Amants

Amants
Petite histoire courte de deux amants sur un lit… cest une premiere histoire plutot simple et courte, mais efficace. Imaginez vous a leur place et profitez de la moiteur de ce rapport 😉

En tout cas, j’espere que ca vous plaira
Proposée le 22/09/2021 par Plume.he Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme

Il l’a poussa doucement dans le lit où elle y tomba assise avec un petit rire. Il vient se mettre à genoux au-dessus d’elle, les jambes de sa compagne entre les siennes. Avec un sourire en coin, sous les yeux de son amante, il vient défaire le lacet sur l’avant de son soutien-gorge noir orné de dentelle. Il posa doucement ses doigts sur ses épaules, presque un frôlement, pour venir baisser les bretelles de son soutien-gorge, ce dernier tomba sur le lit. Elle le prit et le balança dans la chambre, bien contente de s’en débarrasser. Se rapprochant d’elle, l’homme la coucha sur le lit, retira son haut pour révéler une belle musculature avant de se mettre au-dessus de son amante. Il caressa ses cheveux avant de l’embrasser langoureusement. Elle répondit à ce baiser, laissa sa langue rencontrer la sienne  et son corps chauffer en réponse au sien, mettant ses bras autour de sa nuque. Le jeune homme fit parcourir ses mains sur le corps de la jeune femme: son visage, son cou, ses bras. Il passa sur les contours de sa poitrine et sourit en la sentant frémir. Elle vient passer ses doigts sur sa nuque et les monta à ses cheveux. Il frôla de nouveau sa poitrine et elle frémit encore. Le jeune homme frotta ses jambes aux siennes et saisit ses seins à pleines mains. La jeune femme glissa une de ses jambes entre celles de son compagnon, pressant son genoux contre sa partie intime à travers son pantalon. Elle descendit ses doigts jusqu’à la ceinture de l’homme qui, ce dernier, se mit à faire tourner ses mains sur sa poitrine. Il vient titiller ses tétons de ses doigts, le corps de son amante chauffant sous lui. Des rougeurs apparaissent sur ses joues et son souffle se raccourcit. Elle vint défaire la ceinture de son amant.L’homme descendit sa bouche sur la poitrine de son amante: il l’embrasse , la lèche, promène sa langue sur ses tétons pour jouer avec, les mordille, les suce. En réponse à ses stimulations, la jeune femme gémit doucement et remue ses jambes. Il vint glisser sa main contre l’intimité de son amante, sous sa culotte, et rougit en sentant son membre réagir. De sa main, il titilla son clitoris, s’y appliquant avec ardeur, ce qui la fit gémir. Elle caressa ses cheveux pendant qu’il lui enleva sa culotte noire. N’en pouvant plus de sentir sa mouille contre ses doigts, l’homme insère doucement deux doigts. Il y alla doucement, ne voulant pas lui faire mal. Cela gâcherait toute la magie de la scène .Cette magie chaude, douce, qui les prend tous les deux et les pousse à s’unir, comme deux aimants ne pouvant résister à cette attraction charnelle. Il commença de doux va-et-vient de ses doigts, ayant pris la précaution de préparer le vagin de sa chère, mais cette dernière, excitée, était déjà bien préparée. D’ailleurs, elle trouvait ça dommage d’être la seule à profiter, et s’attèle à la ceinture de son amant, qui ne fit pas long feu autour de sa taille, contre laquelle elle glissa rapidement ses mains en venant chercher de ses lèvres celles de son amant. La température augmenta en degré, la femme fit bientôt voler le pantalon de l’homme a travers la salle, avant de venir masser à travers le caleçon la bosse proéminente, source de ses envies. L’homme échappa un grognement rauque en venant accélérer les va-et-vient de ses doigts, et mordiller doucement les lèvres de sa douce. Les voila brulant de désir, ne comprenant pas ce qui les retint à présent. L’homme se débarrassa de son dernier vêtement, avant de se glisser contre la femme, comme pour combler un désir insatiable de sa chair. Il vient frotter sa verge dure contre l’entre jambe a présent trempé, les faisant gémir tout deux, autant de plaisir que d’impatience. Une fois son membre bien lubrifié, il vient doucement s’insérer en elle, dans un souffle lent. La femme avait retenu son souffle ,et ne le relâcha qu’une fois l’homme entièrement en elle. Une fois la femme habituée à cette délicieuse présence, il entama de lent va-et-vient. C’était à la fois.. une torture et un délice. Le souffle chaud de l’homme se perdait contre la gorge de son amante, où il pouvait entendre son sang battre à toute vitesse, au fur et à mesure qu’il accélérait ses va-et-vient. C’était une danse où la perversion et l’amour se mélangeaient sans se soucier de quoi que ce soit. Il n’y avait plus que l’autre, son corps et son âme, ses gémissements pervers au creux de l’oreille, son souffle contre la nuque, son odeur enivrante, la douce sensation de sa peau sous les doigts cherchant à explorer le moindre recoins, la moindre parcelle. Cet acte, c’était connaître l’autre par cœur, ne faire plus qu’un, aimer avec le corps.Il accéléra encore, et avec cela les décibels de celle sous elle. A certain moment, il lui arrachait même des cris de plaisirs qui faisaient frissonner tout son corps. Il pouvait la faire crier de plaisir et il aimait ça, se fichant bien qu’on les entende. Le rythme était maintenant effréné, le lit de bois grinçant sous l’acte, dont les bruits concurrençaient avec les gémissements de madame. Celle ci secouait son bassin en rythme avec les coups de reins, avait les mains sur le corps chaud de son amant et ne se gênait pas à passer ses mains partout , à caresser, griffer doucement, s’accrocher… Ce qui plaisait beaucoup à monsieur: chaque petite griffure le faisait frémir de plaisir. C’était la preuve du plaisir qu’il faisait subir à son amante. Il aimait ça, il aimait lui faire du bien. Il sentit le vagin se resserrait sur sa verge,  signe que sa compagne allait bientôt jouir. Il se pencher alors, accélère en visant le point g -son point sensible, il sait qu’elle adore ca- et venant mordiller son cou. Elle n’y résiste pas, et il suffit de seulement quelques coups de reins pour la faire jouir dans un cri libérateur. L’homme se retire et vient frotter sa verge contre l’entre jambes jusqu’à jouir à son tour, répondant son liquide chaud sur le ventre de son amante. Essoufflée mais heureuse, comblée, elle le regarde en souriant, avant de l’attirer à elle pour un baiser.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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