Assise devant sa commode, face à son miroir, Madame de Valençon est perplexe. Non qu’elle s’inquiétât pour sa fille. Si elle l’a fait venir à Paris, c’est justement pour lui faire découvrir le monde… et ses dessous. Elle n’est donc point troublée par le fait que sa fille fasse des rencontres au cours desquelles elle pourrait découvrir toutes les facettes de l’art d’aimer.Mais elle se demande simplement jusqu’où le Cardinal et son assistante en matière de vice ont été avec sa fille. En les découvrant tout à l’heure ensemble dans le salon, elle s’est immédiatement rendue compte que leur présence n’était pas due au seul hasard : le Cardinal et Soeur Amélie savaient très bien qu’elle passait elle-même l’après-midi chez son amie, Madame de Marans, et qu’elle ne serait donc pas chez elle. Elle est pratiquement certaine que le Cardinal s’est organisé pour se présenter à un moment où il serait accueilli par une Caroline laissée seule.Elle a perçu, à l’air faussement dégagé du Cardinal et au léger rouge qui marquait encore les joues de la nonne, qu’il s’était passé quelque chose. Elle connaît trop bien les deux religieux pour savoir qu’ils ne peuvent résister à l’envie de séduire une jeune fille peu farouche. Elle commence également à soupçonner que sa fille n’est plus une jeune adolescente innocente, et qu’elle suit en matière de plaisirs les voies tracées par ses parents : le récit détaillé que Madame de Marans lui a fait de leur partie à trois avec la soubrette lui a fait comprendre que Caroline est déjà bien au fait des choses de l’amour. Madame de Marans, qui a pourtant déjà tout vu et tout expérimenté, gardait d’ailleurs un tel souvenir de cette après-midi de découverte qu’elle commençait à se demander si sa fille devait encore apprendre quelque chose en matière de sexe.Tout en réfléchissant, Madame de Valençon continue à ôter sa robe, puis ses dessous. Elle est bientôt nue, revêtue de ses seuls bijoux : un collier de perles met en valeur son cou gracieux et ruisselle entre ses seins orgueilleux, des bracelets tintinnabulent à ses poignets. Elle se regarde dans la glace pour guetter sur son corps les marques du temps. L’arrivée de sa fille auprès d’elle à Paris la rend attentive plus qu’avant à sa propre apparence. Heureusement, l’éclat de son regard, la finesse de ses traits, l’élégance sculpturale de sa silhouette et l’expérience de la séduction se sont affirmés au fil des ans, compensant peu à peu l’insolente beauté un peu brutale qui était la sienne dans sa jeunesse. Elle observe sa poitrine : toujours aussi volumineux, ses gros seins sont un peu moins arrogants aujourd’hui, mais ils restent très excitants, bien galbés, et couronnés de tétons toujours dressés. Son ventre est resté plat, malgré les grossesses. Sa croupe s’est arrondie, mais est restée ferme, ses cuisses ont pris du galbe, mais sans excès. Elle se trouve toujours aussi belle, mais d’une beauté plus épanouie, plus tranquille. Et voir ses amants et ses amantes la désirer avec toujours plus d’ardeur la rassure : son pouvoir de séduction est resté intact. Ses désirs aussi sont restés exacerbés.Comme chaque fois qu’elle est nue devant la glace, elle commence à se caresser le corps : d’abord, elle caresse ses seins, qu’il lui suffit d’effleurer pour en exciter les bouts. Elle les prend en main, les soupèse, les presse tout doucement. Elle titille les tétons, les fait se dresser, les fait rouler entre ses doigts. En soulevant ses seins et en inclinant la tête, elle arrive à les lécher et même à les sucer. Elle se laisse aller en arrière sur son fauteuil, écarte les cuisses et observe son sexe dans la glace. Elle a imité