Je suis voyeur. Rien de bien original. Ce penchant me pousse à traîner dans les endroits chauds des villes où mes nombreux déplacements professionnels me conduisent. Depuis quelques temps, je suis à Bern, en Suisse. La ville et la région sont très jolies. Côté sexe : des cabarets, des salons (bordels), un parc avec ses prostituées, et un jardin où se rencontrent les hommes. Je me promène souvent la nuit tombante dans le parc aux prostituées. Le hasard de mes balades me fait de temps en temps surprendre une prostituée taillant une pipe (un français comme ils disent en allemand) à un client. Tout ça n’est pas très excitant. Mais faute de mieux.Il y a quelques jours, j’errais dans le parc à la recherche de ces rencontres furtives. Au détour d’une allée, assis sur un banc, un homme d’une cinquantaine d’années se caressait au travers de son pantalon en regardant une direction que me masquait un buisson. Je m’approche, et j’aperçois d’abord un banc vide. Etait-ce un adepte des plaisirs solitaires en plein air ?J’avance encore un peu, et là à ma surprise, un autre banc. Celui-ci occupé par un couple. La femme, ou plutôt la jeune femme (une vingtaine d’année), est assise le buste renversé en arrière, les jambes écartées. La tête de l’homme est nichée au creux de ses cuisses. Elle porte une minijupe sombre, et un chemisier blanc largement ouvert qui laisse sortir une poitrine volumineuse mais qui semble ferme. La femme pousse des petits gémissements au rythme des caresses de l’homme. Elle ne ressemble pas du tout aux prostituées de ce parc. La plupart sont des toxicos, et le reste de femmes plutôt quadra voir quinquagénaires. Je viens de tomber sur un couple exhibitionniste. Pour moi, quelle aubaine.Ne voulant pas m’asseoir à côté du voyeur, je vais m’asseoir sur le banc libre. Je suis terriblement excité par le spectacle. Très vite je ne tiens plus, et je vais m’asseoir prudemment sur le banc occupé par le couple. D’abord loin de la fille pour voir la réaction de l’homme. Je ne le vois pas bien, mais il me semble bien bâti. Face à l’absence de réaction, je m’approche de la femme. Ses bras sont posés le long du dossier du banc. Je m’enhardis à lui caresser doucement l’avant-bras. Elle tourne la tête vers moi. Ses yeux sont mi-clos, mais aucun doute, elle me sourit. C’est une invite à poursuivre. Par acquis de conscience, je jette un regard vers l’homme. Il continue imperturbablement à s’occuper du sexe de sa compagne. Plus rien ne me retient. Alors je pose mes mains sur les seins de la femme et je les caresse. Je ne m’étais pas trompé, ils sont fermes et d’une douceur étonnante.Ma bouche prend le relais de mes mains. La femme est très réceptive, immédiatement les tétons durcissent et se dressent sous les caresses de ma langue. La fille pousse maintenant des petits cris. Son compagnon se relève, et baisse son pantalon et son slip laissant apparaître son sexe en érection. Celui-ci est long mais très fin.La fille pose ses mains sur ma tête et m’oblige à prendre la place laissée vacante par l’homme. Quel bonheur ! Son sexe n’est que liquide. Il exhale un parfum enivrant. Son clito est dressé comme un petit sexe d’homme. Je l’aspire, je bois ce nectar sublime. Ma langue parcourt inlassablement sa fente offerte. Parfois emportée par son élan elle effleure l’anus de cette femme vibrante de plaisir.Elle s’est tue. Je lève les yeux. L’homme est debout son sexe dans la bouche de la femme. Elle le suce goulûment. Maintenant c’est lui qui gémit. Elle le fait asseoir tout en continuant à parcourir de sa langue ce sexe si long mais si fin. Tout en continuant ma besogne, je ne perds aucune miette du spectacle.Autour de nous, il y a maintenant 3 ou 4 mecs qui nous matent. La femme me prend la main et la pose sur le sexe de son compagnon. J’ai un mouvement de recul. C’est ma première expérience bi (aussi soft soit-elle). Elle repose ma main sur le sexe et commence un mouvement de va-et-vient. Je me demande quelle sera ma réaction lorsqu’il