Ouf une bonne journĂ©e. En plus le directeur de la boite que j’ai m’invite ce soir. Je n’ai rien contre : il est sympathique, mignon en plus. Il me semble assez dĂ©bauchĂ©, ce qui me changera des gars sĂ©rieux qui ont avalĂ© un parapluie. Bon je suis un peu gĂŞnĂ©e, comment m’habiller pour la soirĂ©e. Je dĂ©cide que je serais une femme pleine de charmes. Alors, je suis nue devant la glace, je sors de la valise un culotte en dentelle que je mets de cĂ´tĂ©, un soutiens gorge que je remets dans la valise. Ma jupe courte fera l’affaire sur des bas avec mon string bijou qui entre dans le vagin, me donne des sensations forte quand je serre mes muscles vaginaux. Une mention spĂ©ciale pour son inventeur. Je prends Ă©galement de quoi embellir mes fesses avec un autre bijou souvenir d’une amante gĂ©nĂ©reuse. En attendant le moment de partir je me garni la chatte avec des boules de geisha que j’ai trouvĂ© un soir de cafard dans une boutique. Belles boules, effet maximum. Je passe sous la douche, je me masturbe longtemps avant d’entrer mes boules. Je suis parĂ©e Ă n’importe qu’elles jouissance. Je suis devant la glace, toujours nue, je me tourne pur bien voir mes fesses. Je pose le bijou prĂ©vue : je me fis de l’effet seule. J’enfile le string particulier, je serre mes muscles pour vĂ©rifier le plaisir. C’est vrai je sens monter un orgasme. Mes boules ont fonctionnĂ© comme des grandes. Ce soir je suis prĂŞte je me prĂ©pare Ă jouir, jouir, encore jouir. Je suis capable de mettre sur la tapis celui qui m’a invitĂ© si gentiment Ă baiser, sans le dire bien sĂ»r, je suis une dame, pas une pute, voyons. Une dernière visite Ă la glace avant de partir : mes seins nus sous un marcel qui fait bien sortir les pointes, la jupe ultra courte, le string et le plug : je suis parĂ©e Ă la baise. J’espère qu’il aura pris des vitamines et du viagra. Je suis disposĂ©e Ă le vider de tout son sperme. Sa queue doit bien se tenir quand je la lui boufferais.Il a indiquĂ© le parcours que j’ai Ă faire. Je n’ai pas voulu qu’il vienne me chercher Ă l’hĂ´tel, il serait capable de venir la prochaine fois sans que je veuille ou puisse le recevoir pour de multiples raisons : je peux ĂŞtre avec quelqu’un d’autre, indisposĂ©e ou simplement pas envie (ce qui est rare chez moi)La route est cahoteuse. Tant mieux, mes billes font leur travail, je suis mĂŞme obligĂ©e de ralentir le temps d’une jouissance rapide. Ce que j’ai mis dans le vagin agit fort bien, je le remettrais souvent, quant au cul, toujours pareil quand je jouis : j’en ressens encore plus de plaisir Ă moins que j’y ai une belle queue. Qui sait tout Ă l’heure il me la mettra au cul ?J’arrive enfin, c’est presque un château derrière de grande grille. Le portail s’ouvre dès mon arrivĂ©e. Je monte les quelques marches et la porte s’ouvre devant une magnifique mĂ©tisse pas très grande, mais nue, totalement nue sauf une ceinture en chainette sur la taille qui descend un peu vers le sexe Ă©pilĂ©. Il ne m’avait pas dit qu’il avait de genre de domestique, si c’est une domestique. Elle me fait entrer dans ce qui doit ĂŞtre le salon. Il est lĂ , en tenue dĂ©contractĂ©e. Il s’approche de moi, m’embrasse sur les joues, me demande comme je trouve Arielle. Il me rassure, Arielle est sa femme. Elle participe des fois quand de belles dames sensuelles comme moi sont lĂ , elle aime autant les hommes que les filles sans parler de ses coups pour son propre corps. Je comprends donc qu’elle est une adepte de la masturbation. Nous avons le mĂŞme dieu. Je suis tombĂ©e sur un drĂ´le de couple.Arielle se prĂ©sente Ă moi par un baiser lĂ©ger sur la bouche. Nous allons donc participer Ă un trio. Je mouille rien que de m’imaginer dans les bras de la mĂ©tisse et les siens. Il est presque 21 heures. Nous devons passe Ă table. Je passe vite fait dans les toilettes retirer les boules de geishas entièrement « salies » par mes sĂ©crĂ©tions. C’est lui, Henri qui me fait assoir, il accompagne sa femme.