Madame de Marans, et s’est fait épiler le pubis. Ses grosses lèvres charnues sont lisses et gonflées. Son doigt s’immisce sans peine dans la fente qui commence déjà à s’humidifier. Son clitoris ne tarde pas à gonfler de désir et à se dresser. Elle aime le presser sans ménagement, tout en s’introduisant deux doigts dans le sexe. Bien installée dans son fauteuil, elle commence à se branler en pensant à la soirée qui l’attend. C’est à cet instant précis qu’on frappe à sa porte.Elle en est d’abord dépitée : elle déteste être interrompue quand elle se donne du plaisir. Elle se couvre d’une robe de chambre, et fait entrer. C’est la fidèle Elodie, qui vient voir si elle n’a besoin de rien. Madame de Valençon laisse retomber sa robe de chambre, et observe avec plaisir que son corps nu inspire du désir à la jeune servante. Cette Elodie est vraiment très vicieuse. Elle n’ignore rien de la relation saphique qui la lie à Caroline. Mais aucune des jeunes filles ne peut se satisfaire d’une relation exclusive, tant leurs envies de découvrir le sexe sont impérieuses.— Viens Elodie ! Comme tu peux le voir, je m’étais déjà dévêtue sans t’attendre. Mais tu pourrais m’aider à ôter mon collier.Madame de Valençon se lève. La jeune soubrette contemple sa maîtresse nue, et comme chaque fois elle est séduite. Comme chaque fois qu’elle doit approcher ce corps sculptural, elle éprouve un intense désir de le toucher, de le caresser. Elle prend donc plaisir à dégrafer le collier, à le faire glisser sur son cou et ses épaules, et à le laisser effleurer ses seins. Les perles s’accrochent aux tétons dardés. Madame de Valençon lance ses bras en arrière, se saisit de ses fesses et la plaque derrière elle. Elodie lui taquine le bout des seins avec les perles. Elle s’excite de les voir se gonfler et se dresser avec arrogance. Sa maîtresse s’empare de ses mains, et les presse sur ses seins pour l’inviter à les lui masser. Elodie trouve toujours beaucoup de plaisir à les pétrir avec un peu de vigueur. Elle les fait rouler, les soulève, les presse l’un contre l’autre sans ménagement, ce qui arrache à Madame de Valençon d’intenses soupirs de plaisir. Celle-ci glisse sa main droite sous ses jupes, et cherche son entrejambe. Elle commence alors à lui fouiller le sexe, tout en se caressant elle-même le bouton de la main gauche. Évidemment, elle n’a aucune peine à pénétrer le sexe poisseux de la soubrette, que la seule vue d’un corps nu suffit à faire mouiller abondamment. Les deux femmes gémissantes sont friandes de ce genre de coït spontané, aussi intense que bref. Bientôt, elles gémissent à l’unisson, et quand Elodie commence à étirer et à pincer les tétons, sa maîtresse approfondit ses caresses et lui introduit trois doigts jusqu’au fond. Elles ne tardent pas à partir dans un orgasme partagé.Leur désir rassasié, les deux femmes reprennent leur rôle habituel. Elodie aide sa maîtresse à enfiler ses bas, ses dessous, et sa robe de soirée bleue au décolleté vertigineux. Elle doit l’ajuster correctement, pour que la poitrine volumineuse de sa maîtresse reste couverte par le tissu. Elle lui enfile d’autres bijoux, et l’aide à mettre sa perruque.Madame de Valençon a pris sa décision. Elle se rendra au couvent pour voir Soeur Amélie et lui tirer les vers du nez. Elle fait atteler son carrosse et se fait amener chez les Soeurs.Soeur Amélie l’accueille avec sa chaleur habituelle. Elle l’emmène vers son bureau. Les deux femmes commencent à discuter, et Madame de Valençon ne tarde pas à amener la discussion sur la personne de sa fille. Mais, au moment où elle allait poser des questions plus précises, on frappe à la porte du bureau. La mère supérieure fait entrer une religieuse suivie de deux jeunes novices. La première des novices est une jeune femme au teint hâlé. Sa bouche sensuelle semble faite pour les baisers, et ses yeux noirs pétillants trahissent une certaine vivacité d’esprit. L’autre novice est une jeune file au visage menu et au teint diaphane. Elle est très mignonne, mais ne dégage pas la même aura de sensualité que sa compagne.