Une « jeune femme » de 60 ans m’a offert l’histoire qui suit. Il a fallu que je corrige quelque Romane et Morane, oublie ou excitation sous l’écriture. Cela m’a beaucoup charmé. Cela me rassure sur mon avenir. J’espère être toujours aussi « verte » que ma tendre et coquine amie.Nous avons fait connaissance via le site Literotica et depuis nous correspondant assez régulièrement. C’est chaud et très humide je dois le dire.Je n’ai plus de nouvelle d’elle depuis 3 semaines.Yvonne, tu me manques beaucoup. Ma fleur commence à se faner.A toi Yvonne-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-A Romane, cette rêverie, pour te remercier. »Morane s’éveillait, ne reconnut pas la chambre tout de suite. Elle émergeait d’un lourd sommeil réparateur. L’altitude, le silence, sans doute. Elle était arrivée la veille dans ce centre de vacances. Aujourd’hui serait sa première journée seule, loin de la pesante présence de Julien, son mari, depuis la catastrophe.En arrivant, on lui avait conseillé la promenade équestre du lendemain, pour découvrir cette région de moyenne montagne. Elle n’était jamais monté sur un cheval, mais on lui avait assuré que c’était le cas de la plupart des vacanciers, les bêtes avaient l’habitude, étaient tranquilles, ne galopaient pas. Mise en confiance, elle s’était inscrite.Après la toilette, elle enfila slip et sous tif Sloggi, un jean, une paire de bonnes chaussures, chandail, casquette et ciré en cas de pluie. Le groupe était composé d’une quinzaine de personnes. Des couples de la cinquantaine, trois messieurs et elle. La guide donna les conseils de prudence, son assistant l’aida à enfourcher la monture. Annie fut surprise et un peu apeurée par la hauteur, une fois juchée sur la selle. La colonne se mit en marche, sa bête cheminait au pas, au milieu de la colonne.Cette journée de Juin, le soleil rayonnait, la nature explosait. Annie respirait les odeurs de sapins, de foin coupé, de genêts. Elle se sentait calmée, sereine. De temps en temps, la guide arrêtait le groupe dans un pré, commentait le paysage, les travaux agricoles, les traditions de la région.Annie était libérée des angoisses du départ, elle porta son attention sur la guide. C’était une fille du pays, très brune, la peau mâte, environ la trentaine, plutôt grande. Elle semblait très épanouie, sensuelle, et pas maquillée. Annie soupçonna qu’elle vivait libre, avec un caractère bien trempé, elle devait avoir beaucoup de soupirants.Vers midi on mangea un casse-croûte rustique dans une ferme, puis chacun s’allongea sous un énorme chêne, pour une petite sieste.Annie songeait à ses problèmes, regardant les chevaux qui paissaient mollement à coté. Le groupe semblait dormir. Et puis les chevaux ne mangèrent plus, restèrent immobiles. Annie vit alors les deux mâles sortir un membre noir cylindrique, luisant, allaient-ils uriner? Tout à coup, comme tombant du cylindre, le premier déploya une verge longue comme un avant bras. Ce sexe énorme se balançait d’avant en arrière, se tendait, tapait contre le ventre, retombait, se retendait … Le second cheval ne tarda pas à imiter le premier. Annie regardait le spectacle avec curiosité, s’avisa que c’était son cheval qui montrait de belles dispositions.Un homme fit une réflexion, un autre enchaîna, pas très finaud, et les allusions glissèrent sur la chance des cavalières etc. , etc.. Annie se sentit rougir, elle était très mal à l’aise. Quelle attitude avoir si ces mufles continuaient quand on repartirait?La guide avait vu son embarras. Avec son accent méridional, elle apostropha les indélicats:- Messieurs, les chevaux ne se vaantent pas, mais ils ont du répondant, eux ». Son ton avait de l’autorité, les âneries cessèrent.