Ce petit passage est encore un cadeau de ma « Jeune amie » Yvonne, vous savez la jeune femme de 60 ans. Cela m’a beaucoup chavirĂ© et j’en ai fait une suite. Quand je pense qu’elle est hĂ©tĂ©ro ma douce amie.Yvonne :Romane… Oh, tu es nue dessous, pas de string aujourd’hui? MMMMM. J’ai envie de ta bouche, de caresser tes cheveux. Nos seins se touchent se frottent, heureux de se retrouver, Romane caresse moi le minou, tu rentres un doigt dĂ©licat, lentement, tu me fais mouiller, Ah! Ma chĂ©rie! Romane, ton minou s’ennuie, je suçote ses renflements, comme c’est lisse, doux! Ma langue agace tes petites lèvres, taquine le bas du vagin, je veux toute ton humiditĂ©, je te lèche, avide de bas en haut, ton clitoris m’affole, il est gonflĂ©, gonflĂ©, je l’emprisonne entre mes lèvres. Romane tu sursautes, tu te cambres, tu retombes, tes spasmes s’accĂ©lèrent, ton clitoris est totalement dans ma bouche, je te mange, je te bois, je te sens venir, tu jouis, tu jouis, ton clitoris est trop brĂ»lant, trop sensible tu repousses doucement ma tĂŞte, ta respiration s’apaise, tu ouvres les yeux, tu me souris. Je sais que dans un moment, je vais exploser sous la tyrannie de ton nouveau vibromasseur.Romane :Je reprends doucement le contrĂ´le de ma respiration. Je te regarde, le cĹ“ur plein de tendresse, de bonheur. Je regarde cette bouche, ces lèvres encore humide de ma liqueur.Tu me souris. Des ridules apparaissent Ă la commissure de tes yeux. Je glisse un doigt dessus. Je me penche et embrasse ses douces lèvres qui viennent de me donner tant de plaisir.Je suis heureuse. Je ne te connais que depuis deux mois, toi l’hĂ©tĂ©ro convaincu. On avait conversĂ© via courriel interposĂ©. MalgrĂ© nos goĂ»ts sexuels diffĂ©rents, la mayonnaise avait quand mĂŞme pris entre nous deux.Lorsque je t’ai envoyĂ© une invitation ans trop de conviction, je fus surprise que tu acceptes.Quand, je t’attendais dans ce bar, je me sentais vierge de tout, comme une jeune fille Ă son premier rendez-vous. Certes, c’Ă©tait tout nouveau pour moi, une femme mĂ»re. Mon cĹ“ur battait la chamade lorsque je te reconnus.Tu t’approchas, je t’aimais dĂ©jĂ . Tu fus plus entreprenante, toi l’hĂ©tĂ©ro. Tes baisers Ă©taient très proches de mes lèvres. Je tremblais. Mon sexe mouillait dĂ©jĂ .Les deux verres de Vodka me dĂ©tendirent. Je buvais tes paroles et restais silencieuse. Tu fus un peu surprise de me voir ainsi et tu me demandas si tu ne me plaisais pas. Je te souris et tu compris.-On va ailleurs? » me proposa tu.-J’habite Ă cĂ´tĂ©. »-Très bien. Je vais enfin connaĂ®tre ton univers. »Tu dĂ©posas alors un petit baiser sur mes lèvres, toi l’hĂ©tĂ©ro sans peur.Une fois chez moi, on ne perdit pas de temps pour s’aimer.Mon sexe palpite encore. J’aime sentir ta langue dans ma bouche, sur mon minou. Ah Yvonne, Yvonne.J’arrĂŞte notre dĂ©licieux baiser et me lève. A ton tour de dĂ©couvrir mes talents. Je retire mes habits et part Ă la recherche de mon dĂ©licieux vibromasseur dans l’armoire.Je me retourne. Tu es nue sur le lit, Ă genoux, les fesses bien cambrĂ©es. Je te rejoins, pose le vibro près de toi et dĂ©couvre ton corps avec mes doigts, ma bouche. Tu trembles Ă ton tour. J’avais perdu la sensation d’une toison luxuriante. Je passe un doigt entre tes lèvres que j’ai dĂ©jĂ bien titillĂ© quelques instants plus tĂ´t. C’est chaud et humide Ă souhait.Ta position est une invitation tentante. Je te gobe littĂ©ralement le sexe. Je le suce, l’aspire, le lèche. Je te dĂ©guste doucement, comme un mets dĂ©licats et prĂ©cieux.Tu gĂ©mis, rugis.-Oh oui, ma Romane chĂ©rie, bois moi, mange moi!!! »Je n’ai pas attendu tes dĂ©sirs.-Prends-moi, mon amour, prends-moi!!!!! »Je te tends alors le vibromasseur.-PrĂ©pares-le! »Tu le gobes avidement. Tu le suces, le lèches furieusement. Je ne sais si tu as dĂ©jĂ sucĂ© un homme de la sorte, mais tu agis comme un gloutonne. Mes doigts te prĂ©parent doucement Ă la prochaine intromission vu que l’engin est quand mĂŞme de taille respectable.Ta grotte s’ouvre facilement, rĂ©sultat d’une longue pratique (je pense) malgrĂ© que tu n’ais plus Ă©tĂ© honorĂ© depuis longtemps (je pense).-C’est bon maintenant. » dis-je en rĂ©cupĂ©rant le vibromasseur de tes mains. « Cambres toi un peu plus! »Tu t’exĂ©cutes. L’objet phallique te pĂ©nètre sans aucune rĂ©sistance. Ta respiration s’accĂ©lère. Tu pinces tes lèvres. Je passe une main sur ton clitoris et fais coulisser le vibromasseur en toi. Je l’allumerais plus tard.Tu gĂ©mis de plus en plus fort. Je sens ton clitoris plein de sang au bout de mes doigts. Je ne peux m’empĂŞcher de passer ma langue sur ton petit oeillet bleu. Je ne sais si tu as pratiquĂ© la sodomie, mais cela palpite Ă©galement Ă ce niveau.Ma langue glisse du bas de tes lèvres vers ton anus.Tu es une vĂ©ritable furie maintenant. Tu suintes de liqueurs. Ma main sur ton clitoris est poisseuse maintenant. Tu hurles de bonheur. Mon jeune voisin va encore se masturber comme un furieux en nous entendant.La touche finale maintenant. J’allume le vibromasseur.Tu redresses brusquement la tĂŞte. Te cherches Ă respirer, l’air te manque. Je commence Ă paniquer et alors que je m’apprĂŞte Ă Ă©teindre l’engin, un long cri de jouissance sort du fond de ta gorge. C’est le plus bel orgasme que je n’ai vu chez une femme.Si des gens dans l’immeuble avaient encore des doutes sur ma sexualitĂ©, ils Ă©taient maintenant bien fixĂ©s, grâce Ă toi.J’Ă©teins enfin l’engin. Tu t’Ă©croules le corps secouĂ© de soubresauts. Je sors doucement le vibromasseur et me prĂ©cipite afin de voir ton plaisir dans tes yeux. Je t’embrasse tellement c’est beau. Je tiens encore l’objet de ton plaisir dans la main. Je te le donne Ă sucer. Quelle gourmande tu fais. Je souris.On reste ainsi enlacĂ©, se donnant de tendre baiser.Mon voisin a du se rĂ©pandre Ă gros flot.