— Ma mère, je vous amène ces deux novices, Eléonore et Sylvie.— Que s’est-il passé ?— Nous les avons trouvées en pleine fornication avec le jardinier.— Mais encore ? Les a-t-on prises sur le fait ?— Oui ma mère, dans le cellier.— Bien. Amenez-les dans la salle, je vais m’en occuper.La religieuse emmène les deux novices par la porte qui donne dans le fond du bureau de la mère supérieure, qui continue à deviser avec Madame de Valençon. Après quelques minutes, la religieuse ressort, et quitte le bureau après avoir baisé la main de sa supérieure. Celle-ci se lève, et invite Madame de Valençon à la suivre.Elles pénètrent dans une pièce aveugle. Les deux novices sont au milieu de la pièce. On a attaché leurs poignets à des bracelets de cuir pendus au plafond. Elles sont entièrement nues, mais on leur a laissé leur coiffe. La plus jeune est un peu effarouchée, et regarde ses pieds. Elle serre ses cuisses, sans pouvoir dissimuler son pubis couvert d’un fin duvet blond. Ses petits seins dressés sont couronnés de gros tétons roses gonflés. L’autre novice a un tout autre comportement. Elle sourit, et semble déjà savoir ce qui l’attend ; elle regarde effrontément les deux femmes qui viennent de rentrer. Solidement campée sur ses deux jambes légèrement écartées, elle est fière de son corps harmonieux et musclé : ses cuisses fines, ses fesses rondes et fermes, sa taille fine, ses épaules carrées, ses gros seins arrogants aux tétons sombres, sa peau mate aux reflets dorés sont empreints d’une sensualité sauvage. Elle semble narguer la mère supérieure.Madame de Valençon parvient à détacher son regard du corps superbe qui lui est offert, et inspecte le reste de la pièce. Deux grands fauteuils de cuir sont placés de part et d’autre. Sur les côtés, de grands candélabres sont garnis de longues et épaisses bougies. Au fond, sur une étagère, une série d’objets hétéroclites : des harnais de cuir, des cravaches, des fouets, des godemichés… tout cet attirail n’aurait pas sa place dans un couvent normal, mais Madame de Valençon ne s’étonne qu’à moitié de les trouver ici. La mère supérieure se dirige vers la plus jeune des novices, et lui soulève le menton. La jeune fille détourne le regard.— Alors, mes petites, ainsi vous avez succombé à la tentation, et vous avez forniqué avec le jardinier ?— …— Réponds-moi, quand je t’interroge !— Oui ma mère, nous avons péché.— Jusqu’où avez-vous péché ?— …Comme la jeune fille ne lui répond pas, elle lui donne une claque sonore sur la fesse.— Réponds, petite traînée, jusqu’où ?— Il nous a fait nous déshabiller.— Et après, il s’est déshabillé ?— Oui, il était nu.— Et cette petite pimbêche a voulu lui sucer la queue.— Toi, je ne t’ai pas encore interrogée ! Laisse-la répondre. C’est vrai, tu l’as sucé ?