Et puis un jour, le ciel me tombe sur la tĂŞte, la boite ou travaille Annie, fusionne et ferme l’agence, elle accepte une petite promo en province, je savais que cela arriverait, puisqu’ils en parlaient de quitter la rĂ©gion parisienne qui devenait invivable, nous les avons aidĂ© Ă dĂ©mĂ©nager, nous y allions tous les 15 jours, eux venaient tous les 15 jours en dĂ©calĂ©, et puis la chance, ma chance, sa boite a voulu qu’ils aient besoin d’elle, pour revenir deux ans sur paris pour mettre en place un nouveau service.Ils avaient dĂ©jĂ vendu leur pavillon, elle a eu un super appartement de fonction tout frais payĂ©s, une autre belle promo et une offre royale qu’elle ne pouvait pas refuser comme elle dit, cela a donnĂ© d’ailleurs naissance Ă une histoire Ă©rotique peu banale qui lui est arrivĂ©e, qu’elle n’est pas encore certaine d’Ă©crire dit-elle, son mari avait trouvĂ© des chantiers assez loin, ils se voyaient BCP moins.La bonne nouvelle, c’Ă©tait qu’en semaine, Annie Ă©tait plus dispos pour moi, son mari Ă©tant souvent absent, elle Ă©tait dĂ©laissĂ©e sexuellement, nous nous voyons de deux Ă trois fois la semaine, suivant les retours de son mari, la mauvaise nouvelle, c’est que nous ne nous voyons que très peu en soirĂ©e et que ces deux annĂ©es-lĂ , nous ne nous sommes presque pas invitĂ©s mutuellement le WE, c’Ă©tait uniquement en semaine et le midi.Sachant que c’Ă©tait un rĂ©pit de deux ans, avant l’Ă©chĂ©ance, j’ai cherchĂ© sans en parler, Ă me dĂ©localiser Ă©galement, cela n’a pas Ă©tĂ© trop difficile, beaucoup de clients avaient moins de route ou autant, mais sans les bouchons, ceux sur Paris voyaient avec mes associĂ©s et quelques-uns se dĂ©plaçaient le WE, on faisait des WE d’affaires.Les WE d’affaires, pour le plus grand nombre, consistaient l’Ă©tĂ©, Ă aller Ă la piscine, Ă chahuter dans le petit bain avec Marie pendant que je faisais souvent des longueurs dans le grand, parfois, je n’y allais pas, le client y allait avec Marie et lui payait en plus de la piscine, une collation en sortant.En apprenant cela ici, Annie me regarde d’un air interrogateur, j’avoue que, quelque fois, je les ai suivis, hĂ© oui, on ne se refait pas, chronomĂ©trant le temps entre le moment oĂą ils entrent, prennent les tickets, se change et entre dans l’eau, je faisais pareil pour la sortie, c’Ă©tait un peu plus long, ce qui Ă©tait normal, le client plus rapide, l’attendait dans le hall, j’avais la casquette jeune de banlieue, des lunettes aux verres normaux et un jogging.Dans le bain, les mains des clients Ă©taient bien baladeuses, et ils Ă©taient bien embĂŞtĂ©s pour sortir de l’eau, quand ils sortaient, c’Ă©tait Ă la dernière minute et en lui tournant le dos, ils allaient Ă la douche, une fois, ils regardaient de mon cĂ´tĂ©, j’avais fait un signe Ă des personnes plus loin, dĂ©tournant tout doute, mais me reconnaĂ®tre dans mon dĂ©guisement Ă©tait impossible, j’avais mis ma voiture bien plus loin, je les surveillais au salon de thĂ© oĂą ils discutaient, puis ensuite, je les suivais sur le retour, coupant a un endroit oĂą je les attendais a la maison, il n’y a jamais eu de temps d’attente, ils arrivaient deux Ă trois minutes après moi.On voulait aller dans leur coin, mais on ne voulait pas ĂŞtre collant, j’avais Ă©mis cette hypothèse comme ça en plaisantant, mais quand le mari d’Annie nous a dit,  » pourquoi vous ne quittez pas Paris vous aussi », Annie citait aussi d’autres copains qui venaient dans la rĂ©gion Ă©galement.Mais lĂ ou j’ai Ă©tĂ© heureux, c’est la fois ou passant devant une agence, et qu’ Annie et lui ont dit, lorsque qu’on regardait une fermette sur une vitrine, qui Ă©tait Ă un peu plus de 10 km, son mari a dit, « oui, mais elle est loin » et Annie a rajoutĂ©, « oui ,il ne faut pas dĂ©passer 5 km », après ça fait loin.Pendant ces deux annĂ©es, Annie Ă©tait moins disponible, Ă part certain WE, elle avait un jeune colocataire qui l’occupait beaucoup, son mari faisant des dĂ©placements, ils se voyaient moins, il a profitĂ© de ces deux annĂ©es pour gagner plein de fric en faisant des chantiers en dĂ©placement.Quand elle avait fini sa mission Ă paris, j’Ă©tais prĂŞt, mon associĂ© louait notre maison, avec Marie, on a eu un coup de cafard de la quitter, c’Ă©tait la maison de l’amitiĂ©, je revoyais les copains qui y travaillaient pour rendre habitable, chacun dans leur domaine.Je voyais mon client dans sa chambre, mais la vie est courte, on a regardĂ© vers l’avenir, et l’avenir pour nous, c’Ă©tait Annie et son mari, autant les femmes se ressemblaient, autant son mari et moi, nous n’avions rien en commun, mais on s’entendait bien sur l’essentiel, et on se complĂ©tait.Lui, très intelligent, moi un peu instruit, il frappe d’abord et pose les questions ensuite, moi, je pose les questions en Ă©vitant de me faire frapper, je me rappelle la fois ou un arbre Ă©tait tombĂ© dans un chemin de promenade chez nous, je l’avais signalĂ© au propriĂ©taire du bois, qui avait rĂ©pondu « et alors », je lui avais dit qu’il m’empĂŞchait de passer et qu’il pouvait passer chez nous pour le couper.Il avait rĂ©pondu, » je ferais cela quand j’aurais le temps », en se promenant tous les quatre un dimanche, le mari d’Annie me demande pourquoi je ne l’ai pas fait enlever, je lui raconte ma rencontre avec ce voisin pas commode, le lendemain l’arbre Ă©tait dĂ©gagĂ©, sans me le dire, le mari d’Annie Ă Ă©tĂ© voir ce voisin et le lui avait rappelĂ© en Ă©tant surement plus convaincant.Environ trois mois après qu’Annie soit revenus en province, les travaux dans notre petite propriĂ©tĂ© Ă©taient terminĂ©s, nous Ă©tions Ă 2 km de chez eux par un chemin et 4,5 km par la route, l’effleureur et coucou nous avaient fait la plomberie et l’Ă©lectricitĂ©, ils venaient du mercredi soir et repartaient le lundi matin, les gravats Ă©taient mis dans le chemin entre nos maisons, on pouvait ainsi rentrer soit Ă pied soit en quad, et mĂŞme en voiture en roulant doucement.Le mari d’Annie avait travaillĂ© les WE avec des copains Ă lui, le soir, il faisait le maitre d’œuvre, il a fait refaire certains travaux de StĂ© ou d’artisan, quand il n’avait pas sur place de copain qu’il connaissait, j’ai eu deux procès en cours sur le sujet, j’avais mis le paiement Ă la caisse des dĂ©pĂ´ts et consignation afin de ne pas ĂŞtre cataloguĂ© de mauvais payeur, j’ai gagnĂ© les deux procès, bien Ă©videmment, je payais les copains qui travaillaient, mĂŞme le mari d’Annie, leur tarif Ă©taient dĂ©raisonnablement bas.La copine d’Annie, triste de se retrouver seule, elle venait tous les mois l’hiver, et tous les 15 jours le reste de l’annĂ©e, elle a fini par craquer grâce Ă un autre connard comme elle dit, un samedi, juste avant midi, elle arrive Ă l’improviste, souriante au dĂ©but, puis d’un coup se met Ă pleurer, Ă chaque fois qu’elle avait un mec, elle y croyait, je me suis souvent demandĂ© si les types n’Ă©taient pas jaloux de l’amitiĂ© qu’on entretenait tous ensemble, il faut dire qu’elle nous appelait très souvent le soir.Elle a donc virĂ© son « connard », elle nous a dit qu’elle comptait nous rejoindre, nous avons beaucoup discutĂ©, et moins de deux mois après, elle arrive, elle avait pris une annĂ©e sabbatique, et avait, si on le souhaitait, trouvĂ© un nouveau locataire Ă sa place, en la personne de notre deuxième associĂ©J’Ă©tais content, car quand elle a demandĂ© de voir pour une location dans le coin, Marie, d’elle-mĂŞme, sans me consulter lui a dit, « ici, ta chambre est prĂŞte », le soir mĂŞme, nous avons fĂŞtĂ© cela. MĂŞme Helene vient en vacances des fois avec ses enfants, le mari d’Annie les emmène Ă cheval ou en quad.Quand je suis avec HĂ©lène, Marie rejoint la copine, Annie m’apprend qu’Ă l’Ă©poque, Helene avait dit Ă Marie que je l’aimais toujours et comment faire pour me rĂ©cupĂ©rer, elles s’Ă©taient parlĂ© Ă mon insu, solidaritĂ© fĂ©minine.En vacances, j’avais proposĂ© Ă Marie, des aventures avec d’autres hommes, mais elle n’avait pas voulu, me disant, que si c’est pour me faire plaisir, elle le faisait, mais n’en avait pas envie, le but Ă©tait que cela lui plaise Ă elle avant tout, alors il n’y a jamais rien eu, sauf qu’un jour, nous n’aimons pas la foule, alors plutĂ´t qu’ĂŞtre sur le sable, on prĂ©fère les endroits moins frĂ©quentĂ©s.Quand je raconte cela, Annie me dit, qu’elle aussi a jouĂ© de cette façon et que son mari, tout comme moi, a horreur d’avoir les mains grasses avec le sable qui se colle dessusCe jour donc, dans les rochers, on avait mis nos paillasses ainsi que le parasol, on Ă©tait Ă 2 mètres d’un type qui avait sa serviette et qui matait Marie discrètement, elle met sa crème et me demande de lui en mettre dans le dos, je lui dis non, pas