Les 1001 perversions de Nathalie (12) Débordements
Une grande villa. Une enseigne lumineuse, un peu minable, clignote sur le parking. Juan se gare.
Ils se dirigent vers la porte d’entrée, Juan sonne.
Une grosse femme, lèvres carmin et yeux fardés, leur ouvre. Juan la salue, lui glisse un nom à l’oreille…
Proposée le 3/05/2019 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: GroupesLieu: InclassableType: Fantasme
Elle les regarde, acquiesce, et les laisse entrer. Le rez-de-chaussée est un salon enfumé, muni d’un bar, et d’immenses canapés qui entourent des tables basses. Des hommes et des femmes sirotent leurs verres dans la lumière feutrée. Il y a du monde ce soir.
Juan commande deux margaritas. Ils restent au bar et Nathalie semble réaliser dans quel genre d’endroit il l’a emmenée. Juan lui dit de ne pas faire attention aux gens ici. Un homme s’approche, se poste derrière elle. Il commande un verre. Il pose une main aventureuse sur ses hanches. Elle se tend légèrement, veut se retourner, Juan saisit sa nuque pour l’en empêcher et l’embrasse, lèche ses lèvres, lui souffle que l’homme trouve son cul bandant.
La main de l’homme presse sa taille et redescend sur ses hanches. La main se faufile ensuite sous le chemisier. L’homme soupèse ses seins, ouvre trois ou quatre boutons et ne se prive pas de la peloter.Elle constate que Juan n’est plus là. Il s’est installé sur un canapé pour assister à la suite.
L’homme est collé à elle maintenant. Il ouvre son corsage. Il lui murmure qu’elle va y avoir droit. Il va fouiller entre ses cuisses. Il relève sa jupe et va coller une paume virile contre son con encore protégé d’une culotte, mais si mince que ses doigts s’enfoncent en elle avec le tissu. Un petit cri gicle de la bouche de Nathalie.
La femme de l’entrée entre en scène, s’approche de Nathalie. Elle caresse son visage, ses cheveux, la regarde, lui dit qu’elle est salope, offerte à la vue de tous les clients. La femme l’embrasse encore, l’homme la fouille de ses doigts et la femme glisse sa tête entre ses jambes. Elle lui retire sa culotte. Elle la lèche avant de la tendre à l’homme.
La femme s’agenouille devant lui, baisse sa braguette, sort du pantalon un braquemart sacrément gros. Elle ouvre la bouche, l’effleure avec sa langue, l’homme caresse sa tête. Elle referme ses lèvres sur lui et doucement, le fait aller et venir de plus en plus profondément. Elle aime sentir le poids d’une bite dans sa bouche.
Nathalie se sent ivre de désir. Deux hommes se joignent à eux. Ils s’approchent d’abord de Nathalie. L’un termine de dégrafer son chemisier, l’autre sort sa queue raide d’envie et la fourre entre ses mains. Elle glisse ses paumes le long de la verge et le branle d’un mouvement régulier.
La femme soulève ses fesses, et se retrouve à quatre pattes. L’un des hommes lui relève sa jupe. L’homme que Nathalie branlait se frotte maintenant contre la fente de la femme, prend ses hanches et d’un coup la transperce. Pendant que l’un la lime en levrette, tirant ses cheveux, un autre fourre sa queue dans sa gorge.
Nathalie la regarde gémir. Elle se laisse fouiller. Trois doigts bougent en elle, elle va finir par succomber, dilatée et trempée comme elle est.
L’homme retire son gourdin de la bouche de la femme. Il retourne Nathalie et la défonce sans préliminaires.
Elle n’a pas eu le temps de dire non. D’ailleurs elle aime, elle titube sous les coups de boutoirs, ses mains trouvent le bord du bar, s’y agrippent. Elle se cambre, la jupe relevée jusqu’à la taille, chemisier ouvert, cheveux en désordre, elle retient encore ses cris.
Elle halète. Les hommes se frottent à elle, la caressent, des langues dans ses oreilles la chatouillent, des dents sur ses tétons, des mains glissent sur son bas-ventre, exercent des pressions. La femme la regarde perdre la tête, elle l’excite.
