Petit rappel : Pierre, mon mari, travaille au service achats d’une grande société multinationale. À ce titre, il effectue de nombreux voyages en Chine, l’usine du monde.Septembre 2008 Depuis deux jours mon cher époux, Pierre, n’est pas dans son assiette. Il marmonne, il tourne et se retourne dans le lit conjugal, sans trouver le sommeil.— Chéri, tu as des soucis ?— Tu sais Mr Lee, le fournisseur qui m’avait invité à dîner à Shanghai…— Oui, celui qui t’offrait une pute en la présentant comme sa nièce ?(Pierre m’avait raconté cette histoire en partant en Normandie. Lire notre « Week-end de sexe »)— En fait, c’était sa maîtresse. Elle s’appelait Zhang.— Il t’offrait sa propre maîtresse ? Le marché devait être juteux ! m’exclamai-je en riant.— Très.— Et alors, où est le problème ?— On vient de le virer. Je crains sa réaction.Impossible d’en savoir plus. J’avais tort de ricaner. Le lendemain, mon chéri me téléphone au bureau. Rare !— Karine ? Tu… tu as reçu un mail de Chine ?— Qu’y a-t-il mon loulou ? Tu parais affolé. Attends que je regarde… Non, rien de Chinois. Pourquoi ? Mr Lee te fait des misères ?— Il va t’écrire. Zhang aussi. Promets-moi de la lire en premier.— Si tu veux, mon loulou, mais explique-moi un peu de quoi il s’agit.— Je ne peux pas t’en parler au bureau. Tu comprendras après l’avoir lu.Devant partir en clientèle, ce n’est que le soir que je prends connaissance de mes nouveaux mails. Au milieu du flot habituel, je vois passer celui de Mr Lee qui comporte juste un lien vers une vidéo à télécharger. Bizarre ! Puis en dernier, celui de Zhang, arrivé il y a quelques minutes seulement. Anxieuse, soupçonnant quelque chose de grave, je clique dessus, je découvre un long texte écrit dans un anglais très scolaire. J’en prends connaissance, décomposée. Elle s’est tapé mon mari ! Je suis cocue, et bien cocue. Après seulement deux ans de mariage ! Comment ai-je pu croire que cela n’arrivait qu’aux autres ? Circonstance atténuante, mon cher époux est tombé dans un sacré piège. Il s’est fait baiser comme un idiot. Au sens propre comme au figuré !Refoulant ma colère, j’essaye de réfléchir. Le tout est de savoir s’il était bien conscient de ce qu’il faisait. Était-il shooté comme tente de me faire croire cette fille ? Cela change tout. Comment le savoir ?C’est en relisant attentivement le mail qu’une petite idée se dessine. Une question piège à poser à mon chéri. S’il répond comme je l’espère, je passe l’éponge, sinon…Au début de son mail Zhang raconte sa vie. En voici la traduction résumée.&&&&&&&Fille unique de paysans pauvres, ayant eu le droit d’émigrer en ville, bien que brillante en études, elle s’était résignée à travailler comme ouvrière pour apporter son maigre salaire à ses parents. Sa vie avait basculé peu de temps après quand Mr Lee, le richissime président et créateur de la société, passa dans son atelier. Alors que toutes les autres employées plongeaient le nez dans leur travail, par curiosité elle avait levé les yeux sur le vieux Tycoon. Leurs regards s’étaient croisés. Le soir même, elle était convoquée à la direction.Elle n’en menait pas large. Elle avait patienté un long moment avant qu’une secrétaire la fasse entrer dans un bureau. En passant la porte, elle fut stupéfiée de voir qu’elle avait affaire à Mr Lee en personne.En fait sa beauté avait frappé le vieux Tycoon avide de chair fraîche. En la voyant s’approcher, il se dit qu’il ne s’était pas trompé, cette jeune fille était ravissante. Elle avait un joli nez fin, une bouche sensuelle, de grands yeux en amande. Son T-shirt était tendu par une poitrine de taille conséquente et son jean ajusté moulait une croupe très appétissante. Le fait qu’elle ait osé le regarder était un plus ; il ne cherchait pas une nigaude paralysée par la peur mais une fille qui puisse faire preuve d’initiatives. Il venait de parcourir son dossier, elle paraissait intelligente, elle saurait voir où