Elle s’appelle Joëlle. Nous sommes mariés depuis 10 ans maintenant. Nous formions un couple très uni et très complice, nous nous aimions passionnément. Elle a 35 ans cheveux mi-longs couleur châtain clair pour 1m68 et 90b tour de poitrine qui sont en forme de poire et moi 40 ans 1m82 sans être un apollon mais un physique agréable que j’entretiens régulièrement en pratiquant du sport. Nous partageons un bonheur parfait, malheureusement la vie est ainsi faite, suite à une opération, je me suis retrouvé impuissant. La vie de notre couple a basculé depuis ce jour là car les deux premières années ce furent très dures et nous nous en sortons grâce à notre amour. Je compensais les actes physiques par la tendresse, nous nous caressions énormément et la seule façon pour donner du plaisir à ma femme résume à des cunnilingus avec différents gadgets. Elle a tenté à plusieurs reprises pour me donner une érection mais malgré ses efforts ma queue restait sans réaction. Mais au fur des années, je vois bien que malgré tous les efforts que je fasse pour apporter à ma femme toute l’affection et les plaisirs qui lui manquaient, elle commençait à manifester le désir d’avoir une relation normale, ce qui est compréhensif pour une jeune femme. Nous en avons parlé à plusieurs reprises et elle m’a avoué qu’elle aimerait faire l’amour avec un autre homme, le besoin de le serrer dans ses bras pendant qu’il lui fera l’amour. Chose que je comprends bien car malgré un accouchement, elle est restée une très belle femme, elle a gardé un corps que bien des jeunes filles aimeraient avoir. J’ai toujours été très fier de voir les regards des autres hommes portés sur elle. Mais de là à la partager avec un autre, j’ai du mal à accepter ou tout au moins au début. Mais comme je l’aime tellement et mon souhait c’est son bonheur et qu’elle soit heureuse, je me suis résolu à accepter cette éventualité. Un jour, je lui ai fait part de ma réflexion et lui donner ma bénédiction pour qu’elle puisse avoir une aventure sans avoir de remord. Au début, elle était surprise, elle m’a demandé si j’ai bien réfléchi ? Je l’ai tranquillisée en lui disant que je ne souhaite que son bonheur car elle le mérite et je n’ai pas le droit de la priver du plaisir qu’elle en réclame.Les semaines se sont écoulées et un soir après un bon repas, nous sommes allés au lit et c’est là qu’elle m’annonça:— Il faut que je te dise quelque chose.Je lui ai demandé:— Quoi donc?— Tu sais, tu te rappelles ce que tu m’as dit une fois que tu es d’accord que je fréquente un autre homme?— Oui!— Eh bien! Aujourd’hui j’ai fait la connaissance d’un homme charmant qui m’a invité à déjeuner avec lui demain. Enfin, si tu n’as pas changé d’avis depuis.— Tu sais bien que non ma chérie. Comment tu l’as connu?— C’est un représentant d’un fournisseur avec qui j’ai eu à plusieurs reprises au téléphone. Nous nous sommes sympathisés et comme il est dans le coin aujourd’hui, il est passé nous dire un petit bonjour, comme j’étais toute seule il en a profité pour rester discuter et à midi nous sommes allés prendre un verre ensemble. Il est très sympa.— Il est sympa! Mais est-ce qu’il te plaît?— C’est un bel homme, âgé environ 35 ans, il est marié et ils ont 2 enfants. J’avoue être sous son charme quand il parlait, je buvais ses paroles. Je pense que je ne le laisse pas indifférente non plus.Voyant ses yeux brillaient d’excitation rien que de m’en parler. Ma main caressait la sienne, j’ai commencé à descendre lentement vers ses cuisses pendant qu’elle continuait à parler. Je commençais à caresser l’intérieur de ses cuisses, elle les écartait légèrement pour que ma main puisse accéder à sa chatte. Elle était trempée, j’ai glissé un doigt entre ses lèvres inondées aussitôt elle ferma les yeux et un soupir échappa de ses lèvres. Mon doigt nageait littéralement dans sa chatte, j’en profita pour en mettre un deuxième et puis un troisième. Je commençais à la masturber avec de longs va-et-vient dans sa chatte et bientôt tout son corps est secoué par des spasmes et elle jouissait bruyamment.Le lendemain, elle se