WEEK-END AU CHATEAUCe week-end, je me rends chez un ami qui possède un château au bord de la Loire, dans le département de la Nièvre. Il m’a dit que nous ne serons que quatre, son ami Fabrice, un de ses cousins que je ne connais pas, Julien, et nous deux. Ses grands-parents sont les propriétaires de ce château et aiment bien animer leur vie campagnarde en recevant leurs petits enfants accompagnés de leurs amis.Les présentations sont faites au salon, ils ont l’air sympathiques, nous discutons cinq minutes autour d’un verre de bière, puis Jacques-Henri me guide vers le deuxième étage où se trouvent les chambres. Son cousin n’est pas encore arrivé. Il devrait arriver plus tard dans l’après-midi.Ma chambre est assez grande, avec un grand lit. Le décor de la pièce est un peu vieillot, mais propre. La fenêtre donne sur le parc, la vue sur la Loire est magnifique.Les autres chambres sont voisines, la sienne est juste à côté, celle de Fabrice (qui bien sûr est destinée à donner le change, je pense qu’il n’utilisera pas vraiment son lit préférant sûrement celui de son hôte …). Quant à celle de Julien, elle est au bout du couloir et la vue est différente de la mienne, elle donne sur la cour, à l’arrière.Toutes ces pièces sont confortables et spacieuses, bien aérées et malgré la chaleur extérieure, fraîches et agréables.Lorsque je fus installé, Jacques-Henri me fit visiter le reste du château, pièces par pièces. C’était impressionnant, Les grands-parents logeaient au rez-de-jardin, c’est plus commode vu leur âge. Le premier étage est réservé aux parents, aux enfants de moins de quinze ans et aux invités de marque. Le deuxième étage, à la génération de Jacques-Henri et de Julien et à leurs amis. Il n’y a que Julien qui ait une chambre attitrée. Les domestiques vivent soit chez eux dans le village, soit pour quelques uns dans l’aile nord, qui ne communique avec le corps du bâtiment que par les cuisines. « Personne ne monte jamais au deuxième étage me dit Jacques-Henri, on peut faire toutes les bêtises et tout le bruit qu’on veut, ça ne dérange personne. »On alla faire un tour dans le parc, pour profiter de la fraîcheur des frondaisons. Julien vint nous rejoindre. C’était un très bel homme, sportif, grand et élégant. Sous sa chemise, on sentait une musculature puissante. Il était vêtu de blanc, un pantalon qui moulait ses fesses et ses cuisses puissantes. Les présentations furent rapides.— Jacques-Henri m’a déjà longuement parlé de toi. J’ai l’impression de déjà te connaître.— J’espère que c’est en bien.— Il m’a dit beaucoup de bien de toi, et apparemment il m’a fait une description fidèle.La conversation continua pendant toute cette promenade détendue et amicale. Jacques-Henri prit Fabrice par les épaules dès que l’on fut hors de la vue du château, Il n’arrêtait pas de l’embrasser, visiblement Julien ne semblait pas y faire attention.Je ne me suis pas encore présenté. J’ai 22 ans, je vis avec une copine et nous avons l’intention de nous marier. Ce week-end, elle est partie chez ses parents dans le Nord, c’est pour cela que Jacques-Henri en a profité pour m’inviter. Elle ne l’aime pas trop, donc j’évite de les faire se rencontrer. On est pourtant inséparables. Contrairement à mon amie, son homosexualité ne me dérange pas. J’ai moi-même eu une relation avec un ami de mon père quand j’avais dix-sept ans, sans lendemain. J’avais bien aimé et ne regrette rien. Depuis, je ne me suis consacré qu’aux filles. Je ne l’ai jamais dit à mon amie, mais Jacques-Henri le sait, lui. On ne se cache rien, on se connaît depuis la maternelle … Il a bien essayé de me convertir en me présentant d’autres garçons, mais ça