Alexandre et Béa : Un retour érotique de vacances
Alexandre a dû quitter le camping des Charentes pour rejoindre son travail. Béa repart ce matin et aspire déjà de revoir son amant en fin de semaine. Mais, en gare de Nancy, une fabuleuse surprise l’attend….
Proposée le 21/09/2016 par LZ79 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
ce lundi matin, Béa peinait à remettre en ordre ses affaires dans sa valises. Cela faisait trois jours maintenant qu’Alexandre avait quitté le camping pour rejoindre son travail de botaniste dans une forêt proche des Ardennes Belges.La jeune femme ne cessait de penser aux doux moments qu’elle vécut la semaine dernière avec son nouvel amant. La rencontre impromptue aux douches, la balade le long du vieux port de la Rochelle et la formidable nuit qui s’en suivit. Béa percevait encore des effluves du parfum du jeune homme au sein même de son bungalow. Cela la rendait plus cafardeuse et, parfois, le long de ces joues, perlait une larme de nostalgie.Par chance, même s’ils s’étaient rencontrés dans un camping de la Charente Maritime, les deux amants ne vivaient guerre loin de l’autre. Béatrice, bien que Toulousaine d’origine, vivaient à Nancy pour raison professionnelle. Elle avait un rôle de juriste dans une société bien connue de la région.Les deux amants, par chance, s’étaient échangé leurs numéros de portable respectifs et, surtout, jurés de se revoir avant la fin de la semaine dans la ville de Béa. Afin de rejoindre son domicile, la jeune femme devait prendre le train jusque Paris et, ensuite, une correspondance qui l’amènerait dans sa cité alsacienne. Pour son retour, Béa portait une jupe tombant sous le genou et un débardeur de satin blanc. Le tout, Sans provocation. C’était sa beauté naturelle qui apparaissait.Tout au long du trajet, Béa ne cessait de penser à Alexandre. Les doux mots, parfois érotiques, que ce dernier lui envoyait, ne renforçant davantage encore son envie de le revoir rapidement. ‘Il n’existe de plus belle cascade que ta chute de reins et de plus belles collines que celles de tes seins’ La seule lecture de ce message suffisait à provoquer de l’effet à Béa .Jamais la jeune Toulousaine n’avait rencontré quelqu’un à la fois doux, attentionné comme l’était Alexandre.Bien qu’elle sache pertinemment qu’elle ne reverrait pas son amant avant ce we, chaque seconde qui passait réduisait un peu plus le temps avant de le revoir.
Lorsque son second train arriva en gare de Nancy sur le quai 4, l’horloge indiquait 18h30. Béa demeurait loin de se douter de la surprise qui l’attendait. Alors qu’elle venait à peine de pénétrer au sein du hall de gare, elle fut soudain prise d’une joie immense en voyant Alexandre. Son bel ardennais, après sa journée de travail, avait pris sa voiture et rejoint la ville de Nancy pour accueillir sa belle. Ces trois journées sans se voir lui semblaient tellement long qu’il voulait absolument la retrouver pour la serrer dans ses bras. Ce qu’il fit d’ailleurs avec beaucoup de tendresse et d’amour.Alexandre pris ses bagages et lui proposa de la reconduire à son domicile. Ce que la jeune femme accepta sans se poser de question.
Tout au long du trajet de la gare à l’appartement de Béa, les deux jeunes personnes se lancèrent des regards à la fois complices et amoureux. A un certain moment, la belle posa sa main sur le jeans d’Alexandre, provoquant l ’érection du jeune homme. Ne connaissant évidemment pas la route, Béa lui indiquait les routes à prendre.
