Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 1
Cette première histoire est le début d’une autobiographie concernant une grande partie de ma vie qui a été relativement animée. De nombreuses personnes me reconnaîtront. J’en suis sûre !
Proposée le 7/01/2021 par sexyelfes Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
J’ai toujours Ă©tĂ© une fille douce et docile habituĂ©e depuis mon plus jeune âge Ă ĂŞtre Ă l’écoute de mon entourage. Ma passivitĂ© naturelle attirait inĂ©vitablement l’attention des prĂ©dateurs de la gente masculine auxquels je n’ai jamais su/pu dire non. Et voilĂ comment tout Ă commencĂ© : Je suis alors une jolie jeune femme avec de longs cheveux bruns. C’est lors d’un repas de famille que je me retrouve confrontĂ©e pour la première fois, Ă mes dĂ©mons. En effet, après le repas, mes cousins de quatre ou cinq annĂ©es de plus que moi m’accompagnent dans ma chambre et ne manquent pas de me faire remarquer que ma poitrine a bien poussĂ© avec les annĂ©es et que l’on voit mĂŞme mes pointes Ă travers le tissu. Surprise, je me regarde aussitĂ´t dans la glace de l’armoire et effectivement elles sont nettement visibles. Quelle honte ! Je me vais pour me prĂ©cipiter Ă la salle de bain afin mettre un soutien-gorge mais l’un d’eux m’attrape par la taille au passage tout en me disant : — Reste ! tu es beaucoup plus jolie comme ça. Tandis que de sa main libre il me pince doucement la pointe d’un sein. Je suis debout devant eux et je me laisse faire, prise par le plaisir. C’est tellement bon. Devant mon absence de rĂ©action, son frère en profite pour me donner mon premier baiser. Nous devons pourtant en rester lĂ parce qu’il est l’heure pour mes parents et moi de rentrer. Mais ça ne s’arrĂŞte pas là … Quelques mois plus tard, je les revois lors d’un autre repas de famille. Nos parents sont en train de jouer tranquillement aux cartes pendant que je dĂ©barrasse la table. Nous nous retrouvons seuls dans la cuisine avec mes cousins. Je suis en train de faire la vaisselle quand l’un d’eux vient se coller Ă moi par derrière tout en me pelotant les seins. Je me retourne pour profiter de cette caresse mais son frère s’approche et il se met Ă relever ma robe puis passer une main dans ma culotte. Il ne tarde pas Ă s’insinuer dans mon sexe trempĂ© et Ă me doigte. C’est la première fois que d’autres doigts que les miens me donnent du plaisir. Il me fait jouir très rapidement dans cette position risquĂ©e. Suite Ă mon orgasme, ils m’entraĂ®nent alors dans la rĂ©serve ; docile, je ne cherche pas Ă protester. Ils se placent chacun d’un cĂ´tĂ© de moi et, appuyant sur mes Ă©paules, ils me font mettre Ă genoux devant eux. Je les regarde, intimidĂ©e mais curieuse. Ils sortent leurs sexes et ils commencent Ă se caresser. C’est la première fois que j’en vois un (enfin deux du coup). Ils me demandent de les toucher, alors je les touche. C’est tellement doux. Ils avancent leurs bassins et approchent leurs sexes de ma bouche. Je les goĂ»te l’un après l’autre avec beaucoup de plaisir. Et puis la suite logique arrive et je les suce Ă tour de rĂ´le avec de plus en plus d’assurance. Ça dure comme ça jusqu’à ce que je sente un liquide chaud et Ă©pais se dĂ©verser dans ma gorge. Surprise, je suis proche de m’étouffer sur le coup et devant l’abondance de jus mais j’avale tout comme une grande et j’en fais autant ensuite avec le deuxième cousin. Je me sens si bien ; je sens heureuse, Ă ma place. Et le sourire affichĂ© par mes cousins ne fait que me confirmer cette impression. Malheureusement mes parents dĂ©mĂ©nagent (avec moi bien entendu) dans un autre dĂ©partement. Et c’est ici, dans ce nouveau lieu de vie que très rapidement, je fais la connaissance du fils de notre voisin. Je tombe sous le charme de ce beau jeune homme de cinq ans de plus que moi. Un jour pluvieux, il vient me chercher Ă la sortie des cours sous le regard envieux de mes copines. Je suis toute fière ! Pendant le trajet je sens son regard courir sur mon corps ; il me dĂ©visage ouvertement et, c’est tout naturellement qu’il s’avance vers moi prend mes lèvres. Je m’abandonne dans ses bras, je sens ses mains