n’a jamais pris, je suis devenu hétéro … Ça n’empêche pas de bien nous entendre.On remonta dans nos chambres. Julien nous dit de venir dans la sienne qui est plus spacieuse. Il y avait deux canapés, je m’assis sur l’un d’eux, Julien se mit à côté de moi et Jacques-Henri et Fabrice sur l’autre.Au bout de quelques instants, ils se dirigèrent vers leur chambre, Julien se tourna vers moi et me fit un clin d’œil comme pour dire : « Ils vont bien s’amuser ces deux là !». On éclata de rire.Il y eut ensuite un silence, un peu pesant. Puis Julien me questionna sur ma vie, mes goûts, mon amie, etc. Il me proposa à boire et se leva pour aller chercher des bières dans le petit frigo près de son lit. Pendant qu’il était allé chercher des verres dans une pièce voisine, je vis une revue sportive, ou du moins ce que je crus être une revue sportive qui dépassait de son sac de sport. Son sac était à deux mètres de moi, je me penchais pour la prendre et me mis à la feuilleter. C’était un magazine homo. Des corps d’hommes nus, magnifiquement bâtis s’étalaient sur papier glacé. J’allais la reposer là où je l’avais trouvée quand il rentra dans la pièce.— Je vois que tu as trouvé de la lecture ! Ça te plait ?— Je croyais que …, arrivais-je à articuler.— Ne t’en fais pas, j’en ai d’autres ! Tu veux les voir ?Il se leva, alla dans un placard fermé à clef et sortit une pile de revues, livres et magazines qu’il déposa devant moi. Je ne savais plus où me mettre.Il me servit à boire et vint s’asseoir à côté de moi. J’avais encore la revue dans les mains, il se rapprocha de moi et se mit à commenter les photos.— T’as vu celui-là, il est bien foutu, non ?J’étais obligé de reconnaître qu’en effet, il était bien bâti.— Et celui-là, regarde il bande mou ! Et puis il est moche.Il se mit à tourner les pages, ayant sur chaque modèle une opinion parfois admirative, parfois critique, souvent drôle. Quand on eut regardé toutes les photos, il se pencha pour en prendre une autre.— Tiens, celle là elle est plus hard !Il continua ses commentaires. En effet c’était plus hard, des groupes se faisaient des fellations, sodomies etc.— Ça te fait bander ! me dit-il en mettant la main sur ma braguette. Ah oui ! Tu aimes bien les photos pornos, on dirait !Il se mit à me caresser l’entrejambe. Mon sexe devenait dur, une barre se dessinait dans mon pantalon et malgré mon slip, on voyait sa forme grossir.Il me prit dans ses bras et se mit à m’embrasser, tout en me malaxant la bite à travers mon pantalon.Ce baiser viril me rappela des souvenirs. J’avais oublié comme c’était bon. Rien à voir avec ceux de mon amie. Elle restait en général inactive alors que lui me caressait d’une main l’entrejambe et de l’autre l’épaule. Sa main descendit le long de ma colonne vertébrale et s’immisça sous mon polo. Je me laissais aller, caressant moi aussi son torse, n’osant aller plus bas, de peur des conséquences.Il défit ma ceinture et ouvrit mon jean, prit ma queue et se mit à la lécher. Je m’allongeai sur le canapé et me laissai faire. Il descendit mon pantalon et mon slip, libérant tout mon appareil génital qu’il se mit à sucer et à branler. Je râlais de plaisir.— Arrête Julien, Je ne suis pas comme ça !— Hum ! Hum ! fut la seule réponse que j’entendis.Il lâcha quelques instants ma verge pour me dire.— Ose dire que tu n’aimes pas !— Mais je ne suis pas homo ! J’ai une copine ! Essayais-je de bredouiller.— Et alors, c’est bon quand même ! Tu ne trouves pas ?J’entendis tousser dans mon dos, c’était Jacques-Henri.— Je vois que vous avez fait connaissance !Je ne savais plus où me mettre, j’étais lascivement allongé sur le canapé, mon pantalon et mon slip sur les genoux, la bite dans la bouche de son cousin, il n’y avait aucune ambiguïté.