pas bisexuel comme sa Karine. En haut, les filles sont au lit. Linda est sur Karine et se délecte de ses petits seins comme des prunes. Karine a les genoux remontés et Linda est entre ses cuisses.Le spectacle est ravissant. Nous sommes là, au pied du lit, queues bandées, l’air penaud, on dit rien. Nos queues se dégonflent un peu. Et c’est à ce moment que j’ai commis ce geste. Je me penche un peu vers l’arrière et je contemple les fesses imberbes et rondelettes de Claude. Je lui caresse d’une main ferme la fesse gauche. Il dit rien, il ne bronche pas. Je m’attends à une claque sur la gueule ou un coup de coude au ventre. Mais non, il dit ;— Tu as déjà été avec un homme, toi ?Je lui réponds que oui, mais que cela faisait bien longtemps et bien avant de connaître Linda. Il me répond à son tour qu’il fantasme là-dessus depuis longtemps, mais qu’il n’ose pas. Mon cœur bat fort dans ma poitrine. Je lui mentionne que le sexe entre hommes est très différent. Je lui fais signe de regarder nos deux femmes qui sont maintenant en 69. Je lui dis que c’est juste du sexe et du pur plaisir. Il me sourit et me fait signe d’aller en bas. En descendant, on entend nos femmes geindre de plaisir ce qui fait rire Claude brièvement.Nos queues sont pendantes et légèrement gonflées. Claude semble tout à fait à l’aise nu devant moi, et il me sert une coupe de champagne. Il s’assoit sur le canapé rouge et je m’assois à côté de lui. Il boit sa coupe d’un trait et dit :— Je suis prêt ! Que dois-je faire ?Je suis un peu surpris, je ne m’attendais pas à cela. Mais, je lui réponds de se laisser faire tout simplement, que je me charge de tout pour le moment. Il m’indique que se faire embrasser par un homme, il ne voudrait pas ça. Je n’avais pas en tête de l’embrasser. Je lui dis de fermer ses yeux et de me laisser faire et que s’il n’aime pas ça de me le dire. Je cesserai tout.Je m’installe entre ses jambes, moi à genoux par terre. Je passe mes mains sur ses cuisses, je perçois un petit sourire. Je me penche et je lèche son gland, sa queue est débandée à ce moment. Puis j’aspire sa queue dans ma bouche et je commence à sucer. Je l’entends respirer, sa queue gonfle. J’arrête de sucer, sa queue est complètement bandée. Je suis excité moi aussi, cela faisait si longtemps. Je continue à sucer doucement. Claude semble se détendre, il se cale un peu plus dans le sofa et il me regarde le sucer. Il me dit que c’est bon.Je lui remonte les genoux sur mes épaules et je lèche doucement ses couilles. Il se lamente, il aime ça, quel homme n’aime pas ça d’ailleurs. Je le masturbe doucement tout en lui suçant un testicule à la fois. Il se cale encore plus et je lui remonte les genoux encore plus haut. J’entre son gland turgescent encore plus profond dans ma bouche et je suce fort et vite. Il fait un « mmmmmm » ! Les filles crient en haut presque en même temps. Ce qui a sorti Claude de sa délicieuse emprise.Je vois l’anus rose foncé de Claude. Son poil ne cache rien de son anneau plissé. Je le regarde droit dans les yeux, j’appose ma bouche sur son anus et d’un coup de langue je le mouille. Claude ferme les yeux doucement et il ouvre la bouche. Je le tiens ! Je lui lèche les cuisses, les fesses, l’anus, les couilles, je le pénètre de ma langue drue, je suce son gland qui mouille. À chaque opération il fait des « ahhh ! », des « mmmmm ! », et même des « ouiiiiii ! ».J’arrête et je m’assois à côté de lui en le masturbant doucement. Il fait un « ouf ! ». Il se place à son tour entre mes jambes, lui aussi à genoux, et il me dit :— Je ne sais pas si ce sera aussi bon pour toi, tu es mon premier !Il a ma queue dans sa main, il me masturbe un peu. Je ne suis pas circoncis, il trouve ça un peu étrange de pousser si bas pour faire surgir mon gland. Il lèche mon gland et il me dit de ne pas regarder. Je ferme les yeux, je me détends, je sens ses lèvres se crisper sur le corps de ma verge et je sens sa langue et sa bouche me sucer. Je lui dis que c’est admirablement délicieux. Il continue de me sucer comme s’il avait fait cela toute sa vie. Puis à mon tour d’appuyer les cuisses sur ses épaules. Il me lèche les couilles et pas très habile il aspire un testicule et je fais un saut. Il s’excuse en riant et reprend sa succion de façon plus douce.Claude alterne entre mes couilles et mon gland et tout ça est bien délicieux. Mais le plaisir anal est bien important pour moi. Ma femme n’hésite jamais à me bouffer le trou. Claude était-il capable de me le faire ? Je me cale un peu plus et j’ai le cul offert. Claude n’a définitivement pas mal au cœur de cela. Il me lèche le cul en suivant profondément ma craque de fesses. Il me pénètre l’anus avec sa langue, il me suce la queue et il me caresse le trou d’un doigt. J’ai failli en jouir. Je l’arrête et je le félicite de ses prouesses. Il semble ravi. Alors je l’invite à faire un 69 sur le canapé.On se place, lui sur moi, et on commence à se lécher et à se sucer. Je lui prends ses fesses à pleines mains. Il baise ma bouche et il sort pour ne pas jouir. Je lui lèche l’anus et il m’en fait tout autant. Mais on n’a pas beaucoup de place sur le canapé pour bien s’ébattre. Alors on tombe sur le tapis sur le côté et nos cuisses sont largement ouvertes pour mieux se délecter. Plus on se lèche et plus on s’excite, on ne veut que cela cesse, mais il faudra bien. Je regarde Claude me sucer. Il me tient par les fesses et il ne semble pas ressentir de gêne. Je lui indique que je n’ai pas de difficulté à avaler son sperme. Il me répond que lui, il voulait apprendre.Voilà que l’on se suce sans arrêt. On se sert l’un à l’autre. Puis, Claude fait « mmmmm ! », et un flot chaud envahit ma bouche. Je suis moi aussi surexcité, j’avale et je me vide dans la bouche de Claude. On glapit ensemble et on s’avale. On reste allongé dans nos positions, la tempête de plaisir se calme. On s’assoit par terre, appuyés sur le divan. Claude nous sert une coupe de champagne. Il cogne sa coupe à la mienne et il me dit merci. On échange sur nos plaisirs que l’on a éprouvés et sur le goût fort surprenant de nos spermes, et tout ça en riant.Nous sommes montés en haut et nos femmes dormaient à poings fermés enlacées l’une à l’autre. Le lit est assez grand pour nous accueillir tous les quatre. Claude se couche près de Karine et moi à côté de lui. Saouls et fatigués, on s’endort, tout simplement.Au matin c’est ma femme Linda qui se lève et va aux toilettes. À son retour, elle vient s’asseoir à côté de moi et elle me dit que Karine et elle nous ont vus sur le tapis en bas. Elle m’embrasse et me demande si je lui en voulais. Je lui dis que non et que j’avais passé une excellente soirée. Karine se lève à son tour, nue elle aussi. Claude se réveille et lance un bonjour !Karine revient, saute dans le lit et embrasse son homme. Elle fait des remarques drôles sur ce qu’il avait fait avec moi, et nous de rouspéter que tout ça était de leur faute. Puis, retirant la couverture sur Claude, elle s’assoit sur lui à cheval et commence à se dandiner la chatte sur sa queue. Elle fait la remarque que j’ai dû forcément vider son homme, car il ne bandait pas. Mais cela n’a pas duré longtemps, la queue de Claude gonflait.Sans gêne, Karine place le gland de son homme et sa chatte avale sa queue devant nous. Elle se couche sur lui et on voit bien la queue de Claude entrer et sortir, bref, il la baise devant nous. Délicieux spectacle ! Ma femme lui claque les fesses et se met à lui embrasser une fesse. Cela devient très intéressant. Linda lèche le cul de Karine qui se lamente et continue à s’enfourcher sur la queue de Claude. Moi qui ne veux pas rester en plan, je passe ma main sur les couilles de Claude et je les malaxe. Du même coup, je caresse la chatte de ma femme qui est outrageusement mouillée. Quel réveil !Linda, visiblement excitée, lèche tout : queue, chatte, cul, testicules… Les deux autres cessent de baiser et Linda retire la queue de Claude de la chatte de Karine. Encore toute mouillée des sécrétions de Karine, ma femme se met à sucer la bite de Claude devant moi. Je devrais être choqué de cela, même jaloux, mais au contraire cela m’excite beaucoup. Karine se passe la main sur sa chatte, alors je me mets à lui lécher et sucer sa jolie chatte. Puis, sans se parler, on change Linda et moi. Je suce Claude et Linda suce Karine. Karine est avancée vers l’avant, le cul plus haut que la tête, ses seins dans la bouche de Claude. Elle se fait littéralement dévorer le cul par ma femme qui est à cheval sur Claude.Moi, je suce Claude qui ondule des hanches et je le fais jouir et j’avale tout son sperme pour son grand plaisir. Karine jouit, elle aussi, à son tour. J’ai les fesses de ma femme près de mon visage et je me mets à lui sucer la pointe de ses fesses. Karine et Claude s’évadent du lit et vont à la douche en bas. Je bouffe le cul de Linda avec frénésie. Placée de la sorte, à quatre pattes, je n’ai plus qu’à lui entrer ma queue dans cette chatte gluante et distendue. Je la baise à grands coups de herse. Elle jouit et j’éjacule sur ses fesses. Essoufflée elle me dit ;— Bon anniversaire, mon chéri !Que dire de plus ? Ah oui ! Au moment que j’écris ces lignes, je viens d’apprendre que Karine et Claude se sont achetés une maison à dix minutes de chez moi…