Mardi. Je change de secteur pour me trouver vers des industriels rĂ©tifs aux nouveautĂ©s. J’arrive après des heures de discutions ardues Ă faire comprendre l’utilitĂ© pour leur rentabilitĂ© de mes produits lourds. Je ne rejoins un hĂ´tel que fort tard. Il reste une seule chambre la plus chère, la plus luxueuse. De toutes façon c’est ma boite qui paie, elle n’est pas très regardant sur mes frais de sĂ©jour du moment que j’apporte des commandes. Le service est terminĂ©, la patronne me propose de passer avec elle en office pour prĂ©parer un frichti convenable. Elle m’installe sur une petite table, propose un rien comme dĂ®ner : une omelette aux truffes, un vin de Cahors, un dessert Ă sa façon. Sans minauderie elle s’installe en face de moi. Elle montre sous son dĂ©bardeur deux grenades mures, ses cuisses Ă peine couvertes me font dĂ©couvrir tout en haut le dĂ©but d’une chatte prĂŞte Ă des exploits que j’aime bien. Si hier je me donnais Ă un amant actif, lĂ je pouvais, si elle le voulait me montrer Ă mon avantage. Sans baisser les yeux, elle me regardait bien en face. Un je ne sais quoi montrait qu’elle avait une envie certaine. J’avais presque fini de manger quand elle propose un cafĂ© Ă sa façon. J’ignore totalement de quoi il s’agit. Elle porte deux tasses, l’une avec un gâteau sec qu’elle suce comme elle ferait avec un clitoris ? Je sors le bout de ma langue que j’agite comme si je lĂ©chais son bouton. Elle me sourit largement. Elle a trouvĂ© celle qu’elle cherchait depuis je ne sais combien de temps. Moi je trouve une partenaire possible. Il y a dĂ©jĂ un moment que je n’ai pas eu de femme dans mon lit.
-Viens avec moi.
– Dans ma chambre ?
– Qui parle de ta chambre ? Je prĂ©fère chez moi : je suis cĂ©libataire.CĂ©libataire, tiens donc, libre de faire ce qu’elle veut. Je me demande qu’elle rĂ©putation, mauvaise, elle a dans le village. Nous montons au dernier Ă©tage : sa chambre est immense, on pourrait y faire une partouze sans problème. Enfin elle fait ce que j’attends d’une future amante qui m’a draguĂ©e, elle m’embrasse Ă sa façon : ses lèvres emprisonnent ma bouche, sa langue les caresse. C’est inĂ©dit et agrĂ©able. Je la serre par le cou. Enfin nous nous embrassons normalement. C’est ma langue qui donne le coup d’envoi des badinages incorrects. Ses tĂ©tons sortis depuis le dĂ©but me tentent. Je les caresse l’un après l’autre. Je suis tentĂ©e depuis les prĂ©liminaires par ce que j’ai vu Ă l’ouverture de son compas : une chatte un peu velue, sans trop, entretenue, c’est certain. Tant pis si elle me repousse, je colle ma main sans avertissement sur elle, entre ses jambes. Elle s’offre depuis le dĂ©but. J’y trouve un endroit humide, presque trop. Ses lèvres me paraissent Ă©normes avec un clitoris qui en ressort. Elle est bien munie pour un match Ă deux femmes, en ayant de fortes chances de gagner.Si je commence Ă fouiller son corps, elle aussi est sur moi, elle caresse Ă peine la poitrine. Elle s’attarde surtout sur mon dos et ce qu’il y a juste en dessous. Elle aime bien caresser les fesses. Il s’y prend plutĂ´t bien. Elle remonte ma jupe, fait descendre le string juste le nĂ©cessaire. Elle a un accès ouvert vers le boulevard de la raie. Elle Ă©carte les fesses. Je suis trempĂ©e. Elle agit comme un homme qui voudrait me sodomiser. Sauf qu’elle propose, n’impose pas. Sa proposition me plaĂ®t, mĂŞme en dĂ©but d’intimitĂ© comme la nĂ´tre. Elle aime les filles, c’est certain, elle aime les dominer aussi. Ça me va. Je suis devenue une poupĂ©e pour elle. C’est ma dominante. J’aime bien de temps en temps me soumettre ainsi. Normalement c’est un homme muni d’une belle queue qui le fait. Ses doigts courent sur la raie, ils me donnent envie de la suite. Elle agit comme un homme en me faisant m’asseoir sur ses genoux. Elle n’attend pas pour passer une main entre les jambes. Je les laisse s’ouvrir, anxieuse de la suite. Elle est très douce en caressant, en remontant doucement, trop doucement vers mon compas. Elle enlève complètement le string : j’ai presque froid Ă la chatte. Ses doigts ne se pressent pas, ils suivent un lent cheminement pour aboutir enfin lĂ oĂą je les attends depuis longtemps. Je pousse mon ventre vers sa main. Le clitoris enfin est visĂ©. Elle prend entre deux doigts, elle me manœuvre comme une petite bite. Je suis tendue sous la caresse particulièrement inhabituelle de la chose. Son autre main passe aussi entre mes jambes. Il me semble qu’elle en prend pas la mĂŞme direction, elle revient lĂ oĂą elle Ă©tait avant. Elle caresse le pĂ©rinĂ©e, me laissant entrevoir des paradis que j’aime. Le petit trou est Ă peine touchĂ©, Ă peine caressĂ©. Je voudrais qu’elle s’y arrĂŞte, qu’elle y entre. Je n’ose pas le lui demander, comme une petite fille n’ose pas demander la sucette qu’elle adore. Elle s’aperçoit enfin de mon vœu. Elle pose son doigt sur le cul, elle caresse gentiment l’anus que j’ouvre un peu. Elle le sent, elle commence Ă entrer Ă peine le doigt. Elle arrĂŞte pour changer de doigt. Ça y est, elle entre, elle Ă©carte mes tissus. Je me donne Ă elle, je me laisse sodomiser par une femme. C’est bon, dĂ©licieux incomparable. Elle tringle, lime mon derrière. Je l’embrasse, heureuse de sa double caresse. Je ne sais mĂŞme pas laquelle est la meilleure, devant ou derrière. Au fond, je m’en fiche du moment qu’elle me donne des orgasmes. Je suis obligĂ©e de lui demander d’arrĂŞter un moment. Elle me fait coucher, vient sur moi, m’embrasse comme le fait un homme, passe ses mains sur le corps et descend sa bouche sur les seins, le ventre, le pubis. C’est sa langue qui est en moi. Elle me goĂ»te la cyprine : j’en ai Ă revendre dans le vagin. Elle m’enjambe. Cette fois c’est moi qui peux goĂ»ter son sexe. Elle a une odeur bizarre que je ne peux dĂ©finir, le fait peut-ĂŞtre d’ĂŞtre mal lavĂ©e. Je lèche avec toute la largeur de la langue. J’ai passĂ© le cap du bouton, celui du vagin, je vais sur son cul. J’adore les culs fĂ©minins, ce sont pour moi la quintessence des femmes, mieux qu’un simple con. Et c’est facilement pĂ©nĂ©trable après un moment de refus toujours poli qui finit par une approbation.. Je la tiens pas les hauts et derrière des cuisses, ma main droite dans sa chatte que je ravage de caresses particulièrement tordues et ma langue sur l’anus. Elle sait ce qui l’attend. J’attends son refus qui ne vient pas. J’adore enculer les lesbiennes : elles font celles qui ne le veulent pas, elles font les saintes nitouches. Mais quand l’instrument est lĂ , elle ne me refuse jamais l’entrĂ©e. Son cul, Ă elle, est de ceux-lĂ . Ma langue ne force pas du tout pour entrer. Je prends mon plaisir en entrant dans son anus. Elle jouit rien que de me sentir pĂ©nĂ©trer.Je ne mĂ©nage pas les allers et venues. Je sens son cul s’ouvrir et se serrer sur la langue. Elle rĂ©agit normalement, comme je le fais quand je suis enculĂ©e. Elle ne subit rien, elle me rend ce que je fais. Je sens qu’elle n’a pas l’habitude de lĂ©cher les culs. Je l’aide comme je peux. Enfin elle laisse de cĂ´tĂ© ses prĂ©ventions, sa langue force un peu pour entrer. Ainsi notre 69 n’en est pas exactement un. Nous ne lĂ©chons pas le sexe de l’autre. Nous jouissons autrement simplement. Elle me surprend en me faisant jouir la première. Je sens les spasmes autour de mon anus. Je sens les siens rapidement après. Que c’est bon de baiser une fille qui prend son pied. Presque aussi bon qu’un homme.Je suis partie le lendemain en lui promettant de passer souvent. Je n’ai pas payĂ© la chambre.