Un des hommes lui fourre ses gros doigts dans la bouche. Il les retire de sa bouche et les enfonce dans le cul de Nathalie. Elle geint, les doigts ne s’arrêtent pas.
L’homme lui lèche l’oreille, murmure :
– Tu es déjà toute ouverte…
– Tu n’aimes pas… ?
– Personne ne t’as appris ?
– Avec le cul que t’as ?
– Tu vas voir ce qu’on va te mettre, ce que tu vas prendre…
– Tu vas aimer…
Chacun y va de son mot. Et avant même qu’elle puisse répondre l’homme dégage ses doigts, et l’autre l’encule jusqu’à la garde. Nathalie ne peut réprimer un râle.
– Tu es trempée, ne me fais pas croire que ça ne te plaît pas, espèce de garce !
La femme se glisse sous elle et lape son clitoris, il est dur et enflé. Quand elle se retourne, elle branle un homme avec sa bouche. La femme lui murmure :
– Alors, tu aimes ?
Un sourire de peste illumine le visage de Nathalie :
– Dis-lui de me défoncer le cul.
L’homme ne se fait pas prier.
La langue de la femme fouille sa bouche. Elle s’abandonne à eux. Leurs assauts la matraquent.
Pendant que l’un après l’autre la liment, ils murmurent entre eux. Soudain, un des hommes l’attrape par le poignet et l’embarque à l’étage. La femme et les autres suivent, durs, le manche à l’air.
Juan reste seul. Il se sert une Margarita, fume une cigarette, puis monte également à l’étage. Il croit entendre des cris qu’on étouffe.
Là-haut, la charmante assemblée se compose de quatre mâles, nus, le pieu turgescent, qui font face à la grosse salope. Vautrée sur un canapé. Cuisses écartées. Sa toison, véritable forêt vierge, la dénonce : trempée, luisante de cyprine.
Elle passe de l’un à l’autre. Elle se donne du mal. On voit bien qu’elle aime ça. Elle se donne à fond. Les queues sont raides, luisantes de salive. Elle les suce, gorge profonde, astique, branle. Ils l’installent, la positionnent. Leurs mains viennent se glisser entre ses cuisses, palper ses nichons, forcer ses lèvres, son con, son anus.
Elle s’empale sur l’un, pendant que l’autre l’encule. Une verge envahit sa bouche. La dernière se place dans sa main. Elle ne rechigne pas à l’ouvrage.
Montagne de corps enchevêtrés. Ils s’activent.
Nathalie, debout au milieu de la pièce. Voyeuse, sa chatte la brûle. Ses seins sont gonflés. Elle aussi a encore et toujours envie. Sa main s’occupe de son clito, sa paume frotte son petit bouton, ses doigts entrent dans sa chatte.
Juan se colle derrière elle, elle sent son pieu entre ses fesses. Il empoigne ses mamelles, presse ses nichons pour les faire pointer, saillir les tétons qu’il tire.
Il glisse plus bas, elle se cambre quand elle sent sa langue s’insinuer entre ses fesses. Penchée, les cuisses bien, écartées elle lui tend son cul. Et il la lèche, la lape, la bouffe du con au trou du cul. Elle geint :
– Met-la moi… Encule -moi !
– Non, pas encore…
Elle voit la grosse femme recevoir sur le visage le sperme de celui qu’elle branle. Longs filets blanchâtres qui coulent. Elle utilise le gland de celui qu’elle suce pour les récupérer et les lécher goulûment. Lui aussi crache sa jute mais elle a le temps de diriger les jets dans sa bouche. Elle joue un moment avec sa langue comme réceptacle puis avale la crème avec ostentation.
Nathalie est en feu. Elle coule sur la langue et dans la bouche de Juan, elle jouit sans interruption.
La grosse pute se lève, viens vers elle et l’entraîne, elle s’accroche à son cou. Elles sont collées l’une à l’autre. Les hommes regardent, confortablement installés, une cigarette et un verre à la main.
La femme la tient fermement et elles ne font qu’une. Cette femelle dégage un parfum animal, mélange de transpiration et de jus de jouissance. Elle joue avec Nathalie, tantôt la repoussant, tantôt l’attirant contre elle.