ça, on plaisantait en argumentant chacun notre point de vue, le type a cotĂ©, voyant que nous jouons sur les mots, qu’on le regardait par moment en souriant, nous dit. »Monsieur dame, moi, si vous voulez, il y a des corvĂ©es qui ne me rebutent point et comme je suis très serviable », avec Marie, on se regarde et dans la fraction de seconde, on s’est tout dit, je dis au type, « on ne voudrait ni dĂ©ranger ni abuser », en approchant, il dit,  » aider mon prochain est une joie pour moi », après avoir Ă©changĂ© d’autres phrases d’humour, je lui dis, « et bien, faites votre BA ».Marie lui donne la crème, il Ă©tale dans son dos, il n’abuse pas beaucoup au dĂ©part, et fini assez vite, elle lui dit, « n’ayez pas peur de bien frictionner pour que je sois bien protĂ©gé », je dis au type, « mais oui, vous bâclez lĂ , il faut frictionner, aller, je vous laisse Ă votre corvĂ©e », je vais voir la mer, je monte sur un rocher Ă cĂ´tĂ©, qui surplombe l’eau.Elle lui dit, allez travailler, le type jette un œil sur moi, un sur ce qu’il fait, elle lui dit, « ne vous occupez pas de lui, mais de moi, il ne vous demandera pas de lui en mettre aussi », vous croyez dit-il, elle lui confirme, il continue Ă lui Ă©taler la crème et en la massant, elle fait « humm, j’adore ĂŞtre massĂ©e, oui lĂ , les Ă©paules aussi et le dos », l’attache du soutif de bain roule sous ses mains, elle lui dit, « si vous restez sage, vous pouvez dĂ©faire le nœud ».Il dĂ©fait le nœud, et la masse, il redemande, si je ne vais rien dire, elle lui rĂ©pond, « tant que moi, je vous dis de continuer, sauf si vous en avez marre », que non dit-il, il continue, elle lui dit, « je suis bien lĂ , je suis sur un nuage », le type continu et sa main gagne Ă chaque descente sur les reins, elle ne dit rien, et il continue, de ma position, je ne me retourne que très peu et je ne vois pas tout, elle m’a racontĂ© après.Une fois sa main sur le haut des fesses, comme elle ne disait rien, il a demandĂ© s’il devait faire les jambes, elle lui dit, « oui, faites-moi les jambes aussi », il n’a pas commencĂ©, des types sont venus s’installer Ă cĂ´tĂ© d’eux et il n’a pas pu continuer, je suis revenu vers eux, Marie s’est rĂ©ajustĂ©e en faisant celle qui ne voulait pas que je voie son maillot dĂ©fait, on a pris congĂ© en disant que le coin est tranquille, qu’on reviendra surement demain.Comprenant l’invitation, nous nous sommes retrouvĂ©s le lendemain, il nous demande si on connaĂ®t le rocher des….., je dis non, il propose de s’y rendre, c’est a 10 minutes de marche, on le suit et en effet c’est plus tranquille et ça Ă l’air jolie comme endroit, Marie me dit, « bon, je profite que mon crèmeur » est lĂ pour le faire travailler, je dis, « le pauvre, moi je vais me promener pendant ce temps, et vous, vous me la surveillez, qu’elle ne parle pas aux garçons ».Je m’Ă©loigne et reviens par le dessous des rochers, entre deux rochers, lĂ ou j’avais vu un « trou », le point de vue n’est pas terrible mais tranquille, je dois ĂŞtre Ă une vingtaine de mètres d’eux, il vient juste de finir son dos et s’occupe de ses jambes, je raconte ici ce que j’ai vu et ce qu’elle m’a racontĂ©.Elle est sur le dos, tenant son soutif dont elle avait dĂ©fait l’attache derrière, il caresse ses jambes puis les cuisses, Ă©talant la crème, Marie commence Ă rĂ©agir aux caresses de cet inconnu, surtout quand il remonte assez haut sur les cuisses, elle lui dit, « ça doit aller, mettez-moi-en sur le ventre maintenant », il est Ă genoux, il se dĂ©place et lui Ă©tale sur le ventre puis sur le cou, sa main descend lentement Ă chaque passage.Comme elle ne dit rien, il a tĂ´t fait de repousser le soutif, sans le rattraper, elle dit, vous ne vous embĂŞtez pas », il rĂ©pond qu’il est consciencieux, qu’il ne voudrait pas trahir ma confiance en la protĂ©geant mal, elle dit, « mais si je ne veux pas moi », sur le ton de la plaisanterie, il lui dit, « attention, votre mari vous a confiĂ© Ă moi, demandant que je vous surveille, que dirait-il, si je lui disais que vous avez parlĂ© Ă des garçons, hein », elle lui dit, « non, ne faites surtout pas ça », bien dit-il, je vois que vous devenez raisonnable.Disant cela, sa main maintient un sein et l’autre descend sur son bas-ventre, il lui dit, « n’est-ce pas que vous allez ĂŞtre raisonnable », elle rĂ©pond,  » oui, mais ne lui dites pas que j’ai parlĂ© aux garçons », comprenant le jeu, il s’enhardit, sa main passe sous son slip et il lui caresse le sexe en disant, « si vous ĂŞtes raisonnable, je ne dirai rien, « Marie lui rĂ©pond, « oui, je serais très raisonnable », il passe cette fois sa main dans le slip et la doigte, l’encourageant Ă continuer, elle a joui sous ses caresses.L’endroit ne permettait pas plus, son orgasme passĂ©, elle lui a dit de venir Ă califourchon, elle lui a sorti son sexe et l’a masturbĂ© pendant qu’il tripotait ses seins, tu mets tout sur mes seins lui a-t-elle dit, et tu Ă©tales, j’en ai profitĂ© pour revenir par lĂ oĂą j’Ă©tais arrivĂ©, il avait Ă©jaculĂ© et caressait ses seins quand je suis arrivĂ©, il a voulu se pousser, mais elle lui a dit, « continuez, je vais lui dire », Ă©tonnĂ©, il n’a pas le temps de rĂ©pondre.Elle me dit, Monsieur a eu la gentillesse de me mettre de la crème partout, c’est bien aimable que je rĂ©ponds, Marie dit, « j’ai mĂŞme vidĂ© son tube », je dis en voyant son air indĂ©cis, « ça vous a plu, ça lui a plu, alors ça me convient », nous sommes retournĂ© Ă la plage ou Marie s’est juste baignĂ©e avant de rentrer, on s’est revue les cinq autres jours restant oĂą il ne mettait que la crème le jour et ou il la tripotait la nuit après le repas du soir que nous prenions tous les trois.Il avait sa purge, puis le dernier jour, j’ai dit Ă Marie que si elle en avait envie, qu’elle pouvait lui donner satisfaction, il l’a baisĂ©, je l’ai entendu jouir, mais pas plus qu’avec moi, rien Ă voir avec ce que l’effleureur ou ses « invitĂ©s » lui donnaient, je lui ai fais remarquer une fois seuls, et elle me l’a avouĂ©, de n’avoir que très peu jouit, Ă d’autres vacances, on recommençait les mĂŞmes jeux avec d’autres, mais on Ă©vitait de « s’attacher » avec le coquin comme cette fois-lĂ .Trois mois après, la fois ou la copine s’Ă©tait faites larguer, elle trouvait du boulot par chez nous, mon associĂ© Ă©tait effectivement intĂ©ressĂ© par l’appartement de la dĂ©pendance et a emmĂ©nagĂ©, avec cette copine, voulant prĂ©server notre intimitĂ© et aussi la sienne, il y avait un vieux bâtiment en ruine, les copains sont revenus travailler pour des clopinettes, elle ne voulait pas trop grand pour elle toute seule, un petit 70 m² a Ă©tĂ© vite amĂ©nagĂ© en moins de 6 mois, on s’est battu pour le loyer, on n’en voulait pas et elle le voulait, on lui a donc pris 150 € par mois.Elle Ă©tait pour notre plus grand plaisir, plus chez nous que chez elle, n’y allant que pour nous laisser en repas d’affaires et deux jours par semaine pour nous laisser seuls, de temps Ă autre, elle trouvait un copain, hĂ©las pour elle, elle n’attirait que les « brèles » comme elle disait, aussi beau que con et ils Ă©taient pas mal, soit un jaloux, soit un coureur qui revenait presque avec la capote collĂ©e au sexe en plus du parfum qui n’Ă©tait pas le sien, celui qui semblait le mieux, lui piquait du fric.Une fois, un autre encore, Ă©tait jaloux, mais des rapports d’amitiĂ©s que l’on avait, il a voulu dĂ©mĂ©nager, il lui a dit, c’est eux ou moi, elle lui a dit, c’est eux, il est parti comme un malade et a failli rentrer dans une borne d’angle en partant, il faut dire que le clan, Annie, Marie et elle, sont très complices, s’attaquer Ă l’une, c’est avoir les autres sur le dos.Nous n’avions plus de rapport ensemble quand elle Ă©tait avec quelqu’un, afin de ne pas ĂŞtre ceux qui lui auraient gâchĂ© sa vie, mais dĂ©s qu’il Ă©tait larguĂ©, c’Ă©tait la fĂŞte le soir, nous Ă©tions presque un mĂ©nage Ă trois qui dure encore aujourd’hui.Deux ans après, coucou, puis l’effleureur sont venus nous rejoindre, pour habiter dans la rĂ©gion aussi, j’ai pu avoir la chance de les remercier de ce qu’ils m’avaient donnĂ©s, en les aidants financièrement Ă s’installer le temps qu’ils vendent leur maison.Dans notre univers des copains, tous n’ont pas eu cette chance, l’un deux, sa femme Ă©tait très superficielle, vĂ©nale, c’Ă©tait un copain venu du cĂ´tĂ© de coucou, elle le quitta peu avant qu’on parte, il a Ă©tĂ© trois ans dans l’alcool, puis coucou l’a recueilli Ă la campagne, s’il arrĂŞtait la picole, cela a Ă©tĂ© dur, mais il y est arrivĂ©, coucou ne rigole pas, souvent, il venait « m’emprunter » 50 €, et comme c’Ă©tait pour payer un cadeau pour coucou ou sa femme, ou encore le coiffeur, ou se vĂŞtir