— Oui ma mère, c’était si tentant !Soeur Amélie lui donne une nouvelle claque sur la fesse. La peau rougit. La jeune fille est au bord des larmes. Soeur Amélie se dirige vers l’étagère et s’empare d’une cravache. Elle revient vers la jeune fille. Du bout de la cravache, elle lui caresse le dos, le buste, le bout des seins. La jeune fille ne peut s’empêcher de frémir. Le bout de la cravache descend vers son ventre, se glisse entre ses cuisses. La jeune fille ne peut s’empêcher d’écarter les jambes. Soeur Amélie passe derrière elle, lui caresse le cul, lui glisse la cravache entre les jambes,… puis lui donne un coup de cravache sur les fesses. La jeune fille pousse un petit cri de surprise. Mais elle écarte encore un peu plus les jambes, et cambre les reins. Madame de Valençon est très excitée par la scène. Elle sent qu’elle commence à mouiller. L’autre jeune fille semble aussi très excitée. Elle cambre les reins, ondule doucement du cul en regardant la mère supérieure. Celle-ci s’approche d’elle, et avant même de l’interroger, elle lui assène un coup de cravache sur les fesses.— Et toi, tu l’as aussi sucé ?— Oui, il avait une jolie queue, les caresses de mon amie l’avaient beaucoup excité, il bandait à mort.— Tiens, petite vicieuse, pour ta punition !Et elle lui donne un grand coup sur les fesses qui laisse une trace rouge sur sa peau sombre. La jeune fille cambre encore plus les reins. Elle est visiblement échauffée par la situation. La mère supérieure l’observe avec un plaisir non dissimulé. Elle s’empare de son sein gauche, qu’elle presse fermement avant d’en caresser le bout pour le faire se dresser encore davantage. La jeune femme la regarde avec un air de défi, mais elle ne peut dissimuler l’excitation qui la gagne : ses tétons sombres sont gonflés et dressés, et en regardant entre ses cuisses Madame de Valençon voit clairement que sa vulve gonflée commence à s’ouvrir comme un fruit mûr et juteux. La Mère Supérieure lui redonne un coup de cravache ; la jeune fille pousse un gémissement où se mêlent douleur et plaisir. L’autre jeune fille observe la scène non sans intérêt. Soeur Amélie revient vers elle, et lui donne un très léger coup de cravache sur le mamelon.— Ça t’excite, de voir ta compagne de débauche se faire corriger ?— Pitié, ma mère, ne m’en veuillez pas !— Réponds à ma question !— Oui, ça m’excite, de la voir prendre son plaisir sous vos coups de cravache.— Tu aimes cela, la cravache ?— Je… je ne sais pas… je crois bien… que oui.Soeur Amélie lui taquine le mamelon du bout de la cravache. La jeune fille s’abandonne au désir. Elle qui serrait tantôt les cuisses, la voilà qui écarte les jambes et darde en avant son sexe presque glabre.— Voyez ces petites salopes, ces petites excitées qui ne peuvent maîtriser leurs pulsions. Vous ne trouvez pas, chère amie, qu’elles méritent une petite punition.— Bien sûr, mais ne les punissons pas trop. Après tout, nous sommes toutes faites pour le plaisir, et nous aussi il nous arrive de pécher— Vous avez raison. Mais si je peux accepter, voire encourager, une certaine sensualité, je ne peux accepter qu’elles prennent du plaisir avec le jardiner, ou avec un autre homme.— Vos avez raison sur ce point, ma chère. Si nous leur montrions que les hommes sont superflus ?— Bonne idée. Vous avez remarqué ma panoplie, je suppose ?A ces mots, la Mère Supérieure se dirige vers l’étagère. Elle y prend deux godemichés de cuir noir, assez impressionnants, et en tend un à Madame de Valençon. Puis elle ôte sa robe. Madame de Valençon ne peut s’empêcher d’admirer son corps voluptueux. Elle est vraiment toujours aussi excitante : sa croupe ferme, ses cuisses pleines, sa taille fine, ses gros seins arrogants, son sexe gonflé,… son corps plantureux dégage une aura de sensualité épanouie, et laisse augurer des plaisirs intenses qu’elle peut procurer à ses partenaires. Madame de Valençon en éprouve une bouffée de chaleur, et un désir intense la saisit. Les deux novices contemplent, bouche bée, le corps nu de leur supérieure ; partagées entre l’admiration, le désir et l’étonnement, elles n’auraient jamais imaginé la tournure que prendraient les événements. Elles pensaient être punies pour avoir péché, mais elles se rendent compte maintenant qu’elles vont être éduquées à l’amour par une femme aussi experte que vicieuse. Déjà , la mère supérieure attache les lanières de son godemiché autour de sa taille et les ajuste entre ses cuisses. Madame de Valençon, l’entrejambe humide, la regarde, fascinée, s’approcher de la brune par derrière :— Et après s’être fait sucer, il vous a pénétrées ?