Je ne voulais plus trop entendre parler de Solange après le coup qu’elle m’avait fait… Je serais bien passé chez ses vieux, histoire de reprendre contact, mais… après tout, elle n’avait qu’à savoir ce qu’elle voulait. Et puis, courir sans cesse après elle me semblait beaucoup trop compliqué.Je m’étais remis à écrire, mais il y avait toujours cette satanée kermesse à préparer. Solange étant toujours officiellement souffrante, on m’a conseillé de m’adresser à Bérengère, une autre bigote de la paroisse.Nettement plus âgée que la précédente, la cinquantaine bien tassée.La grisonnante Bérengère avait un gros bouton sur la joue, un autre sur le nez et du poil au menton. On la disait veuve mais, de fait, elle n’était ni veuve, ni divorcée. Tout simplement mariée, son mari l’avait plaquée presque vingt ans auparavant, il vivait depuis avec une gourgandine dans un village avoisinant. De divorce, elle n’avait jamais voulu entendre parler, et ça l’avait rendue à moitié cinglée : A qui voulait bien l’écouter, elle parlait de son mari mort dans d’atroces souffrances.Autant dire que sa compagnie était un délice qu’il fallait ponctuer de signes de croix entre chaque mot. Monsieur le curé par-ci, monsieur le curé par-là, monsieur le curé avait veillé son pauvre mari mourrant durant toute son agonie. Paix à son âme !Quoiqu’il en soit, dans son travail, la dévote était très efficace et jamais avare de son temps. Et les préparatifs avancèrent très rapidement sans que j’eusse beaucoup d’énergie à y consacrer.A la réunion plénière d’avant la kermesse, toujours pas de Solange. Monsieur le curé l’en excusa. Il était passé la voir, elle souffrait d’un mal étrange qui la clouait au lit. « Ce devait être la honte », me suis-je dit, peu charitable, en esquissant un sourire. Il lui souhaita un prompt rétablissement, tout en nous remerciant, Bérengère et moi, pour le merveilleux travail accompli :— Sans Bérengère, rien n’aurait été possible, ai-je cru bon d’ajouter, ce qui eut pour effet immédiat de faire rougir la susdite, à croire qu’elle venait de gagner une nuit de baise avec l’archange Gabriel.Est-ce à cause de cette petite remarque qu’un bien curieux évènement se produisit ? Toujours est-il qu’au sortir de la sacristie, elle me prit à part et me proposa de venir dîner chez elle pour me remercier de mon dévouement. Un de ces soirs. Oui, mais lequel ? A ma convenance, semblait-il !Plus intrigué qu’intéressé, je répondis favorablement à cette invitation. Mais il me faut avouer que la raison principale de cette acceptation relevait de la curiosité mal placée. Les mauvaises langues du village racontaient qu’elle avait fait faire une reproduction grandeur nature de son ex, toute en cire, et qu’elle passait son temps à lui parler. Les mauvaises langues disaient aussi qu’elle pratiquait la sorcellerie et qu’elle s’adonnait au satanisme. Ce qui est certain, c’est que personne n’allait chez elle… ou que, du moins, personne n’osait s’en vanter.L’avant-veille de la kermesse, vers vingt heures, je me présentai donc chez Bérengère avec un petit bouquet de fleurs à la main. Je ne m’étais vraiment pas cassé, juste quelques fleurs que j’avais chipées à la va-vite sur les parterres d’un voisin, mais elle en parut néanmoins très touchée.Elle habitait une vieille baraque, d’aspect assez désuet, juste en face du cimetière (où reposait, cela va de soi, son pauvre mari défunt, m’avait-elle un jour confié…).Dans cette masure, rien que des vieilleries, cela sentait très fort l’encaustique, les vieux parquets grinçaient, et c’était obligatoire de mettre les patins pour circuler.Elle m’a dirigé vers la salle à manger. Le portrait du maître de maison trônait sur le mur principal dans un grand