— Faut qu’on se prépare, c’est l’heure du dîner. Désolé de vous interrompre, dit-il. Vous reprendrez votre conversation ce soir.— Mais Jacques-Henri, ne te méprends pas, on n’a rien fait !… C’était juste … Essayais-je de me justifier en bredouillant, me rendant compte que plus je parlais, plus je m’enfonçais.— Mais oui ! Mon cher cousin ! On ne faisait rien d’anormal, reprit Julien, on faisait juste connaissance, avant le dîner !Fabrice était venu nous rejoindre.— Mais dites donc je ne savais pas que vous vous connaissiez !On éclata de rire tous les quatre. Je remontai mon pantalon et allai dans ma chambre, penaud, pour me préparer au dîner.C’était les vacances, nous avons juste passé un pantalon de toile et une chemise propre, je jetai un pull léger sur mes épaules et nous descendîmes rejoindre les grands-parents qui nous attendaient sur la terrasse.On prit un apéritif léger, puis nous avons dîné sous la tonnelle. Aucune allusion à nos activités dans la chambre de Julien ne fut faite devant les grands-parents, évidemment. Je sentais pourtant contre ma jambe le genou de Julien, je ne fis rien pour m’en écarter. Vers dix heures, à la nuit tombante, les grands parents allèrent se coucher, nous sommes descendus vers le jardin pour admirer le ciel étoilé et la pleine lune. Vers onze heures, nous sommes montés nous coucher.J’étais crevé, je leur dis que j’allais prendre une douche.— Ouais, super cria Fabrice, je vais avec toi.— Moi aussi ! cria Jacques-Henri.— Et moi, je compte pour du beurre ? demanda Julien.Si bien qu’on se retrouva tous les quatre à poil dans la salle de bains qui heureusement était vaste. La douche aussi, mais nous fûmes quand même obligés de nous serrer les uns contre les autres, ce n’était pas pour déplaire à Julien qui se mit à me savonner pendant que Fabrice savonnait Jacques-Henri.On me nettoya de fond en comble, mais je ne crois pas que c’était à cause d’une quelconque saleté, c’était plutôt pour profiter de l’excuse de la douche pour se frotter les uns contre les autres. La raison n’était que sexuelle. L’eau se mit à tiédir.— Ça y est ! Y a plus d’eau chaude, dit Julien.— C’est chaque fois la même chose ! C’est quand on en a besoin qu’il y en a le moins ! ajouta Jacques-Henri.— Ça ne fait rien, dit Fabrice on va aller se réchauffer dans nos lits ! Ça sera meilleur !Aussitôt dit, aussitôt fait, il partit tout mouillé dans la direction de la chambre de Jacques-Henri qui le suivit aussitôt.— Tu veux que je te sèche ? me proposa Julien.— T’es gentil, ça va, je vais le faire tout seul, dis-je en m’éclipsant dans ma chambre fermant ma porte derrière moi.Après m’être séché, je me mis au lit, vêtu d’un tee-shirt et d’un caleçon de coton. Aucun bruit ne venait de l’étage, tout était calme. Par la fenêtre ouverte, on n’entendait que les bruits de la campagne endormie. Je me mis sur le ventre et sombrai comme une masse dans un sommeil profond.Alors que je dormais, je fus réveillé par une main qui me caressait les fesses. J’étais encore engourdi par le sommeil et ne bougeais pas, faisant semblant de dormir. La main me caressait les fesses, l’une après l’autre, très doucement, suivant parfois la raie médiane d’un doigt fouineur. Ce qui au début n’était qu’une main sur mes fesses et un doigt inquisiteur devint petit à petit de plus en plus sexuel, du moins pour moi. Je sentais la chaleur m’envahir et mon sexe prenait des formes sous mon ventre. La main suivit ma colonne vertébrale vers le haut, sous mon tee-shirt, le remontant le plus haut possible. Puis elle glissa sous ma ceinture pour me caresser