- Monsieur, vous qui êtes galant, vous céderez votre jument à madame » dit-elle en désignant Morane.Elle reprit la promenade avec une nouvelle monture, la guide lui demanda de chevaucher auprès d’elle.Elle voulut savoir d’où elle venait, la durée de son séjour, pourquoi avait-elle choisi ce centre. Elle avait des airs qui lui faisaient comprendre son intérêt pour sa personne. Ses yeux, immenses, lui faisaient la cour. Elle était troublée, un peu gênée, mais finalement ces moments lui étaient très agréables. Elle se laissa séduire, et accepta le dîner que Victoria lui proposa le soir même, chez elle.Victoria habitait un gîte rural, loué pour la saison. Le mobilier était quelconque, elle avait agrémenté la petite maison avec des posters, des bibelots, des fleurs de la campagne. Elle avait passé une robe légère, tenue aux épaules par de fines bretelles. Elle accueillit Morane en l’embrassant sur les deux joues et lui fit les honneurs de la demeure par une courte visite. Dès l’entrée de la chambre, Morane regarda les posters de jeunes femmes nues, encadrés et pendus aux murs.- Elles sont belles » lui dit Victoria en prenant sa taille- Elles me plaisent beaucoup » répondit Morane- Tu es encore plus belle » et Victoria approcha ses lèvres. Victoria offrit les siennes, se laissa enlacer, le baiser était doux, leurs langues se cherchèrent, s’unirent. Morane sentit le bonheur l’envahir, elle se plaqua contre Victoria, sentit ses seins fermes à travers la robe. Elle se laissa tomber sur le lit entraînant sa partenaire. Elle passa la main sous la robe, sa peau était lisse, elle aimait la caresse. Morane quitta son pantalon blanc très moulant, elle portait un string blanc. Victoria lui caressait les cuisses, puis les fesses, elle sentait son vagin devenir humide, ses seins se gonflaient, elle dégrafa son soutien gorge. Victoria aima ses seins, caressant l’un, embrassant l’autre, suçait le téton, elle faisait monter le désir. Morane subissait ces caresses, sa vulve s’humidifiait, elle avait envie du contact avec la peau de son amie, qui prit sa tête, la dirigea contre son sein. Elle embrassa cette rondeur, et suça le téton. Victoria émit des petits gémissements.- Continue ma chérie, j’aime, j’aime »Chacune sentait le plaisir dans le corps frémissant de l’autre, elles gémissaient de plus en plus. Victoria prit la main de Morane, la guida vers sa vulve, très, très humide. La main de Morane caressait la toison, ses doigts se mouillèrent en effleurant les lèvres intimes. Victoria, de plus en plus excitée, lui prit la main, et la posa sur le clitoris.- Morane vas-y, vas-y, tu me fais jouir » Elle dirigeait le doigt de Morane pour des caresses circulaires autour du clito, puis la faisait appuyer sur le sommet du bouton gonflé. Morane avait compris elle continua seule la masturbation, son amie se convulsait. Les spasmes devenaient violents, à l’orgasme, elle serra les cuisses, puis la fièvre s’atténua, elle reprenait conscience.- Morane ma chérie, je t’ai laissée en route. » et elle porta sa main vers la chatte excitée de sa compagne. Elle pinça délicatement le clitoris avec deux doigts et faisait coulisser le clito entre les deux lèvres. Morane se vaporisait, elle eut très vite des spasme, une vrille la traversa, son plaisir s’écoula, d’abord intense puis de plus en plus apaisant. Elle donna un baiser à Victoria, se blottit contre son corps, toute au bonheur de son être pantelant. »Après une pause câline, elles firent une dînette. Victoria se sentait attirée par cette femme de 58 ans, grande, élancée. Elle avait une figure très proportionnée, et pourtant une grande bouche, des yeux marron immenses, un nez avantageux. Elle gardait une longue chevelure blonde (teinte) qui s’accordait avec sa silhouette. Son visage présentait des rides prolongeant les pattes d’oie, des rides aux commissures des lèvres. Quand elle riait, son visage devenait séduisant. Morane expliqua que sa peau était très sèche malgré les traitements hydratants. D’ailleurs elle avait arrêté de s’exposer au soleil depuis plusieurs années. « Au cours de la dînette, Morane apprit que Victoria avait 35 ans, elle se sentit flattée d’avoir intéressé une aussi jeune et belle femme. Victoria était réellement superbe. Sa poitrine était forte (bonnets D, pensa Morane), les seins pas trop écartés, ses aréoles brunes, très larges, dégageaient un érotisme extraordinaire.