Elle frotte ses immenses mamelles aux siennes, nichon contre nichon, téton contre téton. Ses mains sur ses hanches la guident dans un déhanchement sensuel.
Ses lèvres viennent se plaquer sur les siennes et elle glisse sa langue dans sa bouche. Nathalie frissonne. Elle aussi, elle la caresse, glissant du cou jusqu’à ses grosses fesses, qu’elle prend à pleines mains.
La femme l’entraîne sur un canapé, s’allonge et la guide pour qu’elle fasse de même en la positionnant le visage face à sa chatte poilue. Elle ne lui laisse pas le choix et la force à plonger entre ses cuisses qu’elle écarte outrageusement.
L’odeur est forte, jus de mâle et de femelle. Ce contact chamboule Nathalie. Sa langue goûte et aussitôt la grosse se cabre sous les attouchements. Nathalie est libre, ses mains quittent sa tête, mais il n’est pas question de la laisser. Son con ouvert est à elle, son clito va gonfler sous ses lèvres, ses petites lèvres vont s’entrouvrir pour que sa langue entre en elles.
Nathalie ne néglige rien, elle profite de tout. Ses doigts visitent, entrent dans son con, déjà ou encore mouillé d’avant, tournent longuement autour de son anus, fermé, serré, alors qu’elle l’a vu tout à l’heure accueillir une queue tendue. Son pouce force le passage. La femme se cambre, gémit mais son cri semble s’étouffer dans sa gorge.
En levant la tête Nathalie comprend. Une bite bloque le passage. Un homme s’est agenouillé au-dessus de son visage et lui donne sa queue à sucer.
Et enfin on s’occupe d’elle aussi. Des mains se posent sur ses hanches. On la force à se cambrer, écarter les jambes, encore, encore un peu plus. Une langue parcourt son dos, longe la colonne vertébrale, effleure ses reins et finit sa course sur sa rosette.
Elle force le passage. Bientôt ses deux trous sont occupés et on la branle avec vigueur. Elle a beaucoup de mal à se concentrer sur la femme. D’ailleurs elle se frotte le clito.
Une tige entre, avance, avance encore. Elle semble si longue que Nathalie pense ne pas pouvoir l’accueillir en entier. Elle réalise que c’est ce qu’elle attend depuis qu’elle a vu la grosse cochonne avec ses mâles : une queue vigoureuse, raide à souhait qui la prend et qui va la faire jouir.
Elle est en feu, sa chatte est en fusion, elle ondule autour de ce pieu. Un pas en avant. Un pas en arrière. Des mains qui s’appuient sur ses hanches, se crochent dans sa chair. Son baiseur la bourre avec de plus en plus de violence. Son pieu coulisse facilement dans le con baveux.
Il lui fait du bien. La jouissance arrive. Elle sent que son jus coule. Elle crie, mais aucun son ne sort de sa gorge, bloquée par la chatte qu’elle maltraite dans sa furie. L’homme aussi jouit. Elle sent ses giclées de sperme inonder son con.
À peine le temps de reprendre son souffle et il se retire. Non, il revient et d’un coup de reins la réinvestit. Mais c’est un autre qui a pris la place. Sa queue est encore dure, mais différente.
Il se retire et vient appuyer sur son trou du cul. Il pousse délicatement, et la porte s’ouvre sans grande résistance, lui laissant envahir ses reins. Il l’encule jusqu’à la garde et elle sent ses couilles pleines venir taper sur sa chatte. Le bâton occupe toute la place.
Pendant qu’il la prend, par de violents coup de reins, elle imagine son cul serrer sa hampe et tenter d’étouffer le gland pour le branler. Il la force à se cambrer encore plus et sa main vient frotter le clito. Il sait y faire. Il joue avec son cul. Sa verge sort puis replonge aussitôt pour s’enfoncer jusqu’à la garde. Dix fois, vingt fois, cent fois. Il ne se lasse pas.
– Ahhh….
Il jouit, bien calé. Elle sent sa verge gonfler un peu plus à chaque passage du sperme. Il reste en elle tout en accélérant ses mouvements sur son clito. Une nouvelle jouissance la submerge, encore plus forte que la première.