était son intérêt. Restait un point primordial, était-elle encore vierge ?Il le lui demanda, elle l’était encore. Il lui soumit un marché : elle devenait sa nouvelle maîtresse, en échange de quoi il subvenait à tous ses besoins et ceux de ses parents. Pendant la journée elle pourrait finir ses études à l’université, le soir elle serait à sa disposition. Tant qu’elle serait à lui, elle ne devrait pas connaître d’autres hommes. Il n’était pas question qu’il perde la face. Les représailles seraient immédiates.Zhang n’avait pas hésité une seconde avant d’accepter. Pouvait-elle faire autrement pour s’en sortir ?Mr Lee l’avait dépucelée le soir même. Depuis un an, elle était son esclave sexuelle. Presque tous les jours, après avoir dîné avec son épouse officielle, Mr Lee faisait appel à ses services. Le rituel était immuable. Elle commençait par lui préparer un thé pour qu’il puisse avaler un comprimé de viagra. Parfois elle rajoutait une dose de drogue destinée à lui faire oublier ses soucis. Ensuite, en attendant que ce cocktail agisse, elle le déshabillait et lui pratiquait un massage relaxant qui se terminait par une fellation. Le vieil homme dépravé en avait besoin pour atteindre la rigidité nécessaire pour s’enfoncer dans son ventre ou ailleurs. Il aimait forcer ses reins ou se servir de sa gorge comme d’un vagin. Heureusement son pénis était de petite taille, précise-t-elle.Le mois dernier, raconte Zhang, malgré le viagra, le corps usé du vieux Tycoon ne répondait pas à mes caresses. Je faisais pourtant de mon mieux mais il n’y avait rien à faire, son pénis dans ma main et dans ma bouche restait désespérément mou, flasque, incapable de la moindre pénétration. Mr Lee avait l’esprit ailleurs.— Zhang, je suis sur le point de perdre un important contrat avec un client étranger, m’expliqua-t-il. Je lui ai proposé un gros bakchich s’il se montrait moins regardant sur la qualité de nos produits mais il a fait semblant de ne pas comprendre. Demain soir, je le reçois au restaurant, tu vas m’accompagner et tu vas te débrouiller pour terminer la soirée dans son lit.Je n’en croyais pas mes oreilles. Mr Lee était d’une jalousie féroce. M’offrir à un autre homme était le signe que j’allais être remplacée. Était-ce cette jeune fille, à peine pubère, que j’avais croisée dernièrement ? Peu importe. Inquiète pour mon avenir, j’ai écouté la suite en branlant machinalement un sexe totalement mou.— Zhang, une fois dans sa chambre, tu vas t’arranger pour filmer vos ébats. Ce Français est marié, je veux pouvoir le faire chanter. Tu auras tout le matériel nécessaire. Tu tâcheras aussi de pirater son ordinateur pour trouver les propositions de nos concurrents et récupérer l’adresse mail de sa femme. Si tu réussis, je t’offre ta liberté et un petit pactole pour terminer tes études. Si tu échoues, tu retournes à l’usine.J’entrevoyais la fin de mon cauchemar. Coucher avec un homme d’affaires étranger ne me semblait pas difficile, ils sont tous en quête d’aventures. Ce moment à passer à écarter les jambes ne serait pas pire que ce que je subissais chaque soir depuis un an. J’ai accepté en remerciant mon « bienfaiteur ». J’ai même ajouté hypocritement que je resterais toujours à sa disposition s’il désirait encore m’honorer de temps en temps. On ne sait jamais, ce gros porc pouvait encore m’être utile.Mr Lee, débarrassé de ses soucis, redevenait lubrique. Comme par enchantement, son sexe reprenait de la vigueur. Il entreprit de me fouiller la chatte avec trois doigts. Je fis semblant de me tordre de plaisir. De peur que je ne change d’avis, il n’osa pas me faire des misères. Il me prit très classiquement et, en quelques va-et-vient, déversa une dernière fois sa semence au fond de mon vagin.Le lendemain, attablée au restaurant, en voyant s’approcher votre mari, je me suis dit que j’avais de la chance. Je l’ai trouvé beau et séduisant. Les présentations faites, j’ai commencé