Cela fait deux ans que nous sommes retraités et ceux qui pensent qu’après plus de soixante ans la sexualité n’est plus qu’un lointain souvenir se trompent totalement. Bon d’accord, ma femme et moi sommes plutôt bien conservés, mais il faut dire que, depuis toujours, nous avons pris soin de notre corps en pratiquant régulièrement différents sports associés à une hygiène de vie raisonnable sans être monastique. Pas de chirurgie esthétique si ce n’est des implants mammaires qui donnent à ma femme une poitrine que j’adore. Il faut dire que la poitrine a toujours été mon péché mignon et plus d’une fois, je me suis retenu d’aller peloter certaines amies de mon épouse.Pour en revenir à notre sexualité, depuis deux ans, c’est un feu d’artifice. Avant, il faut bien reconnaître que le temps passant, le travail toujours plus prenant, nous avions un peu délaissé cette activité. Pourtant plus jeunes, nous n’étions pas manchots et savions utiliser les bonnes cordes pour nous envoyer en l’air. La retraite a cela de bon que nous sommes plus disponibles et rien ne vaut une bonne partie de jambes en l’air en pleine journée.Aussi, tout est fait pour favoriser le sexe dans notre société. Les médias, journaux, internet et même télé ne font que parler sexualité, libertinage, etc. Ma libido a explosé et ma femme n’est pas la dernière pour prendre des initiatives. Fini le petit coup du week-end. La lingerie coquine, les sextoys et même les films X sont utilisés pour transcender notre sexualité. Même la médecine, merci Internet, nous a ouvert de nouveaux horizons.Ah ! Vous pensez à la petite pilule bleue. Pas du tout. Il s’agit d’un médicament généralement utilisé pour insensibiliser la gorge en cas de rhinopharyngite. Vous pensez : il radote le papy. Attendez ! Ma femme, Sylvia, a toujours eu des difficultés pour me sucer profond, du fait d’un réflexe qu’elle ne pouvait pas maîtriser. Eh bien, avec ce petit médoc, plus de problèmes. Maintenant elle est capable d’engloutir ma verge jusqu’aux couilles pour mon plus grand plaisir. Elle me fait des fellations comme jamais et elle est la première à en redemander. Je ne connais rien de plus aphrodisiaque que d’éjaculer dans la gorge de sa partenaire surtout lorsqu’elle montre qu’elle aussi aime pomper votre liqueur, en se léchant les lèvres pour ne rien laisser perdre.Notre entente est si parfaite que je lui ai fait un cadeau un peu particulier pour nos 40 ans de mariage. Un jour où nous parlions librement devant un film porno, elle m’avait dit que cela devait être agréable de se retrouver, comme l’actrice, prise en sandwich. Cela ne m’a pas surpris car une fois j’ai cru qu’elle avait fait une syncope tellement elle avait joui : je la prenais par le cul alors que son sexe était dilaté par un énorme gode que j’avais commandé sur le net. Alors, sans rien dire, j’ai organisé une soirée avec un homme que j’avais mis en scène dans un paquet-cadeau. Comme j’avais pris soin de placer deux caméras dans la pièce, nous regardons quelquefois le film que j’ai monté.Voir sa femme se faire prendre par un autre – et quand je dis prendre, c’est de partout – est une jouissance incomparable. Mais le top du top, c’est de sentir, à travers la fine paroi qui sépare l’anus du vagin, la verge de l’homme qui possède votre propre épouse, alors que vous-même êtes bien au chaud dans l’autre orifice. Vous êtes à l’unisson, en route pour le même plaisir, ressentant les réactions de vos partenaires, jouissant dans un même râle, en sentant du sperme qui n’est pas le vôtre s’écouler sur vos bourses. Comme il ne faut pas abuser des bonnes choses nous n’avons pas encore recommencé mais je soupçonne Sylvia de me préparer une surprise pour mon anniversaire.Pour l’instant, nous profitons du soleil du mois d’août pour parfaire notre bronzage. Comme pendant cette période nos voisins sont tous absents et que la végétation est suffisamment dense pour nous cacher des regards, c’est totalement nus que nous évoluons. Souvent le soleil m’inspire et, alors que Sylvia semble somnoler, je me glisse entre ses cuisses avec la ferme intention de la réveiller en lui prodiguant un petit cunnilingus comme elle les aime. J’apprécie cet instant où mon nez et ma langue parcourent son intimité, simulant une pénétration comme une promesse à venir. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle émerge de sa torpeur et, se déplaçant, vienne me chevaucher dans un torride 69. Chacun de nous essaye de se concentrer pour donner un maximum de plaisir à l’autre et, pour une fois, c’est moi qui remporte ce doux concours car je sens la jouissance de ma maîtresse se répandre sur mon visage.Sylvia a toujours des orgasmes très forts qui la laissent souvent anéantie. Mais jamais elle ne m’oublie et, se plaçant en levrette, écartant ses fesses de ses deux mains, m’invite à la prendre par ce chemin. Je la pénètre facilement car, comme elle aime cette position, l’œillet a appris à s’ouvrir suffisamment pour que mon gland passe aisément, éclaireur de ma verge bien gonflée et durcie par le travail de bouche de ma partenaire. Je commence mon mouvement de va-et-vient allant buter au fond de son cul puis ressortant à la lumière pour replonger dans l’orifice si accueillant. Rapidement Sylvia vient au-devant de ce membre qui la remplit et m’encourage de la parole :— Allez, qu’est-ce que tu attends ? Bourre-moi plus fort, n’aie pas peur, je veux te sentir bien au fond.Oui, comme ça, baise-moi. Je suis ta salope. Éclate-moi le cul, crache ta semence, remplis-moi le fion.Comme toujours ce langage ordurier contribue à notre excitation et très vite, je sens que je vais venir. Ma salope adorée devine que ma sève monte et précipite ses mouvements pour atteindre la jouissance avec moi. Mes bourses ont encore bien travaillé car mon sperme jaillit en abondance dans le conduit qui, ne pouvant pas tout recevoir, laisse ressortir des coulées de cette divine crème. Voilà une image érotique, les fesses écartées de sa bien-aimée laissant voir le sperme s’écouler d’un anus qui reste ouvert après le retrait du membre conquérant.Le lendemain de cette journée de bronzage nous découvrons dans notre boîte aux lettres une enveloppe non timbrée qui s’avère contenir une photo et un mot manuscrit. Telle n’est pas notre surprise de découvrir que, sur la photo, un couple fait l’amour et que nous sommes ce couple. Pas de doute, nos visages et le reste sont parfaitement nets. Le mot qui accompagne dit :Chers voisins,Nous venons juste d’emménager et c’est avec un intense plaisir que nous avons assisté à votre magnifique prestation. Cette vision nous semble un gage de bienvenue même si vous ne saviez pas que nous vous observions. Nous devons vous avouer que cela nous a conduits à inaugurer notre nouvelle chambre avec éclat. Donc, grand merci.Si notre indiscrétion vous choque, nous vous prions de nous pardonner. En aucun cas nous n’aborderons ce sujet et nous ne conserverons aucune trace des clichés.Bien cordialement.Anne et David.Suivaient un téléphone et une adresse mail.Il faut reconnaître que notre première réaction a été comme une sorte de viol de notre intimité. Mais après tout, c’était de notre faute. Si on veut rester discret, il ne faut pas prendre le risque d’être vu en batifolant dans le jardin d’une maison de banlieue, même au mois d’août.Pourquoi ne pas faire connaissance ? Après tout, le courrier était finement ironique et c’était assez drôle de penser que les nouveaux voisins avaient fait l’amour, excités par nos propres ébats. Nous avons donc décidé de leur répondre en envoyant le message suivant :Chers voisins,Bravo pour la qualité du cliché et surtout pour la netteté de l’image. Vous avez certainement une collection de clichés du même genre qui nous permettraient de vous connaître en situation comme vous l’avez fait pour nous.Bien cordialement.Sylvia et Jean.Le soir même nous avons la réponse sous la forme d’un fichier contenant cinq photos qui ne laissent aucun centimètre de leurs corps dans l’ombre. Chaque cliché les représente dans une position différente. Pas de doute, ce sont des pratiquants expérimentés. Nous sommes maintenant sur un pied d’égalité et décidons de faire plus ample connaissance en les invitant par ce message :Merci de votre confiance. Vos photos sont de véritables hymnes à l’amour.Que pensez-vous d’un apéritif chez nous demain vers 19 h ?Nous serions heureux de vous rencontrer.La réponse est quasi immédiate et positive.On sonne à la porte. Ce sont eux. Ma femme et moi sommes un peu inquiets. Entre échanger des photos et se rencontrer il y a une sacrée différence. Surtout, ce qui nous intimide un peu, c’est la différence d’âge. On ne joue pas dans la même catégorie car ils doivent avoir entre 30 et 35 ans. Mais il faut sauter le pas et j’ouvre. Nous nous saluons et très naturellement les femmes se font la bise. Ils entrent, nous allons au salon et je remarque alors qu’il tient un petit ordi portable à la main. Il répond à ma question muette :— Nous avons pensé que vous aimeriez peut-être voir d’autres photos.— Bien sûr, c’est une excellente idée. Prenons d’abord l’apéritif et nous regarderons cela après.Nous buvons et discutons de choses et d’autres. Petit à petit, chacun prend ses marques et l’ambiance se détend doucement. Il faut dire aussi que personne ne refuse son verre lorsque je propose de le compléter. Alors mon épouse se lève, et dit :— Si nous regardions vos photos ? Tenez David, posez votre ordi sur cette table pendant que je baisse l’éclairage et allez vous installer sur le canapé.Aussitôt dit, aussitôt fait et nous voila face au mini-écran qui nous oblige à nous resserrer pour mieux voir. Ce n’est pas désagréable car je me retrouve entre ma femme et la voisine, cuisse contre cuisse, hanche contre hanche. Même traitement pour ma femme qui semble aussi apprécier car elle invite David à se rapprocher pour, dit-elle, « être plus face à l’écran ».Commence alors un diaporama d’une cinquantaine de photos montrant nos charmants voisins dans toutes les positions que l’on peut imaginer réaliser à deux. Ils semblent prendre tellement de plaisir que tout ce qu’ils réalisent paraît simple et naturel alors que certaines positions sont assez acrobatiques. Mon sexe se durcit et je sens la main de ma femme remonter le long de ma cuisse pour se plaquer discrètement sur ma verge. Constatant l’effet de ce diaporama, elle me sourit et, se penchant vers mon oreille, dit dans un souffle « moi aussi ». Les dernières images sont celles du visage d’Anne avec le sexe de son mari en bouche, du sperme à la commissure des lèvres et sur le menton. C’est torride et ne pouvant me retenir je pose ma main sur la cuisse de ma voisine. Alors elle se tourne vers moi