Depuis ce fameux samedi oĂą mon voisin a goĂ»tĂ© au plaisir de labourer un mec, il trouve mille raisons de venir chez moi. Chaque fois, il se trempe le pinceau et retourne chez lui. Moi, je trouve plutĂ´t amusant qu’il arrive sans aviser et chaque fois, je lui offre mon cul, sachant que c’est ce qu’il dĂ©sire. Pourtant, chaque fois, il insiste pour m’expliquer qu’il n’est pas gay et chaque fois, je rĂ©plique que je n’en ai rien Ă faire qu’il le soit ou non. Je lui explique qu’un straight ne dit jamais non Ă une pipe, qu’elle soit faite par une femme ou par un homme et qu’un trou reste un trou, peu importe du moment qu’il peut s’y enfoncer la queue. Bien entendu, il n’adhère nullement Ă ce constat, m’expliquant que ses amis ne comprendraient pas qu’il me bourre le cul. Lorsque j’ai achetĂ© ma maison il y a quelques mois, je n’ai pas fait peinturer, dĂ©sirant y amĂ©nager le plus vite possible. J’ai donc dĂ©cidĂ© qu’il Ă©tait temps de le faire et j’ai fait appel Ă un organisme qui engage des repris de justice, croyant Ă la rĂ©habilitation. Sachant qu’on viendrait le lundi, une idĂ©e me vint en tĂŞte. J’avisai mon voisin que je lui prouverais mes dires.Le lundi, neuf heures, ça sonne Ă la porte. Je m’empresse d’aller ouvrir et il est lĂ , devant moi, avec tout son attirail pour la peinture. HonnĂŞtement, quand je pensais repris de justice, mon imagination ne s’Ă©tait pas rendue jusque lĂ . Le mec doit avoir fin trentaine. Il est chauve et la moitiĂ© de son crâne est tatouĂ©, les dessins se poursuivant dans son cou, les Ă©paules et les bras. Portant un t-shirt noir, je m’imagine que son torse et son ventre le sont aussi. Il porte une barbichette et Ă son oreille, un gros anneau dorĂ©. Je le fait donc entrer, tentant de ne pas trop juger mais j’avoue qu’avoir rencontrĂ© ce mec dans une ruelle, je me serais pressĂ© de rebrousser chemin. – Je m’appelle Simon, me dit-il en dĂ©posant ses effets par terre. Si mon look vous dĂ©plaĂ®t, je peux demander Ă ce quelqu’un d’autre me remplace.- Pas du tout, lui dis-je, quelque peu intimidĂ© par sa grosse voix. Moi, du moment que le travail est bien fait. – Parfait alors. Je commence par quelle pièce?- Le salon.- Je vais chercher l’escabeau et je reviens. Il sort donc pendant que moi, je pense Ă ce que j’avais dit Ă mon voisin, sachant qu’il attendait mon appel pour venir me voir tenter de sucer un hĂ©tĂ©ro. Je n’Ă©tais maintenant plus aussi sĂ»r de moi je vous dirais. Simon revient avec son escabeau et je le laisse se prĂ©parer, lui disant que j’allais prendre une douche, en profitant pour tĂ©lĂ©phoner Ă mon voisin.- Il est arrivĂ©, lui dis-je. Entre par la cuisine, sans faire de bruit car il ne doit pas savoir que tu es lĂ . Arrive dans environ dix minutes.Je prends donc ma douche et je dĂ©cide de porter mon short de jeans, sans sous-vĂŞtement, bien entendu, gardant le haut de mon corps dĂ©nudĂ©. Je retourne au salon oĂą Simon s’apprĂŞte Ă commencer Ă peinturer le plafond.- Ça ne vous dĂ©range pas si j’enlève mon t-shirt? Il fait une chaleur ce matin et je vous dirais que c’est plus facile de me nettoyer que de laver un t-shirt rempli de peinture.- Fais comme tu veux, lui dis-je.Comme j’avais cru, il Ă©tait tout tatouĂ©. Pas un centimètre de peau n’Ă©tait dessinĂ©. Et je dois avouer qu’il avait un corps assez bien musclĂ©. Je pouvais remarquer que ses tatous allaient bien au-delĂ de son nombril. Sa queue Ă©tait-elle tatouĂ©e aussi?Il grimpe quelques marches. Bien entendu que je veux voir son cul. Je me dĂ©place donc et le mate bien Ă souhait. Il a un cul bombĂ© et comme il est surĂ©levĂ©, la vue est des plus agrĂ©ables. Son dos entier est aussi tatouĂ©. Mais je dois aller me rendre compte si mon voisin est arrivĂ© donc je quitte le salon. Il est lĂ , assis sur un tabouret.