directement les fesses. La main se retira de mon caleçon pour essayer de me l’enlever, elle n’y parvint pas, juste à le baisser au milieu des fesses. Je compris qu’il devait s’agir de Julien et commençai à trouver qu’il insistait lourdement, j’aimais ma copine et ne voulais pas la tromper. Je continuai à feindre le sommeil, mais ça ne le calmait pas. Il esquissa des mouvements pour me retourner. Je ne me laissai pas faire, essayant de résister, mais il me saisit par les pieds et là je fus obligé de me retourner, ou sinon, il verrait que je ne dormais pas.Quand je fus sur le dos, il se mit à me caresser le sexe dont la turgescence devait se voir malgré mon caleçon. En tout cas, il devait la sentir et quand il me saisit la bite à travers le coton, mon érection devint totale. Je sentis son souffle chaud à travers le tissu, il se mit à me mordiller le vit, ce qui en augmenta encore la dureté. Mon membre était maintenant complètement dressé, tendant mon caleçon.J’avais ouvert les yeux, c’était bien Julien. Il souleva l’élastique pour baisser mon sous-vêtement qu’il m’ôta complètement, tirant avec force pour libérer la ceinture élastique du poids de mes fesses. Il s’aperçut que j’étais réveillé et vint s’allonger à côté de moi.Il était lui aussi en tee-shirt et boxer. Il s’était couché sur un de mes bras, bloquant ma circulation sanguine. Il me caressait le ventre, la poitrine, le pubis passant de l’un à l’autre, puis revenait au premier dans un massage érotique. Mon pieu était fièrement dressé.— Mathieu, tu es super, j’ai envie de toi ! me chuchota-t-il à l’oreille.— Non, laisse-moi ! Je t’ai déjà dit que je n’étais pas comme ça, j’aime ma copine.— Et alors, ça n’empêche pas ! Tu vas voir comme on va bien s’entendre tous les deux.Il se pencha sur moi et me donna un baiser fougueux. J’ouvris la bouche et sa langue vint aussitôt à la recherche de la mienne. Il finit de me déshabiller et se redressa pour aller au contact de mon sexe qu’il se mit à lécher.— S’il te plaît, Julien, laisse-moi ! Laisse moi dormir ! Il est tard. Essayai-je une dernière fois pour qu’il me laisse tranquille.— Quand on bande comme toi, c’est qu’on prend son pied ! Ose dire que tu n’aimes pas mon traitement. Laisse-moi faire, tu vas voir comme on peut se faire du bien entre hommes.Pour lui montrer ma détermination, j’en profitai pour me retourner sur le ventre, pensant ainsi cacher l’objet de ses désirs, mon sexe, mais au contraire, je lui offris mon postérieur qu’il convoitait aussi. J’étais impuissant devant sa détermination, d’autant plus qu’il était bien plus grand et bien plus fort que moi. Je me résolus à me laisser faire.Il se mit à genoux, une jambe de chaque côté de mon corps, à hauteur de ma poitrine, et m’écartant des deux mains les globes fessiers, se mit à me lécher la raie des fesses.— Détends-toi, je ne veux que ton plaisir ! Tu l’as déjà fait ? Non ?Je ne répondis pas, comment le savait-il, Jacques-Henri ne m’aurait pas trahi ?… C’est sûrement par lui qu’il le sait. « Ah, le salaud ! pensai-je », pendant que Julien me léchait le cul, y mettant beaucoup de salive.— T’as un petit trou superbe, ça va être génial.— Rien du tout ! m’écriai-je. Laisse moi tranquille et va dans ta chambre.— Laisse-toi faire, tu vas voir comme je suis tendre et doux. On est fait l’un pour l’autre, regarde comme je bande. On est dans le même état !Il mit son sexe sous mes yeux, en effet, son sexe tendait le tissu de son boxer, tel un mât de navire. Je ne pouvais pas en voir la taille, mais ce que j’avais vu sous la douche tout à l’heure me laissait présager un chibre de bonne taille. « Je vais déguster ! », pensai-je.Il vint se placer entre mes jambes et je sentis son membre prendre place entre mes fesses. Afin de l’empêcher de profiter de ma faiblesse, je me mis à m’agiter dans tous les sens, pour l’empêcher de me sodomiser, comme il s’apprêtait à le faire.