et je pense en un instant « j’ai gaffé, elle va me remettre à ma place » ; elle dit :— David, je croyais que tu avais enlevé ces photos. Que vont-ils penser de moi ? Regarde la tête que j’ai, on dirait une star du porno.Avant même que David ne réponde, Sylvia prend la parole :— Oh, je ne suis pas d’accord avec toi, au contraire tu es magnifique sur ces photos. Je sais par expérience – n’est-ce pas chéri ? – que cela fait partie de la vie et c’est un des plus beaux cadeaux que l’on puisse faire à l’homme que l’on aime. Ne regrette rien, c’est le final de votre diaporama, je dirai même le feu d’artifice.Cette dernière remarque nous fait tous sourire. J’en profite pour dire que :— J’ai bien peur que nous ne puissions pas rivaliser car vous avez mis la barre très haut. De notre côté nous ne faisons des photos de nos ébats que depuis un an et elles sont loin d’avoir la qualité des vôtres.Ce à quoi je suis surpris d‘entendre ma femme répondre :— Peut être chéri que nous pourrions montrer les photos de notre anniversaire de mariage ?— Vraiment, tu es sûre que cela ne te dérange pas ? Si tu es d’accord, alors moi aussi. Bon, ne bougez pas, le temps de copier les photos sur ma clé USB et je reviens.Quelques minutes plus tard, je lance le diaporama de cette soirée. J’ai choisi un défilement assez lent pour bien profiter de chaque image et faire ressortir la sexualité torride de notre trio. J’ai l’impression que notre spectacle fait de l’effet à ma voisine car je sens sa main se crisper sur ma cuisse. Son visage est très expressif, sa bouche fait de petits mouvements comme si elle se parlait à elle-même et je l’entends nettement dire « Oh » lorsque la photo montre ma femme en situation d’être prise par les deux sexes turgescents qu’elle avait longuement préparés dans sa bouche. Là aussi le final montre Sylvia avec la bouche remplie de sperme sauf que, dans son cas, elle rassemble la semence de ses deux amants.Voilà , c’est terminé, chacun reprend son souffle. Ma femme reprend la parole :— Tu vois Anne, moi aussi j’aime cela et je ne renie pas cette dernière image, il m’a fallu beaucoup de temps pour être à l’aise avec un sexe enfoncé dans la gorge, alors maintenant je revendique le droit d’en profiter.— Merci, je comprends ta remarque de tout à l’heure. Pour le reste du spectacle, chapeau. Tu es très photogénique avec ces deux hommes.— Oh ! tu sais, c’était la première fois. C’est le cadeau-surprise de mon mari pour notre anniversaire de mariage. C’est un moment de pure folie, j’ai enchaîné orgasme après orgasme et crois-moi, Jean s’en souvient encore. La réalisation d’un fantasme comme l’amour à trois pour une femme multiplie le plaisir et la jouissance par dix. Nous n’avons pas encore recommencé mais, si Jean est d’accord, je repars pour l’aventure quand il veut.Un ange passe et comme il se fait tard, nos voisins décident de rentrer pour dîner car demain ils continuent les travaux d’aménagement de leur maison.Le lendemain nous recevons un appel de David, à première vue un peu étrange, mais qui a réellement changé notre vie sexuelle :— Bonjour, j’espère que je ne vous dérange pas, mais je profite qu’Anne est sous la douche pour vous appeler. D’abord, merci pour la soirée qui, vous vous en doutez, s’est terminée en apothéose dans notre lit. Anne était déchaînée et j’ai bien profité de cela, d’autant plus que ce matin je me suis réveillé le sexe dans sa bouche. Elle a reconnu que le cadeau d’anniversaire de Sylvia avait ouvert en grand les portes de ses fantasmes. Nous avions, bien sûr, déjà abordé le sujet de l’échangisme, mais elle avait toujours marqué une certaine réserve et je ne voulais pas la brusquer. Mais la soirée chez vous et ce trio si naturel que vous avez montré ont peut-être fourni la clé qui ouvre la bonne serrure. Si vous trouvez que nous pouvons vous rejoindre dans votre nouvelle sexualité, j’aimerais vous proposer le deal suivant ; envoyez-moi une invitation à dîner avec un sujet de soirée qui pourrait déclencher une envie de partager nos partenaires. Je sens qu’Anne est prête pour cela. Il faut juste lui proposer un scénario qui lui laisse la liberté de s’arrêter en chemin si elle se sent mal à l’aise. Merci par avance.Bien entendu, il ne nous faut pas longtemps pour accepter cette opportunité. Sylvia et moi sommes tout à fait d’accord pour faire l’amour avec ces si complaisants voisins. Mais en effet, si David est déjà prêt pour cela, il nous faut convaincre Anne en douceur. Aussi le scénario que nous proposons est suffisamment soft en début de soirée pour qu’elle se sente maîtresse du jeu et puisse arrêter si la soirée ne lui convenait pas.Nous ne sommes donc pas surpris de recevoir un mail signé de David et Anne qui acceptent notre projet de soirée pour le jour suivant.