1000km
1000 km me sépare de cette créature qui anime mes pensées quotidiennes. Il est temps pour moi de traverser cette distance pour enfin la retrouver ne serait ce que quelques heures mais pour vivre un moment intense et inoubliable.
Proposée le 22/01/2020 par Marcialus Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Fantasme
1000km… 1000km me sĂ©pare d’elle… 1000km que je suis amoureux d’elle… 1000km qu’elle me manque… 1000km que je rĂŞve de la revoir, de la sentir, de la toucher, de l’embrasser. 1000km… au final… c’est quoi? 8 heures de route tout au plus. Alors n’y tenant plus, je dĂ©cide d’aller la retrouver, de m’offrir une escapade de deux jours juste pour la revoir et l’avoir pour moi juste une journĂ©e. Mais pour ĂŞtre sĂ»r et certain de l’avoir avec moi toute une journĂ©e, il fallait que je la prĂ©vienne. Je voulais lui faire la surprise et dĂ©barquer comme ça mais je voulais ĂŞtre sĂ»r. Alors quand je lui expose mon projet de descendre la voir, il ne lui a pas fallu longtemps pour me dire oui. Ouf! Je ne suis pas fou, elle aussi veut me revoir. Quelques semaines plus tard, je prends donc ma voiture et dĂ©cide de faire ces 1000 km. Ces 1000 km qui me sĂ©pare d’elle, me frustre et m’empĂŞche d’assouvir un dĂ©sir plus que brĂ»lant. Je pense que l’enfer est glacial Ă cĂ´tĂ© de ce que je ressens tellement la flamme du dĂ©sir est immense. Je me prĂ©pare une playlist digne d’un 1000 km. MĂŞme si mon esprit sera embrouillĂ© par la concrĂ©tisation de la revoir, je prĂ©fère m’accompagner de musique. La route se fait facilement et aussi rapide que ça n’en a l’air. Pour ne pas ĂŞtre crevĂ© au moment oĂą nous nous reverrons, je dĂ©cide de partir la veille et passer la nuit dans un hĂ´tel pas très loin de notre lieu de rendez vous. MalgrĂ© l’excitation qui m’anime, j’arrive Ă dormir comme un bĂ©bĂ©. Normal puisque je sais que demain, je la revois enfin. Après une bonne nuit de sommeil, me voilĂ prĂŞt. PrĂŞt Ă enfin passer cette journĂ©e que j’attends depuis si longtemps. Il est vrai qu’on s’appelle quotidiennement mais rien ne remplace le contact et d’avoir tous les sens en Ă©veil, la vue, le toucher, l’odorat et j’espère… le goĂ»t. 10 petits derniers kilomètres nous sĂ©parent et se font sans difficultĂ©. J’arrive sur le parking sĂ©lectionnĂ© par mon amante. Elle est dĂ©jĂ lĂ . J’aperçois sa voiture. Mes tripes sont en Ă©bullitions. Je me stationne juste Ă cĂ´tĂ©. Elle est occupĂ©e au tĂ©lĂ©phone. Elle tourne la tĂŞte et me voit. Elle sourit. Qu’est ce qu’elle est belle! Rien que pour ça je suis content d’avoir fait 1000km, c’est bon je peux repartir. Nous descendons de voiture, nous nous saluons et dĂ©cidons d’aller boire un cafĂ©. Elle me dit qu’elle a deux rendez vous ce matin et que je peux l’accompagner, je me prĂ©senterais comme un nouveau et qu’elle me forme. L’idĂ©e est assez rigolote et surtout je vais pouvoir dĂ©couvrir son mĂ©tier de commercial. Elle dĂ©cide de me conduire toute la journĂ©e. Nous laissons ma voiture ici. Je la rĂ©cupĂ©rerais toute Ă l’heure. Pendant ces deux rendez vous, je la trouve très douĂ©e et très Ă l’aise avec ces clients. Tout se passe avec le sourire. ArrivĂ©s au restaurant, une envie pressante nous invite tous les deux Ă nous rendre aux toilettes de l’établissement. Je la suis de près et je crois qu’elle a eu peur que je la « viole » (avec son consentement bien Ă©videmment) dans les toilettes. Mais non, je ne suis pas comme ça. MĂŞme si le dĂ©sir est insoutenable depuis ce matin, depuis hier, depuis trois semaines, depuis des mois, depuis 1000km. Je ne vais pas m’abaisser Ă ce genre de considĂ©ration. Le repas, accompagnĂ© de deux verres de vin, se passe divinement bien. Le temps semble s’être arrĂŞtĂ©, nous sommes comme dans une bulle. C’est comme si, il n’y avait que nous deux sur cette terrasse. Elle me propose une petite promenade dans cette charmante petite ville fortifiĂ©e du sud de la France. Je la suis. Je la regarde, que dis je, je la mate, je la convoite. Que feriez vous si sous vos yeux, vous aviez une