Skipper 7/7
La croisière touche à sa fin et le soir le bateau sera de retour en Martinique. Tout le monde tient à profiter de cette dernière journée au maximum. Chacune et chacun voulant garder un souvenir inoubliable de ces vacances, c’est une nouvelle journée de débauche qui va se dérouler jusqu’à l’entrée du bateau au port.
Proposée le 13/01/2020 par Rodolphe Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: GroupesLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
7 – Fièvre à bord !Vendredi
Ce matin-là , Alain et moi nous levâmes très tôt afin de préparer le voyage de retour. Notre croisière se terminait et nous devions ramener nos clients à la Martinique, distante d’environ cent miles nautiques de l’île Moustique. Une très longue journée de navigation nous attendait donc. Si les vents nous étaient favorables, nous pourrions arriver au port du Marin en milieu d’après-midi. A 5h00, alors que nos clients dormaient encore tranquillement, nous appareillâmes, cap vers le nord.
La température était déjà très agréable de bon matin, aussi, dès que nous fûmes assez éloignés des côtes de Moustique, nous nous mîmes Alain et moi dans le plus simple appareil. Qu’il était doux de sentir le vent du large sur nos corps nu ! L’humeur déjà badine de bon matin, je me collai à mon chéri, pris son sexe en main et déposait un baiser sur ses lèvres. Je sentis son membre viril rapidement doubler de volume.
– Tu es dĂ©jĂ chaude comme la braise, ma chĂ©rie, me dit-il en me serrant contre lui par les fesses.
Mais je m’esquivai, pas mécontente de la laisser à la barre, la bite en érection.Un bon petit vent nous permit de filer à bon train. Quand notre premier client, John, fit son apparition sur le pont il était presque 8h00 et nous croisions déjà au large de Saint-Vincent. Il fut surpris de nous voir en pleine mer.
– Oh, j’ai bien dormi, dit-il Ă Alain ! J’avais mĂŞme pas rĂ©alisĂ© qu’on naviguait.
– C’est la soirĂ©e d’hier qui t’as Ă©puisĂ©, dit mon mari avec un sourire entendu.
– Ça c’est sĂ»r que ma femme a fait fort !
– Elle nous a tous Ă©puisĂ©s… Tu as une Ă©pouse redoutable, John. Infatigable !… mais dit moi donc, continua mon mari en lui faisant un clin d’œil, comment fais-tu pour la satisfaire ?
– Je fais ce que je peux !
Je proposai à John de lui préparer le café, il se tourna vers moi et son regard s’arrêta sur ma nudité :
– Toujours aussi belle, Alexia, aussi bien le soir tard que tĂ´t le matin.
– Merci,… vieux flatteur !
Il me prit par la taille et déposa un baiser sur mes lèvres.
– Tu sais que j’ai dĂ©jĂ envie de toi, me dit-il !
– Ça tombe bien, fis-je, car j’ai une revanche Ă prendre.
– Une revanche, dit-il Ă©tonnĂ©Â ?
– Parfaitement. Hier soir ta femme a tellement Ă©puisĂ© mon mec que je n’ai pas eu mon petit câlin habituel. J’ai donc jurĂ© de me venger !
– Mais comment…Â ?
– Tu n’en a pas une petite idĂ©e ? … Mais je vais tout simplement t’épuiser, mon grand !
Ma main se posa sur son slip de bain et je serrai son sexe.
– Et bien je dois dire que ta vengeance me convient parfaitement, rĂ©pliqua-t-il rĂ©joui. Et je commence dĂ©jĂ par enlever mon slip de bain.Les autres clients apparurent l’un après l’autre. Ce furent d’abord Emma, qui arriva fraĂ®che et souriante et Enzo, qui lui avait les petits yeux.
– Tu n’as pas l’air en forme, lui dis-je en riant ! Tu n’as pas bien dormi ?
– Si, mais je me sens encore complètement vidĂ©Â !
– A cause de Julie ?
– Elle m’a tué… ! Dit-il dans un soupir.
C’est justement à ce moment que parut celle dont on parlait tant, toute souriante au soleil du matin, ondulant des fesses dans son maillot deux pièces, mais ses yeux un peu creusés accusaient tout de même la fatigue. « La salope est quand même au bout du rouleau ! », pensai-je avec une satisfaction malsaine.