dĂ©cemment ou quelque chose d’utile, je lui donnais.MalgrĂ© que je savais qu’il ne me les rendrait surement jamais, je m’en foutais complètement, il faisait partie de ceux qui ont travaillĂ©s gratuitement et m’ont prĂŞtĂ©s pour la maison en rĂ©gion parisienne, d’autre lui donnait des habits, en tout cas, coucou disait qu’il ne buvait plus du tout, et nous avons pu le constater lors des fĂŞtes, mais il a Ă©tĂ© dĂ©truit par cette femme, disant que s’il devait se remettre avec une autre un jour, ça ne pourrait ĂŞtre qu’avec un clone d’Annie ou de Marie, j’avais pensĂ© Ă la copine, mais ils n’allaient ensemble.Avec l’arrivĂ©e d’internet, je ne me dĂ©plaçais presque plus Ă paris, les nouveaux clients que j’avais, qui venaient de la part de ceux qui Ă©tait dĂ©jĂ venue, ne disait pas ce qui se passait ici, sauf une fois, ou l’un disait avoir Ă©tĂ© mis au courant du dĂ©roulement des repas d’affaires, il lui a clairement indiquĂ©, en disant en mĂŞme temps qu’il lui attrapait doucement le genou, elle disait, « que faites vous » en se poussant, il rĂ©pond, en le prenant plus fermement « aller, vous vous laissez faire d’habitude », Marie ne se poussait que modĂ©rĂ©ment.C’est Marie la plupart du temps, qui dĂ©cidait si le client lui plaisait ou pas, cela se faisait avant le repas d’affaires, elle l’apercevait au bureau d’Ă©tude et suivant la conversation, c’est elle qui disait, « vous ne prĂ©fĂ©rez pas venir Ă la maison plutĂ´t, ça sera plus convivial », je disais, « oui, bonne idĂ©e » en le regardant, je vantais ses talents de cuisinière, les clients acceptaient facilement.Ce client, venu avec un projet important, l’air strict, ne passant pas le filtre repas maison, je ne lui propose que le resto, il dit venir de la part d’un client qui lui venait Ă la maison, dure de dire non, je lui dis, « si vous prĂ©fĂ©rez, pas de soucis », ce soir-lĂ , il arrive avec un bouquet, au repas, il est strict aussi, on parle boulot.Quand il parle, il est sec, ses mots portent et sont prĂ©cis, il sait ce qu’il veut, il a un cotĂ© très autoritaire. Il est compĂ©tant, chaque phrase est pesĂ©e et juste, il est objectif Ă©galement dans ses discours, froid, mais pas glacĂ©, il a de l’humour, pince sans rire, assez cultivĂ©, par moment, j’avais l’impression que le contrat Ă©tait acquit et Ă d’autre, que ce n’Ă©tait pas le cas.Son visage Ă©tait imperturbable, seuls ses mots trahissaient son Ă©tat d’esprit, il avait rĂ©ponse Ă tout, et le comble Ă©tait qu’il avait raison, dans le travail s’entend, car nous ne parlions jamais des sujets qui fâchent comme la politique ou religion, il faisait de l’Ă©quitation et avait un bon niveau de pratique et de connaissance sur le sujet, on l’avait constatĂ© plusieurs mois après, on lui avait proposĂ© de monter chez Annie, qui nous avait dit qu’il Ă©tait très bon cavalier.Son allure ressemblait Ă celle de Steed (chapeau melon et botte de cuir, mais sans le melon ni les bottes), sauf qu’il Ă©tait plus mince, le style anglais Ă l’extrĂŞme, c’est pendant que je vais chercher un document dans le bureau, qu’il lui annonce savoir ce qui se passe, n’Ă©tant pas restĂ© longtemps, cela n’a pas Ă©tĂ© plus loin, en revenant, Marie me fait le signe que le client a entrepris quelque chose, nous ne retenions pas ceux qui restaient raisonnables.Le cafĂ© fini, c’est lui qui demande Ă voir des rĂ©alisations dĂ©jĂ faites, confirmant qu’il sait, je vais pour y aller, mais il dit, « si madame sait utiliser l’ordi, je prĂ©fère que vous jetiez un œil lĂ -dessus en attendant », il me donne un cahier des charges d’un autre projet, sachant qu’il sait, je fais un signe discret Ă Marie qui l’emmène Ă l’ordi, dans le bureau, il y avait aussi une camera que je regardais pour intervenir.Dans le bureau, Marie s’assoit, le type prend la chaise, mais ne se met pas Ă cĂ´tĂ©, « vous pouvez approcher » dit-elle, il dit, « non, voilĂ , soyons direct, Mr ……… (Un client coquin qui avait entrepris Marie) Nous sommes très bons amis et je vous rassure, il ne l’a rĂ©pĂ©tĂ© Ă personne sauf Ă moi du fait d’une grande amitiĂ© qui nous lie, je vous rassure Ă©galement, nous ne sommes pas gays pour autant ».Marie, prise sur le vif balbutie des, « mais, je, non, je », il la coupe en lui disant, « ne vous inquiĂ©tez pas, je ne le rĂ©pĂ©terais Ă personne non plus, mĂŞme si vous refusez ma demande », elle lui demande, « quelle demande, » que vous me montrez vos seins dit-il », elle refuse, il insiste, elle gagne du temps pour savoir ce que j’en pense, voyant que je n’arrive pas, elle comprend que je suis ok.Lui donnant le pouvoir de dĂ©cider, pendant qu’il continuait d’argumenter jusqu’au moment oĂą il lui dit, « bon Ă©coutez, on perd du temps, allĂ©, montrer moi vos seins », devant son ton autoritaire, elle lui dit, « d’accord, mais vite fait », allez, dit-il, Marie baisse sur ses Ă©paules, les bretelles de sa robe, je vois Ă son air, qu’elle fait la tĂŞte de celle qui fait cela pour Ă©viter de faire des histoires, mais je sais aussi qu’elle adore cela.Ses bretelles sont tombĂ©es, mais elle retient encore sa robe pour se cacher, il lui dit d’un ton qui laisserait croire, qu’elle doit le faire, « alors, vous me les montrez vos seins, dĂ©pĂŞchez-vous », Marie sait que je mettrais moins de 5 secondes entre ma dĂ©cision d’intervenir et mon intervention Ă claquer la première porte, chaque attente qu’elle fait, c’est pour me laisser le temps d’agir.Sa robe tombe sur ses genoux, elle est assise, allez dit-il, j’ai dit les seins, pas les dessous, elle le dĂ©grafe lentement, puis elle la dans la main, bien dit-il, mettez vos bras en arrière, Marie s’exĂ©cute, j’Ă©tais certain qu’a ce moment-lĂ , elle Ă©tait super excitĂ©e, elle me l’a confirmĂ©e le soir mĂŞme.Il continue en disant, « restez comme cela, maintenant, remontez votre robe, que je vois aussi vos cuisses », Marie allait dire quelque chose, mais il ne lui en laisse pas le temps et dit, « allez faites, on n’a pas beaucoup de temps, allez », Marie me disait aussi que pendant qu’elle Ă©tait avec le type, comme elle savait que je regardais et Ă©coutais, le fait de ne pas intervenir l’excitait aussi.Elle remonte sa robe, genoux serrĂ©s, il lui dit plus haut encore, quand c’est fait, il lui demande d’Ă©carter ses jambes, elle dit « ha non, pas ça », il rĂ©pond, « aller, au point oĂą on en est, inutile de refuser, regardez, je reste assis, vous ne risquez rien », Marie s’exĂ©cute Ă nouveau, maintenant, elle n’attend que mon intervention, se disant, « pourvu que je n’intervienne pas ».Il lui fait Ă©carter plus encore les jambes, Ă son maximum, il la contemple et lui demande, alors, ça vous fait quoi comme sensation, Marie ne rĂ©pond, pas, elle hausse les Ă©paules comme pour dire rien, restez comme cela dit-il, il se lève, va derrière elle, comme elle Ă©tait de cotĂ© par rapport Ă l’ordi, elle attend qu’il soit derrière elle pour regarder l’endroit ou est cachĂ© la camera, elle me fait juste une mimique qui veut dire qu’elle est excitĂ©e.Cela, je le savais dĂ©jĂ , elle ne me fait pas le signe qui demande que j’intervienne, arrivĂ© derrière elle, il dit, « ne bougez pas, je vais vous attrapez les seins, non, ne bougez pas », il passe ses mains, et lui attrape les deux seins, Marie Ă un frisson qu’il voit aussitĂ´t, elle tente de lui attraper les mains, mais il dit, « non, laissez pendre vos bras, laissez vous faire, je sais que vous aimez », elle essaie de parler, mais il lui dit de ne rien dire, il la tripote fermement, il lui pince ses tĂ©tons.En faisant cela, il lui dit, « rien ne sert de mentir, sentez comme ils durcissent sous mes doigts, Marie s’agrippe sur le fauteuil, elle a envie de plus, mais elle sait qu’il ne faut pas, elle sait que je suis lĂ , en s’agrippant au fauteuil, elle a un dĂ©but d’ondulation qu’elle essaie de camoufler, tout en la malaxant la poitrine, il dit, « est-ce que vous aimez », elle ne rĂ©pond pas et il repose la question d’un ton plus sec, elle dit « oui ».Voulez-vous que je revienne la prochaine fois dit-il, elle rĂ©pond un nouveau « oui » très faible, pinçant ses tĂ©tons, il lui repose la question, « rĂ©pondez, oui, je veux que vous reveniez », Marie lui dit, « oui, je veux que vous reveniez », il dit, « bien, je reviendrais, mais il faudra Ă©viter de me faire rĂ©pĂ©ter », il la lâche et lui dit, « rhabillez-vous maintenant, et montrez moi vite fait ce qu’on devait regarder « .Marie se rhabille et passe en diaporama les rĂ©alisations faites, de mon cĂ´tĂ©, je feuillète aussi son cahier des charges, quand ils reviennent peu après, je coupe la tĂ©lĂ© et je fais celui qui le feuillette, c’est Marie qui arrive la première, lui est passĂ© par les toilettes, s’est-il masturbĂ©, je