Je me prĂ©nomme Florence, j’ai tout juste 30 ans, je vis avec Patrick mon compagnon depuis bientĂ´t 5 ans. Il trouve sa petite brunette Ă son goĂ»t avec 56 kg pour mes 1,67m une poitrine moyenne sans ĂŞtre opulente je fais un 90b, un fessier bien ferme aux courbes pleines, j’aime me sentir sĂ©duisante.
Nous sommes très complices avec Patrick, et nous aimons faire Ă©voluer notre sexualitĂ© vers des jeux de plus en plus coquins.Ce voyage en TGV entre Montpellier et Paris en est un exemple.Patrick devait se rendre dans la capitale durant 2 jours pour son job. Ayant rendez vous le lundi matin assez tĂ´t, il avait dĂ©cidĂ© de partir le dimanche après midi. C’est alors que la semaine prĂ©cĂ©dent son dĂ©part, je lui proposais de passer le week end ensemble Ă Paris en partant mĂŞme le vendredi matin ce qui nous allongerait notre petit sĂ©jour. Patrick dĂ» s’organiser dans son emploi du temps, modifier les dates de son billet aller et me prendre un billet. Malheureusement nos billets en première classe pris tardivement nous n’avions pas de place cote Ă cote, moi j’avais une place sur un siège isolĂ© face Ă face et Patrick avait un siège cotĂ© couloir Ă 2 rangĂ©es du mien, mais nous nous faisions face. Notre TGV partait de Montpellier Ă 9h20 pour arriver Ă la capitale peu après midi trente. Patrick m’avait mis au dĂ©fi de sĂ©duire un homme durant le trajet.
Alors que je m’habille Patrick me dit :
-Florence pour le soutif blanc en tulle brodĂ© très sexy, le chemisier crème lĂ©ger et la jupe gris foncĂ© tout juste mi cuisse et un brin translucide c’est parfait, mais ton collant sans couture marron foncĂ© mĂŞme portĂ© sans rien dessous c’est moins sexy !
– Tu verras mon chĂ©ri l’utilitĂ© du collant le moment venu… je pense que tu apprĂ©cieras !Ma tenue se complète par une paire d’escarpins Ă talons fins de 7 ou 8 cm de haut et d’un petit blouson court et cintrĂ©.Dès notre arrivĂ©e Ă la gare je dĂ©cide de ne pas me tenir près de toi, ainsi pour que tous les autres voyageurs ne nous voient pas comme un couple. Patrick entre en premier dans le train, j’entre Ă mon tour juste que deux petites minutes avant le dĂ©part. Je rejoins ma place, j’enlève mon blouson, sort un roman de mon sac Ă main et je m’assoie face un homme d’une quarantaine d’annĂ©e bien physiquement, dĂ©jĂ occupĂ© Ă pianoter sur le clavier de son ordi portable. Il me salue poliment et replonge sur l’Ă©cran de son ordi. Le train vient de quitter la gare et prend lentement sa vitesse de croisière, j’ai ouvert mon livre et laissĂ© repliĂ© sur le plan central le rabat de la table. Je constate, satisfaite, au vu des regards masculins ou fĂ©minins sur mes cuisses des quelques personnes passant dans l’allĂ©e que la table ne gĂŞne en rien la vision sur mes cuisses. Patrick, juste Ă quelques petits mètres de moi, me fait signe d’ouvrir d’un bouton de plus mon chemisier. Je lui fais un signe nĂ©gatif de la tĂŞte, je trouve mon dĂ©colletĂ© suffisamment profond jusqu’au creux de mes seins, les revers de mon chemisier laissant apparaĂ®tre la lisière brodĂ©e et le fin tulle des bonnets de mon soutif. Tout en lisant, je remarque le manège du regard de mon voisin se portant soit sur mon buste, c’est vrai que la broderie de mon soutif ne passe pas inaperçue sous le fin coton de mon chemisier, tantĂ´t en se reculant au plus loin que le permet son siège je remarque le regard partir sous la tablette.Ah enfin ! Je me dis, je dĂ©sespĂ©rai de le voir attirĂ© par mes atouts. Ca fait bien Ă prĂ©sent presque une petite heure que le TGV file dans la campagne, nous avons attrapĂ© la ligne Ă grande vitesse qui dĂ©bute après NĂ®mes et on plonge vers la vallĂ©e du