- Victoria, je suis venue me reposer ici parce j’ai subi des chocs très durs. Le dernier est l’incendie criminel de notre maison » expliqua Morane.- Ah, bon?- Oui mon mari est resté sur place, il loge à l’hôtel, il a repris son travail. Je cauchemarde souvent la nuit, je rêve que mon lit est en flammes »- Eh bien, reste avec moi cette nuit, çà te rassurera » proposa Victoria- Merci Victoria, je te suis très reconnaissante »- Allez, on se baigne ensemble et on se love dans les bras de Morphée » décréta Victoria.Dans la salle de bains, elles prirent leur douche ensemble, l’une savonnant l’autre. Leur slip mouillé devint comme transparent, elles s’amusèrent à regarder leur toison intime, la raie des fesses sous le tissu collé à la peau.- Est-ce que tu as déjà rasé tous les poils de ton sexe? » questionna Morane- Non, seulement l’épilation au maillot, comme tu peux voir. Et toi, tu ne t’épiles jamais? » répondit Victoria.En effet, la toison de Morane débordait largement des deux côtés du slip.- Vois-tu poursuivit-elle, depuis une dizaine d’années ne fréquente plus ni la piscine, ni la plage. Je n’ai pas de liaison hors mariage, alors à part les aisselles et les jambes, je laisse s’épanouir la nature. Ça te gène? »- Ma chérie, j’adore » et Victoria fit glisser le slip jusqu’en bas des jambes de Morane.Elle savonna cette touffe luxuriante, la fit mousser, passant sa main le long des grandes lèvres, sans appuyer, éprouvant leur gonflement. Morane se sentait partir, elle se massa le clitoris d’un mouvement circulaire, bientôt remplacée par la main de Victoria. Elle rentrait deux doigts dans le vagin, remontait le long de la fente, titillait le clitoris. Morane sentait sa vulve se gonfler de plaisir, se contracter. Elle était dans les nuages, jouissait du bonheur qui montait, sa vulve irradiait, elle s’abandonna aux spasmes d’un orgasme fulgurant, allongée dans la baignoire. Elle ouvrit les yeux, le visage de Victoria au-dessus d’elle rayonnait de bonheur, elles s’embrassèrent, s’embrassèrent.- Caresse moi les fesses, j’adore » dit Victoria quand Morane eut repris ses esprits. Elles se remirent debout, Morane savonnait de bas en haut ces deux fesses rebondies.- Savonne moi la raie » demanda Victoria » Puis elle guida la main de Morane vers son petit trou. Morane massait les bords de l’orifice, Victoria gémissait gentiment.- Enfonce ton doigt » implora Victoria. Morane obéit, enfonça doucement son index, remarqua qu’il rentrait aisément, mit deux doigts à l’intérieur.- Viens dans la chambre » demanda Victoria.En entrant, Victoria prit un petit vibromasseur dans la commode. Elle s’agenouilla sur le lit en position de levrette, cuisses écartées, et porta le vibro à l’entrée de son anus. Elle prit la main de Morane, lui donna l’appareil.- Vas-y enfonce moi lentement » dit-elle. Morane, un peu interloquée, promena l’engin au bord du trou, Victoria, d’un mouvement des fesses, le fit pénétrer. Elle émit des petits cris étouffés- C’est bon, c’est bon! Morane! Encore! Encore!! ». Maintenant le vibro était rentré largement, Victoria se tortillait, gémissait de plus en plus fort.- Morane, c’est bon, c’est… AaaH! çà y est!… çà y est!… Ah! Ah! AAAAhh! AAAAAhhh!. » Elle retomba sur le lit, ses convulsions ralentirent, se calmèrent.Morane s’allongea contre elle, caressa ses cheveux, ses seins encore sensibles. Victoria était très fatiguée.- Tu sais, je n’ai jamais été sodomisée. Ça t’a donné un gros orgasme? » demanda Morane.