ne saurais le dire, mais si c’Ă©tait le cas, il y avait urgence, il n’a pas Ă©tĂ© long.Pendant son occupation, avec Marie, je la rassurais et elle me commentait par signe, quand il revient, il me demande ce que j’en pense, si cela n’est pas trop lourd pour moi, je dis que non, que j’ai dĂ©jĂ eu des projets similaires, mais ne voulant pas rentrer dans des dĂ©tails qui m’auraient perdu, je lui demande ce qu’il pense de ce qu’il a vu, il rĂ©pond que ça mĂ©rite de le savoir, et qu’il regardait a nouveau plus en dĂ©tail quand il reviendra.Je lui dis, « quand vous reviendrez, ça veut donc dire que notre proposition est en bonne voie », il rĂ©pond, « oui, revoyez les dĂ©tails dont nous avons parlĂ© pendant le repas, repas de qualitĂ©, mes compliments Ă la maĂ®tresse de maison, je vous avais prĂ©parĂ© une feuille mĂ©mo retraçant ce dont nous avons discutĂ©, Ă part ce que nous avons vu ensemble et sommes tombĂ©s d’accord, revoyez le reste et faites moi signe ».Après cela, il nous quitte, Marie et moi, Ă©tions très excitĂ©s, j’ai Ă©tĂ© Ă la douche, Marie l’avait prise avant de s’habiller, quand je suis revenu, elle se masturbait avec son gode, jouissant quand j’arrivais, dans un sens tant mieux pour elle, car je n’Ă©tais pas mieux, j’ai eu peine Ă me retenir pour lui donner son deuxième orgasme, ce qui fait que je n’ai pas pu lui en donner un troisième, et comme avec l’âge, il ne faut pas se faire d’illusion, les mousquetaires travaillent moins vite (Note d’Annie : les mousquetaires d’Henri, c’est  » sperme, Atos et zoĂŻde »), je me suis rattrapĂ© le lendemain matin.Après cette bonne baise, avec Marie, on discute sur ce client, de ce que j’ai vu et entendu, le client dont parlait celui-ci, après consultation de notre fichier client coquin, n’avait pas fait grand-chose avec Marie, il lui avait juste touchĂ© un peu les seins Ă travers le tissu, juste le temps qu’elle se pousse.On avait du boulot, mais notre carnet de commandes n’Ă©tait pas plein, bien sur, qu’il fallait avoir ce client, ce pour quoi il Ă©tait venu, mais si je pouvais avoir le nouveau boulot Ă venir, qu’il m’a montrĂ©, ça permettrait de repousser de plusieurs mois notre fin d’Ă©tudes, laissant le temps Ă d’autre d’arriver et repousser d’autant.Dans l’ensemble, je suis content, nous sommes Ă la campagne, j’ai autant de travail qu’a paris, j’ai les clients parisiens fidèles, ceux qui viennent pour Marie, font le dĂ©placement sans soucis, ceux plus prĂ©s, prĂ©fère aussi, et j’en trouve des nouveaux qui prĂ©fère ne pas aller sur paris, j’ai moins de repas d’affaires, mais dans l’ensemble, ça va, Ă mon ancienne boite, on avait un an et demi de carnet de commandes, Ă paris Ă mon compte, j’avais Ă peine moins d’un an, et ici en ne comptant que ma clientèle provinciale, j’ai entre 4 et 6 mois.Mes associĂ©s n’ont jamais cherchĂ©s Ă me faire faux bond, mais il faut savoir qu’ils sont chez moi, ailleurs, il faudrait qu’il paie un loyer plus cher, et pas sur, qu’ils trouvent un logement prĂ©s de leur lieu de travail, Ă savoir aussi que certains clients parisien me reviendraient si je leur disais que je ne suis plus avec mes associĂ©s, depuis que je suis Ă mon compte, j’ai repris les Ă©tudes (sur les projets), les repas d’affaires sont du bĂ©nĂ©volat, mais comme j’ai dis au dĂ©but, mes associĂ©s ne m’ont pas lâchĂ©s, peut ĂŞtre cela leur est venu Ă l’esprit, mais en tout cas, ils ne l’ont jamais fait.Avant la fin du mois, j’avais envoyĂ© au client les modifications qu’il avait demandĂ©es, certaines demandaient de modifier d’autres points oĂą on Ă©tait tombĂ© d’accord, je lui avais fait un rĂ©sumĂ© de cela en lui prĂ©sentant d’autres options, deux semaines plus tard, il tombe sur Marie au tĂ©lĂ©phone, chose rare, car je suis très peu absent, elle ne le reconnaĂ®t pas, ni Ă son nom, elle indique que je suis absent.Vous ĂŞtes seule dit il, oui dit elle, « disant, « vous ne me remettez pas, nous avons visionnĂ© des projets rĂ©alisĂ©s dans votre bureau », comme elle faisait cela avec presque tous, pendant qu’elle essayait de se souvenir, il lui dit, vous vous souvenez que quand je reviendrais, il ne faudra pas me faire rĂ©pĂ©ter ce que je vous demanderais, Ă ces mots, Ă son intonation, Marie se rappelle du clientNe voulant pas se dĂ©voiler de suite au cas oĂą elle pourrait se tromper, elle lui dit, « oui, je me souviens un peu, que vous ai-je montrĂ© en arrivant », il rĂ©pond, « vos seins », elle dit, « oui, je me souviens, vous avez abusĂ© quand mĂŞme », il rĂ©pond, « non, parce que quand je reviendrais, j’abuserais encore plus, lĂ , vous ĂŞtes prĂ©venue », quand nous en avions parlĂ©s avec Marie, on avait convenu qu’il pouvait revenir.Marie lui dit, « je regrette, mais l’autre fois, j’ai Ă©tĂ© folle de vous laissez faire, mais maintenant, c’est terminé », d’un ton plus sĂ©vère, il rĂ©pond, « hĂ© bien, vous rĂ©flĂ©chissez, quand vous serez prĂŞte Ă recommencer, vous direz Ă votre mari que j’ai appelĂ© et qu’il me fasse savoir quand est-ce que je peux revenir pour ce projet, ensuite vous me rappellerez pour me confirmer vos intentions, bonne journĂ©e ».Marie ne se formalise pas du fait qu’il a raccrochĂ©, elle me le fait savoir, j’attends une semaine avant de le rappeler, pour lui faire croire qu’elle a rĂ©flĂ©chie, pendant que je lui parle au tĂ©lĂ©phone, je fais celui qui rĂ©pond Ă Marie ayant quelqu’un en ligne, je dis tout haut, « dit-lui que je passerais Ă 14 heures », je poursuis ensuite la conversation avec le client, on règle quelques dĂ©tails, puis je raccroche.Marie l’a rappelĂ© Ă 15 heures, nous espĂ©rions qu’il rappelle lui-mĂŞme en tenant compte de ce qu’il avait entendu, mais ne le faisant pas, je lui dis d’appeler, elle tombe directement sur lui, il est seul dans son bureau, « bonjour, je suis madame………….., il rĂ©pond, « ha oui, j’attendais que vous m’appeliez, alors, vous avez rĂ©flĂ©chie », elle dit qu’elle fera comme la dernière fois, je suis Ă cotĂ© d’elle, avec un bloc au cas oĂą elle devrait rĂ©pondre a ce qu’on n’a pas prĂ©vu.Il dit, « non, je ne vous demanderais pas de faire comme la dernière fois, je vous demanderais de faire ce que je vous dirais, Marie me lit et dit, mais je ne peux pas me laisser baiser avec mon mari Ă cĂ´té », il rĂ©pond, « je ne vous demande pas de vous baiser, mais de faire ce que je vous demanderais, il y a une nuance, pour baiser, il y a des professionnelles, je ne vous ai pas violĂ©e la dernière fois ».Je fais un signe de tĂŞte Ă Marie qui lui dit, « bon d’accord alors », il rĂ©pond, « bien, alors vous mettrez une robe rapide Ă enfiler, sans soutif et pas de string, aller, Ă vendredi », fidèle Ă lui-mĂŞme, il ne perd pas de temps en bavardage inutile, Marie Ă©tait excitĂ©e Ă l’idĂ©e de ce qui se passera vendredi et moi Ă©galement, nous avons fait l’amour debout, comme un amant Ă sa maĂ®tresse pendant les heures de boulotLe vendredi matin, Marie faisait les courses et l’après-midi, elle prĂ©parait la soirĂ©e, elle n’avait plus la femme de l’effleureur pour l’aider depuis qu’on Ă©tait a la campagne, une bonne demi-heure avant que le client arrive, elle se prĂ©parait, nous Ă©tions tout excitĂ©s Ă cette idĂ©e, c’est mĂŞme la première fois qu’un deuxième rendez vous va aller aussi loin sans l’excuse d’ĂŞtre saoul, ni d’un petit chantage au foulard.Ce client n’Ă©tait ni beau, ni attirant physiquement comme disait Marie, elle disait ne pas comprendre, je ne pouvais pas lui dire ce qu’elle y trouvait, et elle ne pouvait pas me le dire non plus, il Ă©tait autoritaire, voilĂ ce qu’il avait qui excitait Marie, j’avais revĂ©cu avec lui Ă sa dernière visite, ce que je voyais Ă l’Ă©cran chez l’effleureur, avec lui, elle Ă©tait « forcĂ©e », elle devait « obĂ©ir ».Depuis que l’effleureur ne « pratiquait » plus, elle n’a plus eu de « prestations » de ce genre, Annie me dit ici, « c’est très dur de trouver des hommes vraiment dominant, c’est un don, il y a beaucoup de guignols qui pensent que de nous faire marcher Ă quatre pattes avec une laisse ou nous faire boire dans une Ă©cuelle, que c’est ĂŞtre un dominant, ĂŞtre dominant, c’est dans l’attitude, dans les mots employĂ©s, l’intonation de la voix et la façon de demander ».Annie dit aussi qu’elle avait cherchĂ© quelqu’un comme cela, mais ceux essayĂ©s, si elle avait voulu, au bout de 30 mn, c’est eux qui auraient eu la laisse autour du cou, l’un a mĂŞme Ă©tĂ© violent, un dominant n’utilise jamais la force, ce qui fait qu’elle a abandonnĂ©, quand j’Ă©coute Annie, je peine Ă comprendre cette dĂ©viance, mais il en faut pour tous les goĂ»ts et je respecte, tant que toutes les parties sont consentantes, de plus, je ne suis pas diffĂ©rent non plus, puisque j’aime la voir obĂ©ir Ă un autre.Dans la semaine, j’avais achetĂ© une deuxième photocopieuse, que j’avais mise dans le salon, mais pas trop visible, le soir, J’arrive et c’est avec une excitation commune que nous allons ouvrir la porte, lorsqu’on le voit arriver, il a exactement la mĂŞme allure que la dernière fois, peut ĂŞtre un peu plus souriant, sur l’Ă©chelle du sourire, si la première fois, il avait 2/20, lĂ , il aurait peut-ĂŞtre 3/20, pas de quoi se faire enlever une nouvelle ride.