Elle se dirigea droit vers mon mari, qui était toujours à la barre :
– Ah, il faut que j’embrasse notre skipper, s’écria-t-elle !
Elle colla ses lèvres à celles de mon homme, tandis que je vis sa main se saisir de sa verge.
– Comment vas-tu, mon chĂ©ri ? Tu sais que tu as Ă©tĂ© un amant extraordinaire hier soir.
« Elle m’énerve cette pute, avec ses manières ! », me dis-je.
– Merci, fit l’autre qui ne se dĂ©roba pas aux caresses de la putain. Et toi, tu as confirmĂ© ta place de première suceuse du bateau !
– Tu as aimĂ©Â ?
– Trop bien !… Mais dis-moi, pourquoi nous prives-tu de tes charmes ? Tu peux enlever ton maillot, tu sais.
Puis il s’adressa à tous :
– Mesdames et messieurs, je vous rappelle que nous sommes au dernier jour de notre croisière et que ce soir nous devrons tous vous habiller en citadins. Alors, profitez de ces dernières heures pour vous mettre Ă votre aise : enlevez vos maillots !
– T’as raison approuva la majoritĂ©Â ! Il faut en profiter.
Et aussitôt, avec un enthousiasme communicatif, tous les maillots de bain furent ôtés.
– A table, criai-je. Le cafĂ© est prĂŞt !
Nos quatre clients s’installèrent sans attendre autour de la table que j’avais préparée, se frottant les mains à l’idée d’un bon petit déjeuner.Cette longue journée de navigation fut un peu spéciale en ce dernier jour et l’atmosphère à bord était assez électrique. On eut dit que chacune et chacun voulait profiter une dernière fois des opportunités libertines de cette croisière. Pour ma part, en plus de vouloir épuiser le mari de la putain, j’avais bien l’intention de montrer à Enzo mes talents d’amante câline.
Mon mari, qui était condamné à tenir la barre, reçut de fréquentes visites de nos deux clientes. Julie la putain, d’abord, qui vint plusieurs fois se coller à lui pour quémander un baiser ou une caresse. Mais Emma ne fut pas en reste non plus, prenant plaisir à masturber mon mec tout en l’inondant de baisers.
John fut le premier homme de la journée à m’agresser. Je terminai de nettoyer la table du petit déjeuner, quand il vint derrière moi, me saisit par la taille et me dit à l’oreille :
– Alors beautĂ©, il paraĂ®t que tu veux m’épuiser !
Je me mis à rire tout en terminant de nettoyer la table, comme si de rien n’était.
– Oui bien sĂ»r !
– Alors jolie poupĂ©e, appuies-toi sur cette table et Ă©carte bien les cuisses !
– Les dĂ©sirs de mes clients sont des ordres, fis-je, jouant soudain le rĂ´le de la femme soumise.
John me pénétra sans plus de cérémonie et me prouva qu’il avait bel et bien retrouvé toute son énergie depuis la veille. Je le sentis extrêmement excité et chacun de ses va-et-vient était accompagné de véritables rugissements. Quant à moi, j’étais heureuse de me sentir possédée par cet homme qui me comblait de plaisir, m’arrachant de temps en temps un petit gémissement d’extase.
Alain, depuis son poste de pilotage, observait la scène amusé. Il me fit même un clin d’œil. Pourtant, de voir sa femme se faire prendre sur la table ne le laissait pas indifférent et ça se voyait : a-t-on jamais vu un skipper à la barre, la queue à l’horizontale ?
C’est alors que Julie, passant par là , nous découvrit son mari et moi. Elle fit un grand sourire :
– Je vois qu’on ne s’ennuie pas ici, dit-elle. Ça va Alexia ? Tu es satisfaite de mon mari ?
Puis, quand elle découvrit le skipper dans tous ses états, elle s’approcha de lui, se colla derrière et lui glissa à l’oreille :
– Pauvre Alain. Ta femme se fait prendre comme une pute sous tes yeux et toi, tu es condamnĂ© Ă piloter le bateau… Veux-tu que je te console ?