- Et puis? De demande–t-il.- Je t’avoue que ça me prendra un peu plus de cran, lui dis-je en murmurant. Il a l’air d’un motard avec tous ses tatous. Jonathan me regarde en souriant, heureux que je ne sois plus aussi certain mais c’est mal me connaĂ®tre de croire que je vais laisser tomber. – Tu as mis tes shorts pour le tenter ou pour me tenter moi? Me demande-t-il.Je ne lui rĂ©ponds pas mĂŞme si je m’Ă©tais laissĂ© fourrer par lui sur le champ. Je lui dis plutĂ´t d’aller dans la salle Ă manger oĂą il sera en mesure de voir dans le salon sans se faire remarquer. Sur la pointe des pieds, il marche tranquillement tandis que moi, je retourne au salon. – Tout va pour le mieux ici?- Tout est parfait, rĂ©pond Simon, le pinceau en main. – Tu aimerais quelque chose Ă boire?- Peut-ĂŞtre de l’eau.Je vais donc chercher un verre d’eau et reviens au salon. Je lui donne le verre qu’il dĂ©pose sur une marche après avoir bu quelques gorgĂ©es. J’en suis Ă me demander comment agir pour faire en sorte de savoir si j’ai des chances de le sucer et l’idĂ©e me vient de lui parler de ses tatous.- Il y a longtemps que tu as touts ses tatous?- J’ai commencĂ© il y a bien a bien des annĂ©es mais la plupart, je me suis les fait faire en prison. Mon dernier est celui dans le bas du ventre. – Je peux le regarder? Il venait de m’ouvrir la porte car pour le voir, je devais m’introduire sous l’escabeau, ce que je fais sur le champ. HonnĂŞtement, mon regard ne se porte pas vraiment sur les dessins mais beaucoup plus sur son jeans Ă boutons. Je peux facilement m’imaginer une belle grosse queue sous le tissu.- Il est formidable ce tatouage. Je vois qu’il se poursuit. Tu ne t’es pas fait tatouer la queue?- Juste un peu, Ă la base, rĂ©pond-il en poursuivant son travail. Vous ĂŞtes comique de me demander ça. C’est la première fois qu’on me le demande.- C’est juste que comme je vois que la queue du serpent descend sous ton jeans, je m’interrogeais Ă savoir si elle se terminait sur ta queue.- Je peux bien vous le montrer, ça ne me gĂŞne pas du tout.Il pose le pinceau dans le plateau et porte ses mains Ă ses jeans, dĂ©boutonnant bouton par bouton, en Ă©carte le tissu et me laisse voir la base de sa queue. Aucun poil, juste un serpent sur sa peau. – C’est vraiment joli, lui dis-je, bavant presque en regardant cela. – Si on m’avait dit que je montrerais ma queue ce matin en venant ici, dit-il en riant, tout en reboutonnant son jeans. On ne sait jamais Ă quoi s’attendre dans ce mĂ©tier.- Pourquoi? Il t’est arrivĂ© des choses insensĂ©es? Lui dis-je en remarquant très bien qu’il n’a pas attachĂ© deux boutons. – Si vous saviez, rĂ©pond-il en riant encore plus. Il n’y a pas qu’en prison qu’on y rencontre des gens bizarres. Je me retourne et voit que mon voisin nous mate de la salle Ă manger. Il a cet air qui veut me dire que je ne parviendrai pas Ă mes fins donc que ce ne sont pas tous les hĂ©tĂ©rosexuels qui acceptent de se faire sucer par un autre mec. – Bizarre comment?- Comme vous par exemple. S’intĂ©resser Ă mes tatous, dit-il en reprenant le pinceau. Moi, je reste sous l’escabeau, regardant son jeans entrouvert. Je me rapproche lentement le visage, la bouche tout près de sa boutonnière. Je n’ai qu’une envie, de prendre sa queue dans ma bouche mais au lieu de cela, j’expire tranquillement, la chaleur de ma respiration opĂ©rant exactement comme je le veux. Je vois sa queue grossir sous son jeans. Ça l’excite cette chaleur mĂŞme s’il continue son travail sans en faire de cas. Je peux voir sa bite entre deux boutons. Elle au max de sa grosseur et la bosse sous