Alana 7 – Fin

Alana 7 – Fin
10 ans. 3650 jours. 5256000 minutes.

Voilà le temps que j’ai passé sans Alana.
Mais nous voilà à nouveau, au cottage. Tant de choses sont passés mais autant son restés les mêmes.
Proposée le 13/09/2022 par Lolita Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passionPersonnages: FFLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme

Dix ans. Dix ans que je n’ai pas vu Alana.
Quand notre famille nous a surpris cet été là, la mère d’Alana a pris sa fille est à quitté le cottage. Mes parents, trop honteux ont décidés à leurs tour de quitter le cottage.
Je suis revenue les deux été suivants, mais pas Alana. Ses parents n’ont plus. Nous n’avons plus jamais remis le sujet sur le tapis, et cette histoire est partie aux oubliettes. Mon grand-père est mort cet hiver, et ses enfants ont rachetés la maison pour que nous y passions nos vacances librement. Je viens de me séparer de mon mari, il y a moins d’un an, et je comptais refuser ces premières vacances toute seule ici.
Mais il y a deux semaines, j’ai reçu un message qui a complètement bouleversé les choses.
Alana.
Elle m’a retrouvé et voulait de mes nouvelles.
Je n’avais pas grand chose à dire, mise à part que je divorçais et que j’avais des histoires sans lendemain. Elle parcontre, est mariée avec ce fameux jeune homme de nos dix huits ans, et ils ont un garçon qui a cinq ans. Sa mère et mon oncle sont séparés, et elle ne parle plus à sa mère à cause de différents familiaux. Nous avons passés deux semaines à parler du bon vieux temps et surtout du cottage. Je l’ai informé de la mort de mon grand-père, ce qui l’a beaucoup attristré.
Et enfin, m’est venu l’idée de l’inviter, elle, son mari et son fils au cottage. Pour une semaine. Alana a directement accepté. Et j’avais envoyé un message à ma mère pour reserver le cottage. J’ai menti, évidemment. Même dix ans plus tard, le prénom d’Alana ne devait pas être prononcé. J’ai simplement dit que j’y venais avec des amis. Et nous y voilà. La jolie blonde devant moi, elle n’a pas pris une ride, mais à bien pris deux bonnets. Ca doit être la maternité. Je m’approche et la prend dans mes bras. Son parfum n’a pas changé. Elle me présente Devon, son mari et Nolan, son fils.
Nous passons une bonne partie de la soirée à discuter de choses et d’autres. Devon est un homme charmant, et je me demande s’il sait que je suis celle qui a pris la virginité à sa femme. Dix ans plus tard, est-ce que Alana lui a avoué la vérité ?
— Je vais me coucher, j’ai bu trop de vin, lance Devon en se levant, à demain chéri.
Il me salut à mon tour et part rejoindre la chambre d’amis où leurs petit garçon dort depuis longtemps déjà.
— Tu veux faire un tour sur la plage ? Propose Alana. Nous marchons côtes à côtés.
— Alors tu es mariée, dis-je en souriant.
— Et toi divorcée… d’un homme.
J’éclate de rire.
— Je pensais que tu étais lesbienne.
— Je l’ai pensé aussi, avouais-je, mais j’ai rencontré des hommes qui m’ont fait ressentir la même chose que les femmes.
La même chose que toi.
— Et j’ai fini par en épouser un, dis-je en souriant, mais tu es mal placée pour être surprise. Aucune fille complètement hétéro n’aurait aimé ce qu’on faisait comme toi tu l’aimais.
Alana hausse les épaules.
— Et pourtant… Je crois que c’était toi en fait, qui était spéciale.
Je suis émue par cette aveux. Alors on ressentait finalement la même chose elle est moi.
— Donc tu n’as jamais dévié de Devon pour une autre fille ?
Elle secoue la tête.
— Aucune n’en valait le coup. Nous nous retrouvons face à la mer.
— Tu m’as manqué tu sais, souffle-t-elle.
Sa main vient timidement prendre la mienne et soudainement nous voilà dix ans en arrière.
— Toi aussi Alana.
La blonde me regarde.