Il est en train de m’exciter. Je remue mon bijou pour me soulager. Je jouis deux fois ainsi. Je crois qu’Arielle le voit. Elle me demande gentiment :
– Vous ne voulez pas vous isolĂ©e pour jouir un peu.
– Merci je viens de le faire.
– Comment ?J’explique ce que j’ai dans mon intimitĂ©. Elle voudrait le voir. Son intĂ©rĂŞt est grand pour les jouets sexuels, elle dit en possĂ©der une bonne dizaine, ce qui est confirmĂ© par Henri. Le repas est vite prit. C’est Arielle qui ouvre les hostilitĂ©s en se mettant sur la table, debout, en Ă©cartant les cuisses pour monter sa chatte. C’est vrai que de la voir nue comme au dĂ©but, j’ai perdu le fil, je ne la voyais plus comme une femme. Elle est totalement nue, les jambes qui s’ouvrent au fur et Ă mesure qu’elle se penche en arrière. Sa vulve mĂŞme s’ouvre. Je vois, placĂ©e comme je suis tout jusqu’Ă son petit trou. J’ai encore envie de jouir, surtout qu’elle vient tout près de moi :
– Mon mari t’oublie je vais m’occuper de toi.
– – Comment ?
– Tu n’as jamais baisĂ© de filles ?
– Si, bien sĂ»r et tu voudrais que nous deux…..
– Si tu veux baiser avant avec la queue de mon mari, demandes la lui. Il te la donnera facilement, je sais qu’il bande.Je suis surprise du tour que prend la rĂ©ception. OĂą je baise longuement avec une femme chaude ou je tire un coup. Mais je perds l’occasion de me faire sodomiser. Je laisse faire le sort des adorateurs de VĂ©nus. Elle repique au truc :
– Tu aimes te faire enculer ? Moi j’adore. Laisses lui un peu de force pour qu’il me le fasse aussi.
– -Il faudrait un autre homme ici. Deux filles ne suffisent pas. Il en faudrait au moins une autre
– Tu ferais comme moi. J’ai envie aussi de lĂ©cher un con, le tien si tu veux. Ensuite on se fera baiser par Henri. Il tient bien le coup. Jouer la lesbienne avec Arielle ne me dĂ©plait pas avec sa peau mate, un peu foncĂ©e. En plus ce que j’ai vu de sa chatte est engageant, je me vois dĂ©jĂ la langue au fond de ses trous. Et elle est ce qu’elle sait rĂ©ellement baiser une femme. A son âge, la trentaine bien entamĂ©e elle ne doit pas ĂŞtre une oie blanche. Elle vient s’assoir sur le bord de la table presque en face de moi. Elle me tente ou me soupèse. Sa jambe se colle Ă mon bras. Sa peau est douce, elle me donne envie d’elle. Je prends la jambe, la passe devant moi, je l’ai ainsi Ă ma disposition. Elle prend ma tĂŞte, l’incline vers son entrejambe. Je sens dĂ©jĂ ses odeurs intimes, ma langue goute sa cyprine. Je commence Ă la lĂ©cher comme si elle Ă©tait fragile. C’est que je me rĂ©gale de son jus qui coule en abondance dans la bouche. Henri ne nous regarde plus, il s’est levĂ©, il est tout près de nous. Il est nu depuis un moment, il se masturbe doucement. Que j’aime voir un homme se taper une queue devant moi. Arielle est penchĂ©e en arrière retenue par les mains posĂ©es sur la table, Ă cotĂ© de mon assiette. Dans un geste de confiance, elle passe ses cuisses sur mes Ă©paules ; ma tĂŞte est entièrement dans sa fourche, les oreilles coincĂ©es par les cuisses. Elle coule toujours en abondance, j’envie Henri quand il le baise il doit recueillir son jus.Je continue mon lĂ©chage, je me masturbe pour compenser la langue d’Arielle. Henri a disparu sous la table, elle Ă©carte ma main. Sa bouche vient se coller Ă moi. Il aspire toute la chatoune. Il me semble qu’il me vide totalement en avalant mon con. Qu’il lèche bien ensuite. Je ne sais plus comment faire, me faire sucer et sucer une autre fille. Mon Dieu que l’amour Ă trois est bon.Je jouis, Arielle jouit de son cotĂ©, reste la queue d’Henri Ă vider. Nous pensions le faire Ă deux, il se lève en nous invitant dans la chambre sous prĂ©texte de confort.Il a raison. Je rependrais mon rĂ©cit après.