Il n’eut pas le temps de répondre que la putain était déjà à genoux devant lui et je vis la queue de mon homme disparaître dans sa bouche. Je n’en vis pas plus, car une excitation extrême me fit sombrer tout à coup dans un océan de bonheur. John se montrait en effet un amant si vigoureux que mon orgasme fut violent, explosif et je me mis à hurler mon plaisir comme une bête. Lui aussi avait atteint le nirvana et ses grognements de mâle jouissant se mêlèrent à mes cris aigus.
Pendant ce temps, la putain continuait son œuvre :
– Je t’en supplie, arrĂŞte criait mon mari qui avait de plus en plus de mal Ă faire tenir le cap au catamaran !
Mais elle continuait à le pomper comme une démente avide de sexe. Quand enfin elle sentit le moment venu, elle se recula brutalement et poursuivit par une masturbation effrénée, dirigeant la queue de mon homme vers son visage et ses seins afin de mieux recevoir sa semence. Elle en fut toute maculée.
– Ça t’as plu, fit-elle contente d’elle ? Tu as aimĂ©Â ?
Mon mari chancelait encore, se tenant à sa barre pour ne pas défaillir. Mais elle n’avait pas fini :
– Attends, je vais te nettoyer maintenant.
Et la salope se mit à lécher avec application la queue ramollie de mon mari, n’en laissant pas la moindre goutte. Après quoi, elle fila à sa cabine pour se laver.
Emma et Enzo, sûrement attirés par nos hurlements, étaient là à nous observer. A voir comme ils se collaient l’un à l’autre, se tenant par les fesses, ils semblaient eux aussi particulièrement émus par ce qu’ils avaient vu. A un moment, Enzo vint vers moi et, alors que j’étais encore toute inondée de l’éjaculation de John, il me dit :
– Viens dans ma cabine. Je veux avoir un dernier souvenir de toi avant la fin de cette croisière.
J’avais un folle envie de lui et j’étais certaine de faire l’amour avec lui avant notre arrivée, mais j’avais aussi envie de le faire attendre, ce bel Italien. Aussi me montai-je réservée :
– Mais pour cela, il faudrait que je sois consentante, dis-je.
– ArrĂŞte de faire ta bĂ©gueule, tu viens de te faire sauter comme une salope par John ! Allez, viens !
Il me tira par la main, mais je résistai :
– Lâche-moi, Enzo !
– Chochotte !
Il retourna auprès de sa chérie qui le consola tout de suite et on en resta là … pour le moment.Nous naviguions toujours avec un vent favorable qui nous portait rapidement vers le nord. Après le déjeuner, la chaleur de la mi-journée aidant, tout le monde s’allongea sur les matelas du pont tout en recherchant l’ombre. J’avais repris la barre afin de permettre à mon mari de manger et de se reposer. Mais il s’avéra que cette pause ne fut pas de tout repos pour lui : il s’était allongé aux côtés d’Emma et je me dis que ce n’était certainement pas par hasard. Depuis le poste de pilotage, je voyais très bien tout ce qui se passait sur le pont et le spectacle devint vite très chaud. Mon mari avança sa main et la posa sur le pubis de sa voisine. De loin, je ne distinguai pas bien ce qui se passait, mais je fus vite convaincue qu’il l’avait pénétrée de ses doigts quand je vis Emma se tordre sur son matelas.
Puis, je vis la salope de Julie d’abord masturber Enzo, avant de s’installer entre ses cuisses pour commettre sa énième fellation depuis le début de cette croisière. Quant à John, il était debout entre les deux couples et se masturbait lentement en les regardant.
Là , Emma quitta sa position couchée pour se placer à califourchon sur le corps de mon mari et s’empaler sur sa queue. Je la vis bientôt monter et descendre en cadence, fermant les yeux et entrouvrant la bouche pour gémir de plaisir. Je dois admettre que le spectacle pornographique qui se déroulait sous mes yeux à quelques mètres, me troublait profondément et me distrayait quelque peu de la tenue de la barre. Je sentis une douce chaleur dans mon bas ventre et en même temps ma chatte était si trempée que cela me coulait sur les cuisses. Bientôt je n’en puis plus et je me masturbai comme une folle qui aurait perdu la tête.