— Tu te souviens de ta promesse ?
J’acquièce.
— Et je les tiens toujours.
En un rien de temps, nos vêtements se retrouvent au sol et nous avançons toutes les deux dans l’eau glaciale, au milieu de la nuit. La lumière de la lune est si éclatante que je n’ai pas de mal à voir Alana parfaitement. Ses tétons pointus à cause du froids, ses fesses juste à la surface de l’eau qui y pénètrent tout doucement.
— C’est gelé, dis-je en avançant dans l’eau.
Alana me tend la main, et me tire vers elle, je glisse et manque de tomber, mais elle me rattrape et tient fermement mes hanches. Nos lèvres ne sont qu’à quelques centimètres l’une de l’autre. Malgré l’eau glacé, mon corps entier brûle pour elle.
— On devrait pas, dis-je en pensant à Devon.
— Ca a toujours été toi avant lui, souffle-t-elle avant de m’embrasser à pleine bouche.
Ses seins se collent au miens et nos ventre glacés se rencontrent. Sa langue chaude caresse la mienne tandis que ma main vient retrouver ses fesses. C’est ce qu’il me manquait depuis toutes ces années. Alana.
— Touche moi, supplie-t-elle.
Ma main trouve ses seins ronds, tandis que ses doigts viennent directement sur mon entre jambe. Je souris contre sa bouche, devinant que ça lui a manqué. Elle me caresse comme elle l’a toujours si bien fait. Je viens trouver son clitoris, que je masse. Alana soupire, se mord les lèvres. Comme si personne ne l’avait touché depuis dix ans.
— Viens sur la plage, faire l’amour.
Comme elle le voulait.
Nous marchons jusqu’à celle-ci et étalons nos vêtements du mieux qu’on peut avant de s’allonger.
— Je veux te lécher, tu me manques, dit-elle.
Mais j’avais l’exacte même idée en tête. Alors je l’allonge, place mon entre-jambe sur sa bouge et ma tête entre ses cuisses. Hors de question que l’une de nous en manque une miette.
A peine ais-je posé ma langue sur son clitoris qu’Alana se tortille sous moi. Elle est avide de sexe et je dois la combler. Je me met à la lécher frénétiquement tandis qu’elle me dévore littéralement l’entre jambe. Heureusement pour nous, il est deux heures du matin et personne à l’horizon pour nous voir ou nous entendre. Alana me repousse, m’allonge et place une jambe par dessus la mienne et l’autre sous mon genoux. Elle centre son bassin et pose sa chatte sur la mienne.
— Tu es insatiable.
— J’ai passé dix ans à repenser à toi, à nous…
Elle frotte son clitoris au mien.
— Deux semaines que je me branle avec le pommeau de douche en gémissant ton nom, continue-t-elle.
Elle tient ma jambe et se frotte plus fort, nos mouilles se melant l’une à l’autre sous nos gémissements.
— Putain qu’est-ce que c’est bon, dit-elle.
Je regarde sa chatte humide happer la mienne de va et viens, mes jambes tremblent sous l’excitation. J’attrape ses cheveux blonds qui tombent en cascade dans son dos et tire dessus.
— Montre moi que ça fait dix ans que tu attends ça Alana, ordonnais-je.
Elle se frotte plus vigoureusement en gémissant mon prénom.
— Baise moi plus fort, suppliais-je.
Nos clitoris se frottent au corps à corps, inondés de nos mouilles dégoulinantes. Alana tient mon sein et se frotte encore et encore en hurlant de plaisir. Je tape sur ses fesses et lui cri de me faire jouir. Nos orgasmes montent si fort, que mes yeux s’embuent de larmes. Nous explosons littéralement l’une contre l’autre, des jets de plaisir dégoulinant de nos chattes respectives tandis que mes doigts se plantent dans ses fesses et les siens dans mon sein.
— Je t’aime putain, hurle-t-elle dans un dernier gémissement. Trempées et épuisées, nous nous cajolons l’une contre l’autre, sous la lumière de la lune et le bruit des vagues.
— Moi aussi je t’aime, Alana.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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