son jeans est assez impressionnante. Je dois me lancer.J’approche lentement ma main, très lentement, pas encore rassurĂ© de sa rĂ©action. Mais je dois le faire, mon voisin attendant juste cela. Je glisse le bout de mes doigts sur la bosse. Il ne rĂ©agit pas. DĂ©licatement, j’introduis mon index et mon majeur entre deux boutons, touchant Ă sa queue. Toujours pas de rĂ©action. Pourtant, il doit bien sentir quelque chose. Il a toujours les bras en l’air, le pinceau sur le plafond. Je me dĂ©cide Ă dĂ©boutonner les boutons restants et je libère sa queue qui se pointe, bien droite, bien dure. J’attends quelques instants pour valider sa rĂ©action mais rien de sa part. De ma main, je le crosse tranquillement, sans mouvement brusque. Je sais maintenant que je peux le sucer et j’ouvre la bouche pour la manger au complet. Il se laisse faire, opĂ©rant mĂŞme une lĂ©gère cadence des hanches. Il aime ça et moi, je me dĂ©lecte de cette grosse queue. Il me reste maintenant Ă faire en sorte qu’il accepte de me fourrer bien Ă fond. Je quitte le dessous de l’escabeau, le laissant lĂ , la queue Ă l’air. Je marche tranquillement dans le salon, jetant un œil Ă mon voisin pour lui faire comprendre que j’avais totalement raison. Je me rends au canapĂ© et j’enlève mon jeans, le laissant tomber Ă mes pieds. Lui tournant le dos, je pose mes genoux sur le canapĂ©, Ă©carte les cuisses pour lui offrir un cul bien en chaleur. Je tourne la tĂŞte pour le regarder. Il a lâchĂ© son pinceau et m’observe tandis que je glisse mon index mouillĂ© sur ma rosette. Il ne bouge pas, se contentant de me fixer. Je me trĂ©mousse le cul, espĂ©rant l’exciter mais il ne bronche toujours pas. Je commence Ă perdre patience, me disant que sans doute n’irait-il pas jusqu’Ă me labourer le popotin. Se faire sucer pour lui semble une chose mais introduire sa queue dans le cul d’un mec, pas certain. Je me lève donc et me rends Ă la cuisine pour y boire de l’eau. A mon retour au salon, il est descendu de son escabeau, se tenant bien droit, les mains sur son jeans entrouvert. Il est sĂ©rieux comme un pape, me fixant, sans dire un mot. – Tu sais que je ne suis pas gay, me dit-il, me tutoyant pour la première fois. J’aime trop les chattes pour ça. – DĂ©solĂ©, je…- Aucune faute, coupe-t-il. Je ne dis jamais non Ă une bonne pipe. Quand tu passes deux ans en prison, tu prends les moyens du bord. Et il sort la queue de son jeans, la tenant fermement en main, lui jetant un coup d’œil avant de me faire un signe de la tĂŞte de m’approcher. Je m’agenouille et la suce bien profondĂ©ment, heureux que mon voisin assiste Ă cette scène. Simon pose ses mains derrière ma tĂŞte et m’oblige Ă prendre sa bite dans la gorge, quelque temps jusqu’Ă ce qu’il me signale de me coucher sur le canapĂ©, sur le dos, ce que je fais immĂ©diatement. Il se place au-dessus de moi, de tout son long, et m’enfonce son boudin dans la bouche, de mouvements de va-et-vient pour que je la sente bien au fond de ma gorge. De ma main droite, je la glisse sur son dos jusqu’aux reins et lorsque je viens pour lui caresser les fesses, il m’arrĂŞte immĂ©diatement, d’un geste brusque.- Ça c’est pas touche. Me faire sucer par un mec, ok mais pas me faire caresser. Je retire aussitĂ´t ma main, ne dĂ©sirant pas qu’il se retire de ma bouche. J’ai compris que ça n’irait pas plus loin qu’une pipe alors je suis bien dĂ©cidĂ© Ă le faire jouir dans ma bouche, avalant tout son foutre de mâle alpha mais il se retire avant de se relever. – Et ce cul que tu m’as prĂ©sentĂ© tout Ă l’heure, tu le gardes que pour toi ou quoi? Me dit-il en m’empoignant par le cou pour m’obliger et prendre la position du chien, m’Ă©cartant les jambes. Ça aussi je ne dis jamais non.Le visage tournĂ© vers lui, je le regarde cracher sur ma rosette avant qu’il y introduise son index, me disant en riant que je suis prĂŞt pour sa queue qu’il enfonce d’un grand coup. Je sens chaque coup donnĂ©, me dĂ©fonçant le cul comme si sa vie en dĂ©pendait. – C’est ça que tu voulais, sentir ma queue dans ton cul de gay. Ça t’excite de te faire dĂ©foncer par un straight. Elle te plaĂ®t ma queue? Elle est assez grosse pour que tu la sentes bien?