préparait soigneusement plus que d’habitude pour aller travailler. Je la voyais hésitante devant la commode pour le choix des sous-vêtements. Une fois décider, elle est partie s’habiller dans la salle de bain. Elle est réapparue au bout d’une demi-heure plus tard, elle m’a parue plus belle et plus sexy que d’habitude. J’avais du mal à retenir une certaine jalousie de la voir se faire belle pour son premier rendez-vous et peut être avec son premier amant. Elle me donna un baiser avant de partir, j’en profita pour lui dire combien je l’aime et lui souhaiter de bien profiter de l’occasion. Toute la journée ce fut un enfer pour moi, la journée me paraissait une éternité. Jusqu’au moment où j’ai entendu le bruit de la serrure de la porte d’entrée, je faisais mine de regarder la télé-vision mais ma vision de la journée c’était plutôt ma femme dans les bras de son amant, j’imaginais ses mais sur le corps de ma femme. Elle est venue me donner un baiser, elle a l’air radieuse, un peu gênée. Elle est partie dans la chambre pour se déshabiller. J’attendais que ça soit elle qui abordera le sujet. Elle est venue me rejoindre dans le salon et m’a demandé:— Tu veux boire quelque chose avec moi?— Avec plaisir, un Coca s’il te plaît.Et elle m’a dit:— Pour moi ce sera un verre de Muscat.Elle emmena les deux verres sur un plateau avec quelques gâteaux apéritifs et nous avons trinqué ensemble. Voyant qu’elle ne décidait pas à m’en parler, je lui ai demandé:— As-tu passé une bonne journée?Elle m’a répondu:— Une excellente journée oui! On peut le dire. Je vois que tu en meurs envie de savoir comment ça s’est passé mon rendez-vous n’est-ce pas? Je me trompe?— Oui, c’est vrai mais tu n’es pas obligée de me le raconter si tu n’en as pas envie.Après un long silence, elle se mettait à parler:— Eh bien! J’avais demandé à mon patron la permission de prendre 2 heures en prétextant que j’avais une course à faire. Nous sommes allés déjeuner dans un charmant restaurant qu’il a pris le soin de réserver une table. La cuisine est très bonne, pendant tout au long du repas il me draguait et moi je jouais de tous mes charmes pour le séduire. Nous avions beaucoup ri et à un moment il en profita pour prendre ma main et la caresser. Je le laissais faire, voyant ma réaction il en profita pour la porter à ses lèvres et déposa un tendre baiser. J’avais la chair de poule de sentir le contact de ses lèvres sur ma peau. Je dois t’avouer honteusement que je mouillais comme une folle. C’est agréable de sentir désirer et de se faire courtiser de la sorte, moi une femme fidèle pendant toutes ces années. Je me conduisais comme une traînée qui a l’habitude de tromper son mari.Elle restait en silence pendant un long moment. Je lui ai demandé:Elle hésita un peu et continua:— Une fois sortir du resto, il m’a pris la main et nous marchions comme des amoureux jusqu’au parking. Une fois dans la voiture, il s’est tourné vers moi et commença à me caresser la main, lentement il remontait le long de mon bras jusqu’à mon épaule, il caressait mes cheveux et passer sa main derrière ma nuque sentant la chaleur de sa main sur ma peau je fermais les yeux. Il en profita pour m’attirer contre lui, je sentais son souffle chaud sur ma joue et lentement ses lèvres se posèrent sur ma bouche, j’entrouvrais mes lèvres et je sentais sa langue cherchant à frayer le chemin et nos bouches se soudaient dans un baiser voluptueux. Je me fondais littéralement dans ses bras. Je sentais ses mains caressaient mes seins, mes cuisses. Elle remonta le haut de mes cuisses et caresser mon string qui est complètement trempé car je mouillais comme une salope, toute la jouissance qui est au fond de moi depuis toutes ces années s’écoulait entre mes cuisses. Il l’écarta et commencé à me doigter, je hurlais comme une folle. Il voulait me prendre mais je n’ai pas voulu que ça se passe comme ça la première fois. Je lui ai sorti sa queue, ça fait longtemps que je n’ai pas vu queue bandait comme ça pour moi, elle est d’une grosseur impressionnante et une longueur bien au-dessus de la moyenne, au début je voulais juste le masturber mais l’excitation et l’envie de la prendre dans ma bouche, j’ai fini par l’engloutir au fond de ma gorge tout en caressant ses couilles velues. Sentant qu’il allait jouir, j’ai tenté de me retirer mais il maintenait fermement ma tête et tout son sperme inonda ma bouche. J’ai avalé tout ce que j’ai pu et je me suis essuyée le reste avec un Kleenex. Voilà toute l’histoire, tu n’es pas déçu de mon comportement?Je l’ai rassurée en lui disant:— Tu as bien raison d’en profiter, je sui heureux pour toi. Vous allez vous revoir?