La grosse femme se dégage. Son enculeur la quitte. Nathalie reste prostrée un instant. Mais on la fait lever. Quatre pervers la regardent, sourire aux lèvres. Deux sont encore en érection. Elle comprend. Ils se réservent… non plutôt, la femme les réserve pour elle. Le premier s’assied sur le canapé. La femme la pousse. Elle ne résiste pas.
Au contraire, elle vient chevaucher le type et s’empale elle-même sur le pieu dressé. Son con est ouvert, baveux, glissant. La bite vient buter contre son utérus et à nouveau elle se sent pleine. Mais ce n’est qu’un début. Il l’attire contre lui et elle sent ses mains qui s’approprient ses globes fessiers pour les écarter.
Le canapé bouge, quelqu’un se place derrière elle. Le gland d’une tige se frotte dans son sillon, récoltant probablement quelques filets du sperme qui doit goutter lentement de son anus. Maintenant il est en place. D’un coup de reins il entre et en une seule poussée, il la dilate pour venir l’enculer jusqu’à la garde.
Il faut dire que le précédent a bien préparé le chemin. Mais par contre, elle se sent gonflée, déformée mais surtout comblée et pleine. Deux queues raides sont en elle. Leur chaleur l’enflamme. Elle a le feu au cul. Elle attend qu’ils la baisent.
Mais non, elle ne peut pas attendre. Elle a besoin de les sentir en elle. Elle ne bouge que son bassin, ondulant d’avant en arrière. C’est suffisant pour bien les sentir, les différencier, alors qu’elle avance sur une et que l’autre recule.
Un autre se présente face à elle. Il enjambe le dos du canapé pour se placer, plus précisément pour placer sa queue sur ses lèvres. Sa bite molle entre facilement. La voilà, telle une pute de garnison, prise par tous ses orifices. Le canapé bouge. C’est la grosse femelle et le dernier mâle. Juste avant de le gober, elle lance :
– Je vais te préparer celui-là…
Nathalie a largement dépassé le stade de la retenue. C’est l’orgie, le jeu total. Elle veut que ces pines brûlantes la baisent. Non, c’est elle qui va se les faire. C’est si bon de les sentir aller et venir dans son con et son cul.
Et la bite qu’elle suce, revenue au sommet de sa forme est si longue qu’elle ne peut qu’en absorber la moitié. Mais elle s’acharne sur le gland. Ses lèvres l’emprisonnent pendant que sa langue le lèche et qu’elle le suce.
Mais ses baiseurs s’impatientent, elle reprend ses allées et venues. Ce n’est pas si facile de s’occuper de trois queues en même temps. Sensation de montée du plaisir, impossible de dissocier l’avant de l’arrière. Elle coule, elle jouit. Chatte, cul, l’une, l’autre, les deux.
Elle étouffe, elle n’arrive plus à respirer. La queue qu’elle suce se retire. Elle reprend sa respiration et sans prévenir hurle de bonheur au moment où ses deux baiseurs lui balancent de longs jets de sperme dans son con et son cul.
Le troisième ne lui laisse pas le temps de souffler et en se branlant provoque son éjaculation, qu’il dirige vers ses lèvres. Pute jusqu’au bout, elle le termine à la bouche. Il est aussitôt remplacé par celui que la femme lui a préparé et lui aussi jute sur elle, elle sent le sperme couler sur son visage.
Ils en ont fini avec elle.
Et Juan, de la voir comme ça, chienne saccagée et inondée de sperme, ça le fait bander comme un âne.
– Je vais te sodomiser et te pisser dans le cul…
Il la fait mettre à quatre pattes. Il veut voir son cul s’ouvrir, son con baver. Une truie en chaleur prête pour la saillie. Sans préambule, il la lui met. Fort, tout au fond, ses couilles tapent, clapotent contre sa moule, il grogne :
– Tu es ma salope et tu aimes la bite… Dis..!
– Oui, oui, oui, oui, oui…! Encules-moi… encules, encules, encules !
Juan fait signe à la grosse femelle et c’est avec la langue de la femme dans son cul qu’il vide ses couilles et pisse dans celui de Nathalie. La fête est finie… Une heure plus tard, ils reprennent le chemin de la villa.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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