C’est Arielle qui entre la première dans la chambre. Je vois ses magnifiques fesses se dandiner en entrant. Henri la suit, sa queue haute qui, Ă cause de la marche, vadrouille dans tous les sens. Sa bite est belle, rĂ©gulière depuis la fin du gland vers le bas ventre, lĂ elle grossit un peu. Le gland lui est un peu trop violet Ă mon gout. Elle est bien près des fesses l’Arielle. J’ai encore le bijou anal. Je ne sais lequel des deux aura l’honneur de m’enlever le plug. Arielle disait tout Ă l’heure que Henri Ă©tait très rĂ©sistant ou moins pour nous deux. J’espère qu’elle ne se trompe pas, qu’il pourra me la mettre au cul au moins une fois. J’aime tellement la sodomie.Henri se tourne, en gentleman il nous installe sur le lit. Il est entre nous, ses mains s’occupent dĂ©jĂ de nos corps. Je ne peux voir ce qu’il fait Ă sa femme. Moi, il caresse l’intĂ©rieur des cuisses en montant doucement vers la chatte. Il me fait mouiller. Je rends sa caresse Ă ma façon : je prends gaillardement sa pine dans ma main droite. Elle est dure, dure et souple Ă la fois. Je fais descendre le prĂ©puce lentement. J’ai l’aide attendue d’Arielle qui comme c’est normal s’occupe des affaires de son mari. Mais elle me semble surtout prĂ©occupĂ©e de mon bien ĂŞtre, je suis l’invitĂ©e après tout. Elle se lève, vient vers moi me renverse sur le lit. Je me couche en donnant ma fourche Ă sa bouche. Sa langue lèche l’intĂ©rieur des jambes. Elle monte doucement, trop doucement. Je la sens contre mes lèvres. Elle les caresse lentement en fait le tour plusieurs fois en lesbienne consommĂ©e. Elle ajoute ses doigts. Sa fouille sans exclusive fait qu’elle vient sur le petit trou encore affublĂ© du bijou qui en ferme l’entrĂ©e. Je ne sais comment elle fait, elle me l’enlève doucement en me faisant jouir avec ses dents. Elle revient Ă ses premières amours, mon sexe. Elle mordille le clitoris, m’arrachant des soupirs aigus. Elle doit avoir ma cyprine sur son visage.Henri se met de la partie. Il vient m’enjamber Ă hauteur des seins. Sa queue s’approche dangereusement de ma bouche. Il fait comme s’il forçait alors que je suis prĂŞte Ă tout ce qu’il veut. Oui, il la met sur mes lèvres. J’y renifle des odeurs de male. Ma langue ne peut lĂ©cher que ce qu’elle trouve : le haut du gland. Le mĂ©at en fait les frais. Je ne peux Ă©videmment pas y entrer. Il avance et cette fois je peux pomper le dard en entier. Il occupe bien ma bouche. Mes deux extrĂ©mitĂ©s sont occupĂ©es en haut par le mari en bas par la femme. Je suce la queue d’Henri. Elle est bonne Ă lĂ©cher. J’arrĂŞte souvent, je veux bien qu’il jouisse, mais pas de suite, qu’il profite de la langue quoique Arielle doit lui faire de sacrĂ© bonnes fellations. Je ne peux l’empĂŞcher de grossir, d’Ă©jaculer dans la bouche. Il me n’a rien dit avant, il savait que j’allais aimer son jus dans le bouche, ce qui est le cas. J’en avale un peu, j’en mets de cĂ´tĂ© dans une joue. Je me laisse aller Ă un orgasme de plus.Arielle vient près de moi, veut m’embrasser. Ma langue lui donne le reste de sperme de son mari. Elle le dĂ©guste avant de me donner sa langue. Nous repartons dans un de ses baisers de filles qui n’en finissent jamais. Nous nous touchons partout, comme pour une redĂ©couverte. Henri est oubliĂ©. Nous nous mettons en 69, ainsi nous pouvons donner ensemble le mĂŞme plaisir et surtout voir toute la chatte de l’autre ou en plus le petit trou, objet de nos chimères.J’aime voir de près de trou ridĂ©, sensible pour qui sait le caresser .Et moi, en plus, j’aime y mettre ma langue. Arielle le sais, je le lui ai fait tout Ă l’heure Ă table devant Henri son mari. C’est le seul Ă qui je n’ai pas fait minette Ă son anus. Il faut rĂ©parer ça tout Ă l’heure. Il ne pourra penser qu’une belle salope lui a fit une chose rare que certainement Arielle ne lui a jamais faite : c’est rare entre Ă©poux.Je descends totalement ma bouche pour aller sur son cul. Il est souple, preuve s’il en ait qu’elle se fait souvent mettre dans le cul. Je pointe la langue, je le, je touche le paradis. Le bout de la langue fait le tour plusieurs fois du trou du cul. Arielle ne se dĂ©fend pas, elle ouvre au muscle contraire son arrière train. J’entre dans un cul Ă©largi pas l’usage. C’est inespĂ©rĂ© d’entrer si facilement. Elle gĂ©mit, se passe un doigt sur le bouton pour complĂ©ter son plaisir, j’aurai du le lui faire. Elle entre sa langue Ă donf dans la vulve : je jouis encore. Une fois de trop peut-ĂŞtre ? Henri est remis, il bande encore ne fois, sans doute Arielle se souvient de ses devoirs .d’Ă©pouse. Elle se couche sur le lit. Lui vient sur elle, non pas pour la baiser mais pour se faire sucer. Elle le prend dans ses lèvres, j’engame presque jusqu’au bout. Il lui baise la bouche, me laissant seule.Quand on laisse ne femme seule, elle fait des bĂŞtises. Ces mon cas, je vais derrière lui, Ă©carte ses fesses. Il se laisse faire, pensant que j’allais lui mettre des doigts dans le cul ; j’y mets bien la main, plus bas que prĂ©vu, je caresse ses couilles. Je pose ma tĂŞte entre ses fesses, je sors assez de langue pour lĂ©cher son cul. Il est poilu, ce n‘est pas un problème quand je trouve l’entrĂ©e. J’entre ma langue en profondeur. IL doit aimes ça : il jouit quand je suis au fond d son cul d’homme ;Nous avons fait assez de baises. Si je passe dans la rĂ©gion, j’ai promis que je reviendrais baiser avec ce couple coquin.