à lui faire du charme. Il n’y était pas insensible, il était très galant, il me faisait la conversation en Anglais, je ne comprenais pas tout mais je l’écoutais en le dévorant des yeux. Quand je lui ai fait du pied sous la table et qu’il s’est empressé de retirer les siens, j’ai commencé à m’inquiéter. Mes appréhensions étaient fondées, en quittant le restaurant, il déclina poliment ma suggestion d’aller prendre un verre dans un endroit branché de Shanghai prétextant la fatigue du décalage horaire.J’étais catastrophée, avec la réputation des Français, je n’avais pas pensé une seconde qu’il ne puisse pas avoir envie de terminer la soirée et la nuit avec moi. Heureusement j’avais le nom de son hôtel. Décidée à tout tenter, je m’y suis rendue. J’ai dû donner un gros pourboire au réceptionniste pour connaître le numéro de sa chambre.&&&&&&&20 heures. Je suis en train de remplir mon sac à main quand mon cher mari se pointe. Il passe la porte dans ses petits souliers. En voyant ma tenue, chemisier échancré, seins comme posés sur un plateau grâce à un soutien-gorge « push-up », bas noirs portés avec une jupe très courte, talons hauts, brushing et maquillage des grands jours, l’inquiétude fait place à la surprise.— Tu… tu sors ? balbutie-t-il.— Oui, en boîte, lever un mec avec qui passer la nuit.— Karine, tu ne peux pas faire ça ! s’écrie-t-il, paniqué.— Pourquoi je me gênerais ?— Je n’ai jamais voulu coucher avec cette fille.— Facile !— Je n’étais pas dans un état normal. Zhang ne t’a rien expliqué dans son mail ?— Je veux TA version. D’abord, pourquoi tu ne m’as pas tout raconté ?— Je ne voulais pas te faire de peine. Et puis je ne peux pas te dire grand-chose, c’est le flou total.— Commence au moment où tu es rentré à l’hôtel. Je veux tous les détails, savoir ce que tu pensais, ce que tu as fait, tout… TOUT.À mon regard glacial et au ton de ma voix empreint de colère rentrée, il se rend compte que sa seule chance de ne pas porter des cornes cette nuit est de me dire la vérité.— J’étais dans ma chambre en train de répondre à mes mails, confesse-t-il, blanc comme un linge, quand quelqu’un frappa à ma porte. C’était Zhang. J’ai trouvé incroyable qu’elle me relance jusque dans ma chambre. Elle était réellement ravissante bien que trop petite à mon goût. Quand elle se courba respectueusement, comme le veut la politesse chinoise, j’ai eu droit à une vue plongeante sur la quasi-totalité de sa superbe poitrine. Encore célibataire, j’aurais passé avec elle une nuit inoubliable, mais j’ai pensé à toi. Tu es très pointilleuse question fidélité.— Normal ! Es-tu enchanté que je me prépare à coucher avec un inconnu ?— Bien sûr que non.— Il serait TRÈS content de cette nuit passée avec moi, je te le garantis, ajoutai-je pour remuer le fer dans la plaie. Continue ton histoire. Qu’as-tu fait ?— J’ai répondu : « Vous êtes très jolie mais j’aime ma femme » ou un truc dans le genre. Je vis la jeune Chinoise se décomposer. Ses jolis yeux bridés superbement maquillés se remplirent de larmes. Avant d’éclater en sanglots, elle me cria d’un ton désespéré « Je ne suis pas une putain, je suis étudiante ».J’étais abasourdi. Une call-girl ne pleure pas si on n’a pas besoin de ses services. Qui était cette fille ? Pourquoi voulait-elle absolument coucher avec moi si elle n’était pas payée pour cela ? C’est là , chérie, que j’ai fait une grosse erreur. Soupçonnant une magouille de Mr Lee, je l’ai laissé entrer pour tirer cette affaire au clair.— Tu veux savoir comment elle t’a roulé dans la farine. Écoute la suite, je traduis :Je réussis à refouler mes pleurs. Tout n’était peut-être pas perdu. Votre mari était très prévenant, je n’étais pas habituée à tant de sollicitude. Il m’a fait asseoir dans le grand fauteuil de la chambre, il a couru dans la salle de bain me chercher des mouchoirs en papier, il a réussi à me détendre, à me faire sourire, puis il m’a pressée de questions. Le mieux était de dire la vérité, une partie de la vérité…— Que t’a-t-elle raconté exactement ?