Ce matin, j’ai la gueule de bois. En descendant les escaliers, je réalise combien la grande maison est silencieuse. Tout le monde dort. En m’approchant du frigo, je vois que je ne suis pas le seul à être matinal. Manon est en train de faire du yoga devant un programme de fitness à la télé.— Salut, Olivier, bien dormi ?— Euh, ouais, ça va, et toi ?— Oui, comme tu vois, me répond-elle avec un clin d’œil complice.Elle me tourne le dos et regarde la télé en imitant les positions de l’animatrice. Son petit cul est moulé dans un collant noir et ses longs cheveux bruns sont attachés dans une queue de cheval bougeant au rythme des exercices.— Prends du café, si tu veux. J’en ai fait couler, me lance-t-elle en se retournant avec un sourire.Puis, l’espace d’une seconde, elle baisse les yeux sur la déformation qu’occasionne mon membre sur la surface de mon caleçon.— Toi aussi tu es du matin, on dirait !— Oui ! Oui, oui. Merci pour le café !Son allusion m’a tout de suite sorti de ma torpeur. Manon est la copine de ma sœur. Elles étudient toutes les deux dans une grande école parisienne. Tout chez Manon sent la haute bourgeoisie. Sa façon de parler et de se déplacer avec une élégance innée. Toute la soirée d’hier, sa beauté et sa simplicité avaient aimanté les regards.Maintenant, son corps élancé se contorsionne avec souplesse devant la télé depuis 20 minutes, alors que ma gaule matinale augmente devant ce spectacle. À plat ventre, elle relève puis rabaisse à intervalle régulier son buste décolleté. Position du cobra ? Elle s’offre à mon regard comme si de rien n’était avec pour seule ambiance les directives en sourdine de la jolie présentatrice. Soudainement, elle se rappelle que je suis dans la même pièce qu’elle.— Approche-toi, j’ai besoin que tu m’aides. Tu vas te mettre derrière moi et tu vas tirer mes bras en arrière, m’ordonne-t-elle sans me jeter un regard, comme on s’adresse à un domestique.Dos à moi, elle tend ses bras en arrière pour que je les attrape. Je m’approche d’elle en cachant comme je peux mon cobra personnel au garde-à -vous. J’agrippe ses avant-bras fermement pendant qu’elle avance son torse. Nous regardons dans la même direction la sculpturale animatrice.— Elle est pas mal, hein ?— Qui ? La meuf de la télé ?Pour seule réponse elle recule soudainement son bassin, si bien que sa raie s’enserre parfaitement autour de mon chibre durci. Je suis pétrifié par le plaisir et la peur d’être vu. Le plaisir l’emporte quand elle se trémousse contre mon membre. Pendant une fraction de seconde, je suis au paradis. Je vais lâcher ses bras pour empoigner ses hanches quand elle me coupe net :— De qui d’autre tu crois ? Bon. OK. Merci. Tu peux me lâcher maintenant, m’ordonne-t-elle en se redressant.— Si… je peux rendre service…Confus et excité, je retourne derrière le comptoir, finir mon café. Je ne comprends pas sa façon de souffler le chaud et le froid. Comme si encore je n’existais plus, elle s’immobilise, et s’assoit en tailleur. Je ne vois plus que son dos droit où perlent quelques gouttes de sueur sur sa peau mate.Même hier, dans la boîte de nuit provinciale où nous avions terminé la soirée, elle avait su capter l’attention de tous les hommes. Vers 3 h du matin, alors que la fête battait son plein, elle avait dit quelque chose dans l’oreille de ma sœur qui l’avait regardée avec de grands yeux incrédules et amusés. Dans la foulée, elle s’était éclipsée vers les toilettes dont elle n’était sortie que 15 min après en se recoiffant. Tout le monde avait vu la scène et comprit ce qui s’y était passé, quand dans son sillage était apparu le videur qui s’était visiblement accordé une petite pause détente. Cette coquine n’avait pas froid aux yeux. Malgré ses origines, elle n’est clairement pas si inaccessible que ça. Peut-être même que ça l’excite, les gens du petit peuple.À présent, il faut que je me vide, et la vue est superbe. Je sors ma queue, caché derrière le bar. Le caleçon sur les chevilles, je ferme les yeux pour mieux l’imaginer me sucer, ou encore jouir sur son joli visage.Et quand je les rouvre, la réalité est plus sage… mais pas moins excitante. Ces mains délicatement posées sur ses genoux, ce port de tête aristocratique est à ma portée. Je suis au bord de jouir quand je vois sa queue de cheval pencher lentement de gauche à droite. Lentement, elle sort de sa méditation. Doucement, elle remue les bras. Puis, elle se lève en dépliant naturellement ces longues jambes, se retourne en ouvrant les yeux. Son regard planté dans le mien, elle avance vers moi.— Maintenant, même exercice que tout à l’heure… mais tu enlèves le caleçon cette fois, me lance-t-elle avec beaucoup d’assurance.— OK, je suis pris la main dans le sac on dirait, lui réponds-je, les mains en l’air et rougissant.Elle s’approche et se penche sur le bar pour voir ce qui s’y passe derrière.— Hum, OK. Bel engin. Mais là , arrête de faire joujou et viens derrière moi, me dit-elle en levant les yeux au ciel avec un petit sourire espiègle.Je fais précipitamment le tour, la bite à la main. J’appose ma queue durcie sur le tissu qui couvre son petit boule et commence à la faire coulisser dans sa raie, cette fois sans gêne aucune. Elle se redresse pour ôter son petit haut de sportive. Immédiatement, j’en profite pour saisir à pleine main ses beaux seins ronds qu’elle met à ma disposition. Ma bouche couvrant sa nuque de baisers, goûte sa peau salée.— Ça te plaît le yoga, on dirait ?— Oui, j’aime finir avec une bonne séance de sexe !Pendant que je pelote ses melons bien fermes, elle baisse son legging saturé de transpiration qui s’enroule au niveau des genoux faisant d’elle ma prisonnière consentante. Elle se retourne vers moi, les yeux mi-clos :— Mets-la-moi. Je suis toute mouillée, murmure-t-elle.Je guide ma queue devant sa chatte humide et m’enfonce en elle jusqu’à la garde, d’un trait. Elle lâche un petit cri aigu.S’ensuit un pilonnage de sa fente qui va crescendo. Elle halète si fort que je suis forcé de mettre ma main sur sa bouche pour rester le plus discret possible. N’importe qui peut arriver et nous surprendre.— Tu aimes ça, Manon, une bonne grosse bite le matin ? T’as pas peur que quelqu’un arrive ?— Non, ça m’excite trop… Mais maintenant, je veux que tu me la mettes dans le cul. J’adore ça. Encule-moi fort !Quand une jeune femme de bonne famille vous demande quelque chose comme ça, c’est toujours difficile de refuser. Je me retire de son minou ruisselant et présente mon gland devant sa petite rondelle. Je crains de devoir forcer le passage mais une fois encore je ne rencontre aucune résistance. Quel pied !Mon membre ramone son anus et la remplit de plaisir à entendre ses petits cris étouffés. Mes couilles claquent contre son minou avec la régularité d’un métronome alors que je la sens s’approcher du Nirvana.— Je vais jouir, Olivier ! Ne t’arrête pas !Et elle se cambre soudainement dans un orgasme anal ravageur. Ses jambes flageolent quelques secondes et elle réprime des gémissements de plaisir. Devant une telle extase, j’accélère mon va-et-vient pour décharger ma semence dans son beau petit cul. Pendant quelques minutes, je reste allongé sur son dos à écouter nos respirations ralentir et guetter les bruits de la maison.