Mon mari commençait à crier sa jouissance, Emma soufflait et gémissait, Enzo demandait grâce. L’excitation me gagna un peu plus et je me mis à crier comme une automate :
– John !…John ! Viens vite !
En chevalier servant, la queue à l’horizontale, il vint me rejoindre précipitamment.
– Ça ne va pas, Alexia, dit-il inquiet ?
– Non. Ça va pas !
Il vit étonné, ma main sur ma chatte :
– Qu’est ce que… ?
– Baise-moi, John ! Je t’en supplie, j’en peux plus !
– Volontiers ma belle, mais le bateau ?
– T’inquiète !
J’attachai la barre afin que le catamaran tienne son cap, puis j’allai me jeter sur un matelas et écartai les cuisses comme une putain. John, qui était déjà tout excité d’avoir vu tant de luxure s’étaler sous ses yeux, ne fut pas long à me rejoindre. Quand sa grosse queue me pénétra, je fus enfin soulagée. J’avais été dans un tel état d’attente, j’avais un désir si violent, que sa queue me parut en effet énorme. Quel plaisir d’épuiser ce bel Anglais aux attributs hors normes.
A cet instant précis, les six occupants du bateau étaient tous en train de forniquer joyeusement et l’air était rempli de gémissements, de grognement, de cris, de « Oh oui », de « Encore ! », de « Qu’est-ce que t’es bonne ! » Tous le bateau baisait et même les poissons devaient nous entendre !
Mon partenaire fut long à atteindre l’orgasme, mais il est vrai que c’était déjà la deuxième fois de la journée que nous baisions ensemble. Quand à moi, j’étais sur un petit nuage, flottant dans un océan de plaisirs et m’abandonnant totalement à lui. Mon esprit n’était plus là et il me sembla perdre conscience.
Quand je repris mes esprits, j’entendis mon mari pester depuis le poste de pilotage. « Bon Dieu, me dis-je revenant brutalement à la réalité, c’est vrai que j’ai abandonné le navire ! ». Je me levai précipitamment, non sans avoir fait une bise de remerciement à mon baiseur et rejoignit mon mari. Il était très en colère et il me passa un sacré savon ! J’avais laissé le bateau filer sa route tout seul, sans même activer le radar d’alarme. On aurait pu se fracasser contre un obstacle. C’était de l’inconscience ! Tout ça pour me faire sauter, etc, etc,… ! Qu’est-ce que j’en ai entendu !
– Pardonne-moi mon chĂ©ri, lui dis-je en lui faisant un baiser sur la joue pour l’amadouer. C’est de ma faute.
Ma bise le calma et il revint à des propos plus nuancés.
– Excuse-moi de m’être emportĂ©, ma chĂ©rie, mais ça aurait pu très mal se terminer.
– Je suis dĂ©solĂ©, mais de te voir baiser avec Emma et de la voir jouir de toi, ça m’a rendue comme jalouse et j’ai eu tout d’un coup une envie folle de baiser avec le premier venu. Et ça a Ă©tĂ© John.
– Oublions ça… Après tout, tu as aussi le droit de prendre ton plaisir.
– Merci mon chĂ©ri, dis-je en me pendant Ă son cou.
Et nous nous embrassâmes tendrement. L’incident était clos et Alain reprit la barre.Aux alentour de 16h00, nous aperçûmes à l’horizon les côtes de Martinique qui commençaient à émerger de la brume de chaleur. Nous annonçâmes à nos passagers notre arrivée prochaine et qu’ils allaient bientôt devoir se préparer pour débarquer. Moi, j’étais toujours dans mon idée tenace d’épuiser John à tout prix pour rendre Julie jalouse. Je trouvai une opportunité quand je vis John descendre à sa cabine, alors que sa femme était encore en train de discuter avec Emma. Je le suivis. La porte de sa cabine était restée entrouverte et je le trouvais de dos en train de faire sa valise.
– On se prĂ©pare, dis-je ?
Il se retourna, surpris de me voir lĂ .
– Oui. Il faut bien maintenant… Les meilleures choses ont une fin.