- Oh que si je la sens.Et soudain, il s’arrĂŞte, restant tout de mĂŞme en moi.- J’ai une idĂ©e, dit-il en se retirant. Retourne sous l’escabeau et assieds-toi sur une marche, le cul bien en vue. Je me lève et fait ce qu’il dĂ©sire, m’assoyant sur la quatrième marche, juste Ă la bonne hauteur pour sa queue qu’il m’enfonce Ă nouveau, y allant toujours de grands coups que je sens jusqu’au plus profond de mon cul. – Et tu crois que ton ami aimerait se joindre Ă nous?Je me retourne et, le regard interrogateur, je me demande depuis quand il sait que Jonathan est dans la salle Ă manger. – Vous me prenez pour un imbĂ©cile ou quoi? Demande-t-il en m’enculant avec toujours autant de fougue. Allez, le mec, crie-t-il, vient nous rejoindre. Jonathan s’approche tranquillement, quelque peu inquiet de la suite. – Mon voisin est comme toi, dis-je entre mes gĂ©missements de plaisir. – Alors voisin, place-toi pour qu’il te suce. Jonathan prend place de l’autre cĂ´tĂ© de l’escabeau et me prĂ©sente sa queue qui est de fer et ce, sĂ»rement depuis un bon moment. Je lui pompe le dard pendant que Simon me baratte le cul. Je suis aux anges. Et Simon se retire, marchant vers le canapĂ©.- Je mettrais ma main au feu que ce cul est capable d’en prendre d’avantage, dit-il en se dĂ©barrassant de ses espadrilles et de son jeans. Allez voisin, amène ta queue ici qu’il en profite au max, dit-il en prenant sa queue en main pour la secouer, demeurant debout au bout du canapĂ©. Toi, dit-il en me regardant, tu te couches sur le dos, les jambes bien Ă©cartĂ©es.Je compris vite qu’il voulait que Jonathan me fourre et ce dernier ne se fit pas prier pour se dĂ©barrasser de son bermuda. Je prends donc place sur le canapĂ©, sur le dos, la tĂŞte bien appuyĂ©e contre le bras du meuble et je soulève les jambes. DĂ©jĂ , Jonathan a son gland sur ma rosette, poussant pour la dĂ©foncer tandis qu’au dessus de moi, je regarde la queue bien droite de Simon qu’il tripote, la rapprochant de ma bouche pour aussitĂ´t l’Ă©loigner. Il joue avec moi, sachant bien que je veux la sucer au max. Comme il veut. J’ai quand mĂŞme le boudin de mon voisin dans le cul et il se fait aller sur un temps rare. Sa bite entre et sort de mon trou, me la poussant toujours bien au fond. Et Simon se dĂ©cide enfin Ă me donner sa queue, se balançant pour garder le contrĂ´le de ce que je peux sucer et surtout, c’est lui qui dĂ©cide quand me l’enfoncer bien au fond de la gorge. Je prends ma queue en main pour me branler mais aussitĂ´t, Simon me tape le bras, m’expliquant que je n’ai pas Ă m’astiquer le poireau car il n’est pas question que je jouisse dans les minutes Ă venir. J’ai voulu me faire baiser alors, je me fais baiser. Il s’amuse follement avec sa queue, l’ayant en main pour la balancer au dessus de mon visage, moi qui ait la bouche grande ouverte avec comme dĂ©sir de la sucer goulument. Il se plaĂ®t Ă m’en donner des coups au visage, la glisser sur mes lèvres mais sans que je puisse la turluter. De son cĂ´tĂ©, Jonathan me fourre toujours Ă plein rĂ©gime, ralentissant quelque peu lorsqu’il sent qu’il pourrait dĂ©charger, trop heureux de me dĂ©foncer le cul pour que le tout cesse dans l’immĂ©diat. Je vois bien