Ça ne l’a pas empĂŞchĂ© d’amener des fleurs pour Marie et de la complimenter sur sa beautĂ© et peut ĂŞtre avec un sous-entendu en disant, « je suis certain que cette fois encore, je vais me rĂ©galer », je rĂ©ponds non sans ironie non plus, « ha lĂ -dessus, ma femme ne déçoit jamais », Ă l’apĂ©ro, il ne se passe rien, au repas non plus, on a parlĂ© du projet, des modifications, au salon, je dis Ă Marie,  » va t’asseoir, je m’occupe du cafĂ©.Ils s’installent au salon, pendant que je le prĂ©pare, il dit Ă Marie d’Ă©carter son dĂ©colletĂ©, elle fait « non » en silence, il lui lance un regard qui en dit long et elle s’exĂ©cute, elle me l’a racontĂ© puisque j’Ă©tais dans la cuisine, voyant qu’elle a fait comme il lui avait demandĂ©, il dit, « bien, en dessous aussi », elle fait un oui de la tĂŞte timide.Je reviens avec les cafĂ©s et thĂ© que nous prenons puis fouillant dans sa mallette, il me sort le contrat du projet signĂ©, il fait confiance Ă Marie, car elle pourrait se dire que maintenant que c’est signĂ©, plus besoin qu’elle se laisse faire, ou peut ĂŞtre la teste-t-il, est-elle docile par intĂ©rĂŞt ou par envie.Pendant que je contrĂ´le si tout est paraphĂ© signĂ©, il me sort Ă nouveau non pas un, mais deux futurs projets en me disant, tenez, ça ne vous dĂ©range pas que je revoie Ă nouveau vos rĂ©alisations, comme ça pendant ce temps, je vous laisse tranquille pour jeter un coup d’œil la dessus, pour me dire ensuite ce que vous en pensez.Ă€ ce moment, je me disais, soit il me prend vraiment pour un imbĂ©cile qui ne se doute pas de ce qu’il va faire en s’isolant avec ma femme, soit il me sent comme un complice qui ne veut pas le montrer, ce contrat est une aubaine, s’il donne les autres, ça sera une bonne bouffĂ©e d’oxygène, je le fais patienter en demandant Ă Marie de lui resservir un cafĂ© pendant que je vais photocopier le contrat signĂ©, disant, « j’en ai pour deux minutes et après je vous laisse le bureau « .Pendant que je photocopie, de façon très autoritaire toujours, il lui demande de remonter sa robe, pour voir qu’elle est bien nue dessous, contrairement Ă l’Ă©poque de l’appartement Ă Paris, ou je passais beaucoup de temps exprès Ă photocopier, maintenant, mon matĂ©riel est performant et automatique, une fois mis dans la machine, elle travaille toute seule, Marie Ă la robe remontĂ©e, elle la remonte et la redescend aussitĂ´t, il lui dit sur un ton sec, « plus haut, je veux voir vos fesses Ă l’air », il le rĂ©pète encore une fois sur le mĂŞme ton, et elle s’exĂ©cute.Annie pense comme moi Ă l’heure oĂą on Ă©crit, l’ami du client a dĂ» juger Marie un peu soumise, le fait qu’elle n’est pas farouche et accepte quelques familiaritĂ©s pour me cacher certaines choses, puis connaissant les penchants de son ami, ce client, il lui en a parlĂ©, nous pensons qu’ils sont amis et collègues aussi, il y a des similitudes dans les contrats, dans leur procĂ©dure.Je reviens au salon, en disant, « voilĂ , celui-lĂ c’est pour vous, et celui lĂ pour moi, bon, moi, j’ai de la lecture, je m’y colle maintenant », ils se dirigent au bureau, j’allume la tĂ©lĂ© pour voir et entendre, dĂ©s qu’ils sont installĂ©s, Marie allume l’Ă©cran et met les pages des rĂ©alisations que l’on a faites, elle les passe en diaporama.Il prend la parole et dit, « bien, vous souvenez vous de ce que je vous avais demandé », oui dit-elle de ne pas mettre de dessous, il dit oui et quoi d’autre, elle rĂ©flĂ©chit et ne trouve pas, ne pas me faire rĂ©pĂ©ter dit-il, il continue en disant, « il est inutile de ne pas faire ce que je demande du premier coup parce que vous finirez par le faire et en plus, vous aimez cela, n’est-ce pas que vous aimez, n’est-ce pas, rĂ©pondez », elle dit un oui timide puis rajoute, mais mon mari.Il rĂ©pond, « pour votre mari, c’est moi qui gère cela, vous, vous faites ce que je dis et c’est tout, vous devez me faire confiance, je ne vous mettrais pas en situation difficile », encore une fois, et Annie pense aussi comme moi, soit il sait ma complicitĂ© passive, soit mon gabarit ne l’impressionne pas, il est Ă©vident que si je rentrais Ă l’improviste dans le bureau, Ă part de lui demander de quitter la maison, il ne risque rien de plus.Je tourne l’Ă©cran de façon Ă voir ce qui se passe pendant que je fais les photocopies, ça prend du temps, car je ne peux pas enlever les agrafes, cela se verrait, j’ai nĂ©anmoins pu tout copier, cela n’est pas rĂ©glo, mais il n’existe personne en ce bas monde qui peut se permettre de dire qu’Ă ma place, il n’aurait pas fait pareil.Les Ă©tats dĂ©pensent des milliards pour espionner les autres pays, les industriels dĂ©pensent des millions pour espionner leurs concurrents, moi, je n’espionne pas, on vient Ă moi, avoir ces cahiers des charges avant, permet de mieux me placer, d’ĂŞtre plus compĂ©tant lors du dialogue, du fait qu’on a pu faire des recherches plus poussĂ©es.Tout Ă mes photocopies, je regarde et Ă©coute ce qui se passe, une fois le diaporama lancĂ© et après lui avoir dit qu’il ne fallait pas le faire rĂ©pĂ©ter, il lui dit de se mettre debout, lui, il est sur la chaise et la contemple, l’a fait tourner sur elle-mĂŞme, puis lui dit de retirer sa robe et de lui donner, avant qu’on lui dise de revenir, j’avais dit Ă Marie que je n’interviendrais que si elle me fais signe et non si je juge que c’est trop hard.Marie Ă donc tout pouvoir, pour suivre son envie, voulant montrer qu’elle ne cède pas du premier coup, elle dit, non pas ça, il se lève, passe derrière elle, passe sa main dans son dĂ©colletĂ© et lui pince fortement un tĂ©ton pendant que son autre main la bâillonne, une fois la surprise passĂ©e, il retire sa main devant sa bouche, il continue de la pincer en disant, « qu’est-ce que j’ai dit, que je ne dois pas me rĂ©pĂ©ter, je vous l’ai bien dit », elle fait, « houuu, oui, oui, arrĂŞtez ».Il retourne Ă sa chaise et redonne son ordre, Marie se met nue, et lui donne sa robe, il lui dit, « bravo, vous ĂŞtes aussi belle nue qu’habillĂ©e », elle dit merci, il se lève, ouvre la porte du bureau sans bruit et lui dit d’aller jusqu’Ă la porte de la salle et revenir, elle allait dire non, mais son air la fait s’exĂ©cuter, je ne la vois plus, elle est hors champ de la camera, lui, il est debout cotĂ© Ă de la chaise, la robe est sur la chaise.Il la teste, voir jusqu’ou elle est capable d’aller, elle sait qu’elle ne risque rien, mais lui ne le sait pas, il se dit, je lui fais prendre un risque, et elle prĂ©fère risquer que de me dĂ©sobĂ©ir, son ton sec et strict, sa montĂ©e d’un ton lorsqu’elle n’obĂ©it pas, son obĂ©issance sur risque, cela lui permet de voir ce qu’il peut se permettre avec, Marie ne s’en rend pas compte, mais moi, je sais que dans ce genre de situation, elle lui est complètement soumise.Quand elle revient, il lui dit, « soit vous voulez arrĂŞter et enfilez votre robe et on s’en va, soit vous restez et je ne veux plus de dĂ©sobĂ©issance, alors voyons ce que vous dĂ©cidez, mettez-vous en appuis sur le bureau, les pieds en arrières et les jambes Ă©cartĂ©es », elle empoigne sa robe, la tient deux secondes en faisant demi-tour, elle fait celle qui rĂ©flĂ©chit, mais en fixant très discrètement l’endroit ou se trouve la camera, afin de me laisser le temps de l’arrĂŞter, elle retourne mettre sa robe sur le fauteuil et se met dans la position demandĂ©e.Très bien dit-il, on va pouvoir commencer, il prend la robe que Marie avait mise n’importe comment, et la pose sur le dossier en disant, « de cette façon, tu l’enfileras plus rapidement », il s’approche d’elle en disant, « voyons voir si tu as bien compris », il l’a fait se pencher plus et Ă©carter plus, il lui caresse les Ă©paules, le dos, et constate qu’elle frisonne, je me doute que ses bras ont la chair de poule. »Tu vois, c’Ă©tait inutile de faire ta mijaurĂ©e, tu n’attends que ça », il passe sa main sur ses seins, elle Ă©met un petit gĂ©missement, il pince ses tĂ©tons, la caresse Ă nouveau, Marie est Ă son entière merci, il ramène la chaise et se place derrière elle, je termine mes photocopies, comme cela, je peux m’asseoir devant la tĂ©lĂ© et profiter du spectacle.Il est assis derrière elle et lui caresse les jambes puis les cuisses, elle gĂ©mit et