— Qu’elle était la maîtresse de Mr Lee qui lui payait ses études. Si elle ne passait pas la nuit avec moi, il la renvoyait à l’usine. J’étais fou. Ce salaud, pour continuer à nous vendre de la merde, m’offrait cette pauvre gamine en la faisant chanter !— Gamine ? Ne me dis pas qu’elle était mineure !— Non ! Elle avait au moins 18 ans pour être étudiante. Les Chinoises, ce n’est pas facile de leur donner un âge. Elle semblait totalement perdue, elle était soi-disant surveillée et m’a supplié de pouvoir rester un moment dans la chambre pour que l’on croie que… Enfin tu as compris.— Et toi, pauvre idiot, chevalier au grand cœur, tu as accepté ?— Karine, comment aurais-je pu ne pas venir en aide à une jeune fille contrainte de se prostituer ?— Surtout si elle est jeune et jolie, ne puis-je m’empêcher d’ajouter d’un ton acide.— J’ai pensé que je rentrais dans une histoire de fou. Je lui ai dit qu’elle pouvait rester une demi-heure dans le fauteuil pendant que je répondais à mes mails. Si tu avais vu comme elle était heureuse !— Et pour cause.— Cinq minutes plus tard, elle m’a proposé de faire du thé en me montrant la petite bouilloire électrique de la chambre. Elle avait dans son sac un thé soi-disant exceptionnel, celui que buvait Mr Lee tous les soirs. Karine, c’est ma deuxième erreur, je me suis dit que cela l’occuperait et j’ai encore accepté.— Tu ne t’es pas méfié ?— Non.— Tu as 12 ans d’âge mental !— En le buvant, j’ai bien trouvé qu’il avait un drôle de goût, mais en Chine il y en a de toutes les sortes. Cela ne m’a pas effleuré l’esprit qu’elle puisse y avoir versé quelque chose. Elle me regardait en souriant, j’ai vidé ma tasse pour ne pas la vexer.— Tu veux savoir ce qu’elle y avait mis ? Écoute bien :Cela a été très facile, votre mari, absorbé dans ses mails, ne me regardait pas. J’ai rajouté dans sa tasse du viagra écrasé, de quoi le faire bander pendant plusieurs heures sans discontinuer, et une bonne dose de drogue. Je ne connais pas son nom anglais, c’est celle que les garçons versent dans le verre des filles pour les désinhiber et en faire ensuite ce qu’ils veulent. Cette drogue agit rapidement, au bout de quelques instants, votre mari me regardait avec beaucoup plus d’intérêt.— Karine, tu vois, je ne suis pas responsable, j’ai bien été drogué. Cela explique aussi pourquoi je ne me souviens de rien.— Je vais te rafraîchir la mémoire.— J’ai aussi de l’huile de massage dans mon sac, ai-je montré à votre mari en riant. Je fais toujours du thé et un massage à Mr Lee avant de lui faire l’amour. J’aimerais vous faire pareil, juste un massage, pas l’amour, bien sûr. Non ? Vous ne voulez pas jouer avec le feu ? C’est que vous me trouvez très jolie, alors ! Oui ? Merci !La drogue faisait son effet, votre mari a fini par accepter. Je lui ai demandé de se déshabiller en gardant juste son slip puis de m’aider à enlever ma robe car je ne voulais pas la salir. Dessous, je portais juste un petit string. Il m’a détaillée avec des yeux gourmands. Visiblement je lui plaisais beaucoup.— Chérie, ce n’est pas la peine de lire la suite, j’ai été nul. Si tu savais comme je regrette de m’être laissé avoir.— Tu te rappelles de ce qui s’est passé ?— Pas vraiment, mais je devine.— Tu vas le savoir. Écoute.&&&&&&&Madame, vous avez reçu la vidéo, vous savez ce qui est arrivé ensuite. Je vais vous donner tous les détails pour vous faire comprendre que votre mari n’y est pour rien.Je le fis étendre à plat ventre sur une grande serviette posée sur le lit. En fouillant dans mon sac pour prendre l’huile de massage, j’ai allumé la caméra cachée. J’ai orienté l’objectif vers le lit, puis j’ai commencé mon massage par la plante des pieds. Habituée aux bourrelets de Mr Lee, j’étais ravie d’avoir sous les doigts un corps jeune et musclé. Au bout de quelque temps, curieuse de voir si le viagra commençait à faire de l’effet, j’ai demandé à votre mari de se retourner.Il était tout gêné, j’ai insisté. J’ai failli pouffer de rire devant le spectacle. Il bandait déjà à mort et le bout de son sexe dépassait de son slip. Je l’ai fait glisser, stupéfiée par la taille de la tige longue et raide comme un bout de bambou.