– Mais moi, je n’en ai pas fini avec toi, bel Anglais !
–Â …?
Je m’agenouillai devant lui et pris en main sa queue molle.
– Toi, quand tu as une idĂ©e dans la tĂŞte…
– Il faut que tu saches que je suis femme Ă ne rien lâcher, mon chĂ©ri. J’ai dĂ©cidĂ© de t’épuiser, je ferai tout pour ça !
A force de masturbation, sa queue reprit un peu vigueur.
– Finalement, continua-t-il, tu es aussi salope que ma femme !
Sans l’écouter, je pris sa queue en bouche – elle n’était pas encore tout à fait en érection – et j’entamai une lente et profonde fellation. Sous l’effet de mon œuvre, son membre se raffermit encore un peu, mais ce n’était pas encore Byzance ! Alors, il me tint par la nuque et m’obligea à avaler entièrement son membre, mais il manquait toujours de rigidité. Enfin, il tenta les insultes à mon égard, me traitant de « petite salope », de « putain » et de « suceuse de bites »… Rien n’y fit :
– Merde, j’y arrive pas, dit-il… J’peux plus !
– La suceuse de bites n’arrive mĂŞme plus Ă te faire bander ?
– Pardonne-moi, Alexia, dit-il en retirant de ma bouche son membre flasque, je ne pensais pas ce que je disais. Je voulais juste m’exciter…
– Oh ne t’excuse pas. J’avais bien compris.
Je lui fis un baiser sur les lèvres pour lui annoncer triomphalement :
– En tout cas, j’ai rĂ©ussi : tu es Ă©puisĂ©Â !… Incapable de baiser une femme et surtout, incapable de baiser TA femme !
– Je reconnais. Tu as gagné… Pourtant, j’aurais bien aimĂ© une dernière fois profiter de ton accueillante petite chatte !
Je l’embrassai chaudement. Ce fut sa compensation.Satisfaite de moi, je remontai sur le pont et demandai à Alain si il avait besoin que je reprenne la barre.
– Non, me rĂ©pondit-il avec son petit sourire coquin. J’ai fait ce que j’avais Ă faire avec Emma et Julie. Maintenant, je me rĂ©serve pour honorer ma dĂ©licieuse Ă©pouse ce soir.
Flattée et heureuse à la fois, je l’embrassai tendrement. Je suis ainsi : autant j’adore faire l’amour avec d’autres hommes, autant j’aime mon mari plus que tout.
– Mais, auras-tu encore assez de force, mon chĂ©ri, après avoir baisĂ© tes deux clientes ?
Nous devions arriver dans une heure tout au plus, aussi décidai-je de me préparer. Je descendis à la cabine et je pris une douche, puis je refis ma coiffure, me maquillai légèrement, enfin je passai une robe légère directement sur ma peau.
En ressortant de la cabine, je me retrouvai nez à nez avec Enzo, toujours en tenue d’Adam, qui fut tout surpris de me voir habillée. Son regard alla du haut en bas de mon corps, puis il me dit :
– HabillĂ©e, tu es aussi ravissante que nue, Alexia. Une vrai beautĂ©Â !
– Merci, lui dis-je en le contournant pour remonter sur le pont.
Il m’attrapa la main :
– Hep-lĂ Â ! OĂą vas-tu comme ça ?
Il me pris par les deux poignets, vint se coller à moi et me plaqua contre la cloison pour m’immobiliser.
– Tu as l’air bien pressĂ©e… Reste ici. J’aimerais bien profiter de ton joli corps une dernière fois avant que la croisière ne se termine.
– Mais j’ai du travail, dis-je en me dĂ©battant.
En même temps, je sentis sa queue dure comme du bois se frotter contre mon bas ventre et cela me procura une intense chaleur. Il était clair que je n’avais qu’une envie, baiser avec lui, mais je ne voulais pas le montrer tout en espérant qu’il insisterait. J’avais même le désir d’être forcée ; j’aurais tant aimé jouer le rôle de la violée !
– Comment ça du travail ! Ton travail, c’est de satisfaire les clients. Et moi, en tant que client, j’ai envie de sauter celle qui a Ă©tĂ© Ă©lue meilleure baiseuse du bateau.