éjaculera.Mais je ne me pose pas la question longtemps, Un des voyeurs autour de nous vient de dire qu’une voiture de police approche. Nous nous relevons, et nous nous cachons derrière les buissons. La voiture de police passe lentement à quelques mètres de nous en éclairant dans notre direction. L’officier nous dit de déguerpir. La femme s’approche de moi. Elle me dit de les suivre pour reprendre où nous en étions. Je les suis donc.J’apprends qu’ils sont mariés, qu’elle a 21 ans et lui 32. C’est leur première vraie expérience exhib. Ils m’entraînent vers le jardin où ont lieu les rencontres masculines. Les voyeurs nous ont suivis. Arrivés sur place nous nous enfonçons au plus profond du jardin dans une sorte de labyrinthe tracé dans un bosquet. Là, en plein milieu du bosquet nous nous déshabillons. Nous sommes maintenant entourés d’une dizaine d’hommes. Tous plus de cinquante ans sauf un couple de mecs qui ont une trentaine d’années. Ils sont dans les bras l’un de l’autre et ne perdent rien du spectacle. Je ne suis pas très rassuré. Si les mecs pètent les plombs, je ne donne pas chère de mon hétérosexualité. Mais la vue de la femme sexe offert tout en suçant son mari chasse ma peur. Et je me remets à lécher cette chatte qui n’attend que moi.Très vite la fille est de nouveau inondée. Elle se lève, fouille dans son sac et me tend un préservatif. Elle me le laisse mettre, puis elle se penche en avant ses fesses vers moi. Elle reprend le sexe de son compagnon en bouche. Je promène plusieurs fois mon sexe entre ses fesses. Je la caresse de l’anus au clito. Elle ondule de plaisir. Je ne tiens plus. Je m’enfonce doucement dans sa fente humide. Elle est tout étroite. J’ai presque l’impression de la sodomiser. Elle plaque d’un seul coup ses fesses sur mes hanches. Ce mouvement m’électrise. Je commence alors lentement un va-et-vient dans cette chatte si étroite. Mes mains caressent son corps en s’attardant sur ses seins.Un des voyeurs s’est approché. Il pose sa main sur un sein. Le mari le repousse violemment en lâchant un « Nein » tout germanique. Je sens une main qui me caresse les testicules. Je tourne la tête, un mec est derrière moi le pantalon sur les chevilles, le sexe en érection dans la main gauche pendant que sa main droite me caresse. Je le repousse, il insiste. Je quitte le sexe chaud et humide de la femme. Et je pousse fermement le voyeur. Il se prend les pieds dans son pantalon et s’étale par terre. Cela fait rire les autres. Mais je crois qu’ils ont compris.Je me retourne vers le couple. Je suis admiratif devant le mec. Sa femme le pompe depuis un bon moment déjà, et il tient toujours. Je passe ma main entre les jambes de la femme pour m’assurer qu’elle est toujours aussi humide. C’est une vraie fontaine. Je reprends ma place dans la douceur humide de son sexe. Mon excitation est telle que chaque aller retour est presque douloureux. Je promène ma main entre ses fesses. Je recueille un peu de liquide sur mes doigts et je lui caresse l’anus. Elle semble apprécier. Mais quand je veux y introduire un doigt, elle repousse ma main.Je sens que je vais bientôt éjaculer. J’accélère le mouvement. Pendant que mon sperme jaillit de mon sexe, une onde de plaisir m’envahit. Plus rien n’existe autour de moi. L’onde de plaisir me quitte lentement. Je continue un peu un lent va-et-vient, puis je quitte cette chatte délicieuse. Je regarde le couple, prêt à assister à la jouissance de l’homme. Mais à ma surprise, la fille arrête de le sucer, et tous deux se rhabillent. Je les imite.Nous quittons le jardin, non sans avoir mis dans une poubelle le préservatif, sa pochette et les mouchoirs jetables utilisés pour un rapide nettoyage (Suisse oblige). Nous marchons en silence. Arrivés à la gare, nous échangeons une simple poignée de main. Ils partent de leur côté et moi du mien. Je ne sais même pas leur nom. Depuis, souvent je retourne où je les ai rencontrés. Mais jusqu’à aujourd’hui, je ne les ai pas revus.Ce soir peut-être …