qu’il observe Simon, de la tĂŞte aux pieds. Serait-ce que ce genre de mec l’excite ou tout simplement qu’il se dĂ©lecte de cette autoritĂ© qu’il dĂ©gage? Peut-ĂŞtre aimerait-il avoir cet emprise sur moi car, je l’avoue, cette bĂŞte tatouĂ©e pourrait m’obliger Ă faire ce qu’il veut tant il m’excite. – C’est le temps pour toi de faire la biche, me dit-il en me tapant sur le torse. Allez, lève-toi qu’on te remplisse ça ce cul gourmand. Jonathan se retire, le mĂŞme regard interrogateur que moi. Qu’est-ce que faire la biche? C’est la première fois que j’entends cette expression mais du moment que c’est une façon de me labourer, aucun problème pour moi. – Toi le voisin, assieds-toi, dit-il en faisant de mĂŞme et je comprends immĂ©diatement ce qu’est faire la biche.Ils sont donc lĂ , tous deux assis cĂ´te Ă cĂ´te, leurs queues bien dures et bien droites en main, Jonathan singeant Simon, ne sachant trop quoi faire. Sans attendre, je monte sur le canapĂ©, leur tournant le dos, les mains bien en place pour me donner de l’Ă©quilibre et me positionne le cul sur la bite de Simon qui la tient bien droite. Je m’y glisse lentement, jusqu’Ă la moitiĂ©, m’assurant qu’elle est bien en place avant d’opĂ©rer un lĂ©ger mouvement de haut en bas. Sans doute insatisfait, Simon reprend le contrĂ´le avec des mouvements pour me l’enfoncer bien au fond, accĂ©lĂ©rant par des poussĂ©es brusques qui me font gĂ©mir comme une chatte en chaleur. Jonathan, lui, se branle, ayant compris le principe de la biche. Il s’est penchĂ© vers l’avant, regardant la queue de Simon m’embrocher avec fougue. Il s’en rapproche si près que je pourrais penser qu’il va sortir sa langue pour la lĂ©cher mais non, c’est un straight, un vrai. Sans doute apprĂ©cie-t-il la vue de ce boudin en pleine action. Et je dĂ©cide de lui offrir, Ă lui aussi, ce plaisir de sentir la chaleur de mon cul.Je me retire et me place sur l’arbalète de Jonathan avant de m’y enfoncer sans mĂ©nagement. Comme Simon, il prend le contrĂ´le et m’agite sa queue avec aviditĂ©. Je sens bien sa bite en moi mais je ne trouve pas le mĂŞme plaisir qu’avec le bambou de Simon. Pourtant, chaque fois que mon voisin m’a fourrĂ©, j’y ai trouvĂ© plaisir mais lĂ , c’est le poireau de l’autre que je veux. Je me retire donc et reprends place sur ce dernier, le laissant me casser le pot avec entrain jusqu’Ă qu’il cesse, me poussant lĂ©gèrement pour que je me lève. – Toi, le voisin, couche-toi par terre et toi, reprends place sur sa queue. C’est lĂ qu’on va voir si tu es un vrai bottom, dit Simon en se levant Ă son tour. Jonathan se couche donc sur le dos tandis que moi, sachant oĂą voulait en venir Simon, je m’empresse de regagner ma place, soit sur la queue toujours bien dure de Jonathan mais cette fois-ci, face Ă lui. Je balance des hanches pour m’assurer qu’elle est bien entrĂ©e au complet. Je la sens bien, dĂ©jĂ super excitĂ© de ce qui va venir. Je sais que Simon est derrière moi, agenouillĂ© et qu’il s’apprĂŞte Ă me faire une double pĂ©nĂ©tration. Je vais lui montrer que je suis un vrai bottom et que ce ne sont pas deux queues dans le cul qui m’effraient. DĂ©jĂ , je sens son gland qui tente de se faire une place, poussant lĂ©gèrement en frottant la queue de Jonathan qui, elle, est dĂ©jĂ bien en place. Comme Simon n’est pas du genre dĂ©licat, il me la pousse d’un grand coup, ce qui me fait sursauter car j’avoue que le passage Ă©tait moins ouvert que je le croyais. Il faut dire que sa bite est plutĂ´t large et celle de Jonathan n’est pas Ă dĂ©daigner. – Ne viens pas me dire que tu as de la misère avec ça? Me dit Simon en riant. Come on, elle n’est pas encore toute rentrĂ©e, poursuit-il en poussant tandis que je sers les dents pour ne pas lui montrer que j’ai quelque peu mal. – Vas-y Simon, Etienne est capable d’en prendre, ajoute Jonathan avec un sourire sarcastique, en profitant pour donner un coup sec qui ne me fait pas le plus grand bien.Je laisse entendre un lĂ©ger cri, incapable de me retenir, ce qui enchante Simon. Je ne sais trop si ce cri l’a excitĂ© mais il se met Ă me ramoner comme s’il Ă©tait seul dans ce trou. Jonathan, lui, ne bouge plus, profitant que la queue de Simon se frotte Ă la sienne. J’ai beau avoir deux queues dans le cul, je ne peux m’empĂŞcher de penser que Jonathan se plait au contact d’une autre queue et ça me fait sourire. En fin de compte, c’est bien que Simon ne ce soit pas prĂ©occupĂ© Ă me faire mal ou non. Je prends un Ă©norme plaisir Ă sentir qu’il tente de me dĂ©foncer, espĂ©rant sans doute que je laisserais entendre encore un autre cri Il a ouvert le passage et sa queue a beau se faire aller Ă toute vitesse, les seuls cris que je laisse entendre sont mes gĂ©missements de plaisir. Je l’imagine derrière moi, avec sa shape de mâle alpha, se dĂ©hancher d’avant en arrière, augmentant toujours la cadence. Tout son corps tatouĂ© en sueur en espĂ©rant que je ne supporte pas ses coups toujours plus brutaux. Face Ă Jonathan, je le regarde. Il a les yeux fermĂ©s et un chuchotement sort de sa bouche. Un lĂ©ger râlement qui me fait dire qu’il apprĂ©cie ce qu’il vit prĂ©sentement. Il recommence Ă agiter sa queue en moi, sans doute dĂ©cidĂ©, lui aussi, Ă prendre sa place en tant que top. Je leur lamente de me fourrer avec plus d’intensitĂ©, plus vite, plus fort car mon cul est en demande constante de sentir ces queues au plus profond de moi. Simon pose ses mains sur mes Ă©paules et retire la sienne pour me l’enfoncer encore plus fort, rĂ©pĂ©tant le mouvement Ă quelques reprises. Chaque fois qu’il me la met au fond de façon percutante, je crie tant la sensation est agrĂ©able. Je jubile et ça les excite de m’entendre, peut-ĂŞtre aussi leur Ă©go de mâle qui, par leurs bites, me satisfait grandement. Jonathan a ouvert les yeux et me regarde. Je le trouve beau aujourd’hui, sexy, son visage grimaçant pendant qu’il me fourre. Je sens qu’il est sur le point de me beurrer le tunnel. Si je ne me retenais pas, je l’embrasserais mais je sais que je ne peux pas car il ne fait pas cela avec un mec. Derrière, Simon m’encule avec toujours autant d’intensitĂ©, jusqu’Ă ce qu’il laisse entendre un grand cri, annonçant qu’il jute en moi, me remplissant de son foutre chaud et crĂ©meux. AussitĂ´t, Jonathan en fait de mĂŞme. Tous deux poussent encore quelques coups secs et Simon se retire. Je demeure sur Jonathan mais sa queue perd de l’ampleur donc je me dĂ©cide Ă me lever. Ce n’est pas vrai que ces deux lascars ont joui et pas moi. Je m’assieds sur le canapĂ©.- Venez ici que je vous lèche les queues pendant que je me crosse. Tous deux se regardent et se rapproche de moi, montant sur le canapĂ© pour m’offrir leurs queues gluantes. J’ouvre la bouche et Simon ne se gĂŞne pas pour me l’enfoncer. Dieu que son foutre est bon. Je ne sais pas ce que je donnerais pour qu’il me fourre Ă nouveau mais je dois aussi m’occuper de la bite de Jonathan que je lèche Ă grands coups de langue pendant que je me branle. De voir ses deux mecs devant moi m’excite tant que je me vide les couilles de longs jets de nectar blanc que je reçois en plein visage. Simon remet son jeans et Jonathan son bermuda et son t-shirt. Moi, je demeure lĂ , extĂ©nuĂ©.- Ce n’est pas tout, j’ai une job Ă faire moi. Dit Simon et remontant dans l’escabeau. Je dois bien en avoir pour au-moins cinq jours, six si je suis dĂ©rangĂ©, poursuit-il en se balançant le cul.