cadre en bois entouré de deux croix, on ne pouvait pas le louper. Il nous observait d’un air pas franc, passablement rigide.Moi qui avais rencontré deux ou trois fois l’original, il me semblait être, sur cette vieille croûte, plutôt à son avantage. Il était surtout beaucoup plus jeune que dans la réalité. Le visage taillé à la serpe, droit comme un i, il posait en redingote, un échappé du 19ème siècle !Pas besoin de préciser que la conversation tournait inévitablement autour de ce curieux personnage. Cela avait été, de toute façon un mari formidable, une compagnon idéal et un homme très pieux, avec un très grand sens des responsabilités…Mes tentatives pour parler d’autre chose restèrent vaines.Le repas était correct, un peu lourd, mais correct. Le vin était parfait, frais et gouleyant. Sans m’en apercevoir, je ne tardai pas à être un brin éméché.Elle continuait à déblatérer, tandis que moi j’étais dans les volutes. J’acquiesçais de la tête, de temps à autres, mais les exploits fantastiques de son fabuleux mari ne m’atteignaient déjà plus. J’étais, pour ma part, beaucoup plus axé sur les gros boutons qui paradaient sur le visage de cette vieille toquée. J’aurais voulu les arracher une à une, ces sinistres excroissances, je trouvais ça si moche !Mon mari ceci, mon mari cela. « Mais ton mari, pauvre tanche, il se tape une grosse morue qui s’est faite sauter par la moitié d’un village, il est cocu jusqu’à l’os et il en redemande ». C’est le genre de chose qu’il vaut mieux ne pas dire.Vint enfin l’heure du café, pousse-café, et re-pousse, ainsi qu’un bon cigare. J’eus à peine la force de me lever pour m’affaler dans un profond fauteuil. Elle s’en fut un instant et je pus regarder les flammes crépiter dans la cheminée en toute tranquillité, un Havane dans une main et un verre de poire dans l’autre.J’ai même tendu mon verre vers cet horrible portrait : « A ta santé, vieux frère ! ». Tu m’étonnes qu’il l’ait quittée, à part boire et fumer, il n’y avait rien d’autre à faire dans cette cambuse.— Cette boîte de cigares, c’est un très bon client qui lui avait donnée, me dit-elle à son retour. Georges était travailleur et intègre, toujours très apprécié par ses supérieurs.Je ne pouvais pas le croire, vingt ans d’âge qu’ils avaient ces vieux Havane, et ils n’avaient pas trop séché.Elle était revenue et s’était assise dans le fauteuil face à moi :— Et dire que notre seigneur Jésus Christ l’a rappelé à lui.Ma pauvre dame, ce sont des choses qui arrivent, et parfois même dans la vraie vie. Mais dans son cas, c’était plutôt la suceuse Christiane qui l’avait appelé à elle, son divin cochon.— Mais vous n’avez jamais imaginé refaire votre vie ?— Georges était tout pour moi, je n’aurais surtout pas voulu le trahir, ni même le remplacer.Après tout, ce n’était pas mes oignons. J’avais fini la poire et aussi le cigare. Mais ma dernière remarque lui avait comme cloué le bec. Elle restait là, les yeux hagards, à regarder les flammèches danser dans l’âtre, sans piper mot. Un long moment de silence, un vrai bonheur dans cette foutue soirée. Il était temps pour moi de prendre congé.J’allais me relever mais…— Vous allez bien prendre une autre poire !