***Le grand jour est arrivé et nos invités sont confortablement installés dans de profonds fauteuils, un verre de cocktail à la main. J’ai bien étudié les proportions de cet apéritif à base de champagne et si j’ai largement servi Anne et David, j’ai bien prévenu Sylvia de faire attention. Il est particulièrement dosé en alcool que le sucre cache traîtreusement. Si la soirée doit être parfaite il faut assez d’alcool pour désinhiber les natures timides sans couper les moyens des autres. Et c’est bien ce qui passe. La preuve en est qu’Anne plaisante, apprécie l’ambiance feutrée, se laisse aller dans son fauteuil si profond qu’il est difficile pour une femme de ne pas laisser les regards des hommes atteindre la dernière porte avant la nudité, sa petite culotte.La soirée commence si bien que très rapidement ma femme décide de passer à l’étape suivante. Elle déploie un tapis de jeu, sort des cartes d’un tiroir et annonce fièrement à l’assemblée :— Le temps est à l’orage et je vous propose de joindre l’utile à l’agréable en faisant une petite partie de poker. Rassurez-vous Messieurs, nous n’en voulons pas à votre argent, je pense à une partie de strip-poker. Ne vous réjouissez pas trop vite, chiens lubriques, nous nous arrêterons aux sous-vêtements et tous les objets comptent. Eh oui, même les bijoux.C’est comme cela que David, puis moi, nous sommes retrouvés en slip alors que ces dames avaient encore leurs vêtements. Nous avions convenu entre nous qu’Anne devait se retrouver encore habillée alors que les trois autres seraient en sous-vêtements et c’est ce qui s’est produit.Sylvia avait choisi de porter de la lingerie que nous avions commandée par internet et il faut dire que plus provocante, c’était impossible. Son soutien-gorge est de la famille pop-up, c’est-à -dire qu’il ne fait que relever sa poitrine en laissant les tétons bien exposés. Quant à son slip, il ne doit pas couvrir plus qu’une feuille de cigarette. David et moi marquons notre approbation par quelques applaudissements ce qui fait réagir Anne.— Et moi alors ! Et elle entreprend de détacher les boutons de son chemisier.Aussitôt Sylvia fait le tour de la table, la stoppe d’un geste et dit :— Attends, je vais t’aider.Et naturellement, elle continue l’effeuillage, faisant disparaître le haut puis, s’agenouillant, tire sur la fermeture éclair de la robe qui tombe sans un bruit. Anne apparaît seulement vêtue par deux morceaux de dentelle, si fine, si transparente que ses seins et son pubis sont plus visibles que si elle était totalement nue. Ah les mystères de l’érotisme ! Sylvia et Anne s’invitent mutuellement à tourner sur elles-mêmes et nous pouvons admirer le charmant spectacle de nos épouses rivalisant d’élégance et de sensualité. Nous entrons dans leur jeu en faisant de même, ce qui déclenche quelques remarques osées de ces dames.Sylvia nous invite alors à passer à table et nous nous dirigeons vers la salle à manger. Nous avons prévu un repas fin et léger car, si nos espoirs se concrétisent, nous aurons besoin de toute notre vigueur. L’ambiance est tout à fait décontractée et même, par moments, légère. Il faut dire que, je ne sais comment, notre sujet de conversation tourne autour du sexe en entreprise et au travail. Chacun y va de sa petite histoire où des amants sont surpris par des collègues dans des endroits les plus inattendus. Certaines déclenchent de francs éclats de rire et à un moment, Sylvia, hilare, ayant du mal à reprendre son souffle dit :— Oh, ce que j’ai chaud ! Pas vous ? Jean, sers-nous à boire. J’ai trop chaud, il faut que j’enlève ça.Elle se lève et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, se débarrasse du slip et du soutien-gorge, puis se rassoit en disant :— Voilà , c’est mieux, plus rien ne me gêne. Tiens, David.Et elle lui pose les deux pièces de tissu sur les cuisses.Une seconde nos hôtes sont surpris. Anne, pas dupe du prétexte de la chaleur, consciente que l’on vient de lui jeter un défi, se lève à son tour, quitte ses deux remparts symboliques et me les confie.— Tu as raison, dit-elle. Et vous, les hommes ?En un instant nos slips se retrouvent sur les cuisses de nos voisines. La conversation reprend comme si rien n’avait changé et le dessert expédié, nous retournons au salon.Tout naturellement les femmes s’installent côte à côte dans le profond canapé. David fait face à ma femme alors que moi, de retour de la cuisine avec les cafés, je me retrouve face à son épouse. Nous sommes silencieux, conscients de l’érotisme de l’instant. Bien sûr, nous nous sommes déjà vu en photo, nus, le sexe à l’air, dans des positions torrides, mais avoir devant soi, à la portée du regard, presque à toucher, ces mêmes personnes, c’est complètement différent.Naturellement nos yeux cherchent le sexe de l’autre, comparant en pensée avec celui de son compagnon habituel. Sylvia place ses mains sous ses seins comme pour les offrir, écarte ses cuisses pour se laisser visiter par le regard de David qui de son côté soulève sa verge et offre ses deux testicules. Anne et moi les regardons un instant et tout naturellement copions leur attitude. L’instant est magique, pas pornographique du tout, chacun s’offre aux autres.Je romps cet instant de communion pour me saisir de deux bandeaux noirs que j’avais laissés à portée de main. J’en confie un à David et me dirige sans un mot vers Sylvia, qui se lève alors du canapé et avec sourire, se laisse priver de la vue. C’est un moment capital dans le scénario de cette soirée. Anne sait, pour l’avoir lu et approuvé, que les vrais jeux de l’amour commencent à partir de cet instant. Il ne s’agit plus de regarder, mais de toucher, de prendre, de se faire prendre par son mari mais surtout par un autre. Anne et David voient maintenant Sylvia me remercier et se rasseoir. David se dirige vers sa femme qui se lève. Un instant ils sont face à face et, oui, Anne se tourne pour lui laisser positionner le bandeau. Une fois