— Non, pas tout de suite. Il a d’abord voulu lécher ma compagne, pendant que je continuais à le lécher.— Raconte-nous comment cela s’est passé.— Sylvie s’est mise debout, les cuisses écartées pour lui offrir son sexe. Lui s’est accroupi devant elle, lui a plaqué les mains sur les fesses et l’a attirée vers lui. Moi, je me suis mise à quatre pattes entre les jambes de Sylvie et j’ai repris son gros sexe en bouche pour le sucer.— Tu l’as pris en bouche.— Oui, il était si gros que j’avais peine à le sucer. J’allais et venais sur son pieu, il gémissait de plaisir. Puis comme j’étouffais trop, je l’ai ressorti et je l’ai taquiné avec la langue.— Et pendant ce temps, toi tu continuais à te faire lécher ? Je parie que tu as eu du plaisir à te faire lécher— Oui, ma mère, c’est vrai que j’ai aimé cela. Il me rentrait la langue, il me suçait, il me pompait, il me taquinait le clitoris.— Tu vas voir maintenant ce que c’est que de se faire sucer le berlingot par une femme. Allez-y chère amie, dites-moi si sa fente a bon goût, et si elle est bien juteuse.Madame de Valençon s’accroupit devant la plus jeune, qui lui offre du mieux qu’elle peut un sexe rose entrouvert par le désir. Elle passe un doigt sur la fente. Il en ressort poisseux. Elle commence à caresser la fente, barbouillant les lèvres du jus qui coule sur sa main. Quand elle touche son clitoris déjà gonflé, elle sent la jeune fille frémir de tout son corps. Elle approche son visage de l’entrejambe. Elle renifle l’odeur forte de ce jeune sexe. Cette odeur l’excite tant qu’elle ne peut s’empêcher de glisser une main sous ses jupons, et de commencer à se caresser le bouton qu’elle n’a aucune peine à trouver dans sa fente poisseuse. Le sexe juvénile de la novice semble délicieux. Madame de Valençon darde sa langue pointue, la glisse dans la fente ouverte, et commence à la lécher à petits coups. La jeune fille gémit de plaisir.Soeur Amélie a glissé sa main entre les cuisses de la plus âgée. Elle lui caresse le sexe.— Alors, cela t’excite, de voir ta comparse se faire lécher ? Est-ce que le jardinier suçait aussi bien ? Je parie que non. Madame de Valençon est imbattable dans ce genre de plaisir.— Oui, c’est bon, elle est si douce, et précise à la fois. On ne m’a jamais léchée comme ça.— Et toi, je sens que tu dégoulines comme une vraie fontaine. Tu sens mes doigts dans ta fente ?— Oui, ma mère, merci, c’est si bon.— Mais dis-moi, on dirait que tu as un joli clito bien développé ! Tu le taquines souvent ?— Oui, ma mère, il m’est source de bien des plaisirs, je l’avoue.— Et bien, pour ta punition, je vais te faire sentir mon gode !Elle s’approche, tenant en main son godemiché dressé et en présente le bout contre la fente. La jeune femme ondule des hanches pour se faire pénétrer par l’ustensile. À peine le bout a-t-il entrouvert la vulve que Soeur Amélie se recule. La jeune femme essaie de la suivre, en vain. Elle lâche un petit gémissement de dépit. Soeur Amélie avance à nouveau, effleure le sexe pour affoler la novice.Madame de Valençon n’en peut plus. Elle se relève, et vient se placer face à Eléonore.— Soeur Amélie, déshabillez-moi.— Avec plaisir, ma chère. Vous savez combien j’adore vous voir nue.— On va voir si ces jeunes salopes apprécient.La mère supérieure vient se placer derrière elle. Elle délace le corset, le fait descendre doucement pour révéler ses énormes seins insolemment dressés. Eléonore est subjuguée par cette poitrine superbe. Madame de Valençon place ses mains sous ses seins, les soulève légèrement en les pressant, et les approche du visage de la jeune fille. Ses tétons sont gonflés par l’excitation, ils se dressent orgueilleusement. La jeune fille tend le cou pour lui toucher le téton gauche du bout de la langue. Soeur Amélie continue à dénuder Madame de Valençon, révélant son corps sculptural, sa croupe élégante, ses cuisses puissantes. Quand elle est nue, Soeur Amélie se relève, vient se plaquer derrière elle. Madame de Valençon sent ses gros seins s’appuyer dans son dos, et son gode se presser dans la fente de ses fesses. Elle s’approche encore d’Eléonore, pour qu’elle puisse lui sucer le téton. Soeur Amélie l’enlace par derrière, descend la main vers son pubis, et se glisse dans la fente. Elle est chaude et humide. Ses doigts pénètrent sans peine, et ressortent luisants de mouille. Soeur Amélie se frotte contre elle, tout en la branlant. Elle se recule un peu, et fléchit les genoux pour permettre à son gode de glisser entre ses cuisses. Madame de Valençon présente alternativement ses seins à la jeune novice, qui lui en tête avidement les bouts. Le gode s’est couvert rapidement de son jus. La religieuse commence à donner de lents coups de reins ; le gode glisse sur la fente de son sexe, pendant que son clitoris se dresse et palpite sous les caresses : elle est comblée, et son plaisir monte encore quand elle sent le bout du gode qui s’introduit dans la fente et commence à la pénétrer. Elle cambre encore davantage les reins. La religieuse la saisit à la taille et la pénètre de plus en plus profondément et intensément. Elle vient buter contre ses fesses qui tremblent à chaque mouvement. Madame de Valençon gémit.Derrière elles, la jeune Sylvie est torturée par le désir. La vision de ces trois femmes en plein coït déclenche chez elle une excitation d’autant plus intense qu’elle ne peut se soulager en se caressant. Pendue par les poignets, elle serre les cuisses et se tord pour essayer de faire pression sur son bouton.Quand elle sent que Madame de Valençon va jouir, Soeur Amélie se retire. Elle passe derrière Eléonore. Elle lui plaque les mains sur les seins, en saisit les bouts et commence à les pincer. La jeune fille est surprise, et arrête de sucer les seins de Madame de Valençon. Son visage exprime en même temps le plaisir et la douleur que lui provoquent les pincements de la mère supérieure. Les larmes lui montent aux yeux, mais en même temps elle gémit de désir. Soeur Amélie lui saisit la taille, et lui enfonce son gode sans ménagement : il pénètre sans peine le sexe trempé de la jeune novice. Elle commence à aller et venir, lui enfonçant le gode au plus profond du sexe. Chaque fois qu’elle la pénètre, Eléonore ahane. Ses fesses tremblent quand Soeur Amélie vient buter contre elle. La vue de ce petit cul agité par ses pénétrations excite la Mère Supérieure : elle lui donne une claque sur la fesse droite, puis une autre sur la fesse gauche. La novice gémit de plaisir. Madame de Valençon n’en peut plus. Elle se dirige vers le chandelier, et s’empare d’un cierge long et assez épais. Elle va s’asseoir dans un des fauteuils. Elle écarte ses cuisses, passant ses jambes par-dessus les accoudoirs. Elle commence à passer lentement le bout du cierge arrondi sur la fente de son sexe en observant Soeur Amélie baiser la novice qui semble ne plus