- Mais bien sûr ma chérie, il faudra que je t’initie » et elle s’endormit profondément dans les bras de Morane. La journée avait été forte en émotions, Morane commença à réfléchir, le sommeil la gagna aussitôt. » »La sonnerie du réveil les fit sursauter. Elles étaient enlacées, émergeant d’un sommeil de plomb. Morane prit conscience de sa béatitude, de la douceur de ce cette peau soyeuse, tiède contre ses chairs. Elle passa sa main dans les cheveux de Victoria, lui fit des petits bisous sur le nez, les yeux les joues. Victoria émergeait plus lentement, étirait son corps, serrait Morane, faisait mine de se rendormir. Après ce réveil câlin, elles firent sagement leur toilette et se préparèrent pour la journée.Pendant le petit déjeuner, Morane commença à raconter pourquoi elle avait besoin de solitude en ce moment. Un voisin, homme très riche, avait progressivement acheté toutes les maisons entourant la leur, au fur et à mesure des opportunités. Maintenant il voulait cette ultime parcelle, pour ne plus être gêné par cette enclave, et pour disposer d’une longue façade sur rue. Peut-être y avait-il du désir de possession dans sa démarche. Il avait fait une proposition à Morane et son mari, qui ne souhaitaient pas vendre, pour des raisons affectives.Les persécutions avaient alors commencé. Dernièrement, Morane fut invitée à prendre le café; le propriétaire souhaitait lui parler de travaux à envisager sur la clôture mitoyenne. Dès qu’elle fut assise, le monsieur la questionna tout de go: »- Voulez-vous voir comment votre mari vous trompe?- Que dites-vous, c’est impossible- Si vous voulez bien me suivre, je vous prouve le contraire- Je vous mets au défi »Il la conduisit dans une pièce du sous-sol. C’était une chambre, avec un grand panneau vitré sur un mur, en fait une glace sans tain. En appuyant sur un bouton, on illuminait la glace et on voyait l’autre pièce. Morane vit alors son mari étendu sur le dos, une superbe jeune femme lui caressait la poitrine, lui masturbait lentement le pénis. Morane sursauta, eut un haut le coeur, s’effondra en larmes. Un jeune homme lui apporta sa tasse de café qui puait le cognac, mais Morane l’avala d’un trait, et hoqueta encore. » – Madame, maintenant il faut vous venger, « dit le propriétaire.- Mon Dieu je suis désemparée, il faut que je rentre, » répondit Morane- Non Madame, vous devez assouvir immédiatement, et ici » dit le propriétaire sur un ton autoritaire- Non, Non, N…. »Le jeune homme venait de chloroformer Morane et accompagna sa chute sur le petit lit.Quand elle se réveilla un peu plus tard, ses mains et ses pieds étaient liés aux quatre montants du lit. Elle était totalement nue, jambes et bras écartés, prisonnière des liens. Le propriétaire avait quitté son pantalon et son slip, il promenait sa verge encore molle sur ses seins. Elle eut un mouvement de retrait, se tortillait, pour fuir ce contact dégoûtant, mais les liens étaient bien faits et très solides. Elle se rendit compte qu’elle ne pouvait que subir. Elle vit le jeune homme s’agenouiller entre ses cuisses, il se mit en devoir de caresser l’entrée de sa vulve avec son gland. De son côté, le propriétaire commençait à bander, puis à se masturber devant sa figure. Elle tourna la tête, mais un autre homme arriva, coté opposé, et remit la tête droite. »- Madame, ma verge vous déplaît, mais je vous assure que vous allez bientôt l’aimer » dit le propriétaire.Pendant ce temps, le jeune homme lui maintenait fermement les jambes, il bandait fortement devant sa vulve et tentait une pénétration dans le vagin. Morane était révulsée, mais ses forces déclinaient. Le troisième arrivé s’occupait de ses seins, la caressant d’abord, puis suçant ses tétons. Fatiguée, lasse de lutter, Morane sentit alors ses tétons durcir, s’abandonna à la succion. » »Elle sentit comme une douce excitation venant de ses seins, et se détendit. Elle essayait de refouler cette étrange sensation de plaisir mêlé de dégoût, en vain.Le propriétaire continuait sa lente masturbation, son pénis avait raidi, il le maintenait près de ses yeux. »-Quelle horreur, arrêtez! » cria Morane en essayant encore de détourner sa tête. Mais l’homme la maintenait fermement, le pénis continuait à s’allonger.L’homme qui s’occupait des seins était