terminé, il la fait se retourner et la prenant dans ses bras dit : « Merci ».Nous positionnons nos deux femmes côte à côte, assises sur le bord du canapé. En nous plaçant face à elles nous présentons notre sexe à leur bouche. Anne, car c’est elle que j’ai choisie, place une main sur ma verge encore au repos pendant qu’avec l’autre elle me caresse doucement les testicules. Sa langue titille mon gland en s’attardant sur le prépuce. Ses lèvres avancent et se referment juste à la liaison du gland et de la verge. Bien sûr, il ne faut pas longtemps pour que ma tige se gonfle, se durcisse, laissant le gland comme nu, sans la peau qui le protège au repos.Ses mains quittent ma verge et mes bourses pour aller se placer sur mes fesses qu’elles explorent, glissant des reins jusqu’à la raie où je sens des doigts s’aventurer vers mon œillet pour le titiller et s’éloigner à nouveau. Ce massage contribue à mon excitation et je sens mon sexe d’une raideur bien agréable, d’autant qu’Anne le fait entrer et sortir dans sa bouche avec un mouvement de va-et-vient.Elle l’enduit de salive et je peux en voir couler de ses lèvres. J’essaye de rester immobile mais instinctivement, je donne des petits coups de reins comme pour baiser cette bouche si accueillante. Elle me fait comprendre de la laisser faire en stoppant le va-et-vient pour faire avancer ses lèvres toujours plus près de mon pubis. J’ai l’impression qu’elles rampent le long de mon pieu que je vois disparaître petit à petit. Oui, elle engloutit totalement mon sexe dans sa gorge et je ne sens même pas mon gland buter au fond. Je suis comme tétanisé, car j’ai l’impression que le temps s’arrête. Ce qui me surprend c’est que cette bouche qui accueille si facilement tout mon gourdin puisse rester immobile si longtemps, les lèvres au raz des couilles. Ma femme peut me gober totalement aussi mais il lui faut très vite reprendre sa respiration. Anne alterne les périodes de va-et-vient avec la plongée profonde. C’est extraordinaire et je sens qu’elle aussi trouve du plaisir dans cette fellation de professionnelle.Je sens une main sur mon épaule. C’est David que ma femme suce goulûment, d’ailleurs j’entends comme un clapotis qui sort de sa bouche. Il me fait signe du pouce qu’il apprécie le traitement, et bien sûr je lui réponds que moi aussi. D’ailleurs je sens que je vais jouir et je le signale à ma suceuse en lui caressant la joue. Elle comprend et alors que je m’attendais à ce qu’elle me sorte totalement de sa bouche ou ne garde que le gland, elle m’en conserve plus de la moitié. Trop tard, la première salve arrive, bientôt suivie d’une seconde et enfin d’une troisième. Anne n’a pas bougé, laissant mon sperme jaillir sans qu’une goutte ne se perde, l’avalant tranquillement, pas du tout dérangée par cette queue qui pourtant occupe une sacrée place. Pourtant mon jus est particulièrement abondant car ma femme et moi avions fait abstinence en prévision de cette soirée. Ma queue se ramollit, glissant doucement de son écrin, parfaitement propre.Juste à ce moment, j’entends ma femme grogner, saluant ainsi l’arrivée de la jouissance de David dans sa gorge. Lui aussi a balancé un paquet de sperme, tellement d’ailleurs qu’elle n’arrive pas à tout avaler, laissant des coulées glisser sur son menton. Ce n’est pas grave car après avoir nettoyé le sexe, encore raide, de David, elle récupère ce nectar avec les doigts et la langue.David et moi retirons les bandeaux et je pose la question :— Êtes-vous capables de nous dire qui vous avez fait jouir ? Anne ?— C’est trop facile. C’est toi Jean que j’ai sucé et qui m’a comblée avec ton sperme. Ta queue est différente de celle de David et si j’avais eu un doute, ta semence parlait pour toi. La quantité, la façon d’éjaculer et surtout le goût sont différents. Et toi, Sylvia ?— Je suis tout à fait d’accord avec toi En tout cas, j’ai pris mon pied.— Moi aussi. Bravo mes chéris, je peux t’appeler ainsi, Jean, après ce que nous avons fait.— Bien sûr. Prêtes pour la suite ? Allons dans la chambre, nous serons plus confortables.Et je continue :— David, une petite coupe ? Tu as peut-être soif ? Je ne le propose pas à nos femmes car elles viennent de s’abreuver à la source de la vie.À ces mots, Anne qui marche devant moi, se retourne et dit en souriant :— Tu sais Sylvia, nous sommes trop égoïstes. Nous gardons pour nous la semence de ces généreux mâles, il faut savoir partager.Et m’enlaçant, elle m’embrasse sur la bouche. Je sens sa langue forcer la barrière de mes lèvres, explorer mon palais, jouer avec ma propre langue. Au même moment Sylvia éclate de rire et fait la même chose avec David. Elle rit car c’est une chose que j’ai toujours refusé de faire avec elle. Pourtant ce n’est pas faute de me l’avoir proposé maintes fois et à chaque refus, elle me dit :— Et si moi je faisais la même chose ? Qui serait privé du plaisir d’éjaculer dans ma bouche ? Tu as de la chance que moi j’apprécie ton sperme, d’ailleurs c’est ridicule que tu n’essayes pas. C’est si bon, avec ce goût qui est à la fois si particulier et si différent à chaque fois.Ce à quoi je réponds que moi j’aime lécher sa chatte et son anus pour recueillir toute cette humidité qui se mélange avec son jus. Et je reste sur mon refus.Mais là , je me suis fait surprendre par le geste d’Anne et je peux nettement sentir cette odeur à la fois douce et