— Oui, demain midi mais il voudrait que nous allions à l’hôtel mais avec une heure ça va faire juste. Je verrai si je peux encore demander à mon patron de prendre plus de temps en prétextant que je n’ai pas pu faire toutes mes courses aujourd’hui. Qu’est-ce que tu en penses de tout ça? Est-ce que je te fais de la peine de me conduire comme ça?— Non pas du tout je t’assure mais je ne saute pas de joie quand même, mais du moment que tu es heureuse ma chérie c’est l’essentiel.— Merci mon chéri, j’ai de la chance d’avoir un mari comme toi.Le lendemain, ma journée est partagée entre les sentiments de la jalousie de savoir que ma femme s’est offerte à cet homme. J’imaginais sa queue pénétrait la chatte trempée de mon épouse et qui lui procurait du plaisir que je ne pouvais plus lui donner. J’attendais avec impatience le soir. J’essayais de m’occuper les esprits pour ne pas y penser mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais repousser ces images qui me trottaient dans la tête.Arrivant enfin l’heure de son retour mais que fait-elle? Toujours pas de bruit de serrure, les minutes me paraissaient interminables et au bout de deux heures de retard la porte s’ouvra. Oh! Là là , ma chérie a le visage marqué, l’air un peu honteuse, elle n’osait me regarder en face. Elle s’excusa de son retard en me disant:— Excuse-moi chéri, je n’ai pas vu l’heure passer. Tu m’en veux?— Mais tu n’as pas à t’excuser, je me faisais un peu de soucis c’est tout. Je me demandais ce qui t’arriver.— Oh! Rien de grave mais je suis un peu honteuse.— Honteuse de quoi?— Honteuse de ce que j’ai fait, honteuse de m’être conduite comme une traînée. Je me suis donnée corps et âme à un autre qu’à mon mari. Je me suis livrée comme une salope tellement c’était bon. Alors quand il m’a proposé que nous nous retrouvions le soir dans cet hôtel je n’ai pas pu refuser.— Que tu es bête, quoi de plus naturel de prendre du plaisir. La vie est faite pour ça non? Allez! Va te faire couler un bain ça va te faire du bien pendant que je te prépare un bon repas pour te retaper et après au lit.Après le repas nous nous sommes allés au lit. Elle s’est vite endormie dans mes bras pendant que je regardais le corps de ma femme meurtrie par des assauts répétés de son amant.Depuis ce jour, ils se voyaient régulièrement et quelques fois ils sortaient ensemble le soir et elle ne rentrait qu’au petit matin. Un jour, je lui ai demandé:— Pourquoi tu n’inviterais pas Jean à dîner à la maison? Comme ça je pourrai faire sa connaissance. Puisque ça fait 6 mois maintenant que vous vous fréquentiez.Un peu surprise elle m’a répondu:— Bonne idée, pourquoi pas puisqu’il fait presque parti de la famille maintenant. Je lui en parlerai.En tout cas malgré qu’elle ait un amant et des rapports sexuels (normaux) Elle n’a jamais négligé nos rapports. Ce qui est tout en sa faveur. Je dois avouer que j’appréhendais au début.Un soir en rentrant elle m’a annoncé:— Jean viendra dîner avec nous vendredi soir si tu es ok!— Bonne nouvelle, j’ai hâte de faire sa connaissance et de voir celui qui a redonné goût à la vie à ma chérie.— Tu exagères de dire ça.