vraiment doux, il caressait et suçait chaque téton, elle résistait de moins en moins à cette montée de plaisir.Elle sentit un liquide tiède sur sa vulve serrée, le jeune entre ses cuisses éjaculait déjà contre sa toison. »Elle était dans ces sentiments mitigés quand l’éclairage de la glace lui fit voir l’autre pièce. La superbe masturbatrice avait passé des bas et un porte-jarretelles roses, une adorable culotte taille basse à volants. Elle accélérait sa masturbation, très vite son mari lança une giclée de sperme, puis une autre, qui allèrent sur le sol. La femme se pencha sur ses lèvres, effleura la poitrine, la verge restait raide, du sperme continuait à couler le long de ce mât. Morane était stupéfaite et outrée. Il lui semblait que cet orgasme était interminable, cette femme lui aurait donc volé son mâle? Elle eût à nouveau comme de la colère, contre son mari. Pourquoi ne résistait-il pas lui? Il en profite ce porc! s’indigna t’elleLa glace s’éteignit. Les trois hommes réorganisèrent les liens. Elle avait les pieds posés au sol, les chevilles attachées au bas du lit, cuisses écartées, vulve offerte. Le propriétaire était agenouillé au-dessus de sa tête, sa verge au-dessus de la bouche de Morane. Le troisième, fidèlement, câlinait les seins, ce qui fit à nouveau redémarrer une sensation de bien-être chez Morane. D’autant que le jeune éjaculateur léchait son petit trou, remontait vers le bas du vagin. Alors Morane, à bout de forces, s’abandonna aux pulsions de son corps qui montait lentement vers la jouissance. Le jeune éjaculateur embrassait ses petites lèvres intimes, immisçait sa langue dans l’entrée du vagin.Elle se mit à mouiller discrètement, il la sentit consentante, sa langue balayait totalement l’entrée, elle mouillait de plus en plus, il lapait son liquide féminin, arriva au clitoris, elle poussa un cri, son plaisir venait de bondir. Il lui mit deux doigts dans la vulve, caressant les replis du début du vagin, la bouche suçait, aspirait son clitoris, l’autre aspirait ses seins. Un orgasme fulgurant la traversa, elle eut des spasmes violents, voyait trente six chandelles. Elle s’apaisa sans toutefois avoir repris totalement conscience.Le suceur de sein bandait très fort. Il passa un préservatif, prit place entre ses cuisses, et entra d’un coup. Morane sentit cette verge épaisse qui excitait son vagin, la voix de l’homme l’envoûtait, elle repartit sur un nouvel orgasme très fort, elle manqua s’évanouir.Le propriétaire caressait sa figure avec son gland tuméfié, prêt à exploser. Il essaya de le rentrer dans la bouche de Morane, mais elle n’en voulut pas, serrait les dents au fur et à mesure que sa lucidité revenait. Il se coucha sur elle, mit sa queue entre les seins, sa tête entre les jambes suçait le clitoris. L’homme éjacula très rapidement, sur la peau blanche des rondeurs. » – Il faut lui en donner encore, elle a joui comme une salope » dit le propriétaire.Le jeune éjaculateur revint se poster entre les cuisses. Il commença par masser la raie des fesses avec un vibromasseur électrique, puis le plaça à l’entrée du vagin, l’enfonça progressivement. Morane était fatiguée, ses entrailles brûlaient encore, son sexe était enflammé. Mais le plaisir montait à nouveau, les trois hommes lui caressaient les seins, les fesses, le ventre, les joues. Elle se sentait comme noyée, un nouvel orgasme la secoua, elle jouissait, elle jouissait, tellement fort qu’elle s’évanouit pour de bon.Elle se réveilla avec des picotements dans la vulve, une grande envie de boire et de manger, le besoin de changer de place, mais les liens la gênaient.En ouvrant définitivement les yeux, elle aperçut la femme du propriétaire assise à coté du lit. La dame semblait réfléchir, perdue dans ses pensées, les jambes écartées. Au même niveau que sa tête, Morane vit sa petite culotte blanche, très élégante. Morane toussa, la dame se leva et lui dit: »- Je ne peux pas vous détacher, mais que puis-je pour vous?