bascule sa tĂŞte en arrière, il continue Ă la caresser entre les cuisses sans toucher le sexe, c’est elle qui Ă force, tend son cul Ă la caresse, mais il fait ce qu’il faut pour ne pas entrer en contact.Timidement au dĂ©but, mais plus flagrant ensuite, elle va au-devant de la main qui la caresse, au bout d’un moment, il lui dit, « que veux-tu maintenant, si tu as envie de quelque chose, il faut que tu le demandes de façon très prĂ©cise », elle se trĂ©mousse encore puis au bout d’un moment, n’y tenant plus elle dit, « caressez-moi », il dit, « quoi », elle rĂ©pète Ă nouveau, il redit, « quoi, je ne comprends pas, soit très prĂ©cise sinon je ne ferais rien », après deux autres demandes infructueuses, Marie lui dit, « caressez-moi la chatte », plus polie dit-il, « elle dit, « caressez-moi la chatte sil vous plaĂ®t ».Bien, tu apprends vite dit-il, ce faisant, il lui touche le sexe, elle gĂ©mit de plaisir, il lui malaxe ses lèvres intimes, elle Ă©carte encore plus ses jambes pour lui laisser le plus de libertĂ© de mouvement, Marie m’a racontĂ© la suite, car je n’entendais rien Ă cause de ses gĂ©missements et qu’il lui chuchotait doucement Ă l’oreille.Pendant qu’il lui donnait du plaisir de ses doigts, il lui disait qu’en fait, l’ami en question, lui a juste dit que Marie me cachait qu’elle recevait une copine que je n’aimais pas, et qu’elle Ă©tait bien foutue, il ne sait pas non plus qu’il vient comme client, il la rassure en disant qu’il ne raconte jamais Ă personne ce qu’il fait avec les femmes.Il l’entretien dans le plaisir, ne la menant pas Ă l’orgasme, s’arrĂŞtant avant, elle lui demande Ă plusieurs reprises de la faire jouir, il lui dit, « quand je le dĂ©ciderais », il lui demande si elle peut sortir un après-midi, elle dit que non, qu’elle doit rester au bureau, il lui demande alors s’il m’arrive de m’absenter la journĂ©e complète ou au moins un après-midi.Elle demande pourquoi et il rĂ©pond, « lĂ , nous n’avons pas BCP de temps et c’est risquĂ©, mais avec plus de temps, je pourrais mieux m’occuper de toi, tu aimerais que je m’occupe plus de toi, que je te fasse faire plein de choses vicieuses, que je t’utilise », elle est tellement excitĂ©e, qu’elle lui rĂ©pond oui Ă chaque fois, il en profite pour porter l’estocade en activant le mouvement, sans le savoir, il me transperce aussi, j’avais sorti mon sexe et le masturbais comme ça, juste pour me soulager un peu, mais le plaisir a gagnĂ©, j’ai inondĂ© plusieurs mouchoirs papier.Marie est complètement dĂ©connectĂ©e, s’il ne lui avait pas mis la main sur la bouche pour attĂ©nuer son cri de jouissance, je n’aurais pas pu faire autrement que de l’entendre, elle lui inonde la main en continuant Ă se frotter dessus, une fois soulagĂ©e, elle lui demande encore, mais il lui dit de se rhabiller, qu’il faut venir me retrouver, il l’informe qu’il sera au bureau lundi toute la matinĂ©e, qu’elle essaie de voir pour sa proposition, qu’elle l’appelle Ă un moment oĂą je ne suis pas Ă cĂ´tĂ© d’elle.Quand il me rejoint le premier, je suis dans ses notes, Marie est aux toilettes pour montrer au client qu’il ne faut pas que je la trouve rouge, pour ne pas qu’il me pose de questions, je lui dis que je ne suis pas du soir, que j’ai du mal Ă suivre, ce n’est pas grave dit i- en rangeant ses documents, » nous aurons l’occasion d’en reparler, je vais vous laisser, je ne voudrais pas abuser », Marie arrive et il prend congĂ©, la remerciant pour le dĂ©licieux repas.Marie me met au courant de sa demande et elle est Ă©tonnĂ©e qu’au lieu de dire que c’est hors de question, que je cherche un moyen pour que ça se fasse, ce qu’elle me raconte, ajoutĂ© a ce que j’ai vu, elle passe Ă la casserole illico, ma purge m’a permit de perdre en duretĂ©, mais d’y gagner en temps, Marie me dit, « toi, tu as joui », j’ai dit oui.Marie ne savait pas que je la matais avec d’autre, elle ne sait pas que je sais qu’elle est soumise, elle ne sait pas que j’adore qu’elle le soit, elle le dĂ©couvre timidement, mon plaisir voyeur, je le dois Ă Lucien, car mĂŞme si avant, nous faisons des sĂ©ances cinĂ©ma, c’Ă©tait avec des inconnus, lĂ mon plaisir voyeur est plus fort que mon image de mâle devant les clientsSon premier orgasme avec moi a Ă©tĂ© rapide, le second qui est en fait le troisième, Ă Ă©tĂ© plus long Ă venir, tout comme le mien, une fois couchĂ©, on discute un peu puis nous nous endormons, je me rĂ©veille avant elle et je pense au dernier Ă©vĂ©nement, Ă mon changement, avant, je n’acceptais sur Marie, que des attouchements au cinĂ©ma, rien de plus, ensuite il y a eu, l’effleureur qui l’a eu complètement, mais lui, c’Ă©tait par vengeance au dĂ©but, par plaisir ensuite, mĂŞme avec ses visiteurs.Il y eut ensuite un premier client, puis un autre qui est devenu notre ami, il y a eu son prof de danse, les types de la plage, en vacances, cela aurait Ă©tĂ© inconcevable avant Lucien, je n’aurais eu que dĂ©gout et tristesse, maintenant, j’en Ă©prouve un plaisir intense, surtout quand Marie en joui, je suis super excitĂ©e quand je la vois soumise Ă un autre, bien sĂ»r, j’aurais prĂ©fĂ©rĂ© que se soit avec un inconnu et non un client, mais ici Ă la campagne, il n’y a pas BCP de prĂ©tendant, et puis celui-ci m’a l’air correct et n’habite pas Ă cotĂ© non plus.Contrairement Ă notre maison Ă paris, ou j’avais conçu la disposition des pièces, car il a fallu mettre des cloisons, j’avais Ă©tudiĂ© l’agencement en fonction de nos jeux, ici, cela n’a pas Ă©tĂ© possible, les murs sont Ă©pais et porteurs, donc pas question d’y toucher, l’agencement est donc fait Ă partir de l’existant, mĂŞme si nous avons annexĂ© la grange attenante, c’est donc moins pratique, on a pu quand mĂŞme mettre une pièce entre la salle salon et le bureau, ça permet de voir venir, elle a le temps de se remettre si j’arrivais.Marie adorait autant que moi ces petits extras, nous Ă©tions très excitĂ©s par cela, nous retracions certaines scènes pendant que nous baisions, ça la faisait partir plus vite et moi aussi hĂ©las, le WE, la copine nous demandait si le repas d’affaires s’Ă©tait bien passĂ©, je lui montrais, le contrat signĂ© et les deux autres Ă venir peut-ĂŞtre , elle ne savait rien de comment cela se passait, car il y avait aussi des clients qui venaient sans que rien n’arrive, ou ne faisant que de se rincer l’œil.Avec ce travail obtenu, avec mes associĂ©s, nous Ă©tions contents, cela Ă©claircissait l’avenir, de plus, mĂŞme s’ils ne me le faisaient pas sentir, ça me permettait Ă leurs yeux, de montrer que si je n’Ă©tais pas avec eux, et que je travaillais moins qu’eux aussi, je ne restais pas inactif, ce nouveau client, je dois le reconnaitre, je le devais Ă Marie, Ă notre jeu, c’est cela qui l’a fait venir me consulter, ensuite, reste Ă ma compĂ©tence de le faire rester.Comme Ă chaque nouveau contrat, j’en discute avec mes associĂ©s, je leur envoie le cahier des charges afin qu’ils me soumettent leurs idĂ©es et se partager la recherche, je leur donne une Ă©bauche des deux futurs projets, n’Ă©tant pas censĂ© les avoir, je ne leur donne que certains dĂ©tails Ă©crit de ma main, vers 11h30, Marie appelle ce client qu’on surnomme steed, elle lui dit que je suis parti au pain.Après les politesses d’usage et s’assurer qu’ils sont seuls, il lui dit, « je vois que notre petit jeu ne vous laisse pas indiffĂ©rente, tant mieux, vous verrez, je vais vous sortir de la routine, cela va revitaliser votre couple, (s’il savait), Marie lui dit qu’elle doit prendre un rendez-vous avec un client, et que je serais absent un matin, il dit, « oui, et ? », elle attendait qu’il saute sur le prĂ©texte, mais il est malin, il l’a met en position de demandeuse.Elle balbutie puis elle lit ce que je viens d’Ă©crire, elle dit, « vous vouliez venir pour ĂŞtre plus tranquille », il lui dit, « est-ce moi qui tiens le plus Ă venir », non moi aussi dit-elle, il lui dit Ă nouveau, alors demandez le moi, en me prĂ©cisant ce que vous voulez me demander, Marie est un peu dĂ©contenancĂ©e, ayant plus de recul, je vois ce qu’il veut et l’Ă©crit, elle me lit et dit, « j’ai envie que vous veniez et j’appelle pour vous demander quelles sont vos possibilitĂ©s en mâtinĂ© de mercredi Ă vendredi.Il rĂ©pond, celle que vous voulez, mais dites moi le au plus tard la veille, je prends rendez-vous de suite et vous rappelle, elle raccroche, Marie rappelle steed pour donner jeudi comme jour de mon absence, l’heure est donnĂ© aussi, neuf heures trente, la copine partant Ă neuf heure pour aller travailler, Marie allait raccrocher, mais il lui demande si je suis dĂ©jĂ revenu, elle rĂ©pond que non, il lui dit, « attendez, s’il rentre, vous raccrocherez sans besoin de me prĂ©venir, je