RhĂ´ne. Mon voisin range son ordi dans sa housse, puis rabat Ă son tour sur le plan central le rebord de la tablette amovible. Je pose mon bouquin, j’actionne le bouton de mon siège pour le mettre en position inclinĂ©e, je dĂ©croise mes jambes pour les recroiser dans inversement, dans le mouvement je touche du bout de mon escarpin la jambe de mon voisin. Il lève les yeux de son Ă©cran de tĂ©lĂ©phone qu’il venait de prendre, je lui souri et me rend mon sourire, je laisse mon regard partir au travers de la vitre contempler la paysage qui dĂ©file. Puis mon regard fait un tour circulaire du wagon, croise celui de Patrick pour finit vers la fenĂŞtre opposĂ©e. J’attends d’une oreille discrète les bips du tĂ©lĂ©phone de mon voisin quand il touche con Ă©cran tactile, je ferme les yeux me laissant bercer par le doux roulis du train. J’entrouvre les paupières, je vois mon voisin qui manipule toujours son tĂ©lĂ©phone, parfois l’inclinant, il a du trouver comment dĂ©sactiver les bips car je ne les entends plus. Mon regard repart par ma fenĂŞtre avant de se baisser sur mes cuisses, je constate que ma jupe au fur et Ă mesure de mes mouvements a fini par reculer assez haut sur mes cuisses n’en couvrant que le dĂ©but. Et je comprends le fait que je n’entende plus le bip bip du tĂ©lĂ©phone quand mon voisin touche son Ă©cran, il doit me prendre en photo ! Loin de me rĂ©volter par le fait d’ĂŞtre prise en photo Ă mon issu, cela me rassure enfin que mon voisin s’intĂ©resse Ă moi, je commençai Ă dĂ©sespĂ©rer. Je dĂ©cide de franchir une Ă©tape. Je dĂ©croise mes jambes, au passage j’effleure Ă nouveau son tibia en contournant ses jambes… sourire de ma part valant d’excuse auquel il rĂ©pond, et je lui dis :- ça ne vous dĂ©range pas si je place mon pied contre la cloison, je commençai Ă avoir des crampes dans cette position.
– mais absolument pas, je vous en prie !Mon pied repose Ă prĂ©sent sur le petit rebord qui se trouve en bas de la carrosserie et le plancher des TGV, l’autre jambe Ă©tant restĂ©e presque parallèle juste un peu de biais vers le couloir, crĂ©ant ainsi une certaine ouverture de mes cuisses. Mon voisin reprend son manège avec son tĂ©lĂ©phone, je referme les yeux (enfin presque) le coude sur l’accoudoir et le menton reposant dans la paume de ma main. Je laisse passer quelques minutes durant lesquelles me croyant dans les bras de MorphĂ©e, mon voisin, continue Ă me photographier, surtout mes cuisses n’hĂ©sitant pas Ă abaisser son tĂ©lĂ©phone jusque sous la table. Quelques minutes plus tard, je dĂ©cide d’intervenir, sans modifier ma position je lui dis:
– la luminositĂ© est elle assez suffisante ?Il fait celui qui ne comprend pas, mais je vois bien son trouble, il me rĂ©pond pour le moins hĂ©sitant :
– de quelle luminositĂ© vous parlez ?
– et bien pour les photos !LĂ , je le vois se dĂ©composer, du genre enfant pris sur le fait entrain de faire une bĂŞtise. Il bredouille sans qu’un seul mot ne sorte. Je m’amuse de la situation, mais je ne souhaite pas le ridiculiser et j’ajoute.
– j’ai vu que vous preniez mes jambes en photo, elles vous plaisent vraiment !Voyant que je n’ai pas trop l’air de m’offusquer, il reprend timidement confiance pour me dire:
– je peux vous assurer que vous avez de fort belles jambes, et pas que les jambes d’ailleurs, vous ĂŞtes adorable !
– merci, c’est très gentil. Je peux mĂŞme vous retourner le compliment. Mais pour en revenir aux photos je suppose que vous allez les faire voir Ă vos copains, si ce n’est pas dĂ©jĂ fait par texto, en lui disant regarde avec ce que je voyage.A nouveau je vois son trouble.
– pas du tout, c’Ă©tait juste pour avoir un souvenir personnel.
– j’ai du mal Ă vous croire, mais ce n’est pas grave, en fait j’en suis flattĂ©e mĂŞme si j’aurai prĂ©fĂ©rĂ© que vous me le demandiez. Je peux voir les photos comme elles rendent ?Devant mon sourire, il ne mit pas longtemps Ă me tendre son tĂ©lĂ©phone, je fais dĂ©filer les poses une Ă une, pour m’apercevoir qu’en effet peu de photo du haut de mon corps et que les trois quart des vues Ă©taient de mes jambes avec les dernières cuisses plus ouvertes laissaient visible mon intimitĂ©. Tout en visionnant les photos le tĂ©lĂ©phone se mit Ă vibrer et affiche un message reçu, sans en demander la permission j’ouvre le message pour lire:  » toi tes verni, putain quel lot ! J’attends la suite »
– ben voila j’avais raison, les photos ne sont pas que pour votre souvenir, pour les copains aussi !Et je lui tends le tĂ©lĂ©phone ouvert sur le message. Et je dis, tout dĂ©faisant un bouton de mon dĂ©colletĂ© :
– cette situation commence bien Ă m’exciter !Comprenant que je suis consentante, il fait une photo de mon visage avec le buste. Ensuite lentement j’Ă©carte bien plus la cuisse cotĂ© couloir en disant :
– je pense que celle lĂ , vos copains apprĂ©cieront, ne la loupez pas !La photo prise qui a du ĂŞtre doublĂ©e ou triplĂ©e, tout en discutant quelques minutes nous Ă©changeons nos prĂ©nom, lui c’est Pierre. Puis le regardant dans les yeux et de ma voix la plus suave je lui dis :
– est ce que vous ĂŞtes Ă l’Ă©troit dans votre pantalon ?Tout en disant cela je dĂ©chausse mon pied de son escarpin, et au moment ou il me rĂ©pond par l’affirmative je pose mon pied sur son entrejambe en lui massant doucement sa virilitĂ© tendue, et j’ajoute façon très chatte :
– j’ai très envie de toi !!! Viens suis moi aux toilettes.Je me lève en lui prĂ©cisant de ne pas oublier son tĂ©lĂ©phone, et je me dirige vers les toilettes, il me suit, je le sais. Au passage j’Ă©change un regard complice avec Patrick.Par chance les toilettes sont libres. J’ouvre la porte et je me retrouve propulsĂ©e Ă l’intĂ©rieur par Pierre pressĂ© de refermer derrière nous. Comme dans toutes les toilettes de train, celle ci ne fait pas exception Ă la maladresse de ces messieurs, les abords de la cuvette sont constellĂ©s de petites flaques et n’ayant mĂŞme pas pris soin de relever la lunette avant de pouvoir se soulager ! Mais je ne suis pas lĂ pour faire un constat des lieux, j’ai juste le temps de poser mon sac Ă cotĂ© du lavabo, et Pierre m’enlace soudant sa bouche Ă la mienne, nos langues s’enroulent et entame une danse grisante. Une main presse mon sein, l’autre pelote plus qu’elle ne caresse mes fesses. je passe un bras derrière sa nuque que je caresse tendrement, mon autre main agrippe ses fesses que presse contre moi, contre mon ventre je sens sa virilitĂ© tendue, cela me donne des frissons de plaisir.
– tu sens comme tu me fais bander !
– oui je sens bien et j’aime ça.A nouveau nos bouches se soudent, je vois Pierre tenant son tĂ©lĂ©phone Ă bout de bras et prendre notre baiser en photo. Puis il commence Ă dĂ©boutonner mon chemisier, j’en profite pour enlever ma jupe le tout va rejoindre mon sac Ă main sur le lavabo. Pierre se recule autant que le permet l’Ă©troit espace, il me demande de reculer tout contre le WC, il prend plusieurs photos le tulle brodĂ© de mon soutif ne cachant pour ainsi dire rien de mes seins, comme le collant qui laisse bien voir le petit triangle brun de ma toison. Tout le temps qu’il met Ă prendre ses photos, je me caresse les seins et ma fente qui suinte de plus en plus !
Il s’avance vers moi, tout en ouvrant le zip de son pantalon, en me disant d’un ton qui ne supporte pas la contestation :
– suce moi !Je sors non sans mal son sexe tendu, alors que de ses mains il exerce une forte pression sur mes Ă©paules tout en me poussant en arrière. Je me retrouve assise sur la lunette de la cuvette, je sens les mailles de mon collant et ma peau se mouiller, mais je n’ai pas le temps de rĂ©flĂ©chir que Pierre m’attrape par les cheveux pour coller ma bouche contre son pieu dressĂ©. Doucement j’entrouvre ma bouche, ma langue entoure et contourne le gland tourne autour tandis que ma main glisse sur le long de la hampe que je sens frĂ©mir entre mes lèvres. Puis ma bouche descend le long du membre pour remonter et redescendre tout en accĂ©lĂ©rant les va et viens. Maintenant c’est Pierre de sa main qui m’impose la cadence, tandis qu’il me filme de son autre main. Puis me tenant ma tĂŞte fixe fermement de sa main, il se met Ă me baiser la bouche Ă grand coups de bassin, s’enfonçant dans ma gorge autant qu’il le peut, mes lèvres finissant par s’Ă©craser contre son pubis, de la bave s’Ă©chappe de ma bouche, dĂ©gouline sur mon menton pour finir par tomber sur le sol, filmant toujours et m’encourageant avec des  » allez suce salope » ou des « tu pompes comme une reine, une vraie pute ». Au bout de trois bonnes minutes, je le sens pas loin de jouir, le sentant aussi il se retire de ma bouche, se recule d’un pas, s’accroupi en me disant :
– Ă©carte bien tes cuisses que je prenne ta chatte en photo.Après deux ou trois clichĂ©s, je me lève et lui dit :
– baise moi maintenant j’ai trop envie de sentir ta queue en moi !
– je n’ai pas de prĂ©servatif, en as tu ?
– j’en ai pas, mais je te rassure je n’ai aucun problème de santĂ©, si pour toi il en est de mĂŞme, on peut fort bien s’en passer.
– dans ce cas pas de problème, je te fais confiance comme tu peux le faire aussi.Je me tourne face Ă la cloison, je baisse mon collant Ă mi cuisses et je me penche en avant au dessus du WC tout en me cambrant.Me tenant d’une main Ă la hanche, je sens Pierre qui promène son gland tout le long de ma vallĂ©e intime, glissant le bout de son gland entre mes lèvres, puis sur mon clito. Ma respiration s’accĂ©lère, je gĂ©mi doucement. Je le sens Ă nouveau se dĂ©placer vers l’entrĂ©e de ma grotte plus qu’humide, il avance, Ă©carte lentement mes chairs, je m’ouvre sur son passage, il avance encore et encore, quel dĂ©licieux supplice de le sentir s’enfoncer au plus profond de moi. Je sens mon ventre se liquĂ©fier, je dois inonder son pieu de mes sĂ©crĂ©tions. Une fois bien en moi, il savoure sa possession. Me tenant fermement aux hanches, il commence les vas et viens, d’abord doucement puis plus rapidement, je l’accompagne en ondulant de la croupe… oh que c’est bon !!Ses mains glissent sur mes fesses jusqu’Ă ce que les pouces se rejoignent au creux de ma raie, puis il lentement il Ă©carte mes gloges jumeaux pour dĂ©couvrir mon petit œillet. Un de ses pouces vient le caresser tendrement avant d’en forcer l’entrĂ©e qui cède sous la pression. Je ne peux pas Ă©touffer le soupir de plaisir qui sort de ma gorge et le dis :
– si mon cul te fais envie surtout ne te gène pas !
– oh que oui je vais t’enculer, ma salope !A peine a t il fini de parler, qu’il se met Ă cracher sur ma rosette, sors de ma chatte et positionne son gland contre mon oeillet, pousse un peu, je sens que je cède et m’ouvre sous la poussĂ©e, il pĂ©nètre puis se retire en disant :
– je vais d’abord prendre ton cul en photo avec ma bite Ă quelques centimètres de ton trou entrouvert!De ses mains il Ă©carta mes fesses, avança son gland contre mon Ă©troit conduit qu’il força Ă s’ouvrir libĂ©rant le passage Ă toute la hampe. Je lâche un cri plaintif sous la surprise de cette pĂ©nĂ©tration rapide qui m’occasionne une douleur comme si on me vrillait mes entrailles. Il ne me laisse pas le temps de rĂ©cupĂ©rer que dĂ©jĂ il me lime Ă grands coups de bassin. La douleur s’estompe et laisse place Ă une vague de plaisir qui dĂ©ferle au travers de mon corps, je sens ma chatte s’inonder et ma cyprine s’Ă©couler hors de moi. Pierre me laboure l’anus Ă une cadence effrĂ©nĂ©e durant trois bonnes minutes, sans crier gare il sort en disant :
– faut que je prenne une photo de ton cul bĂ©ant, tu es trop bandante ainsi ouverte !