— Elle exagère, tu as un pénis tout à fait normal, ne puis-je m’empêcher de commenter.— Son unique référence c’était celui de Lee, explique mon chéri.J’ai l’ai ensuite chevauché pour lui faire un massage body-body. J’avoue que je me suis beaucoup amusée de voir qu’il luttait contre la tentation. À chaque fois que je venais lui masser les épaules, j’écrasais intentionnellement mes seins sur son torse, il n’osait pas les toucher, quelque chose le retenait encore, il devait penser à vous. Il avait les yeux fixés tantôt sur ma poitrine tantôt sur ma petite culotte qui ne cachait rien du renflement de mes lèvres intimes autour de l’étroit sillon. Moi-même, je me sentais tout humide. J’ai dû me rendre à l’évidence, le sexe que j’avais sous les yeux me terrifiait par sa taille mais il me faisait aussi couler d’envie. N’y tenant plus, je m’en suis emparée. Votre mari a sursauté comme s’il avait reçu une décharge électrique, je l’ai écouté murmurer dans un reste de lucidité :— No Zhang, please…J’ai fait semblant de rien entendre. J’ai commencé à le masturber lentement avec mes mains enduites d’huile. Votre mari, vaincu, s’est mis à geindre. Je me suis alors débarrassée de ma petite culotte et je suis remontée sur lui à califourchon. Prévoyant une intromission difficile, je voulais mener les opérations à ma guise.Écartant mes lèvres intimes d’une main, de l’autre j’ai positionné la longue tige à l’entrée de mon vagin. Je me suis laissé alors descendre lentement. Je sentais avec délice le gros gland brûlant écarter mes chairs, glisser le long des parois humides, atteindre des profondeurs inexplorées. Pour faciliter la pénétration je me suis mise à monter et descendre. À force, mes fesses ont touché ses cuisses. Incroyable ! Je m’étais enfilé la totalité de ce long pénis sans aucune douleur.Stupéfiée par l’élasticité de mon vagin, j’ai commencé à onduler lentement. Je sentais le gros gland visiter tous les recoins de ma chatte. Je n’avais jamais éprouvé une telle sensation. Votre mari, toujours bloqué à l’idée de vous tromper, ne bougeait pas. Comme je n’avais jamais connu d’orgasme autrement qu’en me caressant, je n’ai pas résisté. Je me suis masturbée en ondulant sur votre mari, faisant monter mon plaisir avec mes doigts. Ma chatte bien serrée et mes ondulations ont eu raison de votre mari. Il a enfin cessé de penser à vous, il s’est emparé de mes seins…— Tu as bien profité de ses gros nichons, apparemment.— Euh…… Il s’est emparé de mes seins et il s’est mis à bouger. Oh, que c’était bon ! J’ai alors réalisé que j’avais à ma disposition un bel étalon soumis à tous mes caprices. Je me suis alors allongée dos sur le lit, j’ai écarté les cuisses au maximum et je lui ai demandé pour voir :Inutile de vous dire que c’était une première. Mr Lee ne s’est jamais occupé de mon plaisir. Je n’ai pas été déçue, la langue de votre mari m’envoyait des frissons partout, mais j’avais trop envie de le sentir encore en moi, cette fois en missionnaire. Avec Mr Lee cela durait deux ou trois minutes. Pas plus. Heureusement d’ailleurs car il était tellement lourd qu’il m’écrasait, impossible de bouger, je peinais même à respirer. Je ne m’attendais pas à ce qui allait m’arriver.Votre mari s’est allongé sur moi et a repris possession de ma chatte. J’avais l’impression d’avoir un vagin trop petit, je le sentais frotter sur chaque centimètre carré de mes parois internes. Oh que c’était bon ! J’étais totalement dilatée mais j’en voulais encore. Je l’ai agrippé en le serrant dans mes bras et en nouant mes jambes autour de ses hanches. Plus