Il souleva ma robe et ses mains se trouvèrent très vite à hauteur de mes hanches.
– Mais tu n’as pas de petite culotte, Alexia… Salope, je vais te baiser ?
Il se frotta Ă moi tout en me maintenant fermement contre la cloison.
– Lâche-moi, lui dis-je !
– Pas question !
Finalement, il me tira violemment par la main et m’entraîna dans sa cabine. Il en ferma la porte et me jeta sur le lit.
– Laisse-moi, Enzo, dis-je, toute heureuse de jouer Ă la violĂ©e…
– Ne dis pas n’importe quoi ! Je sais que tu aimes la queue. Regarde comme je bande pour toi !
Si je jouais à la victime, lui prenait plaisir à se glisser dans la peau du violeur. Il souleva complètement ma robe, découvrant ma chatte. Sa main vint s’immiscer entre mes cuisses jusqu’à ce que je perçus le contact de ses doigts sur mes lèvres intimes.
– Tu es trempĂ©e comme une petite salope !
Il me fit écarter les jambes, je me laissai faire. Il vint alors s’étendre sur mon corps et la seconde d’après sa queue était à l’entrée de ma chatte.
– Allez, jolie salope, montre-moi que tu es la meilleure baiseuse du bateau !
– Non, criai-je toujours plus dans mon rĂ´le.
Mais quand il s’enfonça en moi, les choses changèrent et la violée se transforma brusquement en salope.
– Enzo !
A partir de ce moment, je m’abandonnai entièrement à lui, tellement heureuse de le sentir dans un extraordinaire état d’excitation. Sa manière de me posséder fut pour le moins un peu rustre : il me besognait comme une bête aveugle. Mais ça me plaisait. C’était cela que je voulais, être prise comme une garce, sans ménagement et sans le moindre égard. Je lui criais des « Oh oui Enzo, baise-moi ! » auquel il répondait par des « prend ça, jolie catin ! » Sa queue me sembla énorme, tellement elle me remplissait et tellement elle me donnait de plaisir. Elle allait et venait en moi avec une virile énergie et plus il me baisait et plus j’avais envie de lui. C’était fou ! Ma sexualité était chauffée à blanc ; j’étais littéralement déchaînée !
Mon orgasme fut à la hauteur de mon excitation : fulgurent, violent, sauvage et je me mis à hurler ma jouissance comme une démente. Il ne ralentit pas son rythme. Malgré mes hurlements, il continuait à me baiser avec la violence du mâle en rut. Mais il ne tint pas beaucoup plus longtemps : je sentis sa queue se contracter en moi et tout à coup, il explosa, hurlant lui aussi sa jouissance.Comblé, il resta en moi sans plus bouger, reprenant peu à peu son souffle. Il me couvrit de baisers sur la bouche, les joues et le front.
– J’avais tellement envie de faire l’amour une dernière fois avec la fille la plus sensuelle de ce bateau, me dit-il. Tu es quand mĂŞme une sacrĂ© salope, Alexia !
– Moi aussi j’avais terriblement envie de toi.
– Alors pourquoi tu me disais « lâche-moi » ?
– On a bien le droit de s’amuser un peu, non, fis-je avec mon petit sourire mutin !Quand je remontai sur le pont, non sans avoir fait un nouveau brin de toilette après cette chaude partie avec Enzo, le catamaran n’était plus qu’à quelques encablures de l’entrĂ©e du port. Emma, Julie et John Ă©taient lĂ pour assister Ă l’arrivĂ©e ; tous avaient revĂŞtu leurs tenues de ville. Fini le nudisme sur le pont du bateau. Enzo fut le dernier Ă remonter.
– Qu’est-ce que tu faisais ? Je t’attendais, cria Emma !
– J’avais une petite affaire Ă rĂ©gler avec Alexia.
– Ne me dis pas que tu l’as…
– BaisĂ©e… si, si !
– Salaud, dit-elle en riant ! Au moins je n’aurai pas de scrupule Ă m’être offerte Ă notre skipper.
– J’ai Ă©pousĂ© une adorable petite salope, rĂ©torqua-t-il en dĂ©posant un baiser sur ces lèvres !