– prends toutes les photos que tu veux, mais je veux que tu me baise de nouveau et que tu te vides au fond de ma chatte.
– tes dĂ©sirs sont des ordres ma salope !Pierre rĂ©investit ma chatte trempĂ©e et se met en devoir de limer rapidement, ses couilles viennent taper contre mon clito hyper sensibilisĂ©, je ne tarde pas Ă jouir emportĂ©e par la vague de plaisir, mes jambes me portent juste. J’espère que personne ne se tient dans le couloir car je n’ai pu ĂŞtre discrète. Pierre me suit de prĂ©s et lâche son flot de sperme en de puissants jets successifs se mĂŞlant Ă mes sĂ©crĂ©tions internes. Une autre vague m’emporte dans le bonheur jouissif.Dès que Pierre ressort de mon ventre je rĂ©ajuste mon collant Ă la taille, comme Pierre demeure lĂ plantĂ© comme une statue, je m’assoie sur la cuvette et prend son sexe encore gonflĂ© en main, j’approche ma bouche du gland qui disparaĂ®t petit Ă petit entre mes lèvres. je goĂ»te la saveur de son sperme, puis je le suce tout en nettoyant la moindre trace de son plaisir pour le mien.
– oh que c’Ă©tait bon Florence, j’ai pris un putain de pied comme jamais, tu es divine !Tout rajustant mon collant correctement, et en finissant de rhabiller je rĂ©ponds :
– moi aussi j’ai bien aimĂ©, bon retournons Ă nos places, si quelqu’un attend que les WC se libèrent il doit trouver le temps long.Et tout les deux de partir dans un fou rire incontrĂ´lĂ©. Je fini de boutonner mon chemisier que je laisse bien dĂ©colletĂ© laissant apparaĂ®tre le dĂ©but du tulle brodĂ© de mon soutif, nous sortons, le couloir est dĂ©sert et nous marchons vers nos places. Je sens venir s’imprĂ©gner dans les mailles du collant le mĂ©lange de nos fluides qui s’Ă©coulent de ma grotte. Une fois assise je demande Ă Pierre s’il veut bien aller nous chercher un cafĂ© Ă la voiture bar. Ce qu’il fait bien volontiers. Je croise le regard de Patrick je lui souri, personne ne semble regarder dans ma direction, alors j’ouvre mes cuisses dans la Direction de mon chĂ©ri pour lui montrer mon entrejambe et le collant qui le voile barbouillĂ© du sperme de mon amant. Patrick me sourit en me faisant un clin d’oeil, qui me fait son effet au creux de mon ventre. je referme mes cuisses et je reprends la lecture de mon bouquin en attendant le retour de Pierre.Je le vois entrer dans le wagon, je desserre un peu mes cuisses tout en posant mon livre, en s’asseyant je ne loupe pas son regard qui s’en va vers mes cuisses. Tout en buvant le cafĂ©, je dĂ©chausse un pied de son escarpin et je le pose sur l’entrejambe de Pierre qui me dit :
– tu sais rien qu’en te regardant je bande, alors avec ton pied lĂ , je crains de me laisser aller dans mon boxer !Je lui souri. Il rajoute qu’il aimerait qu’on se voit sur Paris. Je lui explique que j’habite Montpellier et que je ne passe que 4 jours sur la capitale. Devant son insistance et sa mine de cocker battu, j’accepte d’Ă©changer nos numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone et je lui dis que si je sors ce week end sur Paris je l’appellerai. Les minutes passent il est presque midi, nous ne sommes plus loin de Paris, quand Pierre me dit:
– Flo j’ai encore très envie de ton cul !
– hhumm oui j’en ai aussi envie de te sentir entre mes fesses, mais avons nous assez de temps ?