comprendrais ».Il continue, disant, « vous vous doutez que je vais abuser complètement de vous, que rien ne me retiendra, vous allez subir des choses dont vous n’avez jamais subi », Marie fait, « je…. « , Ne la laissant pas finir, il lui dit, « ne vous inquiĂ©tez pas, lorsque je repartirais, vous ne souhaiterez qu’une chose, c’est que je revienne et votre mari ne s’apercevra pas de ce que vous avez fait en son absence ».Marie avait eu un peu peur, mais steed pense que nous sommes un couple coincĂ©s qui n’a jamais dĂ©passĂ© la position du missionnaire lumière Ă©teinte, il se pose Ă elle comme celui qui va l’exciter comme une folle en brisant sa routine, ceci dit, il en a les compĂ©tences, il la domine dĂ©jĂ verbalement.Il poursuit sa prĂ©sentation en disant, « je vais utiliser sur vous toute sorte d’objet qui vous mettra dans un tel Ă©tat, que vos orgasmes vous rendront hystĂ©rique, vous passerez deux heures très intenses, vous devrez tout accepter, sinon je devrais punir, de l’entendre, elle est excitĂ©e, je le suis Ă©galement, j’Ă©cris pour qu’elle lui dise, « continuez de me dire tout ça ».Il comprend et dit, « petite cochonne, je suis sĂ»r que tu te touches quand je te parle, rĂ©pond » elle lui dit un petit oui, se rappelant ce qu’il a vu au bureau, il lui dit, « hĂ© bien avant qu’il arrive, tu vas prendre le gros feutre que j’ai vu sur le bureau, (en effet, on a un très gros feutre), et tu vas te l’enfiler dans la chatte, mais avant caresse toi pour bien mouiller, je te guide et tu m’obĂ©is ».Il la fait se caresser les seins, se titiller le clito, en fait, c’est moi qui lui obĂ©is, Marie ne se retient pas, elle se laisse aller, elle gĂ©mit, quand il la sent prĂŞte, il lui dit de s’enfiler le feutre, Ă©videmment, ce n’est pas le feutre qu’elle s’enfile, mais ma queue, Ă©tant prĂ©sent, il faut bien que je serve a quelque chose, elle pousse des petits gloussements de plaisir, il l’encourage, la guide.Il la questionne aussi, « tu aimes ça cochonne », elle rĂ©pond oui, timidement, il pousse encore le verbe en disant, « tu aimes te comporter comme une trainĂ©e », elle rĂ©pond, « oui », excitĂ©s tous les deux, je sens Marie venir, je me laisse aller aussi, elle jouit sans retenue, poussant un grand râle, elle veut pour continuer, mais je lui fais comprendre, qu’en principe, elle est censĂ©e ĂŞtre seule.Je peine Ă la calmer, il lui dit, « bravo, on va bien s’amuser jeudi, je vous laisse, aller vous rafraichir, a jeudi, vous me recevrez en soutif, porte jarretelle et string, rien d’autre, faite vous ……… Pute », Marie lui dit de mettre sa voiture Ă l’arrière de la maison et sur le cĂ´tĂ©, au cas oĂą quelqu’un viendrait, Marie voulait que je remette ça, mais avec les annĂ©es, je recharge moins vite, si avant, en ÂĽ d’heure, je pouvais faire un deuxième service, il me fallait plus de quatre-heures Ă ce moment-lĂ .Avant Lucien, Marie aimait le sexe, mais n’Ă©tait pas forcement demandeuse, elle pouvait rester une semaine sans, cela n’arrivait que très rarement, lors d’un dĂ©placement que je devais faire ou la fois que j’avais Ă©tĂ© hospitalisĂ©, pendant Lucien, il n’y avait pas eu de changement, ce n’est pas une fois de plus dans la semaine qui aurait changĂ© quoi que se soit.Mais après Lucien, mis a part les abstinences que je lui imposais, comme on a eu un nouvel Ă©lan de vigueur, petit Ă petit, elle est devenue plus gourmande, je tournais Ă neuf ou douze Ă©jaculations par semaine suivant mes sĂ©ances avec Annie ou la copine, mais Marie, parfois, dĂ©passait les cinquante, nous avions comptĂ© cela une fois ou la semaine avait Ă©tĂ© bien chargĂ©e, Ă 3 orgasmes par rapport, elle est dĂ©jĂ Ă 21 en une semaine normale, les femmes ont cette chance, mais cela restait occasionnel.Je me souvenais de l’Ă©poque ou avec son prof de danse, elle avait rĂ©sistĂ©, je ne suis pas certains qu’a l’Ă©poque de notre vie campagnarde, qu’elle saurait rĂ©sister de la mĂŞme manière, il faut dire que comme maintenant, je lui tolère BCP de choses et l’encourage Ă se laisser aller, sa rĂ©sistance devient faible, elle sait aussi que j’aime quand elle est comme ça.Avec Marie, nous sommes constamment ensemble, 24/24, la maison est très grande, nous sommes ensemble dans la maison mais pas collĂ© cote Ă cote, il arrive que je rentre dans mon bureau a 8 heures, et que je ne la revoie qu’a midi, l’après-midi, suivant son travail, c’est pareil, elle prend les dossiers et travaille sur la table du salon, nous travaillons pour notre sociĂ©tĂ©, mais c’est moi le patron pour la partie technique et c’est elle la patronne pour tout ce qui est compta, nous ne sommes pas ensemble, parfois, j’entends faiblement l’aspirateur, ou des casseroles qui se cognent, des petits bruits qui me font savoir qu’elle n’est pas loin.Nous ne nous sommes jamais disputĂ©s pour le boulot, nous Ă©tions bien, plus du tout de transport, un beau cadre, pas de compte Ă rendre Ă personne, il fallait juste que le boulot se fasse, de plus, on ne travaillait plus pour vivre, mais pour avoir une retraite, car grâce Ă notre regrettĂ© client et ami disparu, on avait de quoi vivre modestement jusqu’Ă la fin de nos jours.Le travail, c’Ă©tait pour vivre dans l’opulence, ne pas se priver, et puis s’occuper aussi, car si on ne passe son temps qu’aux loisirs, l’argent dĂ©file Ă toute vitesse et on aurait vite fait de se retrouver sur le sable, ensuite, il y avait, ce que le travail apportait comme plaisir collatĂ©ral, c’est-Ă -dire, les clients fripons, car cela n’Ă©tait pas vraiment possible autrement.Les copains ne venaient jamais en journĂ©e Ă l’improviste en semaine, mĂŞme Annie, elle tĂ©lĂ©phonait toujours avant, ce jour-lĂ , je m’avance dans mon boulot et le lendemain matin, je mets tout en place, ou plutĂ´t, j’Ă©tudie les Ă©ventualitĂ©s, je note tout ce qu’elle devra dire pour que cela se passe dans le salon, pas dans le bureau parce que si j’arrivais Ă l’improviste, c’est par le bureau que je passerais en premier, pas dans la chambre, car elle n’aura pas le temps de refaire le lit, etc. etc.Je me suis mis Ă sa place et me suis dit, que ferais-je dans son cas, je me rĂ©ponds, contrĂ´ler si vraiment il n’y a personne dans la maison, peut ĂŞtre n’est-il pas aussi mĂ©fiant que moi, mais sait-on jamais, Ă juste titre, car il est venu dans le bureau contrĂ´ler, il n’a pas fait les chambres, mais est quand mĂŞme venu dans le bureau, j’avais pris soin aussi de mettre ma voiture dans le petit sous bois, invisible du chemin et de la maison.Arrivant Ă 9h30 pĂ©tante, il contrĂ´le si elle est bien seule, bureau, WC, salle de bains, cuisine, une fois cela fait, comme j’Ă©tais restĂ© dehors, j’attends que Marie me fasse signe de revenir au bureau, le signe, c’est que comme elle a dit qu’ils seraient mieux au salon, elle ferme les volets, cela voulait dire aussi qu’il Ă©tait avec elle, je suis donc retournĂ© Ă mon bureau et mettre les camĂ©ras en fonction.En arrivant, avant de contrĂ´ler, il avait complimentĂ© Marie qui l’a reçu comme il a demandĂ© et posĂ© sa valise Ă malice, elle s’Ă©tait coiffĂ©e, maquillĂ© lĂ©gèrement, bref, elle Ă©tait super bandante, Ă son comportement et aussi celui de Marie qui fait la curieuse, il croit vraiment qu’on est des ploucs, il sait pourtant qu’on a travaillĂ© longtemps sur Paris, quand elle lui demande ce que c’est, il rĂ©pond qu’elle le dĂ©couvrira bientĂ´t, pensant que le gode est un objet qu’elle connaĂ®t pour en avoir vu dans des revues ou film, mais qu’elle n’a jamais utilisĂ©.Connaissant nos classiques, moi et certainement Marie aussi, il sort en premier un petit martinet achetĂ© vraisemblablement dans un sexe shop, celui-ci a deux fonctions, fouetter bien sur, et plantĂ© lĂ ou il faut, ça sert de queue, en l’exhibant devant elle, il teste sa docilitĂ©, son acceptation, elle ne dit juste que « c’est pour quoi faire », il rĂ©pond, c’est pour le cas oĂą vous me feriez rĂ©pĂ©ter ».Non, non dit-elle, je ferais ce que vous me direz, nous verrons dit il, Marie fait la curieuse en voulant regarder, va te mettre lĂ -bas dit-il, mĂŞme position que dans le bureau, elle se dirige sur le bout de table de salle a manger, il arrive derrière elle et la caresse comme prĂ©cĂ©demment, jusqu’Ă temps qu’elle mouille, ensuite, il lui met des boules vibrantes avec fil, elle doit rester comme elle est, c’est-Ă -dire, penchĂ© sur la table, tenant sur ses bras, jambes en arrières et Ă©cartĂ©es.Il met la vibration, tout en la caressant, lui disant, tu ne bouges pas, Marie essai de ne pas remuer, donnant juste des sursauts de muscle pour supporter le petit plaisir que lui procure les boules au ralenti, il augmente la vitesse, Marie se met sur la pointe des pieds pour supporter