Si Béa se montrait entreprenante avec Alexandre, le jeune homme profitait des quelques feux rouge pour caresser la cuisse de Béa en arrêtant son mouvement dès qu’il arrivait à hauteur de la culotte de la jeune femme. Cette dernière sentait l’excitation montée en elle. Sa poitrine se dressait laissant apparaître ses mamelons qui devaient être durs comme jamais. Consciemment, elle laissa d’ailleurs glisser l’une des brettelles de son débardeur, faisant apparaître, à la fois, la bretelle de son soutien gorge blanc et son décolleté.Alors qu’elle aurait aimé tenter de caresser le sexe du jeune homme à travers son pantalon, Béa ne voulait pas le déconcentrer dans sa conduite, au risque d’avoir un accident.Chaque arrêt prolongé chaque embouteillage devenait, dès lors, un instant érotique éphémère, tout en restant discret pour les autres usagers de la route.L’excitation des deux amants commençait à atteindre son paroxysme et l’arrivée aux abords de l’appartement de la jeune ne faisait qu’augmenter le degré de celle-ci. Bea proposa à Alexandre de décharger un peu plus tard les bagages, bien à l’abri dans le coffre.C’est main dans la main qu’ils se dirigèrent vers la porte. Comme pour faire monter encore un peu plus leur envie de l’autre, les deux jeunes s’empêchèrent de passer à l’acte dans l’ascenseur, non sans continuer leurs caresses de plus en plus intimes.Lorsque Béa ouvrit la porte de son appartement, les amants eurent l’impression que plus rien ne leur serait interdit. La jeune femme ôta le t-shirt d’Alexandre avec beaucoup de grâce alors que, dans le même temps, le jeune homme continuait d’effleurer la poitrine de la jeune femme à travers le satin. Ses seins, devenus durs, semblaient dire à Alexandre d’aller encore plus loin dans ses mouvements. Ce que le jeune homme compris.
En même temps que Béa emmenait Alexandre vers la chambre, ce dernier déboutonnait lentement le jean de la belle blonde. Couchés et s’embrassant langoureusement sur le lit, seul leurs sous-vêtements respectif les séparaient.
Placé sur le dos, Alexandre proposa à Béa de venir positionner son magnifique corps sur son torse. La jeune femme s’exécuta et se laissa emporter par les mains du jeune homme. Au même moment, ils prirent la décision d’enlever le sous vêtement de leur partenaire.
Alexandre, avec sa main droite, se mit à caresser les deux seins maintenant bien dressés alors, qu’avec la gauche, il remonta vers la partie la plus intime de son anatomie féminine Béa eu un premier orgasme et, inconsciemment, entrouvrit ses cuisses, permettant au jeune homme d’introduire son doigt et de stimuler avec douceur le clitoris devenu dur. Les râles de la jeune femme l’excitaient davantage encore. Bien que les jeunes amants n’en ne fussent pas à leur première relation, ils n’avaient jamais connu un moment érotique d’une telle intensité.
Béa se cabra permettant à l’organe en érection d’Alexandre de pénétrer au fond de la caverne d’amour. S’en suivirent des mouvements de va et vient entrecoupés par les râles du jeune et les gémissent de la jeune femme, dont les orgasmes devenaient de plus en plus fréquents.Avec la délicatesse la caractérisant, Béa se retira et se retourna doucement vers Alexandre en plaçant ses cuisses au dessus de l’organe humide et en érection d’Alexandre. Elle reprit de plus belle son déhanchement lent et sensuel. La nouvelle position prise semblait leur procurer un plaisir et une jouissance encore plus importante.La régularité, la lenteur relative de son mouvement mais surtout, l’emplacement pris par Béa offraient la possibilité à Alexandre de lui stimuler son clitoris avec ses doigts et d’embrasser la pointe tendue de ses seins. Bien que dans un état atteignant presque l’extase absolue, Béa remontait ses doigts tout au long des flans de son amant en introduisant sa langue au sein de son oreille. Les amants étaient si proches l’un de l’autre et, pourtant, leurs yeux fermés par l’intensité de cette relation intime les empêchaient de se regarder. Dans un gémissement presque simultané, la belle blonde sentit la semence d’Alexandre rentrer au plus profond d’elle-même.Un profond soupir de bonheur les envahit de bonheur. Béa se retira doucement d’Alexandre, l’embrassa de ses lèvres délicates et vint se blottir dans les bras du jeune.Jamais ils n’avaient t atteint un tel bonheur dans une relation intime.
En début de journée, la belle blonde toulousaine n’aurait imaginé passer sa soirée dans les bras de son amant estival.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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