jeune femme Ă©lĂ©gante, dans les 1m75, blonde, cheveux mi longs, Ă©lancĂ©e, fine, athlĂ©tique, une magnifique robe, fendue de chaque cĂ´tĂ©, un dĂ©colletĂ© qui fait saliver le loup de Tex Avery? On est d’accord? On se laisse sublimer? Et bien voilĂ , je me laisse complètement sublimer. Mais pour l’instant je me laisse porter par cette ballade jusqu’à ce qu’elle saisisse mon bras. Je me retourne, elle me tend sa bouche et nous nous embrassons en nous prenant dans les bras. Nous poursuivons notre promenade et c’est moi qui cette fois ci la stoppe pour l’embrasser. C’est confirmĂ©, le dernier sens qui me manque, je l’ai, j’ai le goĂ»t, son goĂ»t et elle est dĂ©licieuse. Je me permets de descendre ma bouche dans son dĂ©colletĂ© et de descendre mes mains sous sa robe par les fentes de chaque cĂ´tĂ©. J’y dĂ©cèle une magnifique culotte en dentelle du bout des doigts.Nous poursuivons notre route jusqu’au point culminant sur lequel se trouve une concathĂ©drale. Je la prends Ă nouveau dans mes bras et nous regardons l’horizon dans la mĂŞme direction. Nous remontons dans sa voiture après un retour long entrecoupĂ©s de baisers. Bien ancrĂ© dans le siège passager, je n’ai pu m’empĂŞcher de lui peloter la cuisse droite et de lui caresser l’entrejambe Ă travers sa magnifique culotte en dentelle verte. Elle Ă©carte les jambes ce qui me permet d’écarter un peu plus sa culotte pour aller jouer un peu. Puis elle arrĂŞte sa voiture dans un chemin. Se laisse glisser en avant sur son siège. Enlève sa culotte et m’invite Ă la doigter. J’en profite pour baisser ma tĂŞte et la lĂ©cher par la mĂŞme occasion. A peine quelques instant plus tard je l’entends jouir. Elle me demande de descendre de la voiture, ce Ă quoi j’obĂ©is. Elle descend aussi, me retrouve, me saisit par la chemise, m’embrasse avec intensitĂ© tout en me desserrant la ceinture, me dĂ©boutonnant, et faisant descendre le tout. Elle empoigne ma verge, la masturbe quelques secondes, se met Ă genoux dans l’herbe sur le bord du chemin, et commence Ă m’administrer une fellation avec frĂ©nĂ©sie tel, qu’un bon filer de bave coule de sa bouche. Je sens mon sexe taper sur le fond de sa bouche Ă chaque va et viens. Je ne crois pas avoir dĂ©jĂ Ă©tĂ© sucer de cette façon et je dois dire que je profite Ă fond de cet instant et je mets toutes mes forces en action pour ne pas Ă©jaculer maintenant. Elle se relève et me demande la prendre tout de suite. Je la colle contre la voiture dos Ă moi, je soulève sa robe et l’invite Ă se cambrer. Je positionne mon membre Ă l’entrĂ©e de son sexe et commence Ă la pĂ©nĂ©trer avec vigueur et dĂ©termination. D’abord les deux mains campĂ©es sur ses hanches avant d’en mettre une sur un de ses seins puis sur une Ă©paule comme pour me donner de l’élan et aller plus au fond Ă chaque rentrĂ©e. Je lui colle un pouce dans sa bouche qu’elle suce comme une malade avant d’aller l’insĂ©rer dans son anus afin de la possĂ©der de partout. Après un cri plus intense que tous les autres, elle tente de reprendre son souffle. Et moi de finir d’éjaculer sur le bord de ce chemin de campagne Ă l’abri des regards. Elle me raccompagne Ă ma voiture dans le silence, le silence de la bĂ©atitude, de la sĂ©rĂ©nitĂ© et de la zĂ©nitude d’avoir enfin rĂ©pondu Ă nos pulsions contenues depuis tout ce temps. Il sera difficile de se sĂ©parer. Tellement difficile. Entre nos deux voitures, sur ce mĂŞme parking oĂą nous nous sommes retrouvĂ©s ce matin, je la prends une dernière fois dans mes bras pour l’embrasser et la tentation et trop grande pour la retourner Ă nouveau et lui glisser encore quelques doigts avant qu’une voiture n’arrive et me stoppe dans cette nouvelle frĂ©nĂ©sie. C’est avec beaucoup de regrets que notre escapade s’arrĂŞte ici et maintenant. Je dois la laisser et finir mon pĂ©riple d’à nouveau 1000km pour regagner mon domicile avec un retour embuĂ© des moments magiques que je viens de vivre. Une chose est sĂ»r, je ne pourrais jamais oubliĂ© ce que je viens de vivre.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :