Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 2
Pour cette deuxième histoire, je rencontrai mon premier copain et je sorti avec lors d’une fête de village pendant laquelle, il s’aperçut que je n’étais pas du tout farouche à mon grand désarroi .
Proposée le 7/01/2021 par sexyelfes Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Histoire vraie
Après ce dĂ©pucelage express, nous retournons au bar ensemble. Ă€ peine sommes nous arrivĂ©s que ses copains l’entourent pour le chambrer et le chahuter. Je suis mise Ă l’écart, de cĂ´tĂ©. Je les entends parler de moi comme si de rien n’Ă©tait : ils disent que j’ai l’air « bonne ». Ce Ă quoi mon copain leur rĂ©pond que je suis une belle petite salope mais qu’il faut quand mĂŞme qu’il finisse mon Ă©ducation et qu’après ça, je serai parfaite. Tous les mecs se marrent de plus belle en lui demandant de leur en laisser un morceau (de moi donc). Écoutant sagement, je me pose pas mal de questions… Et, surtout, je me rends compte que je commence Ă avoir chaud de partout. Quand il m’appelle, je sens ma mouille couler le long de mes cuisses. Je sens, je sais que je suis perdue ; pour la première fois, je suis trahie par mon corps. MalgrĂ© ça, je n’arrive pas Ă bouger d’un pouce. Finalement, devant mon manque de rĂ©action, ils dĂ©cident de venir m’entourer. Je suis toute intimidĂ©e, seule au milieu de ces cinq hommes, tous plus âgĂ©s que moi. Mon copain s’approche pour m’embrasser et je lui offre mes lèvres avec amour tandis qu’il glisse sa main sous ma jupe. Au contact de mon humiditĂ©, il laisse Ă©chapper Ă haute voix qu’il n’a jamais vu ça avant et il montre mon sexe trempĂ© aux autres. Je suis hyper mal Ă l’aise car tout d’un coup, tous les regards se braquent sur mon sexe dĂ©nudĂ©. Je sens que je deviens Ă©carlate de gĂŞne. Heureusement le fait qu’ils m’entourent me cache au moins du reste de la salle. En fin de soirĂ©e je fais connaissance avec tout le groupe de potes, sur le parking. Ils discutent de la meilleure manière de me ramener vu qu’ils sont dĂ©jĂ cinq : deux Ă l’avant et trois Ă l’arrière, logiquement. Tout le monde s’installe et comme prĂ©vu, la voiture est bondĂ©e. Les trois sur la banquette arrière proposent alors que je m’allonge sur leurs genoux car de cette façon, d’après eux, personne ne verrait rien. Suite l’accord de mon homme, je n’ai plus mon mot Ă dire et je m’allonge sur leurs jambes avec leur aide. Enfin une aide relative disons parce qu’ils sont surtout intĂ©ressĂ©s par mon corps plus qu’Ă autre chose. Avec ma jupe remontĂ©e sur les hanches j’ai bonne mine tiens. Je sens immĂ©diatement leur rĂ©action physique, dĂ©couvrant de grosses bosses dans leurs pantalons. Ça me fait perdre la tĂŞte de sentir tous ces sexes tendus pour moi. Ils les dĂ©gainent rapidement et ma bouche ne tarde pas Ă se refermer sur un superbe sexe pendant que mes seins sont dĂ©nudĂ©s et malaxĂ©s Ă foison. Le voyage ne dure pas si longtemps mais pourtant, ils jouissent tous, les uns après les autres. Ă€ l’arrivĂ©e, mon copain rĂ©clame son dĂ» et me voilĂ donc en train de le sucer avidement sous le regard des autres. Il jouit rapidement, aspergeant ma bouche et mon visage de son sperme Ă©pais et goĂ»tu. Il hallucine de me voir aussi salope mais je lui dis que c’est pour lui que je suis comme ça, juste pour lui. Quelques jours plus tard je suis très surprise qu’il vienne me chercher Ă la sortie des cours avec sa jolie voiture. Ce n’était pas prĂ©vu et ça me met en joie. Je suis habillĂ©e d’un jean avec un top noir. Il me fait un bisou tout en m’ouvrant la porte passager… je suis vraiment toute heureuse de le voir. En cours de route, il s’arrĂŞte sur un petit parking dĂ©sert, en bordure de route. Il se penche alors vers moi et je pense qu’il souhaite m’embrasser mais il m’attrape les cheveux tout en me demandant si je me moque de lui ! Je ne comprends pas du tout sa rĂ©action, les larmes aux yeux je lui demande ce qu’il se passe. Il me fusille du regard et dĂ©clare froidement : — Rappelle-toi la tenue que tu t’es engagĂ©e Ă mettre sitĂ´t que tu sors de chez toi ! Tu as dĂ©jĂ oubliĂ© ce que tu as promi ?