acre que me décrivait Sylvia. Nos bouches se séparent et sans un mot, mais sous le regard narquois de ma femme nous montons à la chambre.Le lit nous tend les bras et après avoir replacé leur bandeau nous allongeons nos maîtresses côte à côte, les fesses au bord, les jambes pendantes. Je commence par explorer avec les mains le corps de ma partenaire, ne négligeant aucune région mais en prenant bien soin d’éviter les zones érogènes. En même temps, je l’embrasse tendrement descendant lentement du cou jusqu’aux pieds, m’attardant vers le nombril, la douceur des hanches et surtout l’intérieur des cuisses. Anne n’est pas insensible à ce traitement car elle gémit doucement alors que sa peau frémit, parcourue par des vagues de frissons.Alors je concentre mes caresses sur sa poitrine. La nature l’a gâtée car si ses globes sont imposants, mes mains ressentent cette fermeté que l’on retrouve chez la poitrine des jeunes femmes. Je les presse pour faire pointer les tétons que ma bouche aspire et malaxe entre mes lèvres. Je suce et aspire si bien que je les sens s’ériger comme deux petites verges. Mes mains partent alors à l’exploration de son sexe, aussitôt remplacées par celles d’Anne qui enserre avec force ses globes pour les pousser toujours plus vers ma bouche gourmande. Pas de doute, ma maîtresse apprécie mes caresses, mais j’ai d’autres intentions. Je fais glisser ses mains afin que ses doigts remplacent ma bouche. Elle comprend mon invite et tout de suite fait rouler ses tétons avec une violence qui montre son excitation.Je m’agenouille à ses pieds, la tête au niveau de son pubis. Je reste un instant pour profiter de cette chatte offerte à mon regard et comme par transmission de pensée, Anne soulève ses jambes pour reposer ses pieds sur mes épaules. De cette façon, elle est totalement ouverte, cambrée. Je m’approche et souffle doucement allant du clitoris à l’anus pour remonter et recommencer. Je sais, pour l’avoir pratiqué sur les conseils de ma femme, que cette brise tiède fait beaucoup d’effet. Elle l’appelle l’effet « Marilyn » mais mon souffle ne soulève pas les jupes, heureusement.Mais j’ai envie de goûter à ce fruit et ma langue se lance à l’assaut. Je titille les petites lèvres, lèche l’entrée du vagin en prenant bien garde de ne pas toucher le clito, descends faire le tour de l’œillet, abandonnant beaucoup de salive pour préparer la lubrification. Lorsque j’introduis ma langue dans son sexe, Anne se cambre pour la faire aller au plus profond. Je l’entends dire « viens, prends-moi ». Mais c’est trop tôt, je veux qu’elle jouisse déjà par ma bouche. Je m’applique autour de son œillet car je veux le voir palpiter et s’ouvrir sur le conduit du cul. Je sais qu’Anne est une adepte de la sodomie car le diaporama la montrait souvent prise par ce chemin. Voilà , il s’ouvre et elle en a conscience car elle dit dans un murmure « oui, encule-moi ».Elle est prête. Je remonte. De la langue je dégage le clito de son capuchon puis saisis délicatement sa petite queue entre mes lèvres. Oh, il est vraiment grand et je n’ai aucune difficulté à le sucer. Il ne faut que quelques secondes pour que la jouissance déferle sur ma maîtresse, son liquide coule et je bois son jus comme un nectar.Aussitôt je la presse de se placer en levrette et je remarque qu’à son côté, ma femme est déjà en position, le sexe de David totalement englouti dans son vagin. Mais oui, il est déjà en train de la baiser avec force et j’entends ma femme l’encourager de la voix. Ah, la puissance de la parole pendant l’amour ! Ces mots si crus que jamais on n’oserait prononcer normalement : cul, bite, baise, bourre, etc., nous font toujours de l’effet, surtout lorsque c’est votre conjoint qui les prononce. Entendre Sylvia, professeure de littérature à la Fac, demander à son partenaire de la prendre profondément, de la traiter comme une salope, me décuple le plaisir. Elle est en de bonnes mains et David ne ménage pas sa peine.Je n’ai pas besoin d’être sollicité car cela fait déjà un moment que mon dard se dresse fièrement et que mes couilles se remplissent. En deux secondes la messe est dite et mon sexe plonge dans ce vagin étroit mais glissant de ma salive et de la mouille de sa propriétaire. Ah, on dira ce que l’on voudra mais le con d’une femme n’ayant pas encore enfanté est un fourreau à nul autre pareil. Je commence tout de suite à m’activer, m’enfonçant jusqu’aux couilles, ressortant et plongeant aussitôt. Ah que j’aime ce clapotis si caractéristique d’une préparation bien contrôlée !Mais ce petit bruit est couvert par les paroles des deux femmes encourageant leur amant. Sylvia et David sont déjà passés à la sodomie et ma femme se déchaîne, de plus en plus vulgaire, de plus en plus salope. Anne ne reste pas inactive et sous mes coups de boutoir, elle ondule du bassin et se cabre ce qui fait que ma queue est toujours sollicitée en frottant sur les parois de sa grotte. C’est un peu comme une fellation. Je sens que mon plaisir vient mais il faut que je me retienne car je veux aussi passer par l’autre chemin. Heureusement, ma partenaire jouit à nouveau et le fait savoir par un « OUI… » des plus intenses.Alors je sors de son vagin et présente mon gland luisant de sécrétions à l’œillet que j’ai si longuement préparé. Je pousse doucement et ai le plaisir de le voir se glisser par cette porte qui se moule