sans bouger, elle reçoit un petit coup, elle dit ne plus bouger en voulant tourner la tĂŞte vers lui, elle reçoit un coup un peu plus fort, regarde devant dit-il.Il teste Marie, voir sa rĂ©action aux coups, celles n’aimant pas, comme la femme de l’effleureur, rouspète, quand elle n’aime pas, prĂŞte Ă tout arrĂŞter si on continue, disant non de façon claire en faisant une grimace qui n’encourage pas Ă continuer, lĂ , Marie, ne dit rien, elle reste en place, il sait de suite Ă qui il a Ă faire.Il augmente, elle bouge, il fouette, elle veut se toucher, il fouette Ă nouveau, mais elle continue, il arrĂŞte et dit en allant chercher deux sangles Ă poignet, « je vais t’empĂŞcher de dĂ©sobĂ©ir, tourne-toi et met tes bras dans le dos, lĂ aussi, il dĂ©couvre qu’elle va se laisser faire, il lui attache les avant-bras dans le dos, une fois fait, il couche une chaise Ă terre et lui attache les chevilles au dossier qu’elle enjambe.La chaise est en appuis sur le pied de table, ses chevilles sont fixĂ©es, ses jambes Ă©cartĂ©es, il prend un coussin se trouvant sur le canapĂ©, et puis la penche jusqu’Ă temps que sa tĂŞte prenne appui afin de ne pas tomber, je la vois de quart, c’est cette fois-lĂ oĂą je me suis dĂ©cidĂ© d’investir, dans des cameras supplĂ©mentaires.Marie est en Ă©quilibre dans une position peu confortable, elle ne peut pas s’asseoir, si elle se met a genoux, elle se ferait mal, le bougre a de la pratique surement, il fallait trouver y penser avec une chaise, il reprend lĂ ou il en Ă©tait restĂ©, il augmente la vitesse, cela a pour effet de l’exciter, elle se contorsionne, il frappe, elle s’immobilise quelques petites secondes puis bouge encore, puis il frappe Ă nouveau.Cela dure quelques petites minutes puis voyant qu’elle prĂ©fère les coups plutĂ´t qu’arrĂŞter, il Ă©teint les boules, il lui demande si elle a aimĂ©, disant, « j’Ă©tais sĂ»r que tu aurais apprĂ©ciĂ©, je l’ai su dĂ©s la deuxième visite, bon, je t’avais dit que je t’utiliserais et que je te ferais ce dont j’ai envie, que tu seras mon esclave sexuelle », Ă chaque phrase, il fait rĂ©pondre Marie qui dit « oui ».Il caresse ses seins, ses cuisses, ses fesses, sa chatte, il s’enduit la main de sa mouille puis vient frotter sa rondelle, Marie ondule comme elle peut et dit, « non, pas par là  », il lui dit, pourquoi, tu n’aimes pas, ça m’Ă©tonnerait », disant cela, il lui enfonce un doigt puis deux, Marie tend son cul au maximum, il repose la question et comme elle ne rĂ©pond pas, en mĂŞme temps qu’il monte le volume des boules, il lui met un coup de martinet en disant »Alors tu rĂ©ponds quand je te pose une question », les boules, ses doigts, elle commence Ă perdre le contrĂ´le, il continue disant, « tu vois que tu aimes, va-y bouge le bien ton cul, montre moi que tu aimes, sinon, j’Ă©teins », elle se dandine les fesses pour attraper le plaisir au vol, pour calmer le feu en elle, quand il sent qu’elle est proche de l’orgasme, il arrĂŞte les vibrations et retire ses doigts.Marie le supplie de continuer, il lui dit, « on a le temps, tu ne serais pas un peu salope, d’abord, tu me reçois en tenue de pute, et maintenant, tu me demandes que je te fasse jouir, hein que tu es une salope, rĂ©pond », en mĂŞme temps, sans remettre en route, il lui masse les lèvres intimes qui la font repartir vers le plaisir, a chaque question, il s’arrĂŞte, l’obligeant Ă rĂ©pondre oui pour qu’il poursuive ses bienfaits.Elle lui confirme ainsi ce qu’il avait compris lundi, qu’elle aimait ĂŞtre traitĂ©e quand elle Ă©tait excitĂ©e, que cela accentuait encore plus son excitation, quand elle recommence Ă approcher de l’orgasme, il arrĂŞte Ă nouveau, elle hurle de continuer, mais il la laisse et ramène un Plug et un gode, tous les deux de bonne dimension, son doigtĂ© rectal lui a indiquĂ©, qu’elle n’Ă©tait plus vierge de ce cĂ´tĂ©-lĂ .Il se baisse derrière elle, il veut voir le Plug rentrer en elle, il lui dit d’aider Ă la pĂ©nĂ©tration, en se cambrant, marie s’exĂ©cute, elle sait qu’elle doit en passĂ© par lĂ , on en a des Plug, mais ça fait longtemps qu’on ne les utilise plus, on n’y pense pas, ou alors ce n’est pas le moment, ou c’est trop tard.Annie me dit ici, que le plaisir n’est pas dans le fait d’avoir le Plug, mais dans le fait, que quelqu’un nous l’a mis ou imposĂ©, et moi, comme Marie ne me le demandait pas, pour moi, elle n’en avait pas envie, alors je ne lui proposais pas, pour l’heure, le Plug a l’air d’ĂŞtre rentrĂ©, je n’ai pas vu dessus mais vue sur le visage Ă Marie.Il la laisse s’habituer Ă l’intrus, tout en la caressant, quand cela est fait, peu après, elle ondule Ă nouveau sous les caresses, il accentue cela en mettant les boules en route, il lui pose le gode sur le sexe et clito sans le bouger, c’est elle qui se frotte dessus, il lui dit d’arrĂŞter, elle n’Ă©coute pas et continu, il la fouette en la traitant de salope, avant l’orgasme, il arrĂŞte tout encore.Marie souffre le martyre, en perpĂ©tuelle excitation sans pouvoir se soulager, elle le supplie de la faire jouir, il lui dĂ©lie les chevilles et la redresse, il lui dit d’aller se mettre sur le canapĂ©, cuisses Ă©cartĂ©es, il la suit avec le boĂ®tier des boules, la position ne lui plaĂ®t pas, il demande si elle a une couverture ou dessus de lit qui ne craint pas, une couette, ça ira dit-elle, il dit oui en lui indiquant celle dans une chambre d’ami.Il va la chercher et la met sur la table de salle Ă manger, il lui demande d’aller s’installer dessus, il suit toujours avec le boĂ®tier, une fois sur la table, les cuisses droites et les jambes pendantes, il prend son temps Ă contempler son intimitĂ©, il sait l’effet que cela fait Ă sa « victime », il lui demande plusieurs poses, plusieurs gestes.Écarter plus, lever les jambes, soulever son fessier, tendre son muscle vaginal, le laissez aller, le retendre, Ă chaque fois, elle a une petite caresse en rĂ©compense, insuffisante mais mieux que rien, une fois qu’il a bien scrutĂ© partout en lui disant que son petit trou est bien dĂ©tendu, qu’elle a du s’en enfiler des concombres par lĂ , il augmente la vitesse des boules et avec le gode, vibre son clito.Le plaisir trop intense lui fait fermer les cuisses, il se positionne autrement et se mettant sur le cĂ´tĂ©, il recommence, elle referme ses cuisses, et il lui pince fortement un tĂ©ton, elle crie, il re gode, elle referme, il repince, il la lâche et lui demande de se mettre Ă genoux sur la table pour prendre 5 coups de martinet, elle se positionne et reçoit les coups sans trop crier, il retire le Plug, et lui enfile le manche du martinet, celui-ci a la forme d’un phallus.Il lui enlève aussi les boules, il la gode’ Ă nouveau dans cette positon, il arrĂŞte quand elle va pour partir, il recommence plusieurs fois, Marie hurle, supplie, l’heure passante, je me demande s’il s’en rend compte, il l’a fait descendre et s’allonger sur la table, sur le ventre, je le vois sortir et enfiler une capote.Il la vibre Ă nouveau avec le gode, et s’arrĂŞte avant l’orgasme, Marie ondule des fesses, c’est a ce moment-lĂ , qu’il la pĂ©nètre et la lime, la faisant jouir cette fois, son orgasme est violent et long, il continue Ă la limer pendant tout ce temps, elle est Ă©puisĂ©e, il la dĂ©tache, lui demande de se mettre s’allonger sur le canapĂ©, après lui avoir remis les boules, il l’enfourche de ses genoux, retirant la capote, il lui dit, fait moi cracher sur tes seins, pendant qu’elle le branle, il met les boules a fond.Ă€ ce que je vois, et Ă ce que Marie m’a dit, son sexe serait un peu moins gros que moi et peut ĂŞtre un peu plus long, moins dure aussi, mais il a son âge qui est lĂ , le plaisir commence Ă revenir, elle ondule du bassin, mais Ă©tant presque assis sur elle, elle est limitĂ©e, finalement, le plaisir l’emporte Ă son tour, il lui met tout sur les seins, il se met Ă cĂ´tĂ© du canapĂ© et lui donne le gode, Marie se masturbe avec pendant qu’il la traite, elle ne tarde pas a jouir a nouveau.Une fois fini, il dit, « le temps passe vraiment vite, je vais vous laisser, je ne voudrais pas que vous ayez des ennuis, qu’il arrive plus tĂ´t comme dans un vaudeville, quand pensez-vous, que je puisse revenir, si toutefois, vous le voulez bien, sachez que cela ne changera en rien nos relations de travail, vous me ferez savoir par tĂ©lĂ©phone si vous voulez qu’on se revoie comme lĂ , ça sera plus facile ».Elle lui dit, oui partez, on ne sait jamais, je vais me rincer, tout en parlant, il se remettait et rangeait son matĂ©riel, elle le raccompagne Ă la porte, disant qu’elle l’appellera, une fois parti, elle va se rincer et je la prends sur la table, elle ne tarde pas Ă venir et moi aussi, j’ai peinĂ© Ă l’attendre.A suivre.