de glisser sur dans les endroits les plus intimes de mon corps… c’est tellement agrĂ©able. Toutefois, honnĂŞte, je lui avoue mon inexpĂ©rience et lui indique que je ne souhaite pas aller plus loin. Nous en restons donc lĂ puis il me dĂ©pose Ă la maison. Je descends de la voiture, je sens encore sur moi la chaleur de ses mains, de ses lèvres. Une fois dans la maison, je me jette sur le lit en pleurant tout en me traitant de tous les noms. Qu’est-ce que je suis bĂŞte ! Je vais le perdre, je le sens ! Pourtant…Quelques jours plus tard, mes parents acceptent que je me rende chez une copine pour le week-end. C’est parce qu’il y a la fĂŞte de la ville voisine que je veux pouvoir dormir chez mon amie. Le grand soir est dĂ©jĂ lĂ , et il y a dĂ©jĂ beaucoup de monde au bal disco quand nous arrivons. Pour l’occasion, je suis habillĂ©e de vĂŞtements que j’ai cachĂ© Ă mes parents car ils ne m’auraient jamais laissĂ© sortir vĂŞtue ainsi. Je porte une minijupe Ă volants, très lĂ©gère assortie avec un chemisier blanc Ă boutons. Je me sens tellement bien : libre, lĂ©gère, Ă l’aise… Nous faisons les folles sur la piste un long moment quand, soudain, je sens une main ferme me retourner. Je me retrouve dans les bras de mon voisin qui m’enlace et m’embrasse Ă perdre haleine. ChoquĂ©e mais curieuse, je le laisse faire. Après avoir discutĂ© avec ma copine, il m’entraĂ®ne au bar, au milieu de ses potes. Il m’explique alors qu’il me trouve superbe et qu’il aimerait beaucoup sortir avec moi mais il me trouve trop jeune et trop inexpĂ©rimentĂ©e. Ne sachant comment faire pour le garder je lui rĂ©torque que j’apprends très vite quand je suis motivĂ©e. Quelques bières plus tard, je suis saoule et il en profite pour me peloter sans vergogne devant ses copains. Je sens sa main passer sous ma jupe, il me caresse puis il murmure Ă l’oreille : — Elle est minable ta culotte de vieille ! Tu n’a pas encore plus grand ?! Je ne sais pas oĂą me mettre, je rougis de honte et je n’ose rien dire de plus. Cinq minutes plus tard, il m’entraĂ®ne sur le parking sombre. Au dĂ©part, je le laisse me tripoter encore mais je proteste quand il commence Ă passer ses doigts sous le tissu pour baisser ma culotte. Il se met en colère, me traite d’allumeuse et dĂ©cide de me planter lĂ . J’en ai les larmes aux yeux. Je suis tellement dĂ©solĂ©e : je m’excuse, je m’accroche Ă lui, je le supplie. Je ne veux pas le laisser partir. Il me regarde les lèvres pincĂ©es et me dit qu’il est hors de question qu’il se laisse mener par le bout du nez par une gamine de 18 ans. Je l’écoute sagement de peur qu’il reparte. Je suis dĂ©chirĂ©e intĂ©rieurement mais il est hors de question qu’il s’en aille alors je lui promets que je suis Ă lui que je ferai tout ce qu’il veut… je l’aime. Il me serre tendrement contre son torse musclĂ©, c’est trop agrĂ©able. Il m’embrasse doucement et en mĂŞme temps, je sens sa mains ouvrir quelques boutons de mon chemisier et dĂ©faire le clip de mon soutien-gorge. Une fois ce dernier retirĂ©, il s’attaque Ă mon dernier rempart et ma culotte glisse Ă terre ; je suis toute tremblante. Il ramasse mes sous-vĂŞtements et me susurre Ă l’oreille : — DorĂ©navant, si tu veux me revoir ce sera comme ça : pas de pantalon et plus jamais de sous-vĂŞtements. Je te veux accessible en permanence. Je me sens chaude de partout et c’est lĂ sur le capot de sa voiture qu’il s’apprĂŞte Ă prendre ma virginitĂ©. Il m’installe et il m’Ă©carte les jambes. Il sort son sexe dur, impressionnant et il ne tarde pas Ă le planter en moi. J’ai un peu mal bien sĂ»r mais c’est bon Ă©galement. Ça ne dure pas trop longtemps et je le sens se tendre et rĂ©pandre son sperme en moi. Il range son matos et il me fait descendre de la voiture. Je rĂ©ajuste les vĂŞtements d’autant que je ne porte plus de culotte ni de soutien-gorge. Nous repartons vers la fĂŞte mais, au moment d’entrer dans le bal, il me dĂ©fait d’autoritĂ© les trois boutons du haut de mon chemisier laissant ainsi apparaĂ®tre une partie de mes seins. Il a gagné… je suis Ă lui. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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