autour de ma chair. Je stoppe sa progression le temps, pensai-je, que ma partenaire s’habitue à cette introduction, mais c’est elle qui, d’un mouvement brutal vers l’arrière, s’embroche littéralement sur ma queue jusqu’à venir heurter mon pubis et mes bourses. Je suis surpris mais manifestement je ne suis pas le seul car j’entends David dire :— C’est ce qu’on appelle se la mettre profond.Manifestement il vient de voir le mouvement de sa femme. Je vois que de son côté, il sodomise la mienne d’un mouvement lent et je comprends qu’il se ménage pour m’attendre. Oh, si Anne veut de la vigueur, elle va être servie. Je la pistonne alors sans ménagement, presqu’avec brutalité. Elle apprécie car elle m’interpelle :— Oui, comme ça, fais-moi sentir ton gourdin, j’aime qu’on m’encule, plus vite, plus vite. Oh, je viens.Je ne peux pas tenir ce rythme très longtemps et je sens que ma semence monte pour jaillir dans le cul qui m’accueille. Que c’est bon !À côté, David est aussi en train de conclure pour le plus grand plaisir de mon épouse.Nous nous immobilisons, reprenant notre souffle, pendant que nos pénis débandent et glissent hors des culs de nos femmes. Je recule d’un pas et je contemple le spectacle de ces anus gardant en mémoire le passage de nos queues. De ces deux orifices s’écoulent lentement des traînées de notre sperme. Un instant je regrette que nous n’ayons pas prévu de photos pour en garder le souvenir.Nous aidons nos femmes à se relever et après avoir enlevé les bandeaux, je pose la question rituelle :— Alors, Sylvia, qui ?— Mon chéri, comme tout à l’heure, ce n’est pas difficile. C’est David qui s’est occupé de moi. Tu m’excuseras de dire cela mais il m’a fait jouir tellement que j’ai les jambes coupées. Son sexe est plus gros et je me suis vraiment sentie remplie même si, par-derrière, je l’ai vraiment senti passer. Anne, ton mari est une affaire.— Oh, ça je le sais, répond Anne, je suis heureuse que tu l’apprécies mais ton mari n’est pas en reste. Il a une technique pour t’exciter, avant même de commencer les choses sérieuses, j’avais déjà joui uniquement par ses attouchements et alors cette petite brise dans l’entrejambe, quel délice.— Allons mesdames, vous allez nous mettre mal à l’aise si vous soulignez toutes nos qualités, dis-je. Vous nous avez inspirés, voilà tout. Nous sommes en sueur, si vous le désirez profitez de la douche et retrouvons-nous sur la terrasse.Quelques minutes plus tard, nous nous installons confortablement sous les étoiles. Bien qu’il soit minuit passé, l’air est encore doux, juste assez frais pour être agréable. Nous gardons le silence, comme repus de tant de plaisir. Le temps passe.Puis Sylvia se lève, se dirige vers David, saisit son sexe mou entre deux doigts, fait une mimique en disant :— Eh bien ce n’est pas avec « ça » que nous allons pouvoir conclure cette soirée comme nous l’avions imaginée.Ce à quoi Anne rétorque :— Laisse-moi faire, je m’occupe de lui, toi occupe-toi de celle de Jean.Et voilà les deux épouses qui prennent le problème en main, enfin quand je dis en main, il faut comprendre en bouche. Effectivement, Anne obtient très vite un résultat car je peux voir l’objet de son attention reprendre de la vigueur. De mon côté c’est plus difficile, c’est dans des moments comme cela que l’âge devient un handicap. Mais ma femme me connaît si bien que, petit à petit, mon pénis reprend vie.Alors sans un mot elle se lève, me prend par la main et m’entraîne dans notre chambre, suivie par nos amis. Alors Sylvia annonce :— Anne, tu es notre invitée et c’est donc à toi que revient le privilège de conclure. David et Jean sont à ton service pour ton premier « sandwich ». Toujours d’accord ? Veux-tu continuer avec le bandeau ?— Oui, deux fois oui. Je suis impatiente de vivre cette aventure et je trouve que le bandeau amplifie les sensations.Sylvia le lui installe donc et l’allonge sur le lit en disant :— Après, il te faudra nous dire qui s’est occupé de ta chatte, qui t’a prise par-devant, qui t’a prise par-derrière.— Et si je réponds bien, qu’est-ce que je gagne ?Jeanne en riant répond :— Le droit de revenir en deuxième semaine. Maintenant silence, que la fête commence.Et d’autorité elle se baisse, se place entre les cuisses de la belle exposée et commence à jouer avec sa chatte. De mon côté, constatant que mon sexe aurait bien besoin de se raidir un peu plus, je monte sur le lit et le lui présente à la bouche. Placé de cette façon, je tourne le dos à mes partenaires mais je devine que David approche sa tête de la poitrine de son épouse pour jouer de la bouche et de la langue sur les mamelons et les tétons. Je suis aux premières loges pour sentir combien mes partenaires font du bien à notre amante car sa bouche gourmande m’astique au rythme du plaisir qu’elle ressent. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle jouisse et son plaisir est si intense qu’un instant j’ai peur que sa mâchoire ne se referme sur ma queue maintenant si raide que j’ai du mal à la courber pour rester dans la bouche accueillante. Je me retire alors qu’Anne est à nouveau emportée par la jouissance.Sylvia comprend qu’il ne faut pas trop tarder, alors elle se lève, fait allonger David, place Anne à califourchon sur son mari, présente le sexe à l’entrée du vagin et appuyant sur les épaules de la cavalière, la fait s’empaler sur le pieu. Puis sans attendre, elle force Anne à se pencher ce qui fait présenter l’œillet à notre regard. Il est ouvert, humide, prêt pour l’introduction.Sylvia fait signe que c’est à moi, mais en plus, d’un geste sans équivoque, elle m’invite à être brutal. Ce que je fais en entrant comme un hussard. Anne est surprise bien que j’aie glissé dans ce réduit sans grande résistance. Heureusement que David, prévenu par nos signaux, la tenait fortement dans ses bras. Un instant j’ai peur d’avoir été trop violent mais je suis rassuré par ses paroles :— Waouh, quelle force, je suis pleine, j’ai deux queues en moi, oui baisez-moi, je suis à vous, c’est trop bon de vous avoir !Et elle commence sa danse en oscillant du bassin.Nous commençons à nous activer lorsque Sylvia attire notre attention. Elle veut que nous suivions ses indications. Alors elle nous fait exécuter une symphonie qu’elle écrit par nos actions. Manifestement ses souvenirs de « sandwich » reviennent et elle veut qu’Anne en profite.D’abord, David seul commence doucement un mouvement de va-et-vient, puis c’est à mon tour alors qu’il s’immobilise. Le cul de notre maîtresse est plus étroit que tout à l’heure, je sens la bite de mon compagnon à travers cette mince paroi qui nous sépare. Nous alternons pénétrations lentes mais bien à fond avec petits coups rapides et vifs. Puis Sylvia nous fait pistonner ensemble au même rythme par le vagin et par le cul, faisant sortir nos deux queues de leur étui pour les réintroduire en chœur. Chacun de ces mouvements est un régal pour nous les hommes qui sentons la queue de l’autre. Mais que dire de notre amie, il semble que tout son corps participe. Elle ondule, tortille, avance, recule, la tête tournant sans cesse. Et sa voix, oh ! sa voix qui change passant du grave à l’aigu, qui gronde, gémit, encourage, supplie.Enfin Sylvia nous laisse libres de jouer notre propre partition et nous voulons honorer encore plus les orifices qui nous recueillent. Rien ne nous retient et nos coups de soudard font d’Anne une marionnette entre nos mains. Mais David fait signe qu’il va jouir alors que je ne me sens pas prêt.Heureusement ma douce épouse, qui sait mon problème, m’encourage en caressant mes couilles et surtout, oh la coquine, glisse un doigt dans mon fondement pour l’exciter de l’intérieur. Comme toujours, cette caresse déclenche ma montée de sève et c’est synchronisé avec David que je balance ma purée. Elle est moins abondante que la première fois de la soirée mais je la sais plus épaisse et plus forte en goût, d’après l’expérience de mon épouse.Un orgasme d’une violence inouïe terrasse Anne qui s’effondre sur David, le corps vibrant encore pendant plusieurs secondes.Voilà , c’est fait, je retire mon sexe, fais un pas en arrière pour regarder cette image qui fait partie de mes fantasmes : voir mon sperme glisser de l’orifice où je l’ai placé. Rien n’est plus érotique pour moi d’autant plus que, suivant le sillon, il vient se joindre à celui de David et le jus du con d’Anne. Ma femme qui assiste pour la première fois à ce moment magique est troublée et se caresse le clito d’une main, tordant ses tétons de l’autre. Elle s’agenouille et consciencieusement entreprend de nettoyer les sexes de ces liqueurs.Elle se relève, se retourne vers moi, me fait face et me regarde droit dans les yeux en me montrant, ostensiblement, ce que sa langue malaxe dans sa bouche. Cette pâte blanche rassemble nos trois jouissances et je comprends sa demande. Elle veut la partager avec moi, mais… je ne peux refuser ce présent car ce serait une fois de trop. Je m’avance et l’embrasse goulûment, presque avec violence, nos dents se choquant. De la langue je prélève une part de cette liqueur que j’avale bien visiblement. Alors mon épouse me chuchote à l’oreille :— Merci, je t’aime.Anne reprend lentement ses esprits et devant notre inquiétude nous rassure d’une voix comme cassée par l’excès de tabac :— Tout va bien, c’est cette jouissance quasi continue qui m’a épuisée. Je suis heureuse, comblée.La soirée se termine. David se charge d’habiller sa femme et après nous avoir salués, prend le chemin de leur maison avec Anne à ses bras, titubante, comme enivrée.Après leur départ ma femme et moi nous félicitons de cette mémorable soirée. Non seulement nous avons rempli le contrat d’amener Anne à l’échange mais en plus tout le monde a pris un plaisir fou.Le lendemain un livreur sonne à la porte pour nous donner une caisse de champagne et un magnifique bouquet de fleurs. Une lettre accompagne ces cadeaux :Chers amis,Merci pour cette inoubliable soirée qui marquera d’une date notre sexualité. Nous espérons que notre participation a été à la hauteur de vos espérances.Signé Anne et David.PS. Ma chère Sylvia, ton sens de l’hospitalité m’a permis de pouvoir utiliser deux hommes pour mon seul plaisir. J’ai donc une dette envers toi. J’aimerais vous inviter bientôt à la maison pour réaliser un scénario que, dès demain, je vais construire. Je vous le ferai parvenir, à moins que vous ne préfériez venir sans rien connaître du programme. À vous de décider.Au fait, Jean, pourrais-tu me donner les coordonnées de « l’homme-surprise » pour votre anniversaire. Deux c’est bien, mais trois c’est certainement mieux. Après tout, nous les femmes avons trois orifices qui peuvent apporter du plaisir.Voilà . Devinez quelle a été notre réponse.