– Et moi, j’ai Ă©pousĂ© un affreux libertin, rĂ©pondit-elle en riant !Une heure après, la bateau Ă©tait Ă quai et nos clients, valises Ă la main, Ă©taient prĂŞts Ă dĂ©barquer.
– Et bien voilĂ . C’est terminĂ© et pour nous, il va ĂŞtre temps de rentrer, dit John.
Puis s’adressant à mon mari et à moi :
– Je voulais vous dire qu’on a passĂ© de merveilleux moments avec vous. C’était une belle croisière… Épuisante, ajouta-t-il en riant, mais très agrĂ©able. Avec une charmante hĂ´tesse pour nous choyer – sur tous les plans – et un skipper très sympa.
– Moi je dirais un charmant skipper dont les talents ne s’arrĂŞtent pas Ă la navigation, ajouta la salope de Julie en faisant un clin d’œil Ă mon homme.
– C’est vrai que ce voyage a Ă©tĂ© merveilleux, dit Enzo, particulièrement grâce Ă la belle Alexia qui n’avait de cesse de satisfaire les hommes du bord ! Mais aussi avec notre fabuleux skipper qui Ă pilotĂ© ce bateau avec maestria… J’aurais toutefois un reproche Ă te faire, Alain.
– Lequel, s’enquit mon mari soudain inquiet ?
– Tu Ă©tais un peu trop proche de ma femme !
Tous éclatèrent de rire.
– Je pourrais t’en dire autant, petit salaud, rĂ©pliqua Alain… Mais dites-moi les amis, ajouta-t-il en s’adressant Ă nos clients. Ă”tez-moi d’un doute : tous les quatre, avant de venir ici, vous Ă©tiez dĂ©jĂ deux couples Ă©changiste, non ?
– Quelle perspicacitĂ©, fit la salope de Julie avec un petit sourire vicieux !
– En fait, on se connaĂ®t depuis plus de dix ans, poursuivit John. Très rapidement, j’ai Ă©tĂ© charmĂ© par le sourire d’Emma, tandis que ce redoutable dragueur d’Enzo s’est vite intĂ©ressĂ© Ă ma Julie. Alors nos relations, peu Ă peu se sont faite plus intimes.
– Mais vous deux, reprit Enzo, vous vous ĂŞtes bien vite adaptĂ©s et j’ai l’impression que l’échangisme n’était pas nouveau pour vous !
– Tu as raison, Enzo, dit mon mari. Depuis que nous organisons des croisières, nous avons eu pas mal d’opportunitĂ©s… c’est le bon cĂ´tĂ© du mĂ©tier !Nous nous fĂ®mes tous la bise en nous promettant de nous revoir bientĂ´t et nos passagers descendirent Ă terre pour s’engouffrer dans un taxi. Derniers adieux de la main et nous nous retrouvâmes tous les deux seuls, Alain et moi.
– Ouf. Ça fait du bien de se retrouver tous les deux, dis-je. Cette semaine a Ă©tĂ© Ă©puisante.
– Ça tu peux le dire. Je n’ai jamais tant baisĂ© en si peu de temps. Ces deux filles Ă©taient de vraies volcans.
– Surtout la pute, fis-je.
– La pute ?
– Ben oui ! Fais l’innocent… Julie bien sĂ»r !
– Tu exagères…
– Pas du tout. Je suis sĂ»re que ça a Ă©tĂ© son mĂ©tier dans le passĂ©Â !
– Non. Tu crois ?… Et toi, tu t’es bien amusĂ© avec Enzo et John !
– Tu peux le dire. J’ai Ă©tĂ© aimĂ©e comme une princesse !
– AimĂ©e, je ne sais pas, mais baisĂ©e, sĂ»rement, me rĂ©torqua insidieusement mon homme !… Et bien ce soir, c’est moi qui baiserai ma princesse.
Nous nous dîmes des « je t’aime » à n’en plus finir, puis nous nous embrassâmes tendrement.
– Dis-moi chĂ©rie, nos prochains clients ? C’est qui, s’enquit soudain mon skipper ?
– Ceux sont deux couples de retraitĂ©s.
– Ah bah ça va nous reposer !… © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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