— C’est à dire que…— Et puis j’ai encore toutes ces photos à vous montrer.Arrêté dans mon élan, je suis retombé lourdement dans le fauteuil. La poire est arrivée, et aussi quatre ou cinq albums. De son mari je suppose. Tout juste, il n’y en avait vraiment que pour lui !Elle était debout près du fauteuil, penchée vers moi. Lentement, elle tournait les pages en apportant, pour chaque photo, quelques commentaires éclairés que je refusais systématiquement d’écouter. Son vieux, j’en avais vraiment soupé.Curieusement, la Bérengère semblait très chaude. Son corps irradiait, un vrai petit calorifère ambulant. Nous n’avions jamais été aussi proches, elle et moi, même lors de nos réunions de travail. L’album était sur mes cuisses et, à chaque tour de page, sa main brûlante me frôlait.Inconsciemment, je me suis mis à bander. Curieuse situation avec cette vieille femme qui d’ordinaire me rebutait, tandis qu’à cet instant je bandais presque pour elle.Elle s’est écartée pour reprendre un autre album. Je me suis dit : « Allez, ressaisis-toi, ressaisis-toi, et arrête de bander ». Mais quand elle est revenue, elle semblait encore plus proche, et encore plus chaudasse. Je ne sais pas si elle le fit exprès mais, lorsqu’elle reposa le second tome, elle évita soigneusement la bosse proéminente qui déformait mon pantalon. Evidemment, elle ne fit aucun commentaire sur le sujet, mais la situation était cocasse. Avec cette bite dressée et la bigote qui tournait imperturbablement les pages.— Georges avec son frère : Georges adorait son frère. Mais l’autre ne lui rendait pas. C’était un ingrat, un profiteur et un vicieux. Un jour que Georges était au travail, il était même venu ici et avait essayé de me faire des avances. Je l’avais bien sûr mis à la porte et j’en avais parlé à Georges. Mais, mon pauvre mari, lui, était beaucoup trop gentil. Il pardonnait à ceux qui l’avaient offensé et tendait même l’autre joue, comme notre seigneur Jésus Christ. Il m’a demandé d’oublier tous ces gestes déplacés. J’en ai quand même parlé en confession. Vous vous rendez compte, cet être abominable m’avait même touché la gorge !Je bandais comme un ours. Ainsi, son beauf avait essayé de la sauter. Il faut dire qu’il avait l’air assez primate, avec ses grandes paluches, il ressemblait à un grand singe échappé d’un asile.— D’ailleurs, ce n’est pas la seule fois où il me fit des misères. Quelques temps après le décès de mon pauvre mari, il est revenu et a essayé à nouveau de me coincer. J’étais dans ma cuisine, il s’est jeté sur moi comme un satyre, en prétextant que mon mari m’avait honteusement trompée de son vivant et que ce n’était que justice de lui rendre la pareille. Pauvre Georges ! Si vous l’aviez connu, lui, toute gentillesse, vous comprendriez qu’il eut bien été incapable d’un tel méfait. Mais cet être répugnant n’était pas avare de mensonges pour le critiquer. Il alla même jusqu’au blasphème, affirmant haut et fort qu’il avait vu Georges récemment, au bras d’une prostituée, dans un village voisin. Mais surtout, il n’arrêtait pas de me toucher, de mettre ses mains sales partout sur moi. Et je n’ai dû mon salut qu’à une fourchette à découper que je lui ai plantée avec rage dans la cuisse. Pauvre de moi, je regrette profondément ce geste, mais j’y étais obligée. Et puis, depuis, je me suis confessée et j’ai expié ce crime.— Et ensuite, il est allé à l’hôpital ?— Oh, non, la blessure n’était que superficielle, même s’il saignait un peu. Il est simplement rentré chez lui. Mais il en a été profondément vexé et, depuis, il s’est calmé… Tenez, regardez, le voici encore, avec sa grosse moustache. En plus il parlait comme un charretier et disait sans cesse des insanités. Je ne sais pas comment Georges pouvait le supporter. Je n’ai jamais aimé cet homme incroyant et vulgaire.Vingt ans que Georges avait soi-disant trépassé, alors que tout le monde savait qu’il vivait benoîtement à quelques dizaines de bornes.Durant toutes ces années, avait-elle eu des aventures ? La question restait entière, mais je ne me risquai évidemment pas à la poser. Et puis, cela lui arrivait-il de se masturber ? Autant de problématiques qui me rongeaient l’esprit.La sexualité de certaines personnes est très énigmatique, mais l’absence de