— Non ! Julien ! Pas ça ! Je ne veux pas ! Laisse-moi tranquille.Il m’obligea à me tenir tranquille, pesant de tout son corps sur mes bras, m’immobilisant le haut du corps. Impossible de me retourner. Ses jambes s’enroulaient sur les miennes, les maintenant écartées. De ce côté-là aussi, j’étais immobilisé. Je sentais son braquemart entre mes fesses, cherchant l’entrée de mon intimité.J’eus beau me débattre, me tortiller dans tous les sens, je sentais son missile à tête chercheuse gagner du terrain. Son ogive avait trouvé sa cible. Son gland, malgré mes mouvements était contre ma rondelle, il forçait l’entrée et finalement, la porte s’ouvrit et je fus obligé de reconnaître ma défaite. Sa bite pénétrait en moi, doucement, mais sûrement. Vaincu, cloué au sol par son pieu, je me soumettais à la loi de mon vainqueur, écrasé sous son poids, soumis mais si agréablement envahi par son épée de chair qui me transperçait de bas en haut. Je me calmais pour le laisser s’allonger sur moi, laissant nos organes s’habituer l’un à l’autre.J’avais oublié combien une sodomie était agréable, comme j’avais redécouvert tout à l’heure que les baisers et la fellation, faits par un homme, sont meilleurs que par une femme. Malgré mon refus initial, j’étais obligé de reconnaître que de sentir ce gourdin dans mon rectum était jouissif. Je me détendis et me laissai aller au plaisir.— Ça va ? Tu t’es calmé ? me chuchota-t-il doucement dans l’oreille, me mordillant amoureusement.— Oui, ça va, lui avouai-je, c’est du viol, mais c’est si bon !— Comment ça du viol ? C’est toi qui m’as provoqué ! Tu m’as chauffé toute l’après-midi, et maintenant tu joues les pucelles ?— Je ne te connaissais pas et ne me doutais pas qu’un gros gabarit comme toi pouvait être si gentil avec un minet comme moi ? Et puis avec tes airs macho, je ne me doutais pas que je pouvais t’intéresser. Si ma copine savait !— Arrête de parler d’elle, tu n’as qu’à pas lui en parler. On n’est pas bien tous les deux ?— Quand même t’es pas un petit modèle, tu m’écrases, t’es vachement lourd !— Comme ça, c’est mieux ?Il s’était redressé sur les bras et se mit à aller et venir doucement en moi. Son gland me caressait l’intérieur du rectum, les parois de la vessie et de la prostate. Je sentis le bonheur m’envahir. J’étais bien, sa bite me chauffait le derrière, son souffle me réchauffait le cou, ses jambes s’entortillaient aux miennes, nous ne faisions qu’un.Il me pistonna longtemps, retenant le plus possible sa jouissance. La tension montait … La jouissance arrivait.— Viens sur moi. me dit-il en se retirant.Il s’allongea sur le dos et me demanda de venir m’asseoir sur lui. En effet, il était plutôt bien monté. Une bite bien droite, le gland plus volumineux, la veine de l’urètre bien dessinée, comme si elle partageait le fût en deux. Il avait tout à l’heure, sans que je m’en aperçoive, enfilé une capote transparente qui le moulait avantageusement. Ses testicules étaient énormes, remontés le long de la verge, dans leur bourses fripées et bien rondes. Je pris son mandrin à pleine main et m’empalai dessus. Ça glissait bien en moi, sans difficultés.— C’est super ! m’exclamai-je quand je sentis mes fesses caressées par ses poils pubiens.— Oh oui ! Pour moi aussi, t’es super serré, j’adore ton cul !