fort, plus loin. Ce sexe me rendait folle. Attentif à mes réactions, au bout d’un moment il s’est mis à bouger exactement comme j’avais envie qu’il bouge, alternant pénétrations profondes et mouvements circulaires comme pour m’élargir encore. Un ouragan s’est levé dans ma chatte ! Je ne savais plus où j’en étais, chaque va-et-vient me déclenchait des contractions vaginales indépendantes de ma volonté et me faisait gémir de plaisir. La caméra, Mr Lee, mes études, tout cela n’avait plus d’importance, je me suis laissé emporter. Combien de temps cela a duré, je ne sais pas, je bougeais la tête de gauche à droite, le regard dans le vague, parcourue de spasmes de plus en plus intenses. Je me suis mise à geindre en continu, et à un moment j’ai explosé sous l’effet d’un orgasme comme je n’en avais jamais connu. J’ai hurlé, j’ai dû ameuter tout l’hôtel. Mon corps entier ne m’appartenait plus, ravagé de contractions violentes et incontrôlables. Quand j’ai repris mes esprits, la serviette posée sous mes fesses était trempée. Votre mari était toujours en moi, toujours aussi gros, toujours aussi dur. Il ne m’avait pas accompagnée. Il a repris ses mouvements de plus belle, rageusement. J’ai alors compris qu’il n’arrivait pas à jouir.— Karine, je devais faire un barrage psychologique à l’idée de te tromper, tente d’expliquer mon cher époux.— Tu parles. Overdose de viagra, oui !Je me faisais défoncer. Je découvrais que j’aimais ça, que j’en voulais encore, que j’allais repartir. Je me mordais les lèvres pour ne pas ameuter de nouveau tout l’hôtel, je me sentais béante, ouverte en deux. Son sexe toujours raide comme du bambou tapait au fond de mon vagin, je ressentais les chocs jusque dans mes ovaires. Il me semblait que je jouissais encore et encore, puis j’ai commencé à avoir mal à mes seins qui ballottaient dans tous les sens, mal aux jambes, mal au dos, mal à ma vulve qui commençait d’être talée, mal au col de mon utérus à chaque coup de boutoir. Mon corps n’en pouvait plus. Viagra aidant, il pouvait me défoncer encore plusieurs heures. Je devais le faire jouir. Je lui ai proposé de le sucer.En fait, j’ai surtout utilisé mes deux mains comme vous avez dû voir sur le film. Il s’est laissé faire comme un mouton. La force du geyser m’a surprise. Je reçus la première giclée sur le nez, j’en avais plein la figure, plein les mains, cela coulait sur mes seins et mon ventre. Ce sperme était visqueux et copieux, rien à voir avec les quelques gouttes translucides crachées par le pénis de Mr Lee. J’ai filé dans la salle de bain me laver, je tenais à peine debout.Et maintenant la question piège, posée sans en avoir l’air. S’il me répond oui ou non, je prends mon sac à main et je me tire :— Raide et excité comme tu étais, cela m’étonne de toi que tu n’aies pas cherché à la sodomiser. Elle n’a pas voulu, c’est ça ?— Je n’en sais rien, Chérie, je ne me souviens de rien.Ouf ! … Bonne réponse !— Avoue-le, cela ne change pas grand-chose, insistai-je. Je connais tes fantasmes et tes penchants pervers.— J’aimerais te répondre mais je ne peux pas te dire n’importe quoi. Si tu as vu le film, tu dois le savoir.— Non, parce qu’il ne dure que cinq minutes alors que tu l’as baisée pendant une heure.— Je pense que si je l’avais fait ou même essayé de le faire, elle l’aurait raconté dans son mail.Le soleil déchire les nuages. Mon loulou était vraiment shooté pour ne pas se souvenir de ça. Je retrouve illico ma joie de vivre.— Mon chéri, tu sais que je suis fière de toi ? conclus-je d’un ton enjoué.Pierre me regarde avec des yeux ronds, il espérait l’absolution, il ne s’attendait pas à des félicitations. Il se méprend.— Pour n’avoir pas cédé au chantage ? Tu sais, je n’ai pas un gros mérite, pour les gros marchés je ne prends pas les décisions tout seul, il y a un comité.— Non, pour l’avoir si bien baisée. Elle va se souvenir de toi toute sa vie.