sexualité l’est incontestablement tout autant.J’en étais là dans mes considérations et n’en bandais pas moins, bien au contraire, quand l’incroyable se produisit : Elle posa sa main sur cette bosse proéminente qui sévissait sur mon calbut. Enfer et damnation !Car il ne s’agissait pas là d’un simple effleurement, et encore moins d’un geste malencontreux. Non, la main en question était bel et bien posée en haut de ma colline et commençait à pétrir mon sexe avec ardeur, et tout à fait sans complexe.Impensable et prodondément stimulant, mais comment réagir ? Mon expérience avec Solange et la bizarrerie de ce curieux personnage m’incitaient à rester sur mes gardes, afin d’éviter toute initiative malheureuse. Prendre les devants aurait peut-être risqué de rompre le charme.Bien m’en prit sans doute, car elle y mit bientôt les deux mains, malaxant avec l’une et dégrafant avec l’autre. Georges, sur l’album, assistait à nos ébats avec la bienveillance du papier glacé, il reluquait sa gourdasse en train de se pencher vers ma tige enfin libérée.« Je dois sentir fort de la bite », me suis-je dit à cet instant précis, comme si ça pouvait avoir un sens. Ceci dit, par ailleurs, j’en avais vraiment honte. Une panne de chauffe-eau, cela faisait bien quatre ou cinq jours que je ne m’étais pas lavé. Mais, comment prévoir à l’avance ce qui allait se passer ce soir-là ? Une chance sur dix-mille qu’une telle chose arrive avec cette femme là.Malgré cette odeur forte, elle semblait vraiment apprécier, elle humait mon gros dard sans pour autant le lécher et, avec ses deux mains, elle le caressait. Cela dura bien quelques minutes, les effluves de ma tige me montaient jusqu’aux narines. Et, à sa place, cela devait véritablement empester. J’étais plutôt gêné.Cela ne l’empêcha nullement d’avaler ma pignole. Elle l’engloutit d’un trait, toute entière, jusqu’à la garde, sans l’ombre d’une hésitation, au risque de s’étouffer.Quoiqu’il en soit, de ma place de spectateur, son gros bouton poilu sur la joue restait pour moi, quand même, des plus énigmatiques.Par la suite, elle se retrouva à genoux entre mes jambes, elle continuait de me pomper, l’album était tombé quelque part, Georges nous avait presque quittés.Pas tout à fait d’ailleurs car lorsque, par hasard, elle arrêtait de sucer, ce n’était que pour dire :— Georges, oh Georges, Dieu nous regarde.Mais elle reprenait néanmoins de plus belle, avalant sans complexe ma pine en malaxant mes couilles juteuses.Salope bien cachée… mais ce sont toujours les meilleures et les plus salaces.Pourtant, modérant mon enthousiasme, c’est vrai que celle-ci me prenait un peu, au fond d’elle-même, pour un lointain défunt.A ce rythme là, je ne tardai pas à exploser, de longs jets de sperme chaud qu’elle engloutit sans rechigner, et jusqu’à la dernière goutte.— Ohh Georges. Georges ! Comme tu es bon, comme tu sens bon.Et, tandis que je hasardais mes mains sur sa poitrine, elle reprit de plus belle et me gratifia d’une pipe d’experte pour me redonner un semblant de vigueur.J’eus toutes les peines du monde à dégrafer cet inextricable imbroglio de tissu pour extraire ses divines mamelles. Celles-ci étaient vraiment très molles et toutes tombantes, mais elle avait aussi des bouts très gros, charnus et tout durs. Je les fis rouler entre mes doigts ce qui la fit immédiatement gémir. Et, lorsque je me risquai à lui pincer, elle cria presque, en me gratifiant d’un long « GEORGES ! » de plaisir non dissimulable. La bigote était sensible des tétines. Je lui en remis trois ou quatre couches et à chaque fois elle hurla sa jouissance à coup de grands « Georges ! » lubriques, et pour le moins pathétiques.Elle devait avoir la chatte en feu et ma bite était à