— Avoue que tu es quand même plus heureuse depuis que tu le connais. Tu es transformée et épanouie. Tu es devenue plus femme, tu fais toujours attention quand tu t’habilles le matin pour aller travailler. Je suis heureux pour toi ma chérie.Vendredi soir, une fois rentrer de son travail, elle s’occupait à préparer le repas. Je lui donnais un coup de main en mettant la table. Une fois tout est prêt, je lui ai dit:— Va prendre un bain pour te relaxer et te préparer, je finirai le reste.Pendant qu’elle prenait son bain, je l’entendais chantonner. Une heure plus tard elle sortait enfin de la chambre maquillée et habillée. Elle a choisi une robe noire en tissu léger presque transparent très échancré sur les côtés avec un large décolleté sur le devant qui mettait en valeur la naissance de ses seins, elle ne portait pas de soutien-gorge par contre on pouvait deviner qu’elle portait un mini string noir en dessous. Elle ne portait ni bas, ni collant préférant laisser ses jambes nues. Elle m’a demandé:— Avec cette robe quelles chaussures préfères-tu?— Je pense qu’avec tes chaussures noir vernis à talon tu seras merveilleuse.Vers 21 heures, la sonnette du portail retentissait, elle jeta un regard par le vidéophone et m’annonça toute excitée:— C’est la voiture de Jean.Elle est partie vers la porte pour l’accueillir, après une brève embrassade. Les voilà arrivés dans le salon, elle faisait les présentations en tant que maîtresse de maison (ou maîtresse tout court) Elle m’a dit:— Tu as vu le magnifique bouquet qu’il m’a apporté?— Oui! En effet les fleurs sont magnifiques tout comme toi ma chérie.Elle rougissait un peu, ça lui donne un air plus coquin encore. Jean est un bel homme, il est grand avec un corps athlétique, je vois que ma femme a du goût. Je me suis installé dans un fauteuil et invita notre hôte à faire de même dans le canapé du coup ma femme se mettait à côté de lui. J’ai proposé l’apéritif mais ma femme m’a dit:— Je prendrai bien une coupe de Champagne et toi Jean?— Pour moi aussi.Alors j’annonçai:— Eh bien! Champagne pour tout le monde.Je suis parti chercher le Champagne et les coupes, les laissant ensemble. Je faisais exprès de traîner. Me voilà de retour au salon avec tout ce qu’il fallait sur le plateau, j’ai remarqué que ma femme avait les joues légèrement colorées et le haut de sa robe était un peu retrousser. Je remplissais les trois coupes et nous trinquions.— À ta santé et à ton bonheur ma chérie.Elle se pencha à plusieurs reprises pour attraper les assiettes des petits fours et à chaque fois on voyait presque entièrement ses seins, Jean ne loupait pas non plus du spectacle car je voyais une bosse se formait entre ses jambes. Elle était divinement belle et sexy entre ses deux hommes. J’ai décidé de les laisser seuls en prétextant qu’il faut que j’aille chercher du vin dans la dépendance où est stockée notre réserve. Une fois dehors dans le noir je m’approchais doucement sans faire de bruit d’une fenêtre pour les observer. Je les voyais s’embrasser et lui il caressait les seins de ma femme par l’échancrure de sa robe pendant qu’elle caressait son sexe à travers son pantalon. Il sortit un sein de ma femme au-dessus de son décolleté et suça son téton et le pinça par moments. Je voyais ma femme fermer les yeux, elle appréciait les caresses que lui donnait son amant, elle lui murmurait des mots à l’oreille mais d’où j’étais, je ne l’entendais pas. Le spectacle est vraiment excitant, j’aurai aimé pouvoir bander pour me masturber. Au bout d’un quart d’heure, j’ai décidé d’interrompre mon voyeurisme pour aller chercher les bouteilles. Avant d’entrer je faisais le plus de bruit possible pour les prévenir mais je fus surpris de voir que ma femme n’était pas là . Elle a réapparu peu de temps après et j’ai jeté discrètement un regard sur elle pour constater qu’elle a ôté son string. J’ai appris après qu’elle l’a enlevé car il était complètement trempé et aussi à la demande de son amant. Pendant le repas à chaque fois qu’elle se levait pour servir son amant, elle se penchait de façon indécente, d’où il était, il pouvait voir toute sa poitrine. Je la trouvais encore plus belle à jouer comme ça de ses charmes, elle est vraiment désirable, qu’est-ce que je donnerai pour pouvoir lui faire l’amour. Quand elle faisait le tour pour me servir, je ne manquais pas l’occasion pour lui caresser ses fesses sous les regards intéresser de son amant. Elle jouait les effarouchées:— Arrête! nous ne sommes pas