— Je suis vraiment dĂ©solĂ©e, lui expliquĂ©-je. Je pensais que c’Ă©tait juste lors de nos rencontres que je devais ne rien porter sous mes habits.
— Ah oui ? Et lĂ je suis bien avec toi et tu es comment ? OĂą est passĂ© ma salope ? Celle qui s’est engagĂ©e envers moi.
— Je suis vraiment dĂ©solĂ©e. Je te jure que ça ne se reproduira jamais. Je t’en supplie, je veux vraiment rester avec toi. Je tiens Ă lui de tout mon cĹ“ur, ça ne peut pas se terminer ainsi. Pour toute rĂ©ponse, il me donne rendez-vous le lendemain matin entre ma maison et mon bus. Le lendemain matin donc, je me prĂ©pare fĂ©brilement : que mettre ? Je m’habille finalement d’une jupe assez longue pour partir de la maison et d’un chemisier court boutonnĂ© sur le devant. Mais je range discrètement et soigneusement une petite jupe dans mon sac. Et bien Ă©videmment, aucun sous-vĂŞtement. Comme prĂ©vu, après m’ĂŞtre Ă©loignĂ©e de quelques mètres, je me change rapidement. Je me sens si lĂ©gère vĂŞtue ainsi et je profite de la caresse de l’air frais du matin… c’est divin. Quand enfin la voiture de mon chĂ©ri s’arrĂŞte près de moi, je me penche pour le regarder et j’aperçois qu’il arbore un grand sourire ainsi un regard qui me fait fondre d’amour. Une fois que je suis installĂ©e Ă cĂ´tĂ© de lui, il m’embrasse avec fougue avant de vĂ©rifier si je suis conforme Ă ses dĂ©sirs… qui sont des ordres. — Ça va ! Tout est ok… Tu es adorable. C’est pas mal, mais c’est valable aujourd’hui seulement. Je ne peux pas laisser passer ce que tu as fait hier ! Et puis mĂŞme aujourd’hui : regarde-toi, tu es fermĂ©e jusqu’au cou l DĂ©boutonne-toi un peu histoire d’ĂŞtre plus prĂ©sentable. Normalement quand tu es arrivĂ©e tout Ă l’heure de la façon dont tu t’es penchĂ©e j’aurais dĂ» pouvoir mater tes seins ! Je lui obĂ©is comme toujours. Je me sens salope, habillĂ©e comme ça, comme… une salope. Je me demande bien comment je vais ĂŞtre perçue tout au long de la journĂ©e. Mais finalement, passĂ© l’apprĂ©hension et le premier moment de surprise, je me retrouve vite très entourĂ©e par les mecs. Mais, Ă©videmment les filles quant Ă elles, me font la gueule. Et je ne parle mĂŞme pas des regards appuyĂ©s du prof alors que je suis installĂ©e au premier rang de la classe, juste devant lui ; il doit avoir une vue imprenable ! Et c’est toute fière de moi que je repars le soir en sachant qu’il va venir me chercher. Quand il arrive, comme ce matin, je me penche pour l’accueillir sauf que cette fois, il a une vue intĂ©grale sur ma poitrine. Il est ravi et par extension, moi aussi. C’est gĂ©nial. SitĂ´t dĂ©marrĂ© le voilĂ qui sort son sexe et me regarde d’un air entendu. Je sais ce que j’ai Ă faire : je me pense et je le suce avec gourmandise tellement cette journĂ©e m’a excitĂ©e. Et comme Ă mon habitude je le pompe goulument jusqu’Ă ce qu’il Ă©jacule dans ma bouche. Je me dĂ©lecte de son sperme et n’en laisse pas perdre la moindre goutte.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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