— C’est que comme je te l’ai dit, je suis hétéro maintenant, je ne l’ai pas fait depuis plusieurs années.Il avait ses mains sur chacune de mes fesses et m’imprima un mouvement de haut en bas. C’était moi qui menais la danse, montant et descendant sur son chibre qui glissait bien en moi. La jouissance revenait. Je me mis à me branler, il m’en empêcha voulant le faire lui-même.— Laisse-moi faire, tu vas jouir trop vite, on n’est pas bien comme ça ?On changea de position, je me retournai, toujours avec son pieu dans le fondement, comme fixé sur un axe. Il se releva et me poussant, me prit en levrette, toujours sans déculer. Par un mouvement acrobatique, il m’allongea sur le dos et me prit à la missionnaire et c’est dans cette position que je sentis le plaisir m’envahir, j’éjaculai sur mon ventre, avec une telle puissance que j’en eus jusque sur le menton. Il sortit précipitamment de moi et vint mélanger sa liqueur à la mienne, crachant lui aussi avec une puissance que je n’avais jamais vue. Il s’effondra sur moi, et nous nous endormîmes, l’un sur l’autre, collés par nos spermes, lèvres contre lèvres.La position n’était pas très confortable, il m’étouffait. Je le poussai délicatement sur le côté, mais nos ventres étaient collés par nos semences. Enfin, on parvint à se détacher quand même.Je me réveillai aux premières lueurs du soleil. Il dormait, me tournant le dos, la jambe de dessous tendue, celle de dessus pliée, m’offrant des fesses éclairées par les premiers rayons du soleil.La tentation fut forte, je me mis à lui caresser la raie, puis à le lécher. Je vis sur la table de nuit la boîte de préservatifs et le tube de gel qu’il avait déposé là quand il était venu pendant mon sommeil. Je lui en mis sur la rondelle, et enfilant un préso, je me mis à le pénétrer. Après tout, il m’avait bien violé hier, maintenant c’était mon tour.Son anus était bien ouvert, je ne devais pas être le premier à passer par là. Il se mit à bouger et s’allongea sur le ventre. Je m’agitai en lui avec fougue.— Vas-y, Mathieu ! Ramone-moi comme une bête !Je le regardai, étonné et amusé. Il mesurait près d’un mètre quatre-vingt-dix et devait peser plus de cent kilos, tout en muscles, et moi, à peine un mètre soixante-dix, et soixante-sept kilos, et il me demandait de le ramoner comme une bête.Il me repoussa et se retrouva sur moi. Nous étions tous les deux sur le dos, je me saisis de sa queue que je me mis à branler. Il ne tarda pas à jouir pendant que, excité par les contractions de son anus au rythme de ses éjaculations, je jouis dans son cul, ou du moins dans la capote.Il était très tôt, on alla prendre une douche, pendant laquelle on se caressa comme des enfants, puis on s’habilla rapidement et on descendit dans le parc faire un peu de sport. Jacques-Henri, que l’on avait réveillé en prenant notre douche, vint nous rejoindre.— Comme ton lit n’est pas défait, j’en conclus que, soit tu as passé la nuit à la belle étoile, soit tu as couché dans une autre chambre ? dit Jacques-Henri en riant, à son cousin.— De quoi je me mêle ? lui répondit ce dernier. En effet, j’ai couché à la belle étoile ! Où crois-tu que j’aie pu coucher ?— Mais je ne sais pas, avec le jardinier peut-être, mais finalement, comme je vois que Mathieu et toi avez tous les deux l’air d’avoir peu dormi, je me demande si lui aussi n’aurait pas couché à la belle étoile ?On éclata tous les trois de rire et on décida d’aller réveiller Fabien.Il était à la salle de bains et comme leur lit semblait accueillant, nous nous y allongeâmes pour l’attendre et c’est ainsi qu’on commença une partie à trois qui se finit à quatre et qui dura presque deux jours, entrecoupée seulement par les repas pris avec les grands-parents qui ne se doutèrent jamais des partouzes qui se déroulaient au-dessus de leurs têtes.