nouveau toute dure.J’étais parvenu plus ou moins à me redresser pendant qu’elle me léchait et je réussis à saisir sa jupe. D’un geste habile, je l’ai troussée d’un coup et là : nouvelle surprise ! Contrairement à ce que j’aurais pu penser au départ, la Bérengère ne portait pas de collant mais un porte-jarretelles et une vieille paire de bas.L’ensemble était, bien sûr, d’allure vieillotte et désuète, un peu à l’image de la lingerie du siècle dernier. Elle me faisait aussi penser à toutes ces gourgandines qui rôdaient parfois dans les saloons.Dans ce contexte, je trouvais ça vraiment très excitant. Ma main glissa dans sa culotte pour palper son gros derrière :— Georges, oh, GeorgesPuis je fis le tour de ses hanches, et mes doigts glissèrent dans une toison particulièrement drue, de longs poils durs et emmêlés qui, autant que je puisse en juger, étaient trempés de mouille.Peu à l’aise dans cette position, je retirai bientôt ma main et la portai à mes narines : Elle sentait bon de la chatte. Elle sentait fort de la chatte.Georges, il n’avait qu’une envie, celle de baiser sa vieille cochonne. Il s’ennuyait ferme dans sa tombe, et maintenant il avait du temps à rattraper. Quant à elle, sa follasse, elle a vraiment besoin d’un sacré coup de bite, ça lui remettrait peut-être les idées en place !D’un geste ferme, je me suis relevé, l’obligeant à abandonner ma queue qu’elle n’avait pas lâchée une seule seconde, depuis le début de cette incroyable prise de bec.Je l’ai contournée, je l’ai invitée à plonger la tête vers le fauteuil puis, le temps de baisser mon futal, je l’ai emplafonnée en écartant son slip.Sa chatte était remplie d’un bon jus gouleyant et ça faisait un flic-flac du tonnerre.— Georges, oh, mon Dieu !Des tonnes de Georges sortaient désormais de sa bouche, tandis que le gros chibre de son Georges chéri l’empapaoutait avec vigueur, il lui perforait les boyaux, il lui ramonait la matrice.Et le vrai Georges dans tout ça, il ne savait pas du tout ce qu’il perdait, tant il est vrai qu’elle était bonne à tringler cette cochonne et qu’elle appréciait les coups de bite à leur juste valeur.Entre les « Georges », elle ahanait des mots sans suite, mélange de bondieuseries et de soupirs de jouissance, chaque coup de queue semblait la mettre en transe. Et lorsque, dans un ultime effort, je me suis épanché en elle, elle s’affala sur le tapis, le cul dressé en l’air et resta ainsi prostrée, dans une position des plus obscènes, pendant de longues minutes.— Mon Dieu, Georges, murmurai-t-elle dans son délire.Son anneau brun était aux premières loges. Dommage car je ne bandais plus, sinon j’y aurais bien goûté également. Mouillant mon index, je me risquai à y oser une phalange et bientôt tout un doigt. Elle en couina encore plus et redoubla de « Georges » tandis que mon doigt fripon allait et venait dans son gentil popotin.Et puis, finalement, je l’ai laissée. Elle semblait totalement épuisée. Elle restait ainsi prostrée et confinée dans son propre monde. J’en ai profité pour me rhabiller et pour discrètement m’en aller.Un dernier coup d’oeil vers la bigote. Elle était toujours inerte, la langue pendante sur le tapis, mon sperme coulant entre ses cuisses. J’avais peur que, pour elle, le réveil ne soit finalement difficile et je préférais peut-être ne pas y assister !Je tirai la lourde porte et m’en fus dans la nuit noire.En sortant de chez Bérengère, j’ai croisé Mme Machard, une autre grenouille de bénitier, et surtout une vraie commère. Elle m’a regardé d’un air étrange, probablement interloquée par ma présence en ces lieux, à cette heure. J’ai repris ma voiture sans trop y faire gaffe.Nul doute que le lendemain ça allait jaser dans les commerces.(A suivre…)