— Karine, je n’aurais jamais cru que tu le prennes comme ça. Dire que je me suis fait un sang d’encre !— Mon loulou, tu m’as trompée, c’est vrai, mais cela ne compte pas. En fait, tu t’es fait violer.— Je n’avais pas vu ça sous cet angle, concède-t-il.— Sinon cette nuit, tu aurais eu des cornes gigantesques.— Karine, réellement, tu aurais fait l’amour avec n’importe qui ?— Et comment ! Pas pour le sexe mais par pure vengeance. Prends-en note pour l’avenir. Écoute la fin de son mail, tu vas voir : c’est intéressant.Quand je suis revenue de la salle de bain votre mari épuisé dormait comme une masse. J’ai regardé amusée son pénis qui était encore bien raide et j’ai été pirater son ordinateur. J’ai craqué le mot de passe avec un CD sous Linux fourni par Mr Lee. En guise de fichiers sensibles, je suis tombée sur des milliers de photos de vous. Votre mari est très amoureux. Vous êtes très jolie, très chaude aussi.— Pourquoi très chaude ? Je n’ai pas compris, questionnai-je.— Elle a dû tomber sur des vidéos.— Celles où je…— Elles sont toutes dans mon ordi.— Charmant !J’ai eu honte. J’ai pris conscience du drame qu’allait provoquer le film dans votre couple. J’ai laissé un mot à votre mari en lui expliquant que Mr Lee allait le faire chanter, que je le regrettais infiniment mais que je n’avais pas eu le choix. J’ai ajouté que j’étais prête à tout vous raconter, si besoin était.Le lendemain, j’ai rendu la caméra à Mr Lee. Il a tenu parole, il m’a donné une grosse somme d’argent, je vais pouvoir finir mes études. Ensuite, je chercherai un mari. Facile. Il y a beaucoup plus de garçons que de filles en Chine. Je suis intelligente et jolie, je n’aurai que l’embarras du choix. J’en choisirai un gentil, avec un gros salaire, un appartement, une voiture et qui me fasse aussi bien l’amour que le vôtre.J’ai terminé mon histoire, Madame. Je serais heureuse de savoir si vous allez pardonner à votre mari, cela me déculpabiliserait.P.-S. J’avais pensé à la drogue et au viagra mais pas aux préservatifs. Rassurez-vous, je suis saine car Mr Lee l’est aussi. La raison en est simple, il est hypocondriaque, il a tellement peur d’attraper une MST qu’il ne prend comme maîtresse que des jeunes filles vierges.— Mon loulou, la première fois que j’ai lu ce mail, j’étais folle de rage. Maintenant je m’en fous et j’ai une envie furieuse de faire l’amour, déclarai-je en venant m’asseoir sur ses genoux.Il me rend un baiser passionné, son corps répond à mon invitation. Deux étages plus bas, son pénis se gonfle. Nous tanguons vers la chambre, nous nous écroulons sur le lit, il remonte ma petite jupe. Comme il n’arrive pas à m’ôter mon string suffisamment vite, il l’arrache.Il ne peine pas à trouver l’entrée de ma chatte entrouverte comme un fruit mûr par le désir. Il en prend possession d’un coup de reins. Brutalement. Me signifiant ainsi, sans doute inconsciemment, qu’elle est à lui, rien qu’à lui. Il a dû avoir très peur, mon chéri. Peur qu’un autre que lui en fasse connaissance. Il m’aime… et moi aussi je l’aime. Vibrant déjà , je le serre dans mes bras, j’accompagne ses mouvements, il me prend avec fougue. Il a raison. C’est comme cela que je brûle d’être prise. Comme Zhang ! Et lui montrer en plus qu’avec moi ce n’est pas que du sexe, c’est l’Amour avec un grand A.Oh, que c’est bon !Ma tension nerveuse accumulée se transforme en orgasme en quelques secondes.— Déjà  ? s’étonne-t-il.— Je t’aime. Fais-moi l’amour longtemps.— Pas de problème. Je me sens capable de te faire réviser tout le Kamasoutra.— Je ne te demande pas des performances sexuelles. Me faire l’amour c’est aussi me prendre dans tes bras, m’embrasser, me caresser, me parler d’amour. Cela me suffit.— Pas moi. J’ai trop envie de toi. Je veux te remplir de sperme, et pas qu’une fois.— D’accord, mon cœur, prends-moi toute la nuit si tu le veux et si tu le peux, cela me va aussi très bien.— Je pourrai te la mettre où je veux ?— Oui, mais pas tout de suite…