pouvoir retenir la montée de son plaisir. Elle cambre les reins, ondule du cul, va au-devant des coups de boutoir qui la labourent.Madame de Valençon s’enfonce le cierge dans la moule ; il est assez long et épais, mais il pénètre sans peine. Elle est comblée par ce substitut phallique qui lui distend le sexe. Elle l’enfonce jusqu’au fond de son sexe, le ressort, le passe sur son gros bouton érigé, le glisse à nouveau entre ses lèvres. Elle mouille abondamment, et elle sent le jus s’écouler de son sexe et s’immiscer dans sa raie. Sans cesser de se branler avec le cierge, elle s’enfonce l’index droit dans la rosette, tout en regardant les autres femmes d’un air lubrique.Le plus jeune des novices est toujours pendue par les poignets, et se tord de désir. Elle réussit à presser son clitoris entre ses cuisses serrées, et gémit doucement. Quant à l’autre, elle prend de plus en plus de plaisir à se faire embrocher. Soeur Amélie continue de la fesser : bientôt ses fesses sont rouges et échauffées. Elle la pénètre maintenant presque violemment, lui arrachant de petits cris de plaisir. Ses jolis seins balancent en rythme. Madame de Valençon voit le regard de la jeune fille devenir vague, le plaisir déforme ses traits. Quelques coups de gode, et elle jouit une première fois, d’une manière si intense que Madame de Valençon croit un instant qu’elle va tomber inanimée.Avant de jouir elle-même, Madame de Valençon arrête de se branler. Elle se relève, et s’approche de Sylvie. Soeur Amélie lâche Eléonore, et s’approche à son tour, son gode dressé.— Et toi aussi, tu t’es fait prendre par le jardinier. Raconte-nous.— J’étais très excitée d’avoir vu mon amie se faire prendre.— Tu t’es branlée ?— Oui, je me masturbais en observant ce sexe arrogant qui s’enfonçait sans peine dans son vagin poisseux.— Tu mouillais ?— Je dégoulinais, comme je dégouline maintenant. J’adore voir mon amie prendre son plaisir, ça m’excite. Quand elle a eu joui, j’ai imploré le jardinier de me baiser à mon tour.— Comment ?— Debout, il m’a prise par-devant, tellement fort qu’il me soulevait à chaque coup de boutoir. J’ai joui plusieurs fois.— Tiens, pour ta punition !Et Soeur Amélie lui donne une claque sonore sur les fesses. La jeune fille se contorsionne. Madame de Valençon lui présente le bout du cierge sous le nez ; la novice respire l’odeur que sa mouille a laissée sur le cierge, et commence à le sucer. Soeur Amélie glisse la main entre se cuisses pour éprouver son degré d’excitation. Elle ressort sa main et la tend à Madame de Valençon, qui lui suce les doigts goulûment.— Ma chère amie, je pense que cette petite traînée aurait bien besoin qu’on calme ses ardeurs. Je suis sûre qu’elle aimerait tâter de votre cierge.— Vous avez raison, ma chère, regardez comme elle écarte les cuisses et nous offre sa petite prune juteuse.— Oui, Madame, je vous en prie, enfoncez votre cierge dans ma moule avide. Calmez mon désir ! Comblez-moi, enfoncez-le moi jusqu’au fond. Je vous en prie, j’ai tellement envie de me faire pénétrer !— Vous ne croyez pas que ce cierge est un peu gros pour ce jeune sexe ?— Croyez-moi, elle mouille tellement qu’il rentrera sans peine.