seuls— Et alors? Je parie que Jean a envie d’en faire autant, n’est-ce pas?Il a l’air un peu gêné. Après le repas nous sommes passés au salon pour prendre un petit digestif et le café. J’en ai profité pour mettre une petite musique d’ambiance. Ma femme arriva au salon avec le plateau de café tout en ondulant au rythme de la musique, à peine qu’elle eut posé le plateau sur la table basse qu’elle dise à Jean:— Vient me faire danser J’en ai envie.Ils dansaient coller l’un à l’autre. Ma femme qui a un peu bu plus que d’ordinaire commencer à frotter son bassin contre le bas ventre de son amant. Je la trouvais encore plus désirable et sensuelle que d’habitude. Voulant les laisser seuls, je prétextais une fatigue j’embrassais ma femme et dire au revoir à Jean tout en lui disant:— Si tu le désires tu pourrais rester coucher nous avons une chambre d’amiEt sur ce, je suis monté me coucher dans notre chambre à l’étage. Mais au lieu de me mettre au lit, je guettais par l’entrebâillement de la porte le moindre bruit. Je n’ai pas à attendre longtemps car j’ai entendu ma femme dire à son amant:— Attend un peu, je vais voir s’il dort.Je me suis glissé rapidement sous le drap, faisant mine de dormir. Elle m’a demandé:— Tu dors? Ça va?— Oui, ça va je suis juste un peu fatigué. Amuse-toi bien ma chérie.Tranquillisée elle est redescendue rejoindre son amant.— C’est bon, il s’est endormi.Je me suis levé pour regagner mon poste d’observation mais d’où j’étais je les entendais mais je ne pouvais les voir alors je me suis avancé vers l’escalier de façon à avoir une vue plongeante sur le canapé où se trouvait le couple. Ils ne perdaient pas de temps, ils s’embrassaient et se caresser. Ma femme était allongée, il a sorti ses seins par-dessus son décolleté, il caressait un sein et pinçait son téton de temps en temps, il embrassait et suçait l’autre. Il a retroussé sa robe et sa main remontait le long de ses cuisses, je voyais sa main caresser sa chatte nue et il a introduit un doigt et a commencé des mouvements de va-et-vient, elle a écarté un peu plus ses cuisses pour qu’il puisse la doigter comme il faut. Elle a commencé à gémir et lui a dit:— Oh! Oui. C’est trop bon Jean, j’avais envie de toi pendant toute la soirée. Allons dans la chambre d’ami nous serions mieux. Tu pourras me baiser et me faire jouir.De voir ma femme s’offrir comme ça sous notre toit, elle était impudique et sensuelle en même temps. Mais c’est ce que je voulais en invitant son amant chez nous. Malheureusement, une fois qu’ils se sont enfermés dans la chambre, je ne pouvais plus profiter du spectacle. Je suis d’allé coller mes oreilles à la porte, d’où j’entendais ma femme jouir tout en disant des obscénités à son amant pendant qu’il lui faisait l’amour.Elle est venue se glisser silencieusement sous les draps de notre lit que vers quatre du matin, croyant que je dormais. Elle s’est réveillée vers neuf heures et s’est venue se blottir contre moi. Elle sentait encore l’odeur de son amant. Je l’ai embrassé, elle avait le visage marqué par la fatigue mais elle avait l’air heureuse et c’est l’essentiel. Je lui ai demandé:— Jean est resté dormir?— Oui! M’a t’elle répondu.— Tu es heureuse?— Ouiii(tout en s’étirant)! Grâce à toi mon chéri. Merci mon amour.Et puis, elle s’est levée pour aller préparer le petit déjeuner. Je suis descendu après pour la rejoindre, lui laissant largement le temps d’aller réveiller son amant. Peu de temps après, il est sorti de la chambre nous rejoindre pour prendre un bon petit déjeuner ensemble.Après le petit déjeuner, il est parti prendre une douche, je dis à ma femme:— Va le rejoindre sous la douche si tu en as envie.Elle s’est levée pour m’embrasser avant d’aller rejoindre son amant en me disant:— Je t’aime, merci pour ta compréhension mon amour.Après, il a pris congé car il a fallu qu’il rejoigne le nid familial. Quant à notre couple, nous sommes plus complices et plus soudés que jamais. Mais j’aimerai un jour pouvoir assister pour voir ma femme faire l’amour avec son amant, c’est un sujet que j’en parlerai bientôt avec elle.Michel