– mais oui nous avons plus d’une grosse demi heure, viens suis moi, pour faire plus discret allons vers la voiture bar.Il se lève, et j’emboĂ®te ses pas. Manque de chance le lieu est occupĂ© et nous devons attendre, au bout de cinq petites minutes Pierre me dit qu’on va aller Ă celles de la voiture suivante, nous devons traverser le wagon bar, quelques regards me dĂ©shabillent sur mon passage. Pierre ouvre la porte et j’entre Ă sa suite sans me soucier si les personnes du bar nous ont observĂ©s. Je constate que le WC est encore plus sale que le prĂ©cĂ©dent le sol est trempĂ© et l’odeur qui y règne ne trompe pas sur la teneur du liquide qui couvre le sol, je me dis que la voiture bar toute proche ne doit pas ĂŞtre Ă©trangère Ă l’Ă©tat des lieux. Pierre ouvre mon chemisier caresse mes seins en sort un de son enveloppe de tulle brodĂ© et se met Ă sucer et tĂ©ter le tĂ©ton le mordillant parfois. je me tourne retrousse ma jupe sur mes hanches baisse le collant Ă mi cuisses et je me penche en avant tout en me cabrant.Pierre pĂ©nètre dans ma grotte Ă nouveau trempĂ©e, tout en faisant quelques aller retours, de son pouce il masse ma rosette puis crache dessus et fait entrer dans mon anneau son pouce plusieurs fois. Il sort de mon ventre se positionne contre mon oeillet qu’il force doucement. La tĂŞte de son mandrin passĂ©e, il ressort crache abondamment sur ma rosette replace son pieux et cette fois investit mon anus d’un seul coup lent mais rĂ©gulier jusqu’Ă ce que son pubis butte contre mes fesses. Une longue plainte empreinte de plaisir s’Ă©chappe de ma gorge, j’adore cet instant oĂą cette brĂ»lure douloureuse se mĂŞle Ă l’onde de plaisir qui m’envahit de me sentir possĂ©dĂ©e, remplie. Pierre commence ses va et viens tout en me tenant fermement d’une main Ă la hanche, l’autre triturant malaxant et caressant un sein, me pinçant le tĂ©ton et me dit qu’il va me casser le cul et en suite me l’inonder de son foutre, je soupire et feule de plaisir sous ses assauts, je l’encourage de la voix.
– oh oui! C’est bon continue plus fort, encule moi comme une chienne !Un premier orgasme me traverse au moment ou il me rĂ©pond :
– j’aime ton cul ! Tu es une salope bonne Ă enculer ! Dis le moi ce que tu es !Il m’est impossible de sortir un quelconque mot pour l’instant.
– allez petite pute dis le je t’entendre !Une claque s’abat sur ma fesse, puis une seconde et encore deux autres. Ce sont des paroles mĂŞlĂ©es de râles jouissifs que je prononce :
– oui, je suis une salope bonne Ă enculer !
– et quoi d’autres ?Entre ce pieux qui me pourfend si merveilleusement les reins, le doux supplice des doigts sur mon sein et ces mots crus qui m’excitent et font grimper mon plaisir, juste avant qu’un autre orgasme me terrasse je souffle :
– je suis une chienne de pute qui aime se faire dĂ©foncer le cul !Et je jouis bruyamment !
Il n’en faut pas plus pour que Pierre dans une vois rauque dise :
– ah oui ça y est salope j’envoie mon foutre dans ton cul !IL s’immobilise tout au fond de moi, je sens les spasmes de sa colonne de chair et d’un coup la libĂ©ration dĂ©ferlante de son plaisir me remplir et me procurer un tourbillon de plaisir je joui une fois de plus.Nous reprenons nos esprits, Pierre se retire, je remonte et rĂ©ajuste mon collant referme mon chemisier, je tire sur ma jupe le temps que Pierre rectifie sa tenue. Nous pouvons sortir, dans le couloir un homme attendait son tour, il nous regarde d’un oeil sĂ©vère, qui quelques pas plus loin nous fait sourire. Nous regagnons nos places, par les fenĂŞtres j’aperçois les premiers immeubles parisiens, dans quelques minutes nous serons arrivĂ©s. Entre deux wagons nous nous embrassons lèvres soudĂ©es le baiser est ardent, je promets Ă Pierre de lui tĂ©lĂ©phoner si je sors durant mon sĂ©jour. Je rĂ©cupère mon petit blouson, le bouquin, je rĂ©cupère mon bagage et je vais vers la sortie obligĂ©e de rester debout, car je sens le sperme de Pierre s’Ă©couler doucement entre mes fesses. Le TGV s’immobilise le long du quai, me voila sur le quai un peu Ă l’Ă©cart du flot de voyageur qui descende du ventre ce ver de fer, Patrick vient me rejoindre, je vois qu’il est impatient que je lui raconte, le trajet en mĂ©tro jusqu’Ă l’hĂ´tel va lui paraĂ®tre bien long, mais au combien excitant !