— Je vais lui distendre sa jolie petite moule de petite traînée.La jeune fille avance le pubis. Madame de Valençon glisse le bout arrondi du cierge dans la prune gonflée. Soeur Amélie se plaque derrière la jeune fille. Elle l’enlace, et lui écarte les lèvres du sexe pour faciliter l’intromission. Puis elle commence à lui branler le bouton, pendant que Madame de Valençon enfonce lentement le cierge jusqu’au fond de son sexe. La jeune fille est très sensible. Le cierge lui dilate le sexe, provoquant immédiatement les premiers élans de plaisir. Quelques mouvements de la religieuse sur son bouton suffisent à la faire jouir ! Mais Soeur Amélie ne compte pas s’arrêter là . Elle détache ses poignets, mais les lui rattache immédiatement derrière le dos. Elle lui saisit le bout d’un sein, l’entraîne jusqu’au fauteuil où elle s’assied. Elle l’oblige à l’enjamber, mais elle ne doit pas donner plus d’instructions à la novice : elle s’embroche déjà sur le gode dressé, et se laisse redescendre en tentant tant bien que mal de garder son équilibre. Madame de Valençon la prend aux épaules pour l’aider. La jeune fille est déchaînée, elle commence à aller et venir sur le gode en ahanant. Soeur Amélie la contemple en se caressant la poitrine. La jeune fille est fascinée par ces gros seins orgueilleux et tremblants, que la religieuse soulève et presse entre ses mains. Elle prend les bouts durs et fripés, les fait rouler entre ses doigts pour les faire durcir encore davantage. La jeune fille s’embroche avec entrain.Madame de Valençon ne veut pas être en reste. Elle va rechercher le cierge qu’elle avait abandonné. Au passage, elle remarque qu’Eléonore a repris ses esprits, et regarde avec envie son amie prendre son plaisir. Madame de Valençon revient vers les deux femmes, se place derrière elles, et approche le bout de son cierge de l’entrejambe de la novice. Celle-ci s’immobilise, surprise et avide à la fois. Madame de Valençon parcourt la raie de ses fesses avec le bout du cierge, puis lui enfonce doucement dans l’anus. La jeune fille émet un petit gémissement, mais sa manière de cambrer les reins, d’écarter les jambes et d’offrir son cul démontre son goût pour les pénétrations anales. Elle se penche en avant pour faciliter l’intromission, Soeur Amélie plaque ses mains sur ses seins juvéniles pour l’empêcher de tomber. La jeune fille recommence à bouger, le gode dans le sexe, le cierge dans le cul. Elle gémit de plus en plus fort, puis ne peut s’empêcher de crier son plaisir. Madame de Valençon est fascinée de voir les deux substituts phalliques s’enfoncer sans peine dans ses orifices dilatés. Bientôt, la novice sent monter en elle un plaisir inouï qui lui raidit tout le corps et la fait trembler de la tête aux pieds. Très excitée, Madame de Valençon la fait se relever, pour prendre sa place sur le gode. Son sexe dégoulinant n’a aucune peine à l’accueillir. Elle commence à chevaucher son amie avec ardeur. Ses gros nichons s’agitent en cadence. Le spectacle est fascinant, Soeur Amélie ne peut s’empêcher de s’en saisir pour les triturer. Madame de Valençon gémit. Tout à coup, Soeur Amélie se rend compte que d’autres gémissements se mêlent aux siens. Elle se penche, pour découvrir que la jeune Sylvie est allée s’agenouiller entre les jambes d’Eléonore, et lui lèche la fente de sa langue agile et précise. Elle lui suce les lèvres, lui enfonce le bout de la langue dans le vagin, suce son bouton. Eléonore, encore très sensible, ne tarde pas à ressentir un second orgasme, au moment même où Madame de Valençon jouit à son tour.Un grand silence suit les cris et les gémissements de plaisir. Madame de Valençon se relève, épuisée et pantelante. Elle va rechercher sa robe, se rhabille lentement, pendant que la religieuse se relève, ôte son gode, et remet sa bure. Les deux femmes délivrent les novices, non sans leur avoir administré une dernière claque sur les fesses, et les laissent se rhabiller avant de les renvoyer vers leur cellule.Sur le chemin du retour, pleine de la satisfaction des désirs assouvis, Madame de Valençon se rend compte qu’elle a oublié d’interroger Soeur Amélie sur sa fille.